Oeuvres

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melee, et que laut ne p-vaitias apparieni a Rippocrate Les critique modernes oneratisi eetis sente e mais e triue dei, disseile dans l'antiquite, 'etait devenu biendavantage ear, dans intervasse, uno multituderas monument qui totaient quelque Iumieres surdes potnis obscura de la critique hippocratique malent te detruits Aiosi dansrhistolae dimedoein do Coctio a deux parties a consi rer: I'histoire de in vie et cedo deses ocrita. Elimis'apputeron mutuenement et co que l'on gagnera mur une sortitie necessatrement 'autre. 'lustolae littomire nous interesse certaine non plus que labiographie proprement dite; il nous importe plus de eonnaitis ceriu'il Decrit que eo qu'da ait, te livr 'u'il a compose que les detest de son existeneo ournaliere cependanton aimerest sans meun douisa savoi ou eet illustre milleci a pratique solari , quela malades ita porte emura queis leves Ont 4muti sos Iocons, quia caraeterreri deplvait sol comme praticien soli comme prosesseur Sunisu oela, nul detallis' di conserv. . . la biographie anque comple ement Mais une portio de seclines cocta εἰ in destruction et quan j'aura indique avec viden aes erit qui, dans la collection, lina artiennent, it sera possibis d'en urer que ues notions suris personne; esse ne sero

Pas sans interes, car esses ne seront pas sans certitudo.

dMirer, Moignum contemporians et tradition de temoignages is ineos muris aut ehapitro rexamen de cetis tradition et inicie eux seulement apporterris parole ffimhomme qui a vem en meme temps queaui, quid'a admiri et cita, et qui peu υ---- personnellement. Je parte de Platon on ut dans te dialogue intitula μοι agoras . si mou. o ita rate, si tu oulais asser trouver o homonyme, ippoemio do cos, do la famille des asclepiades, et tui donne uno sommo d'argent mur in eompte et si ilan is demandato que personnam tu portes de I'argent, en is portant a Rippoerato, quo repondrai tua vive jorae lui porto en a quint de m&l in. - Bans quia but' n ou deveni mεdeci mo meme., C passage de Plato prouue qu'sippocrat Eliatmodeein dea'ile de cos, de laetamille des aselapiades, qu'i enseignes la me cino, et que se lemnin'Maientias gratuites uis uve onoore eorum Cest Merat qui paria dans te Proιagoras, umippocrate init contemporalid sit de sopbronisque ensi uinonis que, de son vivant, te medetan de cos ouisinit inino ronom e qui avia franchiles limites duclle ou i residait, et qui Mait diretentissemen jusque dans la grande et

savante ville d'Athenes.

Platon cite uno Monde lais Hippoerate. Cest dans te Phὸdra mala tam Dd aurisu. anusion a rectivain caussi e reserve la discussion do et important passage Murae uum decla collectio hippocratique auque je crois aeu serapporte Ainia quesque limes de

Platon constituent e ramo nam vita paris eu qui nous restea sue is persorinod'Hippoerate; cela est peu, an dou te, mala cela Uen est pas moin sartir--χωσε une question quo te lapsi temps a couveris d'une obsumelias prolande. En esset, em steontiennent les deo passages du Protagoras et du PMdre, M lit uno baso dlauda critimo ut partis mur examine la collectio hippocratique Hippoerate a lia modeein Mi.hro, prose eur reno-ε,4 qui on auait docloin demander de . ons, herivati in Fautoriis, qui Platon ne dedaignaitias 'emprunis des pensem et des argumenis is es ethon hippocratique que l'antiquite nous a transmise eomme rensemant ora vvres auribuis, amodo garanties ere diverses, , Hippoerate sient done inement Dun homine qui a M. Micien prose Mur, alueumen medecine Me a a si aes racinea dans is inmo Mage dis

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eontemporat , sippoerate a compos declivres, et cessat positis augmento notablementles probabilitis qui sontis saveu deI'authenticito, sinon de rensemble. au molns de risines parties decla collection. B dolo nousiouvons enisue sursi'avance rester, dans e vieuxis ueti des ocrita qui sonta'oeuvre visitable du--lecin de Cos. Nous en errons plus lolii dεmonstration manifeste. Le nomχ'Hippocrate a Me tres communis Grhee n ne aut consondre ave te medecinde cos nid'nippocrate donides ensant servirent de but auxiaillertes d'Aristophane, dans es Mea, et d'Eupolis dans es Tribus nid'Hippocrate contre teque rorateu Antiphon pronon un dismum ni Hippocrate de Chios, mathesnaticie celabre qui te premier. parrint . carremune portion de cercle menisque ou lunule). M iamoimage contemporai de Platon, sinon 'Aristophane sum mur nous donner a certitude dea'existence σHippocrate, ourixe sonipoque, et pοur nous latre iuge descripulation mais it se tali su inui te reste. Interrogeon se biographes. utre deshamenis dissiminia dans disserenis autevrs nous avons trois biographies 'Hippocrate; I'une qui porterae nom de Soranus, et qui an dout est v extrait de colle de Soranus detphtae; 'autre se trouve dans Suidas is la troisieme dans geletos Ces hcri, ains, qui par eu m&nes n'ont aucune autoriia, ni pulsi leur renseignementa dans des crivainsanit eum. Cesson gratosthone, Phεrε de Apollodore, Arius de arae, Soranus de Cos Histomaque et Andrias It importe d'examine quelle sol iis moritent. gratosthhne Phδαeyde, Apollodore et Arius de Tarse avalent crit surria genealogio des aselapiades se hΦrecyde est laut a sat inconnu onis'en uouve pas mention ailleursque dans Ia biographie d'Hippocrate Arius de Tarse 1'estigalement a molns que e ne sol eelui doni Gallon parte en diversisndmiis mais, dans e cas it serat tres posterieuraux satis M'i raconis Apollodore a vicia verile mille duraeuxiomo siti te avantia.-C. Cest donSeneor uno autorii tout a sat incompotente tratosthine mirite beaveou plus dlattention; e'lini v savant astronome qui fleurit a lexandri verit'an 260 avant I.-C. envison deuicenis ans apes Hippocrate Ses recherches, qui Ont embrasin a chronologio ne paruissent pas moi eui'autre Obiei, ouehant lethdeci de Cos, que a sinealogie. Sur eo mini esses soni dignes de Maumu de eonfiance, a molns dans e qui est relatis 11'lpoque deda naissane d'Rippocrate Carrit init astronome chronologiste, et trouvait, ala grande bibliothhque d'Alexandrie, ne laute de documenta depuis lon tempsaneantiS. Histomaque, qui avait compost ultralia e plurieum livressuria aeeι ει siποσαι , est v mldecini reste ignor qui est Mut uerae nidine quo celui qu'Dotie appelle

Ischomaque.

Andrtas de caryste est ues deein plus connu, attaehid la secte herophilienne, et qui, enu'autres Ouvrages en mait compo in sur la tradition medieale. Ilo donnait quelques dotalis su Hippocrate, donicit cherchaica terni I misnoire; mais son inmoigna ge est tropcloigni ditemps de ee medectimur avoirine Valeur intrinsinue. B euilusteum m4deeins duiso de Soranus. Il est incertain si soranus d'Ephose, quivis mus Traian, a tori quelque Gose fur Hippocrate Γ autre Soranus d'Εphose, plus Meent quo te precident avait heri lchiographie des midetans et Sest de lui queageinos dit avia empruniades dilaus qu'il donne sur Hippocrate Laiiographie que notis possedonsmus is nom de Soranus, estein troisiδme Soranus, qui hini de Cos, et qui avait ouilla les hiblioth/quos de uerile our recueilli dos ense nemenis su Hippocrate; 'est la seulemention queue eonnaisso d'unmoranus de cos. Enfinrauidas cite encore nisuire Soranus qui Mait de ciliete et in loquel on 'a aucun Mail. Leacinoignage de Soranus est imprecent mur auoi en sol quesque authenticlia. Ainsi de laus ceu qui oncterit surcia vi d'Hippoerate, te plus ancien est ralasthἡne; et eventant iren est encores pare pariun espace de deux cenis ans Il existe la une lacunisque Hen ne combie. Bans cet intervalle, personne,'a erit eae professo su la vieta'nip urate ea les noma de ces biographes nous auraient te conservis par es biographes posterieura. ainlenam a quello Murcearatosthtae, Soranus, istomaque et les auires,

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ontclis pulse leum enseimements ceriu'iij a de fur dans es enseignemenis, peu Non repondre, arato pris sol dans les hcrit de Platon et d'autres qui Ont dri, sol daus de monumenta conserves a Cos, sol dans de genealogies alabies οὐ les temps histori lues Le reste deisive de legendes sabuleuses qui ne agnent te en authenticitepour auoi disi adoptem par les biographus D est evident que, ou les detest person-neis a Hippocrate, iis Ont et denum de r&sis dignes de lai que a biographio de eo medecinis' ete recueilli ni par se contemporains, ni par ceu qui l'Ont immediatementsuivi, et que quandi a volituri'ecrire, onis' phis trouve que quelque documents positissqui fixaienos patrie son age, te lieuisuri avait exercε sonori, et in elἡbritε. out lo

Histoniaque placoda naissance d'Hippocrate dans la premiure an nee decla quatre in temo olympiade 460 an avant J.- ). Soranus de cos, qui avait examini te bibliotheques docette ite prεesse a date davantage, et di qu'il naquila'anne indique clinessus, ous Ieregne d'Abriades, te 26 dimois Agrianus, et Priovi que les habitanis de Cos soni Leetio epoque desis erifices a ippocrate ce Ois Agrianus est te seu que I'on connaisse ducalendrier des habitanis de Cos, et l'on ne ait a uelle sesso it repond. Cette date,'est frietis Daucune contestation On te di sis d'Heraclide et de Phenarete, peti silid'un auiro Hippocrate cela est sans douis vrai mal la genealogi qui te rattache a Podalire de laguerre deamie hasculape, a flercule, est evideminent controuvee La volet telle qu'clla est donnee paragelaesciasculape pere de Podalire pδre de Hippolochus pere de Sostrate, per de Bardanus , per de Crisainis, psire de Cleomyitadta, die de Thsiodore, per do Sostrate II, pἡre de Crisamis II, per de Thεοdore II, Ρδre de Sostrate III pore de Nebrus, pere de Gnosidicus, peres'Hippocrate I, perera'neraclide, pere 'Hippocrate II, qui est Io

Bans cette liste, Hippocrate est te 17 descendant d'Esculape Soranus dit Deil en etait Ioas descendant; et i Hout qu'il attachai avssi son Origine amercule, a parti duquel illinit lo 20'. insi a steriu'avait consuliae Soranus portat deu degros de plus. Si ncompte 3 ans par sinisation, n aura our 3 7 oneration 361 ans; mais i en aut retrancher 88 mur la viei'riculam ce qui reduitae compte a 328 ans, tesquel ajouisis a 460 epoque de la naissance d'Hippocrate, donnent pou lairise de Troie ouiour 'ἡpoquo de Podalire 98 an avant J.-C. Cette date est plus rεcente que celle qu'admetinient laplupari de chronologistes recs. La seconde liste donneraitiour latris deami 105 ansavant I.-C. Cectistes ne concordent nid'une nia'autre ave la genealogi des Heraclides qui regnatent a Sparte Suivant la tradition Leonidas, qui mοuru aux Thermopyles, ut te 21 descendant d'ssercule et ii sitait encore anserieur u Hippocrate de plusi'une εneration Ion'ai apporte ces detest que our montror I'incertitude de cesistes, moment ud'onesmyait docles reporter dans ruge εroique Mais murice age seulement carrane sistocopide par gratosthene a d auoi dea'authenticlia et te simoignage de Platon prouuantqv'Hippocrate initis asclepiade, Plaut croire qu'elle a sit conservee, 'une saron Oud'autre, comme apparienant his ne famille illustre de Cos, qui desservait Aselepion docuit ite, et qui commerioutes les familles sacerdotales anciennes, se dimit issu du dieului-meme Pa sa descendance protendue ressercule, Rippocrate etait supposo auoi des liens aveccles Ois de Macedoine. I eut pone sis Thessalus et Bracones, muraendre Polybe Thessalus, medeclara roide Macedoine Archelaus eu pou sis Gorgias, Hippocrate III et Braco II. Braeon II eutpou sis Hippocrate IV qui ut medeci de Roxane, lammei'Alexandre te Grand et qui mourui sοus Cassandre, silid'Antipater cet Hippocrate IV eut mur sis Braeon III, qui sui avssi mεdecin de Roxane Ici, cessemble, ito a decla confusion dans les dires de Suidas qui nous a conserve tous es nomides descendant du celebre medocin de Cos Il fauoriouterque svivant Galien, Bracon Leut uim apPele ippocrate ce qui complique en re cetio genealogie Suidas etlein Thymbri de os ei docia meme famille mais ille specisio pasau trementis parent avec lo grand Hippocrate e Thymbree ut deux fila, tuus deux

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de siliste Praxianax est eneor nomme par tui comine etant du meme lignam, et commovant eu uniis qui est Hippocrate VII. Lectistes genealogique avant et apres Hippocrato prouuent qu'il linit resia des traces authentiques de in lamine. cautevrs qui, dans antiquite, se Mnt Oecupes de livres intitulos hippocratiques,on sat mention des unco des antres de ces descendanis 'flippocrate. Ses dou fila, Thessalus et Bracon , on surtout eis vantes comme des horum χ'un gran merites; et ona attribue DI'unis Ll'autre quelque unides erit doni authenticiis paraismi la plus douisuse Galien se fert wuvent de leur nom mur explique les interpolation qu'il supposo dans Ies ecriis hippocratiques c est encore Deu que svivant tui est due a publicaiiond'ωriis qui ne sontriu'un recussit de notes laissees par Hippocrate sans Ordre, ni sorme, ni redaction Polybe, son gendre, a B aussi beau u de reputation et, quant a tui, saparticipation Dia collectio hippocratique est certaine ijeae serat vola quand js apportoriale passage qu'en cite Aristote. Les critique anciens ne nou on pas oum Iecmvens dotakouvrie si est fur despreuvesierites ou simplement par tradition qu'us Ont admis que les descendanis d'Hippocrate avait publie des ouvrages medicaux Aucune trace de ces livres ne se uouve dans la litter ture grecque lectitres,'en existent nullo part Les auieum qui eur attribuent de telles eompositions ne disentias que ces compositioncalent et citem par quesqu'un des med eius qui oncvω ou du temps de ces descendant d'Hippocrateoupeu pres eux Lailupari desineriis composes dans cette periode Ont, i est Urai, peri, et ceux qui on per coni ualent peut ire des delails surdes lines des descendant d'llippoerate ι mala cela devient uisux quandis songe que les crivain posterieum qui ont tenucles aeuises de Diocles, de Praxagore, de Philotimus, de Bieuches, tous contemporains deri'un ou de rautre de ceship eratiques, ne s'appulent amat d'aucune de ces autorites, qui ies semient decisives. Suidas, en nommant chacun de ces descendanis 'Rippocrate, aiouis G a eri sur a medeetae. Si I'on eu riouter Mi hine nonciation aussi vague, i saut supposer, attenduque es demiere hippoeratiques ouchen a temps dela sondation 'Alexandrie, ii aut supposer, disrie, qu'avec leur norum fouveni se garda declivres compos par eo, livres qui n'etaienopeut tredamai sortis deri'en intela'une Mole, et dontia trace etait perdue. Cest uno mison de plus pou emire que que ue uns de ces erit , yant chango de nomdlauisuriour en prendrein plus preeseux et plus estime, a moment udes misχ' utem de Pergam sonderent laura grandes bibliotheques, existent encore dans a collectionhippocratique, comme ron pense Galien mos ride te eune, et pluste cautres critique de l'antiquite. on dit qu'Hippocrate mo ut dans la visse de Larisse, en Thessalie, Tage de M ans des ans, de 104 ans, de 109 ans Il est probatile que cetis progression croissante d'un age qui reste ineertain, est due a la traditio qui . mesum qu'elle 'est eloignee a attribulune vie de plus en plus longue Dun aussi illustre m4decin I suconterro entre Gyrton et Larisse dans u endroit ou des crivatus posterieurioni assura γ'on montrait en re sontombeau et I'espei invenisu des Grees se plut a dire quo onytemps ce in ea avait Merae se our aeuiessa χ' eules doni te isel aves des vertus muraueri les aphines

decensanis.

Lechistoriographe S ippocrate disent quILeut mur maitres d'aborison pere fleraclide, puis Herodicus de Selymbrie et Gorgias de Loontium Men ne eombat, mala rien non plus ne aranti ces circonstanees Ila Moutent qu'si quitis sa patrie et alia exerce lamedecine dans differentes villes de Thrace Cela est Dia verile concordant aveccles enseignementaque fournissentae ecrit de ce medecin mais en a te probablement tire ce qui est tres douisux e'est'u'il ait eis appete par Perdiccas II, mi de Macedoine, et qu'il est joui upreade e prince d'une grande laveur Perdiccas mouru en 14 avant J.-C. Hippocrate avait alare 46 ans; ce Uest done pas dans les dates qu'es la dissiculte. Mikon te sat vovi aveo Euryphon te medeein nidim, et cetis association, comme Iedit ae Aucher, dans son

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niaιoire de a me eine, ueni deja d mman Ensuit on pretendisv'flippoerate d&ouisitque a maladie de PerdiccasHinit uniquement eauiae para'amour secret γ'irressentat murun eoncubine de son re cetis histolae resse te a cellera'trasistrate, qui di uvrit aussione maladi causω par l,mour. eulamen si aut remisque dans te les une diffMenee qui prouue quea'histoire a d molns Mylamsi avec adresse grasistrate reconnulla maladie dubeune prine e lui tutant letouis en pr&ence decla semine qu'si almait Ieshistoriographes Bippocrate disent qu'il porta son diagnostic''apessam sevis changementa dea'extelaieu dimi; il ne eonnaismitias rari d'explore te ouis et aurait in commetiremne erreur de chronologie missicale, que de Iut salae later rariis ducio Perdiceas. qui en Mite histolae suspecte, Sest sa resse lance aveo celle d'grasistrate, c'est Iapessen M'Euryphon, c'est surisu Ia date moderne des biographes quida racontent. aueouid'autres labies Ont εω raconiam fur Hippocrate, et si aut range dans ectis eatisorie Ies services qu'il rendit a lanehce pendant Ia peste dite d'Αthenes son resus Salle servis te mi de Perse et son entroue aveo Blmocrite Ces sisIes ne s'appulent suraueuitesnoimage de quelque valeur; et sans doute, si on pοuvait en suiure lassiliation, Onverrestriu'elles vont toriour en grossissant a mesure que celes qui las rapporte 'eloigne davantam de tramque ou vivat Hippocrate. O en a laureuve dans les icit an friet duisole qui tui est attribuε dans la peste. Soranus preten que, cetis maladio ayant emahi te pays des Illyriens et de Psioniens, tesrois de ces euples inviterent a veni an Φ d eux qu'nippocrate, yant appris des ambassadeum quela venis εgnatent furtout dans leurs contrεes, refusa d'accεderis leum demandes maliqu'ayant conclu de leues riponse questa peste allat veni dans I'Attique, it predit ramuhe de ce Mau, et dispersa ses Mises dans les villes de la Gine Varron salsant allusion Dun paret iacit, dit uae sideein Hippocratei'ωNilias, dans une grande peste, sauV non uiseulchamp mais plusleues villes , e Cest pou ces services , dit Pline, que la Greee lui sicerna les memes honneum qu a Bercule s Varro et Pline soni tres antisieursa rauteve de la vie 'Rippoerate et, comme lui, iis nila emprunter es destiis au Bistavra qui est attribui a Thessalus, silcdu medecin de Cos, et qui figure, dans la collectio Hippocratique, a cot de Leitrea 'Artaxerce, de Abdsiritains, et de semocrite Cette lagende , cari ne pent pallui donne d'autre nom, saltiarii Hippocrato de Thessalie reprimant la peste sur so passage, che les Boriens checles Phocsiens cheales Motiens; deducit arrive a Athδnes, ou i arret les ravages du Mau. 'autev d livre de la Theriaque a Pison ch. 16, et Asitius disent qu'i chamaria peste en salsant allumerde grand seo par inuincla ville, et en ordonnant de suspendre partout des muronne defleum odorantes Actuarius vallus Ioin il eonnaita'antidote doni Hippocrate se servitiour γεri les Atheniens, et it en donne la formule et u manuscrit latin dea bibliothἡquernale in 70283 encore plus preeis, assure qu'Hippocrate, venia Athlales, remarqua qu.les largerens et inus ceu qui travaillatent ave te seu, talent exempla de Ia maladie pestilentielle. I en conelut qu'il saltest purifieriae te seu rai de la ville. En consequeneeit fit latro de grandktas de bois qu'on incendia; I'air tant purisse la maladi cessa, et les A niens Neverent a me deci une statue de se aveo ette inscription A Hippo me,

aequis is reputatio que Ia luende tui suppose, et furtout illae Muvat aves ni fila, ni

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gendre, aismoyer dans les disserentes ille de Iairice. Be plus a legende intervertit completemen Ia marche de lepidemie elle la ait veni par 'Illyrie la Thessalie et a Beotie jusque dans Attique or Thucydide dii formellement qu'esse se declarata abord dansi Piris et qu'elle veniat dea'Εthiopie. IIo a Ia contradiction evidente avecae fuit; mais

quandisime nous n'aurions pas ces preuves pou demontre la a fetei'un paret recitte araetere mome des epidemies nous empe cherat dea'admetire. Nous favons par une experience recente que es grand sseaux ne se laissentias detourne par rari humain et les seu assumes dans Athenes nes uvalent pacavoi plus despuissance contre repidemie. venue de loin, qui I desola queda insidecine contemporesne,'en aeua Paris contre lecholera . parti dei tacdu Gange Tout resutis ron attribue a rari medicat te Duuoir

aininnant que devient rautre sorme decla legende ou Hippocrate refused Artaxerce sonseeoius contre la peste Ie ne eu pacentrefici dans une discussion detaille des Leitres et des Biseour qui sormentin appendice de in collectior hippocratique Tous te rectis surde role d'ssippocrate dans la peste d'Athenes, sura'invitation d'Artaxerce surde resus dumineci de Cos, sur son entrevue avectemocrite, surda guerre salie a Pile de Cos parcies Atheniens, n'Ontias d'autres arant que ces Letire et Biaeοura, et je declare,'avanceque ces pieces sunt inutes apocryphes B Ma sufficies d'appeter rattention ducleeleur surdotembignage de Thucydide, qui monue qu'nippocrateri'adoue aucumrole particulier dans lagrande sevre qui avageada Grece et furtout Athenes Les Letires et Biseoura rensermentdes prisve intrinseques de supposition ce sera lesie de metire ces reuves en evidence quandrie discuteres im a uiles sicrit qui enirent dans la collection hippocratique. ΤΣeiad prsitendqu'uippocrate bibliothecaire a Cos, bruta Ies anciens livres de medecisis; Andreas, dans sonivre surcia tradition medieale, di que c'est ad bibliotheque de Cnidequ'il istae seu et Varron, a ce que apporte Pline, aves ecrit quBippocrate, yant copie les observations de maladies que Ilan conservat dans te lample de Cos. ineundia. Tous cesreciis, duca desicrivains tres-poste, eurs, n'ont aucu fondement; et Ies Greccnburatent pas inusseri que incendiatre 'un temple enseigna tranquillement Ia medecine, commenousae represente Platon, seul cmyable en ceci Strabon, Ie siographe, nous a conservemne tradition qui est bien plus concordante avec tous les satis connus d illeum, et qui a tous Iesearacteres de a probabilite et On rapporte ditrii, qu'ssippocrate 'exere particulierementi, surde regime dans Iesialadies enitudiant les histoires de traiiument qui talent deposees dans le temple de Cos. η out porte acroire que Ierecueu deces histoires existe encore, et qui constitue ce qui est connu dans la collection hippocratique fous lectitres de Prenotionaeoaque et deri' diure des Prorrheιiques. Bis'estias bessi de dire querioutes les representations qui Ont et saltes decla figured'Hippocrate soni idsiales Mes statues n'on sit des portrait que long-temps prsis tui Lesartistes anciens se sont accordesiourae representer Ia ine couverte, tanto despileus, tantot desilis de sommanteau.

L'antiquitsi, Omle volt, avait dea perdiles moyens de laimine biographie deinissetet'flip .poerate Mais quoiqud nai laine lacune que deformais rien ne peu plus combier, cepe dant i en reste asse pou appreeter te role qu, joumssippocrate et la placeriu'il a tenue. Praticien professeur, crivain, illa iovi dea'estime de se contemporains descendu ffune semisse qui aisait remonte son Origine jusqu, rage hsimique, si tui a doniae plus de latroqu4 nhiavait recu attachsi a ne corporatio n qui desseruiat unae te 'Esculam, it a fiat prevaloir 'ecolo de os fur lautes Ies Moles medicales qui ront immediatemen scivie Let da Mnne heure sesinerita sitaient mediias et eites par Platon.

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tire surdes question qui soni Linoudre Ii fausta sevisseter page par page, et tui demander que eis de lai,lecino esse represente, quias trauaux esse indique, quel noms esse eite hquel paycelle se rapporte, et quelles traces videntes elle porte d'une conaboration multiple. L'εpoque qui separe te tempsis araeuri Hippocrate, duriemps olli grasistrate et Bisophiloclevi entis Alexandri tes ches de is minorine, 'est- dire um pace d'enviro 130 ans, est une de Miles fur laqueilocles documents et Ieclivres nous manquent te plus Les aeuures qui sormenta collection hippocratique on duiue eompo es dans ectantervasse; leur examen

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intrinsinue nous lauruira des notions que nous ne muvon nous procurer par aucune aut

Prouvons avant iovis chos De la collectio hippocratique renserme des rament qui,sgurent dδcles premier temps, ais qui, incontestablement, ne sontias d'Hippocrate Penai deux exempIes iresicusabies Le premier est relatis ais passage fur ranatomi des vrines 'on sit dans terraiιε de a nature de homme Ce trait Κει clinia laus les commentateur comme salsant parti dea collectio hippocratique L passage en question est te tuellement ramorte pararistote Histoire des animauae, liv. III, chap. 4ὶ et Aristote dit quo ce morem est de Polybe or en celoint, l'autorii d'Aristote prεvaut fur laute autre, et inanifestement fur celle d'grouen et de Galien Polybe, genore 'nippoerate, devait tre exaetemen te contemporain de Platon, par nsεquent vieux quan Aristote init jeune. Ainsilericinoignage de re dernier est irr&usabie, d'autant plus qu'il linit tria clatri et trἡs versedans la connaissance declivem scientisiques. I Ua passu commetire la Mossiis mεprised'aitribue DPolype ce qui etait d'Hippocrate hil connaissait bien Hippocrate, qu'ircite dansun deses ouvrages La Oxil rapporte te langiassage de Polybe surda dissection des vesties, it discute aveo beaucou de soliune question Sanatomie; et a coia de Polybe, it cite surdo intine frieti passage de SyennMis de Chyore, donta nomme nous illa conserv&que partui, et u passage de Mogone 'Apollonist. Ainsi Aristote seul nou a appris uisait auraeque laute laesitis Mure antique a Medylesilance, L savoirriu'un moremida a Polyhe se uouve dans la collectio hippocratique. Lemorem de Polybe Uest pas te seu qui, dans la collectio hippocratique, 'appa se e pas a Bippocrate Je ne partem pas ici distamen de SyennMis de Chype qui est inser dans Ie Traiia de a nature des os car, c traiia Uen est pason, et illae doli passobsister Celes qui me reste a citer est unlragmen d'Euryphon qui se trouve presque mot amo da de m-iὸmeaiore des maladies. L'identissi deces deux Iragments est vidente, et mme Euryphon est anserieu mome a Rippocrate, Cest a lui qu'i saut en rendre Iapropri&ε. Voua uniremictioin otablici ii existe dans la collection hippocratique des moremux quison attrihusis a Hippocrate, mala qui de laute certitude, apparuennent a d'autres terivains. Ainsi covvrea poete aux coniectures qui soni autori es a tendre, hie au-dela des deuxouvrages citas plus haut te cercle des composition pseudinhippocratiques, d'autant plus quela collection laut entiare est une reunion Socrita simplemen juxtaviosta, sans aucune litisoniniaritare B est dono permis de eroire que beaucou d'autres livres soni, a tori, decores dunom dictes dea'Mole de cos Cela sera plus loin examinsi avec desail. II me sum dans lemmmen menti'avoi etabli te saltsur deo exemples irrecusabies. Lecrense nemens que ronamuve dans la collectio soni de ditarent genres Maumupse apportent a latratique des autres mωecins, et I'ono volt des critique surdes moena qu'il emploient, fur leum diagnosum, surdeum pronosum, surdeur opinion th&mques. II saut donne les principaux exemples. 'autev d ovatriame liore dea maladies dit quoles anciens m&lecins serim alent furtout surda connaissance des jοurs ear iis purgeatent leur malades dans lectoum impatre, et les salinient siris Le meme derivatillabiit uno discussion asse longuetour prouuer conueri'Opinion de eertains medecin que les Misso ne passent pas dans la trachi artδre. L'autev d Traiia des asseetis Ἀκιernes reprochoaux mldeelns de se mlprendre fur romane malade quand iis volent disable dans les urines; iis pestendent qued vessie contient des calcula, iis se trompent cari'est te rein qui est cal- euleux ce passage est digne de remamve paremqu'il nous monue des traces de polliniqueentre les disiarent ecrivain qui ont conmum ha collection hippocratique Ε esset, i co tredit lamellement raphorismo soloni dixine thme de la quatritine section donta'auisur se trouve placi parmi ces m&lecins qui ignorent te usiritabie siege des affections calculeus .L'aphorisme est ainsi conques u Bisable dΦpost dans rurine annon da presen χ'un calculi, dans la vessie., omneseu se mΦprende surra contrariεω de ces de impositio , ni

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vanis Leet .ar les promta dea modecine, et on exhorte leuoune med in a grave dans ---oire eo qui est lori surdes verius desildicaments on parte de breuvages preparta Eaprta la sorinule; plusiones passages iussiquent des traitis de thhrapsatique oudes re des Maient ean 'apes laure inelais Is o presendus Cest insi quo ron cito des midia monis propres auxialadies de la matrice o defunctis ita hercle sang. Ha certains revidos portent des nom particulier qui ne sontinuise chose que des designationsistia parmides viderim et les pharmaciens; et quandis di dans Io Prem rutare des ma ad ades feminea qu'u saut bene uno certaine substance comme nimie --εdicament, ovia indique eertaines Moosiour des procεμ pharma utiques. L'examen minutieux de eo quod'on murrait appete les muro de la Oollection hippoer lique nous a montes que les auteum quio figurent avesent pulsi, et dans une utiaraturo diameta, et dans lipeatique d'un meps medica dii no reux LI'εpoque o Bippoemio et ses successe cont4crit, Iamrδce poss6dait beaucou de livres furacmωMine; l'enses-gnemonten ait repandu un grandino re de praticiens linient dissiminis dans te pays, et iis agitaton entre eo, soli de vive voix, scit parinerit, de questions vari s de in e et de pratique 'εtude, Mus e mini de ue, de la collectio hippocratique nous a donni quenues apersus sura'εtat de la science et surdo publie missical quia cultiust, et furtout vile a grandement etange ride qu'ο se sest ordiniaremoni de is position 'nippocrate dans

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