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Ce snt ii ies questions et chacune 'esses en ensem piusleurs vires que te ins propos de traiis dans te long travati auque je donne te tit sta' tr uetion, et que osoumeta es a iugement da lecteu Pius iri ausis , dans a traduntio de la collectionhippocratique plus j'a Gmpris la Meessiiu de discuter migneusement inut- - qiserit Asto. Esses soni presimi ires, istest Hai; mala esses Uen sontias molns essentiesses; et, u milieudes dissimili, deridition nouvelle que 'at entrepriis de ne me suis senti quelque sumia. que du momentiu i'ai eu approlandi ius problemes de eritique litto alae et, eat que
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lustre et unciniaret particuliere iis en ressorient davantage avx eucd speetateu qui mutemple les rinnes de rintelligonee compar les aux inees qui restent seul de ut aumilie des cat meanties, et qui paruissent d'autiuat plus grand et plus majestueu quolas me eides plaees qui te enisuralem on disyam.
preiniere piae dans rotare chronoisoque de la medecine, iis excitemient Ia curiosite doI'homme qui eucs'instruire daasa'ancienne selenee desieuples. ais hien Sautres merites appellent noue attention B Ont εω placε tro pres de rorigine des Goses, mur ne pasavolain type qui Ua plus da se reproduire dans le oues duriemps ilioni exerce une tropgrande influence surdes destinees de laissidecine mur ne pas receler des fources de savola qui ne sontias encore sipuisees ilioni in imp situdi&4our ne pas meriter d'otre tussisis aeneore. oin quedamais, i est permis a la,Mecine d'οublier son passe de s'ensermerexclusivement dans te domatne dea'observation contemporiane de sacrifier a prMent Iesexperienem qui ontinia saltes, les enseignomenis qui Ont εω donnes, Iesiensem sine, tesqui ont εω dissesninees dans las oeuvres des εnies iminendi; de laisse dans robscurissi tant,de ait pathologique qui produlis une lais, ne dolvent plus peuNelire se reproduire de negliger tant de cinis de vumque te cours de chosectoujoure divere a pr&enias ensin, de renonee xl'intellige e de Ia Ioi qui a praside a de eloppement inteisleu d'une scienco
L'existence isolae decla collection hippocratique a commen ment vime de rhistoire dela medecine, a sat eroire que cetis science ne datait Mellement que de repoque et destrauauid'flippoerate. Cestine erreurra cette collectionis ete prectile Sune longue pejiodod'es oris et de recherches qui n'ontioint in steriles, et elle a recueilli de histinges doni uis'est pas impossibi de uouve la trace B importe donc de monuerinu'ssippocrate, sonεcole et leur Ilures soni venus dans lectemps 'activiti scientisque, et qu'i navait euavant eucd'autres coles et d'autres lines. Les ources de la mωecine recque dans age qui arate immεdialement ante Heu auchlebre mεdecies, soni a nombre de trois La premiere est dans es colleges desprεtre mωecin qui desservatent les temples 'Esculape, et que I'on designati fous leno d'Asclεpiades; Ia seeonde, dans les philosophes ou physiologistes qui coccupatent deI'etude de la nature, et qui avrient sat entre dans te eadre de leura meherches rorganisation
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des eorps et rorigine des malassi cla troistem est dans las gyamases ou les heis daemctahlissemen cavaton donni une grande aventis aucessera surda sania, des exerci ne des alimenta. II aut examine succesolvemen oes imis Minent duo velaneme medim dans I'anelenne iace. La medetane gyptienno init exeres par des retros elle apparienes Lune certainosraelion de la elasse sacerdotale u en sit de meme dans romanisation primitive de asiace, qui resut de se premier instituisum les Myptiens un tablissement sociat Iong-te mniamu&du semide in premiore origine; et la, comme surae hord dumit, las protres se chargerent ou scin deda sania des homines Bes deuimus rari censem dans les temples, se communiqua aux inities, ut missi a Vulgaire, et se lia paris positiua meme inosorie σidees et de pratique Huco molns superstitieus . Le die de Ia -lecine viaitas Iape, venu, comme inus las di x de Polynim re , des regions dea'Orient La mythologie te salsati sits di leti coit Θωlogis sans douis,n'est pas molas symbolique que la personne meme didieu, et Pausanias amnis qu'un Sidonien qu'il rencontra dans le temple dTsculape a disium lui di que e dis os lapersonniueation dea'ai nMessalae hient uende la sania de inus locotres, et qu'Apollon, qui repediente de son cote te soleti, est dit, aveo vison, les re 'Moulape puisque son ure determine les ditiarentes salsons et mmmunique Dratmosphore in sarihelia Le enuod' eulape remonte dans lammeo hine Mute antiquite sesciis Podalire et Mehaon sonemmptes, par Hom.re, parmi los heros qui assiaorent la vive Mariae; et Hest Loes deux personnagesinaeon attribuat rintroductio duisulte d' eviam dans la Gro . Les mythologues pretendent que Machaon te porta dans is Mopondio, et Podalire Musa tomiae e. Le plus aneten temple passait Mur etre celui de Titane pres de ieyone et Mnophon
rapporte que selonin antique sage, des mωecin suivalent rar e laco novienne en eampagne, et se inualent aupias du mi surae eliam de halaille Ces Meetas ne ouvalenteire que des servite coeun des temples''Esculape quei sodali Laoω-one. Bes la plus haut antiquissi, ii se landa dans la re run grand nombre de ces Meiapions qui covvrirent Murcle service, die et is serviae des malades, et qui dissisninorent, avoc son culte la pratique de rari Ces temples etaient en mente temps dos coles o rona'instrvisait dans la science m&limis, et les plus connus a celisard dans le temps qui precedsirent imm&liateruent Hippocrate, larent ceux de Cyronem de Rhodes, de Cnide et de Cos. Lecocoles de Rhodes et de Cyrene 'lesipinent de honne Mure, et ii ne resis aueunmonumen medica queri'on pulmeo apporter. nais Miles de cos et de Cnide aequirentheau up d'illustration, et eues onidousiin Maad role dans la modetane. L'Mola de Cnide destratre nommωχ'aboed ea Eest Selle γ' a sorti is premi. svroque nous uission attribuerisve quesque uret aux Asclepiades: et l'un des tuus importanis crit d'Hippocrate est dirige contre e livre intitu Senisa centri neo. pius ancien des Melepiades evidiens que Ila conniasse est Euryphon, contem mind imis rate, mais plus age quo tui. Regarde comine rauisu des Sentenees eridiennes, i, est cito par Platon te Comique e Mois introduisant ciniatas au sortis d'une pleurisis, lerepresente maigre comme u quelatis; la potuine pleine de pus, lascia e mmme uaroseau et Qui te m. inarge des eschares qu'Euryphon Iut Mai saltes en te brutant. Cetto mention d Euryphon pariun Oete contem min, est Ia proavo qu'il ouisses Horsd'une reputatio populatre. Il est oncore cito par Rusus, par Comus Aurelianus et par Galien, qui dit -- .'on tui auri ait quelque uus des traiis compris dans la collectisuhippocratique. Bes le temps 'Hippocrate ii navait ideo edium des Senι-ees uidionaea Lee qui prouue ius meditations de rauisur et is progros duaravail. Le λω duatvre avait ora Maseris,maicu naves eu de retranchemonis, des additions et des changemonis. aes me eris idiens avalent publim, dit Galien, do Meondes Semen Lenidiarinas, et c'est de eo livmqu'Hippocrate di qu'il avait u caraetore pius midical , Celeerit actuellamen perou a subsiste longM-S, et Galien ravait encore fous lecyeux Les Cnidiens disrient les maladios
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en mulsetrandisombre d'evωes; ainst iis admettaient sepi malassies de la hile, do emaladies de Ia essis, quatre malinies de reins, de plus quatre stranguries, misinanos, quatreiciares trois phthisies; carciis considωaient te dis renoes des orps ditarences variabies vivant ne scule de laconstances , et iis laissalent de eot Iaresse lance des diathδses obseruta par ippocrate. L'ἡcole de Cosm'sitai pas, Leetis isoque, εIMω au essus de salivale ea elisila ait Mint en re produit Hippocrate. Α partum aDux de ce m&lectique ron dit avoir pratiquola m&lecine dansa'ne, o ne reneontre mentionn querae nom,'un m&leein de cos; Icappelait Apolloniddi cet Apollonidἡs se trouvait acla eou diro de Perse, Artaxere P . Megabyze u des grand se neum de cetis cour, vant hi mΦvement Nesso dans uneombat, ut sauis adorce de sotns par eo m&lecin Apolloniddi eutine sin tragique hilari une inuigue amoureus avec ne princesse persane, ous pretexis de la misir Leest ei, fur lepoint demourir, rivria tout D istris sa mise, et mδre d'Artaxeree, laqueste, apres avolsisumenta Apollonidδ pendant deo mois, te sit enterrer vivant Iedou on sassile expira. Autant done quo nous en poMons iuger, Mole de cis enim plus tare quea'lces de Cnide dans la arriare des publieations Les malades qui venalent se satre traiter dans insteinples avalent rhabitudera' laisse quesque mola qui exprimatent leur reconnaissanesenVersae dieu, et qui Grae-imient Ia maladi doni iis avalent in desivres uae templed Midaure, dilatrabon, est torioue plein de malades et de tableain qui mnt suspendus, et dans tesquel le trestemen est consign6. II en est de m&nera Cos et a Tricca .s es pretres remetuesentines notes; du molns nousiouvons Iescroire pou ceu de C peredes prenotiona Coaque de la colloetion hippocratique ne soni sans douisinu in remet de pareillas notes. οὐ volt quo rieole de cis attactat uno importanee particuliare a reconnatue es ractδres commvns des maladies; 'est4-dire les symptomes qui annoncent les efforis dela nature, et a distingue les erises te mes tui appartient Mut tre et les jοur crithdies. Telle lini la directio oua'sioiae de Cos 4init plaesie a moment ou Hippocrateo commenceson noviciat, eat. Le malade qui venali chercter du mulamment dans les Aaesepiona init d'abor soumis quesque pMiminatres qui Mus u apparet religieo, 'Obligeatent a des eunes prolongis, , des purifications , des ablutions et a des Onctions de lautes sortes Ainsiprepare, it enuest dans le temple, et iij passait latuit Cest ce'u'on appelait inevbation. Aristophane, dans sa comedi de Pιutus, en dii une description tres plaisante. Mais pοur Ies malades Clinit quesque Gose de siste . Pendantes nuit te die leur apparalasai et leue preserivat les remtiles nMessaires. Le tendemain te malade racontai sa vision , et linit Mumis en consinuene a traiiement Ordonnsi. es Aselepionarataient finisalement placis dans uno eontiae saine, dans un site iant; uniois sacra Ie enisurait Oviours de sorte que lautes Ies conditions de salubrith et d'agrεment ' reneontraient. Ces Mis, dumolnsiour rite de cos, Maient formis 'arbres de haut minio cis Turullius, lieu-tenant ΦΑntoine, conpa celui de Cos Mur en construire une sotte. Les pestres Meetns allatentriis exerce leur minissere en dehors de temples Schulas admeida nigative; messine excellent historie decla m&lecine me parallis'avotrias donni autant d'attention qu'si en donne ordinatrement aux satis consign6s dans Ieclivres,l'exemplod'ssippoerate est d6elsis dans cetis question ii apparienait, dans te sacerdoce mεdicat, hune famille illustre qui se dimit descendu d'Meulape nulla'sitait done plus que tulisi parinus tecumges, par lautes Ies rhoes qui dirigeatent latratique dea'artiam Ies pestres-m4deeins NM-οiniit parmum comme-ωecin pistodeui ou ambulant disiarentes parties de la Geseo, et ilo exorsa la,ldeeine ii ne peut dones amis aucun doute suristioint: les pinres des Aaesepiona, qui traitaient Iecmalades dans leum temples, allatent avssi Iestralis au dehors Ila ne salsatent, a reste, que e que salinient de len cote les protre
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de Perse, Barius, sila MIystaspe Ilo Mait des aselapiades , Rhodes,4 Cnido, a costi renavait histhhnes a mille de leur temple se uouvat uno oureo themate Platon paris fouvent des aselapiades athεniens, et ii te sat e termes qui prouuent qu'ilcs'linient aequis uno ripulation 'Mεgane et de Mn Out dans la ville des ineme. En ummot, ii navali des aselapiades partout O un templei'Esculape avait in lamia que sauNil eniendreia Musdεnomination ' Formaientdis uno lamille Mile, o simplementisne orporatio qui sor ruisit par vole d'initiation Il est certain que quelque uncd'entr'eux , en se donnant conom, pretendaten indique leur ontalogie et iis se disaient descendant d'Meulape par Podalire οὐ achaon Galien nous apprend quo instas, asclapiade de Cnide, Mait parentd'Hippocrate, et ii nous dicauleum que, libranche des aselapiades de Rhodes citant Meinto,rsicole de eette te tomba avec eux Ces rema uesioureaient latre eroire Drexistene d'uno Iamisso reelle, mais dans te son ilis'en est rien Il sopeut que parmides pestres qui desse valent les Aselepion ques ques-uns se transmissent en eget de pδre en siis lascience m&lieale, et formant ainst dans te sein decla corporationisne urate famille pretendissent reporter eurorigine auctemps mythologiques Laetamille d'Hippocrate sitait sans douis dans emeas; mala Clini une pretentio particuliδre des 4brides nominu'ο tui donnait aussi en mison Iunde se aieuM. Le reste des asclapiades avait εω recruta par vois dlassociation et Sinitiation; on e a ne reuue manifeste dans te Protadoras de Platon Merato demande his desinterlocutour de ce dialogue celau'i se proposerat s'il allait indier Ia,Mecine ous Hippocrate de Cos; l'autre repon quo cesserat pon se satre m&lecin on deveniat donemεdeein dans lecωοles des asclapiades, sancteni Daucune famille sacerdotale milleur eomment aures ili se salae que te nombre tia considεrable SAre pion repandus dans laus les pays de langue remue lassent desseruis pardes membres Fune sente famille Les ascisipiades formalent donc uno corporatio qui, dans uitemps reculi, Mait eu is privilago exclusis de latratique medicate, mais qui verile temps''Hippocrate, commenςait acie partager avec une laute 'autres concurrenis i est probabie que pendant te langespace de tempsisu iis exist8rent senis, iis en avaientrat sor taloux Isidore ditu Eseulam, ayant in tu d'un coup de Oudre, on apporte que la misiecine ut interdite, l'enset- gnement en cessa avec son auisur et esse resta cachis pendant pias de 300 ans, jusqu'au, tempcd'Artaxerce, roi des Perses. lore elle ut remis en lumiδre par Rippocrate do η cendui'taculape, et nydans I'lle de cos , Schulae donne une explicatio ingεnieus durici mythologique o ron reprisente sculape laudroy pou avola enseigne lai&lecine auchommes et i pense que les pr&res qui desservatent ces temples exprimatent par evmbole 'obligation de rensemer la selence dans I'enceinis saersie, et de ne pas Iarieter dans Iesiain profanes divulgaire. Ainsi, dans te siωle qui a praeddi imm&lialament Hippoerate, on pent se salae une idω dea'activit&msidicale qui rignati dans les Aselepion etiam les aselisiadesci traiiementdes malades dans les temples et hors des temples relation suries abietius, des principauxaccidendi et des moyens de traiiument; recussit de ces notes; publieation de livres Sentenemenidiennes); et dria traces d'un doubie sysiame, l'un qui consistat a note laus Iecsmin lanies, et Den latre presque aurant de maladies distinctes rautre qui recherchait e quelas symptomes avalent de commvn comme indices de l'δtat des larem et u eour de lamatame ais te temps appr hiat Ouinien ne devait empsicher Iais,leetne de sortis du sonddes temples, et de prendrein developpomen plus vasis au milienta'une societsi qui, de inuseotes se precipitat vers la science En-dehors du sacerdoce m&lim ijs'opleat te plus notable des changemens, et une science, crεω par Santre maincque les siennes,l'enisurait de toutes paris ei te debordati. Illa'agit des premier philosophos rere et de leur traVaux.C'estia, en eget, la seconde Murce de la m&lecine recque a tempcd'Hippocrate, et immεdialement avant tui. Ces anciens philosophes malentiris la nature pou Objet de leuralivdes et presque inus avesent compose decliVres Mus cestiue tela son Mellissus, a menide Em doete, Mem,m, Gorgias et Neid'auires Ces livrecontiori illa'en reste quo de muris fragmenta; neanmolnsis Mut apprector les question qui on cae traiices et les
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cherches qui ont lia entre ses Les philosophes de eotis 4poque falsatent entre dans laeercle de leues speculations 'organisation des animaux et les malinies qui amigent Res ce maine Cest seulament de leues trauaux dans Mamre γ'i mutture ici question. La plus importante des Moles philosophique mur ic decine est celle de la Grande- Greee Alcmlon, de Crotone, s'e ait livin Ula dissection des animaux Suivant tui, e Vestpas te Nanc dea'seus, Hest leuaune qui nouerit te mulat; ceu qui ora pense te oontraire se sontatis Induire en erreur H admet questa sania est maintenue par 'equilibre desinu litis, tesses que I ehaud, 'humido, te soc te Diad, 'amor, te doux et la dominationi'une de em qualite e endrea maladio Spengel pense que cetis thori ne eul apparieni a Alcmesin, attendu que la consideration des qualitas εlementatres est d'une philosophie posi/-ure orci est certain que plusteum de philosophes anterie sis iuppocrate, o sescontemporains, on admis ces qualitas. 8vivant Philolaus, pythagoricien qui coompostin Traiis surcia nature, i est quatre ganes principaucisse eemeau, is coeur, rombilic et les parties Mnitales. Via tete appa venta'intelligenee, auisaeue I'ame sensibis ara'ombilicd'enracinement et Ia germination, ux parties genitales trimission decla semeisce et lim ration Le eervea est te principe dol'homine, te Meus tui de ranimal 1 nombril esui du vegetat, te parties genitales celui de inutes in os cetis opinion est remaequabis paro qu'esse admet certaius degres dans lavis des tres ri' orda'existene commune a tous, et qui consiste dans la procreation; ensuit l'existeno de plantes; vis celle des animaux qui se distinguent par ne me sensibie; en a vie de l'homine caraetorisee paeda inison. Tous ces degres de I'existence vi nis soni tenement ordonum, que te plus Mevε contient tout e qui constitue les degresinferieure u serest facile de vola dans cedragmen de Philolaus u germe de la grande idεο des anatomistes modernes qui Gerebent a disnonueraunilarinite d'un plan dans te regne
AI' Ne philosophique de Pythagoriciens se attach l'leolo medicato de Crotone en Italie omne via nulle pari γ'ilo ait eu dans ceu ville, Aseιepion, ni par consequentdes aselepiades Herodote, qui, exit dans la Grande Greee, compos son histolae a Thurium, dansae volsinam de Crotone, nous appeen que, de so temps, ricola m&licate de cetis ville inito plus elebre. I plae a seeon ran celle de Cyrene en Afrique, de laqueu nous ne favo men aulae Gose, et qui n'irien produit ou doni illa'est rien reste Amtteramque la reputation des Molas de Cos et de Cnide 'avait pacatur rattention do 'historien et Berodoto n'en ditias u mot Les Pythagoriciens avalent eu pendant long-temps leur principalistis a Crotone; us4'εtaientium avec aveou de succeia retudesola nature, et iis soni probablement les premier qui aient cultivera'auatomi en dissequantlas animaux illa'est pasitonnant qu'il se sol sor iam eo, et Quirinfluence de leursdoctrines, ne Mola medicate qui ariete un vis octat. Colle de Croton est done tout a salte dehors de la me eine saeordotale de Mesepio , et esse eulis e liue une grande in me surrae dεveloppement de la scienoe cun auue siue encore elle merite d'etremine iei Cest que se doctrines on eia uno muroe ou Hippocrate a missi abondammeni et que, par tui, esses Ont exerce uigran empire dans te monde medimi. Cestis que e seria es quandu'aura montra ea qui dans la collection hippocratique apparuent mellement a Hippocrate. Bed'Mole de Crotone etai sorti is medecit noeede, qui, pris parum Perses a Samos, uerit Darius d'une intorse tangere e et se concilia laetaveur de ce prince, inutu ment traiia par les medetans egyptiens. lien, qui donne te nomχ'Mole Gialie Leelle qui s'linit sorinoo a Crotone et parmides Pythagoriciens, neomprendam tramis qui sortirent de la Sicile et d'Agrigente. locle, qui etait de cetis ville, naquila'an 304 avant J.-C. B adori paris se contemporai χ'une grande reputation Il avait ecfit u poeme surda nature, doncili lemmass grand --re de Dagmenta, et qui contenait des explication physiologiques surdas mationdes animaux siautre poeme, inluvieci is ars medieaL avait eis compose par tui Mal- heure omen se eeriis,'existent plus. I se livra aussi a l'etude de ranatomio ille u-
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urit te labyrinthe dea'oreulem'i rogatae comme romane essentiet de raudition. II attei aitia dissere e des sexes a la pristomi nee duratori ou du chaud dans las parenis; Ia e sem- Nanee des ensant avre rumo avre rautre, a plus grande quantiti de Mide scininal qua laurnissat te Dre olla more Suivant tui, la diminutio de chaleur produimit te sommeu,rextinction causalida mort B saut remisque qu'mpidocte connali dia les qualites inmeminires, te doux ramer, 'acide, te chaud, et γ'il les sal intervenis dans in physique B est esse dans terra ite de Paneiennes deeine Cette citationis que dans laute les εditions Iorai restitues, en combiant une laeune de plusteum lignes, a res χ'un manuserit non
Au ombre des contemporains 'Lmμd te est un Aleci nom- Acron, dumet onmeonte qu'il chassa une peste d'Αthhnes, en salsant allume de grandkkux dans cetis ville. La meme lable a sit repεlisiour Hippocrate Les iures d'Acron se soni perdus de tres honne heure. II paras qu'ilis'linit tenuitus que les autres h l'observatio pure et simpledes ph4nomδnes Celai peut ire ce qui ravest miste en renom a rta des philosophes, qui aimalent tant a donne et a recevola des explications L secte empirique, Me long-tempsaprsis ipmerate, a vovi se rattaeheris Acron. vivant Suidas, i avest eompos endialecte dorie undiure sura nourriture salubre. Une philosophie don Anaximἡne de uet est l'auisur plaee la cause de inulas ehoses dans vir Cette opinionis εω mutenue par Biogἡne nya Apolloni e Crete. On Ie diteontemporain 'Anaxagore, par consoquent unie anto leur a Bippoerate Cette consid ration est importante car ello Miruit des preiugis fur retat de eonnalasances anatomiques. au temps 'Hippocrate Dioghne avait culti- ranatomis et Aristote Mus a conservo unlong fragmen de sonamite de a nature, dans laques o uouve une description de porigine et de la distribution des eines Biogis commence a deseriptio endes fulvant par leventre iuriu'acla colonne veriabrale, et nisi positivement que deuodes plus grossea apparuennent a coeur. Beclarit les conduit par te eoi jusque dans lariete. II oo alasait enoutre les. ventricules dieseur ulla it dans le ventricule gaucheae principe directe lael'ame; l'ο peut admetus j le montremi dans se chapitre Ixxque Plutarque a apportiterauellement ses paroles MLavait done uno certaine notion desariares caesi appellaeo ventrieule artistaque simini non molns important des doctrines de Biogone mur rhistoire dea m&leeine a cetis isoque, Sesta'inssuenceriu'i attribue Li'ais dans sari orie sue lasotres animΦs. nivant tui, Eest ala qui est la cause de l'intelligence checl'homme en sorepandant dans te san par las,eines de lautae corps fulvant tui encore, ii est nee satromi'existence de tous te animaux, et lesioisso itine te respirent avec reau id istiuste, et γ'Aristote eombach tori Toutes oes opinions fur rair se retrouvent dans te liveo
hippoeratique qui porto te utre des atra. Anaxagore de Claro ne, qui ut is maluerae 4riclis estis philosophe doni les doctrines on lalaia des traces dans Ia eouoetion hippocratique si supposait que te laetua male est torioursis eoin droit de Ia matriee, et te laetus semine du eoia gauehe cetis opinionis in ad se par Bippocrato dans las Aphorismea. naxagore pia i ta ea e des malassies algusis dans la bile. Volci eo γ'en dit Aristote u Anaxagore se trompe en supposant que la bile est Ia eause des malassim a ues et w'esse secietis, loraqu'esse est en exces, surrie Mumon, les Minos et les μευ . on est quo Iaa-rie de la bile dans Iecmaladies est anto leured Hippocrate on distinguait mome Maha hilo nolas de la bile Dune B est ais de prouuer par te langam vulgalae combis cecidies linient ripandues, et qu'esse tenaientis uno bien visisse mεdoeine. Ainia te polis Euripide dit: si e quale troid de la bile lui in mento Ia potuine La bile nolae et la sine qui P ratisinent soni dans Aristophane Ces mota talent dono laminem . rorem des auditeum, et iis appari Mentis de thωries tomMes dans te domatne public uiso lautias tonne quetoutes ecthωries et laus Ies termes qui en vendent se trouvent dans la eo euon hiis ratique. Bomoerite latae plus savant de Grees avis Aristote, et universes commetii uis ait,
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enuivε Ie eoia gεnisa que te cote particulier de la mi cine Mis Ces cetis invasion intine de Ia philosophie dans inus les aris qui forma te premier sonti de resprit selenusique parmiles Grees; et pius il est alia de via que les philosophes ne s'etaientias bornes a de purest-ries, et γ'iis malentiorin, a sicloin qu'il Mait possibis alore, te sol de robservationdireet et de la rectorehe des satis Mur 4erit malent 4 popularistine laute denotions idieales et ron murrai montrer, te livre FBεrodote la main historie et tou, sau εtranger LI'ar de la medecine, queda nomenclatum de malassim existest avant Hippocrate et se discipies, que tui et eoi'fon rien innovsi, et qu'sis se sont servis Fune Iangue salte par Fautres que par eux. M troisthmo lament de la mωecino Meoque Leetteramque est dans les gymnases et dans Iesarauaux de ceux qui dirigeatent ces liablissementa Les Mypuens avalent defendula gymnastique dela palestre iis pensatent que des exercices quoudiens de ce genre proe alent aux eunes gens, non pascia sania, mais uno ore peu durabie et qui Iesisissest tria exposis avx malacies Les Grees, a contraire, se livriu ent aveo passion a lagymnasuque Bes liablissementsintaient ouveris ona'on enseignest les divere exercicos Leshommes qui metalent premias grandirent insensiblementae cercle de leum connaissances et de leur pratiques It chabituerent a uester Iesaractures et Iesainations qui furve lent
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frequemment dans les palestres Iccus de Tarente donna une attention parti Meo auregime alimentatre et ceu partie erudire avec sοin pri u grand develis ment onrechercha uela talent Ies aliment qui contribuatent te plus a l'acquisition des oression distingua Ies modifications qu'il sallait apporter dans la nourriture svivant rage et laeonstitution on 'habitu reconnaitre es changement qu'amen dans apparonea ex te leure uniscar du regime habituet. non mot relatis sani sut 'ob et 'una Observation minutieus qui Ompeui te dire, ne contribu passo a enrichira medetano grecque et a lui donne te caraeterela'untia et de Mneisalite quida distingue. Cela'est pactout Herodicus de Selymbria o ne ait si 'est te meme que erodieus. Dere do Gorgias appliqua la gymnastique auaraiiemen de maladies Iusquevi cet artn'avait te cultivε que mur forme des militatres ou es athletes. eis teus, qui linitIui-mem mattre de gymnastique et 'une constitution maladive, entreprit de se sortifer par 'applicatio reguliere des exercices. I si imit satre de tres longues courses h sesmaiades par exempla, i les salsait alter d'Athenes a Megare et revenis an se reposer. C'silai furtout a traiiemen des maladies chronique qu'il se consacra II parat que lasasclapiades ne traitaient uere que les plates et les malacies almes Cest du molns eo queuit Platon et en reprOchant si Herodicus de prolonge la vi de gens valesudiniares et do cur latre ainsi ne longue maladio aurate decies laisse Di hature quides delivromit promptemen de leurs au parcia mort ii lui adressa un tam lais nous ne Duvo Vol qu'un eloge Cette application de la gymnastique auarallement des malassies eui uno grande innuence surda m&lecine antique Maucou de malades deserterent Ies Ase tonae allerent se latro soigne dans te gymnases et Iecmεdecins rem prirenta'habitudod'etudie les essetides exereices, de les admetire dans te cercle de leur therapeutique, et de les prescrire d'une maniere consorine aes art dans une laute de eas. Telles soni lectrois murces temples d'Meulape . coles philosophique et gymnases qui alimenterent a medecine dans te courant dua sieel avant J.-C. Bes cetis poque, o levoit, ii existat une masse considerable de notions et de trauauctre divere trauaux et notions qui concouraten pou Murni acia sol l'etude de la maladie dans les sesepio ,rrinde decla ante an los palestres, et l'esprit de generalisatio dans Iesivres des philosophes Banice concoum est tout te land de laistilecine tolle qu'elle se diveloppa mus Hippocrate, se contemporaim et ses disciples Cnide note les symptomes, et Lattache tantd importaneo que de chacun, mur ainst dire, elle saltine affection a pari Cocles examina musae piant de vue particulier des indications qu'iis donnent surde progres decla maladie. et surdes efforis decla natures Crotone et Agrigente dissequent las animaux Les philosophesinis uisent dans la medecine te ustemes varies qu'iis se soni satis fur re emble dos ehoses. 'eau, 'air, te seu cla torre servent De Iique Ia composition O mrps, omnioeelle dimonde Les qualites elamentatres prennent place Deoia des essenenis; et l'heureux melange des unxoides au tres constitue la sante, Ces conceptions se lient axe une saeuiit merueilleus aux considerations fur Pinnuene de salsons et 1'ἀinde de la gymnastique. notanta'action, surde meps humain, dea'alimentation et des exercices, lauriat des donnem positives qui unissent la sante a Ia malassie Mnsi veniat a maturiti uigran system dem&lecine o iniit des parties se tiennent par une connexion intocleure, Oea inuincla sciencede la maladie est compris dans la conside, alio simultanee des influences gεnerales dumonde exterieur, des influences particulieres dii regimo, et des Iois qui regissent les efforis
et les erises dea naturo systome qui est domini tui ome parrae idies generales que les philosophes avalent mises dans te domesne commvn. a Diod'avane uneisquisse de ladoctrine d'nippocrate carison meisite dans la science, Icraison du haut rare qaei L cupe la cause de a uissanc qu'ilis a exerceo, out ela est dans la ore des anciennes doctrines qu'il embrassa, developpa, ouunt ave talent, emplo ave bo eu et transmit pleines de vie de fore et de prosondeur ad posterite, in illusion , cause pari'εloignement de temps, a sest fouvent regarde Hippocrate comme te laudateu de lamedecine ilis'en a Mo que Io continuate , omme o te volt par ce qui precede, mala
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an eontuma fur ea his de neonde eo mi existest avant tui. Maisant sesineriis on meo altque is Metrines Nil rex se ne sonticini de scertation, et parisu on sent M'i poseis Hed surin terrain ancien et solide. ite vieine mωecine, plus leuis D spmerate, Κέtait done constitute ara Dis parremptrisme des praere m&lecius et des gymnastes, et par les doctrines de philosophes qui Maient mmmenela'Mudo dea nature gesta e qui en fit, dans ce temps ecule la soree et roriginallia; Sesta, eo qui, out en rattachant .a'ex rience et Lia realita, Ia ponitrade eo mum selentisique qui porta Ie Grees si Iola et si haut Sans Mute remptrisme des
Asriolans et Ia philosophie des sages venalent d'une Murce commune et soritientd'un eti'autre de Pantique orient; maico deo Mementa ne flataientias encore reneonuta de Iamεme lason. 8ans dou edes doctrines primitives des plus anciens philosophe Mec uratent laur origine des msime temples qui Maient donia te modiae de la Meetne sacerdotale des aselapiades mala en Mypte laut tali resin separ et immobile, e Greee laut se mola et derint vivant Les vicilles doctrines cosmologique entiarent dans I'situde empirique destilis et sportirent te semide Ia mehercte seientisique; les satis Lleu tour et remptrismoenirerent dans em doctrines, en diplaeirent ineessammen I'horizon, et leur donnἡrent pinis e des assise devenues insicinibrantistes. 'intervalle ou cetis εtamorphoses optra est important non seulement dans I'histolae de limi cine, mais aussi dans l'hisistro de humaritia laut enuere; ear, a vini dire, 'est lis que te temps antique sinit, et que lotemps moderne commoneo; rhre de rantiquiis se serme quandam Goses sortent des castes et des temples.
ηὐ ago est teli mesia vis mire rate, et illae laut pas nous en Monner Plus devinoaeu stheses noui parent de lui u appartient, ii est res au disu de cetis pinode ou lamesce, commensant a se mori d'une Oisson de plus en plus ahondante de livres dans laus es genres, sentit caccrolue te sisse, aure es vens, de conserve sesproductions liliaraires, aurei de e temps nous esNil resia bien plus de monument et de ramoignasses que de temps anterieurs. ais nisnmolns ron ait quelle destructio les rivolutions , les neendies, a barbarie ni satis de es fragiles manuserit que I'on reproduisai avertant de peine, de lenisur et de disenses La liuisature contemporianed'Hippocrate a prouul des pertes immenses quesque fierit privilεψει on sumagi, et Hest Leucseulique ron peu demander de re eignemenis hien rares, mais d molnspositia, surda vie de rillustre mldeein de cos. Toutes le autres traces en on disparu et depuis lang-temps des abies, 'emparant du--χ'flippoerate, en ontiati Io texto dericiis qui ne peuvent supporter rexamen de la eritique. L'incertitudo manifeste qui reste fur es circo lanees de is te rRippocrate 'estinassairement tendue a ses erila occa plus misi h melle oecasion, ni dans que lieu,