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I me fas che encore dc a desipit,
que nostre Demosthene ait este de ces gens la Ie oudrois de bon coeti que e fustVn utre que tu , qui cust, di dans leConseilia Athenes , si te sulci dune petite Isse , volline de Samothrace, qui ciloit conteste entre es Atheniens , et lenor Philippo Si leoo votis cui rendi est Is est , s que e mo de uniue soli porte par ccle Traiit , elous conscille decla reccuoirue mais non pasci ii pretendtac a votis don. . ner, de s i appelle Bien faticia restitutioni desce qui feste surpe si votis. LoVous Oyer, paria, que es grands Person-nages se sontamus e a des vetilles,ri que ce-Iuy-ci fais it plus de castae lavanite dubiotque de a solidite dela Cliose Sici Empereur Charies eust ouli faire via present de a Duche de Milan,a nos dernier Rois, Aiac
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Demosthene custes e deleur conseil illeureus conseille de refuse te presstiat, de petarde seire tori aux Droiis, quiis auolentius a Duche. I eust micu aim gaiae de iussetes pretensions se consoler par esse perance de 'Aueni , que de otii de a uantage des hos es presentes accep- terti possession dine seconde Couronne, aue des termes, qui neus pas cru estrede a dignite de la premiere.
En e mauuai Monde, O nous vivons, quan on nous ait iustice , imaginons-nous quin nous ait grace. Ne s Monspoliat auare des termes, Ves appareiaces, po trueli quem essentiet nous demetire.
latis te Murailles cie Toit. Qimon dieque Hest Present , que cest Grace , quec est Auniosne, Pon te velit 'uand a Plece sera nostre, it nous sera ais de luydoniae v plus beati Nom qui nous plaira auantage Ayon auec honneu les Iucs, qui nous appartiennent mais yOns'
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les, a iacique pri que e soli. Otions notis dii petit tori qu on notis fati, plui tost que de notis laindre a a Post rite, dine grande iniustice u on nous afait te Ii aut naieti nauoi pas a veile siboniae de si penetrante, dans a discussionde se Droiis, de peti d y csco iuri tropde iustice Ii aut naieta n estre pas si habile, dans son propre iit, de cur claestre ros persuade Cessentiment i subtil,
dc si delicat, des iniures quoia a receucS,
ne spas ne hos bien commodes, quanti sagit de a reparation, quoia cn cutauoir. Viae si aut opinion hi merite des Cause, se solismet dissicilement ali iu- gement, dccison autruy. Tout cela ne sertrita a rendre impossibi e ceriti ona defleti de fatre , qu a camus er dans des. lieux, d oti l aut sortiri, e plus prompte-men qu i cs possibie Ce ne soni as desmoyen d agi ue e soni de empeschemens de action ne sonipas desolatiis potiras plani lcs disicutica de a Carrieres ce
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soni des pierres au deuant dii ut C sonten eis et de qualite releuces, qui accompagnent dordinatre la oblesse de coeur , la generosue viai d ordinatre elles uisent plus quelles ne profitent: our e molns
I ne qa pas comme iis sentendent. Mais it me emble uvia Traitte ne si au- roit se conclurre plus mathζureus cment, S auoi vii plus triste succes , our ne de deua Parties , que quand pres ne longue Negociation ue pres ne infinite de paroles et iees au vent , c d Escriis qui faut metire dans esses, elle est obli-gee 'en appetis a in utre lecti , cquelle apporte a logis out faciat son, toti son honneur. On feroit biennaleu de quiter quesque hos de cet teraison de et honneur. OurquOynon consenti a via accommodement, qui
sera aisonnable par a consideration dei Vtiles, d qui ne sera a destioniacste,
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dans a neccilite tu Temps , a laquei leti generosit mes me, .la oblesse de codur1 doluent accommoder3NE nous latison donc poliat biotiir, a la reputation de a Sagesse des
Grecs. Que les Orateurs d Athenes ne nous persuadent a plus cs vias queles utres Ie ais , Antiquite, te Merite de ceu qui on siilli , at lieti de iusti hercis fautes , es cnd seulement plus visibi es plus emarquabies. Viae solsci nostre vi , servon notis de a liberte de nostre Iugement, qui ne doli pactous totis es ire subalterne , de cellaudes Crecs, de Romatias C est via sulci de consolation , poti nostre pautare Humanite , devotrintsi y a idest homine, dans es He
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serui dυn au is Mot, que cegrandi γ-litique a ste 'une mauuas opinion. Ces Exemples de Foibi esse lannfirmitte, estoiciat les Spectacles, cles Passe temps, qui diuertissolent quelquebois et excellent Homme I se ocquoi de Demosthene, de son ridicule Potntra honneu : Maisi se inocquoi encore plus de Cleon , cdedion extrauagante probite Celtiy-ci yant est appelle au Couuernement de a Republique, oulut signate rentree de a Charge, par te ne qay quo de bien nouueau de de bien estrange. Le tendemain de a promotion , Penuoyaprier se Amis de veni che luy, testant
isu declarerque verit ablement pant ' m
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tro oblige de renonoer a leti amitte. I im, gina que cette declaration stoli via original de vertu vn acie de probit heroi que , a plus belle hos qui se fust alite a Athenes , depuis a fondation de a Ville; dei uis Thesee usque a Cleon. I crutqu 1 faloit u via Tomitae 1 stat fustisnEnncmypublic que potarcia premiere esse pretiue de a vigueti , i se desiis de outes se inclinations , de de totites se amitica misi rompis totis es hens de la Nature , de de a Societe. i a V vehi de ces au Iustes, de a d delales Monis rei ay eu, qui poli faire admirer cur integrite ou obliger e Monde de dire, que a Faucur eicut tensu eu , prenotent interestra vii strange , contre cclv d vn Parent, ou in Ami cncope que a Baison fust dii ostedu Parent, ii de Ami. is estolent rauis de Dire per ire lacatis qui eur auolt est recommandee, par leur euet , upar leti Cousin germain, I plus au-uais office qui se ouuoit endre a ne
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tur quil en lugeoiciat digne. I proteste cy dereches, que ei amplife
qui e parte. 'en y eu qui uolent 1grand peti de fauoriser uel tu,n, qti iis des approuuoient , quit blasmolent, ii iis
tost intemperance de langue bile quis exhaloit que malice medite desse sein de uires, conceu dans res prit,in digere par te Temps par ei scours Ilscussent appelle ulcs Cesar o v ROGNE,
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Encore ne i is, ei est ni malice , ni cruaute cest fantaisse , cst chagrin , est bile , qui domine dans e temperament de ces Conscillers, qui notrcit de a fu- me , cur premier mouucmens, icurspremieres paroles. Cette timeti adustumas rime, fur cur front, ne Negati a pcrpetuelle , auec laquelle se volat stoli series prieres , iusque dans te coeu de Sup-
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plians Ils refusent les choses, quoi ne leurata ciemandees quoia natas mesine desi in de leur demander. Ces Conseillers ne sint pas ceu qui doluentestre appelle ait Consei de Rois. Q iand iis serotent e contraire dei quiis paroiisent , iis ne serotent as Ourtant alotier, auoi si e de bin du dehors de a Vertu de apparence u Bien. Quand iis aurolent ranae bien lais ante
ce vitain masque inu Nopces mesines, Scalix Festin , ii iis affectent auri bienquailleurs, de se monstrer terribies,