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volt parri'autres inmolmage que lavrnit Galien, D'Herophile avait en esset mumis terraitedu pronosιie a m examen critique Galien promet 'examine Ies objections que te m6deeind'Alexandrie aves oppossies a cet sierit, et unie plus tot u riouis que ces Objections soni
sserophile avaiNil publiεχ,utres trauaux sur Ies crit hippocratiques L dessus omnlaque decisimoignages incertain et des texies suspecta ondit bien dans Gallent aes premiersi, qui on expliqu&les Aphorismes, Herophile, Bacchius Ῥεraclide et Zeuxis, laus deo em- η piriques η Schuliae, observant que nul austumne sat mention du commentiareta'sssir philes surcies Aphoriamea, di qu'il sani lire Bacchius l'herophilien Le sat est que Ia phraso de Galienis'estias correcte et queri'artici devant te nom de Bacchius ne peu subsister. Mais on admetirat aussi acilementisne auire correction qui laisserat subsister te nomχ'B mphile. Erotien ite une explication du medecin alexandrin et te mot explique se uouve dans te Pronossie gratie riout qu'o te rencontre aussi dans le ouaιrieme iure des videmies, dans le Premio dea maladies de fenimes, et dans es Aphoriamea cela ne prouueraitias qu'sstrophile ait commenta ce demier traitsi Monuaucon 1,498 0'empruniscette indication araa Bibιioιheque greeque,ad de Harim t. I. p. 544ydi γ'il existe dans labibliothoque ambrosienne de Milanis commentatre 'Herophile surcles Aphorismea. Si lolai etait res, it couperat muri acia remisque de Schuliae; mais porsonnei'a depuis, pario de ce manuscrit de la bibliotheque ambrosienne et M. Biela, qui a recueilli Ies commemininum reccinsiilitata'Hippocrate, n'aias publi ce commentiare qui serest,'un si grandpri musta critique declivres Hippocratiques. Cette discussion me conduit hisne auire question .e'est de fauoi si Bεrophile a Iaisia untesno nage surde Traiιe desuleuae dans rhomme. IIs'agit encore ici 'un texte corromm onlit dans alien is trotten presendriu'on appelles ammoron non seviementa'animal tui lane η c'estin animal se lable uine petite crevette) mais Ia mousse qui Ladhsire. Zεnoni'her i phillen assumque te Lammoron est la cime Zeuxis u dicament refrigerant. aes manuscriis et les imprimia pr&entent beaucou de varietis surrae nom4'grouen Iesinsportent Erotinon, les austes Erotinus d'autres Bhmphile. Le texis est certainement aliare; si l'on recherche dans le Gιossaire 'grouen 'explication cithe par Galien, o ne l' trouvepas nitie qui is se te et commed'on manque de moens mur constate quelle est lavsirit leaeFn, omneseu rien en conclure pou Herophile. Bis cette epoque reculae, les grammatriens On trauaulsi comme les msidecin a expliquertes mola des livres hippocratiques Xεnocrite de cos, compatriote 'Hippocrate est, au dire de Callimaque 'hεrophilien d'ΗΦraclide de Tarente et dapollonius de Cittium, te premier grammatrie qui ait entreprisine travaili'interpretation et, si comme te apporte rotiensurda sol des commentateum anterieum, illa precod6 Bacchius dans ce travati, cela reporte, a temps 'Rεrophile, Xhnocrite et aveo tui, Ia collectio hippocratique Erotie nous aeonsere une explication de Xenocrite, elle est relative ais mot d Pronostis. 'autem grammatriens, sans consacre uilivre spicia ara glossaire hippocratique se sont, dansle murant de leum recherches, Occupsis des dissiculisis que pinente te vieux langage Onique dimωeein de Cos. Erotien, qui di qu'aucun des grammatriens talἡbres 'a pam Hippocrate sοus silance, ite enu'autres, Aristarque te sameo critique, Arist Isis et Aristoptas,inus deo de Rhodes et molas connus, Biodore, doni o nous a conserv&une explication surun mo difficile du Traite dea sieu dans homme ens Antigone et Bidyme, tous deuxd'Alexandrie et doni lathputationis κε grande. II est lacheucque Iesarauaux de ces graminatriens aient complhiementio i nous Laurions probablement trouvh decressources abo dantes, sinon mur clatret inutes les dissicultes que presentent lectivres hippocratiques, dumolnsiour en pure te texis I'at eunt dans e paragrapherious Ies grammatriens, bienque quelque uns solent irta post6rieurs, as quo I'on vlod'u seu mumd'sei l'iniarεtqu'avest jadis inspire la collection hippocratique. Bes trauau plus regrettables encore, parce iuila soni plus spεciaux, Ont ceu desaeetius de Tanagre, et de Philinus remptrique.
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des explications surrae sitieme iure, surrae Aphorismea et fures Traiia de 'oseine d -deein I avait en utre compos tin crit nomis livres intitula es Bietions. Cet erit embrassait explication des mota, dissiciles et tombes en desuetude, de Iaeollection hippocratique Galien assure que fides Ll'exemple 'Herophile, Bacchiusi'avait, non plus, explique que les termes Obscurs, et ii riout que ilan dimit que ce-δdeeims'itait sal fouent les exemptes par te grammatris Aristarque trotten dii seulement que Bacchius cetait dans cetiuvrage beaucou appuy duacinoignage des metes. M out eas la dat assigne a Aristarque ne perme pasχ'admetire que Bacchius ait εω aidei par ce grammamen; Bacthius a et eontemporai de Philinus Philinus avait tε avditeur 'Herophile, or unauditeu d'Mrophile est anterieues Aristarque gratien notis a conservesdans son Ioasaire pInsieum explications prises dans rouvrage de Bacchius elles portent inutes en esset surdes mota obseum. Les fragmenta de Bacchius, couris, mais en asse grandinombre, qui sontia venus jusqu' nous, resse lent beaucoup, murraeu brievete, aucarueles du Glassaire dirouen. La polemique commenca dἡs lora enisedes interpretes 'Hippocrate Philinus domos eo-hailii Baechius dans vitratis compose; de siclines ii ne nous en reste ien'u'une expli-eation insignifiante surrun adverbe du Pronosti et ummo du Trait de arιieulationa noui διε evrieux de vola eomment les decin hardi qui ut ehes de reeole de empiriques et qui essayara etabli fur runtque base de robservationes disice eniter de a med ine ovait neu rinterpretation des ecrit hippocratiquesci si tant est que i interpination ait porit sueautre inoseque des mois En esset. la polεmique de Philinus, Den juge dapresum deux sevis exemples rapporias par Dotien a site dirigee contre te livredes Bietions et non controles Commentiares de Bacchiussuries Aphorismea et surde δ' livre des Di mies o controso editionis troisieme. LouVrage de ces deo medecins inibi alphabestque o semittent de croire que non Vu que trouen ne signate et arrangemention la premiere solaque quandrit nomme Glaucias venu ap- eux. Glaucias decla secte empirique travaillant a si surtes mola obscure, aves composet unseul volume, mais tres considεrable ou ii suiuaita'ordre alphabetique Erotie leamuve troplong dans in disposition et i tui reproche d.voi Hout Dinaque motuindication de in lectraitta dans tesqueis se trouve te mot. Si te livre de Glaueias init venuciusqui nous . nous tui murions Me de ce min, bien Oin de I'en lamees ea it avait alas compo in Ierique commode des termes dissiciles decla collection hippocratique. II donna plus dlattentionque nhvalent sal se devanciere, ara'explicatio medicate, maici parali qu'il ne ut pastris heureo dans Ia parti philologique de son travati; et a cetragar . ses interpinations furentie estimem dans rantiquite Galien nous apprendisve e mωeci considerat lo Traiia des humeura comme apparienant amissippocrate auiseque e grandmppocrate, celui qui est l.uteur des Aphorismes; remarque qui nous laures en meme temps latreuve que Ie commentateu attribuest les Aphorismea a Rippocrate. ux commentateum seulament, dit Galien avalent compris dans leur travail la totalitides aeuures hippoeratiques c talent Zeuxis et Bhraclide de Tarente, tous deux decla secto empirique Nous mons de Oir, en esset que Herophile et Bacchius 'avalent commentaque certain trestes; que sinocrite, Bacchius, Philinus et Glaucias navalent compos quo des laxique interpretatis de mota dissiciles; or, des letiques ne sontias des commentatres; mais compilta commerilsa'avalent se sumtouincla collection hippocratique, iis n'en prouuentpas moin 1'existene de ceu collectio pοur e temps de Glaucias, de Philinus, do Bacchius et de Xhnocrite. 'emps de Galien tes commentatres de Zeuxis talent eu lus, et iis linient devenus rares. Quouis . dans Iescisimo nages de deo interprenes aussi anciens que Glaucias et Zeuxis , ne preuve querae texte hippocratique est depuis Ionoemps ansa'Mat ea nous I connaissons. Glaucias , ne Ouvant donne une explication satissaisante 'un passagod Sis me iure des Epid/mies , Hout une negation. Zeuxis tui reproche de Fauoi pas
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salsisse sens de eo passage et travole inutilement introduit une correetion violent et arbitraire; mala, par in correctio mine Glaucias constates Iaa Omque porte eneore Ierieris. de sorte que cetis phrase initinerite dia ce temps tu comme esse res ariourvitavi, remamus importante pou l'authenticit de textes Le Troistome iure deceptariniec Mente a lasn dea sistoire de chaque malade des caraeiares qui oni εω πιοuias , une pomo incon-nue Ilion Oeeup plusteum commentateura; Zeuxis navali pris une polae particuliare, et
Mait rete des erreum des autres.
Lo plus celebre des commentate si Hippocrate est Heraclide de Tarente, ea illucenmeme tempsis grand med in is tempsis illa,sicula'estias exacteinent connu, ependant ii est posterieues Bacchius. Sesarauaucs'εtaient etendus a presque tori des branchesdo la m&locine mescit cessi surtout adonne a I tude de limatisire insidiene et de Ia bot vique et u disti que les vid in qui sonides traiias sur cetis et sans Atre verata dans laeonnaimance des simplas resse lent aucerieum public qui proclament te signalementd, eselave fugitis sans ravola amaico B se livra a des trauauxta rudition suffiipp erate et ii avait commis uicommentatre milusteum iures, qui s'etendat a to des iniis portant is nom du medetan de Cos L perte de e mmmentiare est tris regreti te a m ede la vaste tendue de eonnaissances do e med in et de 'esprit judicieminaei montra dans se eerita n diu remarque que)εraclide leue eorum apocrypherae traiia dea
Zsinon de la secte hεrophilimne passaitio in m-lecta habile, messio in mauuais 4erivain D compos uii commentatre surae 3 Iivre des Gidemias i conmem ausia vilium laut entier a interpretatis de Caraethres de ce memera line Apollonius, empirique yrepondit par u livre plus gros encore Zenon ne se tintias mur baltu, et repliqua par unnouvel ouvrage Cette queresse continua meme apessa mori de unon et Apollonius Bihlaseomposa, surde meine sudet, in nouum traiia, offit assumit que, ni I'exemplaire trouvε dansis bibliothinue myale d'Alexandrie, ni elui qui venat dea sataseavae, ni reditio donnω par Bacchius ne portalent les Caraeterea tela quealnon les aves indiquo, Mnsi, 'interpe talion de caraeiares εnigmatique et d'une origine douteuse, occupa οπ-temps les mω insalexandrins qui se livraient acla critique litteratro. est dans te mcine intervalle de temps que viennent uno laute de commentate cd'Blπο- erate, surdesquela 'on stitie de ch es, tela soni Callimaque decla secte hεrophilienne, elia, par Motien, parmi les commentate sta'Hippocrate, et qui aves ocriti iure su laseouronne qui eausent dea mau de ιειe Epimeustus de Crete, qui fit utabrigo des expli cations de Bacchius et qui les mitin ordre Apollonius ophis, qui en fit autant; Bi coride Phaeas, qui eombauit ses predicesseum, dans unamite composε de sep tivres; Lysimaque docos qui Uria avoi compris inuide commentatre d'llippoerate en uiseul Iiure, en adressa, surde meme friet, imis a Lydia hεrophilien et imis LMmεtri uphorien, qui te suivit et qui commenta llippocrate en siclivres 'εraeside d'Erythrsie, qui a itincrit ali molns surtea Lirre des videmies, surιes Caraeiares et surae viil avait hi'undes plus celabres dis,cipies de chryserme spiciῆs posterieu a Baechius et qui ayant dispoia son commentales par Ordre alphabetique affecta une viano bri4veia i est rependani cit&plusteum sol par Minim Euryclas, qu'groue nomme une lais, et qui avait expliqu terrai de artis Areona Philonidis de Melle doni Erotie nous a conservo l'explication dimot Heruthos,mo qui inivant e medetan, direste inconnu, signisi rougeu qui se manifeει au dehora; Ischomaque Cydias de sylas et Cinεsias tons imis etias une laicisaeun dans le Gιossatrad'grotien; Mi-rius, 'epleurien, doni Erotion nous a conservi rinter Mation de deuxinois,
et remarquon que ces mota se uouvent dans les Prenotions eoaquea, et quem&-rius Mait mmmis une grossiare erreur en reunissant lasso a et ommata, qui, dans a phrasehippocratique, ne se apportent pasci'unisci'autre Biagoras de Chypre, citi aussi une lais partiouen te γε-- decin Nicandro de Colophon en Ionie, pinred temple d'Apollona Claros et qui vivat dans la seeondilocle avant J.M. iii avest paraphrais en versae Pron tiad'llippocrate, et sans douis ate, dans με hexamMres, lai-ision ducla age hippocratiquo
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sans fami substitue aueun talent positique Rien ne non est parvenu de ce poeme dida liques et nonsa avo seu perdu Nicandre avait a si compo in Gloasaire de trois live in molas, ou il avait expliqu&des mois hippocratiques trotienae cite quelqueisis. sin, nous arrivons a uicommentateu don il nous est reste quelque chose, Sest Apollonius de Liuium, qui a vεω dans teri sieci avant I. -C. I sitait disciple d'un certain Zopyre, qui pratiques la chirurgi a Alexandri et qui vivat les preceptes 'Hippocrate pourdes fractures et les luxations Cela prouue ce qui resulte, a reste, de tant de commentateum
deba ites que autorite 'Hippocrate init grande a Alexandrie diu pou Apollonius,
Hippocrate est te divin. Ce medecimavait compose unamite en dix-huit iures qui combatinitu onvrage en uois lines Heraclide de Tarente, uvrage γ'Heraclide avai civi-memoadresia audivre de Bacchius. II n'en saut nullement conclure qu'Apollonius de Cittium ait eth contemporaini'Heraclide de Tarente, qui dans teriait avi et ait anteisleur Erotien citetne interpretation 'Apollonius sumun mot qui se muve dans les Prenotions eoaquea, dans teir mier livre des Prorrheιiques et dans te septieme Iivre des Epidemies. Illae nous reste rien doee grand ravait, amolia que te petit commentatre surae Traiιe dea artieulationala'en scit unisament. Cest ce commentatre seul qui est arriv juriu'a nous; illa ete publiε pou lair miere sola en gre par M. Bieta Il est curieux, a ce utre, que de tons te monumenta de cogenre c'est te plus ancie que nous possMons Apollonius y Mait oin des figures qui r presentalent Iecmanaeuures decla reductionii accuse Bacchius 'imperitie; il cite unieritin segetor, chirurgien 'Alexandrie, a qui it reproche de n'avoi pa comprisae texie 'Bipp erate surda Gluctio de la cuisse Hegetor soutenait vera rupture u ligamen rond dulamur em elirites'os reduit de rester dans la cavit colyloide Vce propos, Apollonius d elame contre ranatomie, tant,anthe des iurophiliens, et dit γ'une telle opinion est resuteo partes latis Apollonius de Cittium apparientit a la secte empirique aussi combaNil sori menides helaophiliens Son livre est adresse ais prince appete Ptolemee. 'auteu se eo tente de passere reuue les dularenta moyens de re,luctio empto,es par Hippocrate; ili'e ire dans aucumautre detail de pathologie II termine son commentatre, sori murti reste, par une escapitulation de lautes les reductions des os Iosis. temps arrivest curia mAtreine allat subira'influencela'un system qui pestendati metuehisiant inute les anciennes doctrines. L'aute de ce systeme, Asclepiade, siccupa des eriis hippocratiques, non pas seulementiou les critiquer, mais avssi pou les interpreter emer dit. Ce me cin, dii de Bithynie, de Pruse, et quelquelais de Mos, parce que Pruse avesta si poria ce nom, ecut a Rome duriemps de Crassus l'ancien et de Pompee. I aves compose uigran nombre d'6criis, ario d'hurinus perdus, doni deux Mulement sitaient relatissa, travavi'εrudition sur Hippocrate Ce ιοnt: un commentatre sui de Traiia de Pol irine dimiseein, cite parsalien et paramue a mot kθarnos: a Sheparnos, dit Asci , piade est uniandage qui revenant surdui eme en forme de , festinerepece de emis , ment et d'angleis peti commentiareis explication e lanaιorium des Aphorismea, qui Misit probablementis sepi ures, et doni Caelius ΑΘelianus et gratie citent te second. Galien nous a conservmun asse long passage 'Asclepiade tir Mutinire de meiqn'un deseommentatres indique plus haut et qui rite diue rapporia iei. aes os se luxent, dit Asclepiade, an cause apparente, par 'actio de maladies chroniques; ippocrate lo, temoigne dans sonaraiιό des Artieulations. J'enes moi eme obsere deux cas; le premier, ut a Parium te malade, san auoi recide eoup sans avola sest de chute, commenca par ressentirdesdouleum dans lariambe a Mut de trois mois qu'il passa a lit, la tete du semur ut chassee hora de in cavite Le malade prouua et accident par 'exess, e pense, de douleum a quelles is ut en prole se secondinas s'est present surran eune'Omme, acteu tragique Chegaui aussi l'os de la cuisse se lux sans cause apparente les chaire, turant par l'inflammationa tes de ros et te chamant de la cavit qu'il occupati , Cette
eitatio murrai faire mire qu'Aselδpiade n'li ait pacaussi injuste a l'hgardi Hippocrateque salienae pretendenti leur passages. Asclapiade, diNil, mepriscies dissectio χ'Η , mphile, aceus Dasistrahe, et stitie de eas d'Hippocrate , II est pro Ne que dans
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toute les circonstances Oudes theorie hippocratique ontrat e contradictionisve Iossiennes, te medeci bithynienis e menage te m&l in de cos messis Mut croire que, dans la chirurgie, it a rendu hommage a mn experience. Ilo a eu deux Lycus armi les commentateurs d'Hippocrate; 'est une particularite de rhistoire medicate qu'il aut ici elaircir o les a torioum consondus 1'unisve I'autre. Lecteresne pari quela'un Lycus, Lupus de la secte empirique, qui est fouvent cite pars alien comm ayant ecritieu de temps avant tui. Achermanile nomme Lycus e Napolitain, Holitant cependant que Galien tui attribue expressemen Ia qualificatio de Macedonien . . Reeker ne connali qu'un Lycus γ'il appelle aussi te acedonien Π faut admetire deo m&locinsdu meme nom, yant inus detix vavailla a rexplication desecrit hippocratiques; l'un tali de Napies M'autre linit de Macedoine tisint vecti Lune poque disserente, et c' te qui permet de Ies distinguer Dotien cite Lycus, de Napies; o Erotien a vhcusous Neron: Lycus cite par tui ne peut doncias sitre place Lune sipoque plus rapprochee. Blan intre cote, Lycus te nac&lonien avait hie disciple de quintus Galien suivit les ieeons de plusteum m&ω- cins eleves a l'ecole de Quintus; par consequent Lycus de Macedoine auraiti effrede mattrede Galien ii initionc viein quan Galien init jeune. I idone fleuri verses'in 120 apiris J. ., et ii est plus ancien .d'au molns fodiante ans que Lycus de Napies a suppose meme, ee que rien ne prouue, que e demer ait site contemporalara'grouen. Ainsi illaut admetuerexistence de deux Lycu'. 0 ne peu et liri'une maniere precise 'epoque ou a Murae premier Erotien, qui lecite detix lais te Oint latrem iere a Epicles , breviatev de Bacchius et la seconde ii I nomme aveo Dioscoridera' abarae, l'auisurde la Matiis medieale omne connalides trauaux de ce medecin surdes crit hippocratiques, que e quo te Glossaire d'grotiennous en apprend. Les delix explication qu'il lui emprunt soni relatives Pune et l'autre adeux mois duaraite desaleuae dans ι'homme Lycus de Naples avait compose, fur cetinerit,un commentatre de plusleuradivres caramiten cite te second. Thessalus de Tralles, methodique avait compos&nnuivre mur relate les Aphorismes; il ne nous en reste queste jugement de Gallem, qui preten que Thessalusi'avai rien compris Ll'art d'flippoerate, et qu'il lui aurai saltu apprendre avant de critiquer Uetaient des methodique qui reisurnalent te premier aphorisme, et qui dimient que la vieratait longue et que l'artsitat couri, oulant montre par tu que Ieu system simplisiait et abregeait equi avait parvJadis si complique et si dissicile. Tolle a eis, direste, latretention des systemes
Be ce gran naufrage decla litteratureissidieale dea'antiquite, ilis'est arrivo usqu'a nousque quelque Dagmenta. Eicitantin commentateurd'Rippocrate, o petit rarement riouineque Son OuVrage est conserve Bans cetis enumeration, da longure, nous rencontron unsecondiscrit destine Declairci tes erit hippocratiques, et echappe a la ruine commune. Cestae Glossaire d'gmtien. et herivain, doni te no est tanto eurit Berotien, Erotion Modinon et meme fle, odien a veciditemps de Neron, et ii a dedie sonivvrage ua'archiatre Andromaque oni'a aucumrenseignemen suris viei su ses autres crita Nous possedons de luit Glossaire qui contient des renseignement preeieux, sol sur rhistoire litiaraire dessierit hippocratiques, soli su rinterpination des expression difficiles qu'il renserment. I avest sans dout compose d'autres commentatres fur Hippocrate ; ear, pariant des deuxlivres de Prorrhetiques it dit qu'il monuera aiιleura que ces livres ne soni pas 'Hippocrate. Bans unisuire endroit, ilii qu'il sera voir'u'ssippocrate et Biocles se soni tmmpessu les prεtendus cotyledon decla matrice. Ιl nous a donne une liste arrange methodique-men desierit hippocratiques; c'est la plus ancienne que nous yons, et I'on vestia laremarque d'Erotien surdes Prorrhetiques, quo cette liste ne contientias seulement les εcritaqu'il juge effre decla main d'Hippocrate lui ome La divisio qu'srotien a adoptsi est ennures semiotiques; iures relatis ad recherche des causes et Li'etude de la nature clivres de therapeutique lines de disitetique; livres de melanges, Aphorismea et Epidemies; enfin iures relatis Ll'exereice de rari Foes a scivi, dans son edition, cetis division te discuteria
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pius Iol la liste donnee par trotten. Rema uon rependant ici M'elle contient de traiiesque nous ne possedon phis que certain trestes auxquela 'antiquise a donnex Ie ut d'hippocratique n'nsgurentias .et que plusteum traitta qui se trouvent dans Ia collaetiontelle que nouil'avons , ' sontias nommεs. Lo Gl satre detrotie sui uiordre alphabestque en tant querious ire mola qui comme rent parua meme terire sontisis ensemble; mais lχHre alphabetiquei stilus conserv&sous te hel de inaque lettre et 'examen compare de la preface et duruMasaire lui-meme montre que te lexique det otienci eis interverti decla maniere la plus eomplete par quesquiscopiste qui s'est crurior habile et qui n. με que maladroit Heringa, qui a discute ce potat de eritique a sat clatrement volesque rordrela' otie Mait εω retulisi ap- auoi dresso saliste des crit hippocratiques le commentateur a pris, dans te traiti portet te premiersu ceu Iiste tous Iecmota qu'il uoules expliquer ilis a sest aulant cur te second. etainsi de sulteriusqu, dernier. De cetis lacon, te lecteu vor ait, d'un seul coupra'seil hquel traithrae mot explique apparinnait, et Erotie echappait insi a reprocte adresso paravi a Glaucias, equel aves nοtsi exactementis chaque motu aratius o caemo se trouisit, mais aves ainst grossi considerablement sonivvrage Bansa tat O nous avoncmaint nant te lexique druotien, illa stias possibie, dans uigrandisombre de cas, de apporte lismo interpresh a lycrit hippocratique dχ il vient Plusteum expressions don Dotiendo ea'explication ne se retrouvent pas dans la collectio hippocratique esseque nous lapossωons Sans douis queique uns de ces mola appartiennent aux crit perdus, Hipp erate; mais certainement l, ence de Ia plupari est duriai des copistes qui ni Muvent substituyles gloses mises en marge a mot hippocratique ancien et plus obseur Ies manu erit en Murnissent plusteum exemples. Betroiten a Galien Sesbainire dea, 30 DI'an 150apres J.-α nous rentrons dans une periode oudes commentateurs duippocrate ont completemen peri cependant ceu emque caias te improductive sur te friet qui 'occupe en e moment, et plusleur med insoni travallisi xl'explicationi texis hippocratique Remaequabie insuence de ces livres qui se trouvent places ara'origine de I sistoire et de la scienceci ou les ages en reprennent rinterpretation et to trouvent de quoi alimenter Ia meditation, de quoi sortistera intelli-
8abinus alte, des commentateum dBippocraterae plus distingues de cetis pistode. Galien te cite fouvent, tοut en e salsant la critique; mais, dans sonaraite aur ea proprea ouorages, ii tui ren plus de justice, et ii dit que Sabinus et Rusus d sphtae res deux nomssoni presque toriours remis par alien havalent mieo compris queri plupari des autem commentateum Ia pensee 'Hippocrate Sabinus tendat generalement a trancher dans le vis et a change dilaut auriout les leco 'u'il ne pouvat pa comprendre Galien enisapporte plusleur exemples almi, o lit dans lo Sisiὸmeesiore dea epidemies deux mola obseum, Verdeu briιιante Sabinus, ne Ies comprenant pas, lit civisu briιιante Ceriu'il a sest de plus singulier dans e genro est, peuNotre de changemen qu illa introduit dans unia sagora Traiis dea nature de rhomme Uauisur hippocratique a dit: e foutiens que rhomme est eompose uniquement ni Lais, ni seau, ni de terre, ni de iovis autre ehoae. 8abinus aves transforme ce passage de Ia maniere svivantes I asutiens que homme is est Noaἡ nilalair eomme Anaximeneae retend nita hau eommeae dit Thaιti, ni de terreeomme Passure Xenophane dana un de se eerita. Il est dissicile de juger, 'apessae texto de Galien, si e ruit Ia plus inexcusatile des additions ou ne simple explication interealeomus Orme de parenthese. En insires, les explications de Sabinus partissent avolatu queruque Gose de subul eine bigarre; insi voviant interpreseram mola respiration elauis, ii ditque la respiratio est ainsi appete parce quelle seriai di ut des narines. I Mammation obstruantae caliure de la trachε-ariare et l'attraction de res ne ouvant plus se salae dans IIniarisu despoumon. Ce que dimit Sisinus surdes urine huikuaea n testias plus heu-reux uias substances huneuses soni, di it l,liment de la nature animale, comm rhuilon est diseu une uri mulleus indique queda natur ne prendisa se alimenta, et est
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Aulariet du malade eouch dans te ardi de Malias, Sabinus assure que rete circonstanee a concouru acla productio de la maladie. In pariant dijardin. ibit Hippocrate a vovi indique qu'il saltatio voi te mini de sipari declarahure t 'hommeis'estias un animal herbivore uno nourriture inusitsi sit prouuer u changement Ieheu Deo malade , Galien se moque de Sabinus, et ii lui reproche de s tre arret , de paretum sutilites, tandis qui avait. 'u pretendat donne quelque realite a des explications sans importance tant a dire surde mauuais at des jardins. Il est probable que Sabinus avait commente rense te des aeuises hippocratiques; cependant les citations quea'on trouve dans Galien ne soni relatives qu'aux DidEmies auaraitEdessa nature de rhomme a Traith de humeura et aux Aphorismes. Our ceraernier crit. onde conclut de ceriu'un commentateu posterieur Julien qui aves interpres las Aphoriames s init beaucou plus occum des explications de Sabinus que dilexis meme de son
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Paphorisme fulvant est relatis avx Nessures, et illa conserve I plaee'u'il avait, te sde Galien et de Marinus. or, elui-ci est anterieuri'une cinquantaine rannsius au medecinde Pergame, qui a laisse les Aphorismea dans rotareis iis talent avis tui Marinus meis csilebre par se travaticanatomiques iliaraiti'avoir commentsi que les Aphoriamea 'Hippo-erate Galien te cite utile plus oin au Hella'un aphorisme dissicile a interpreter. Quintus sui discipi de Marinus, et tres vers dans l'anatomie u est ite comme Vant comment te spidemies et les Aphorismes Galien sest ei de eas u commentatre de Quintus Celernier in esset, d'apres la seule ligne qui nous est etsi conservee delui attaquaitune theorie sondamentalei'flippocrate, thsiori chere a Galien Cestine opinion exprimee, en divers endrotis et fous diverses formes, dans la collectio hippocratique, questa constitution atmospherique sitant connue, on peut en deduire quelles seront les maladies rεgnantes. Cette opinion est-elle, dans les crita hippocratiques, ii resultat d 'une observation directe Oude la theorie Sestisne question queri n'examineres pascici pοur te moment Mais mur les Successeum d'Hippocrate et pour alien te appor entre la constitution atmospherique et Iecmaladies, derivati bien molns dea'observation que des doctrines surries quatre humeurset surries qualites Isimentatres du haud et duriroid, d se et de l'humide. Or, Quintus yrsitendat que ces rapporta etaient connus parcia seule experience et anile raisonnementsura cause on comprend, 'aprsis cette remarque, que Galien ait tam d'une maniere absolue les commentatres de Quintus, mai rien ne proiive que ce lame sol merite, Aureste, it saut remarque que quintus, ange a Galien parmi es medecins illustres, n'arien erit pardui-mome .c'εtait Lycus de Macedoine qui avai sit te sidacteu du comme inire de quintus, son malire Lycus compos enisu tre des commentatres quiqui appartiennent. Cest ce quintus qui sentant te vin et prisi par son malade dela'Moigner a cause docette odeur, repondit: si Ous ouve bienes supporter, puisque motu supporte celle devotre sievre , quintus sui expulssi de Rome pardes intrigues des autres medecinsion I'accusade uerrae malades mais Galien assure qu'il avait excite une jalousi telle, par sa sup4riorit dans artis pronostic, que se milhgues se liguerent contre tui et te forcerent , desertera capitale. illa'εiait o si plusiendi coles disserentes qui avalent leur thelories, et qui jugerient Hippocrate 'apres ces theories memes Cest ce qui irrite fouvent Galien contre les rerivatus apparinnant acla secte des empiriques, ou a celle des methodiques οὐ 'cesse des pneumatiques quintus avait, commemivient de te voir oppos sa doctrine a celle d'Hippocrate; Lycus de Macedoine, son disciple, sit de meme I avait commente les epidemies, les Aphorismea et te Trait de Humeura on volt pardos citations de Galien, que Lycus avait critiqu&l'histoire d'un malade du TroiiaEme liore des epidemies, ens opposant certainsia sages des Prorrhetique et u aphorisme χ'est uti des commentateur que Galien traiis te plus mal , qui supporterait, diNil, impudence de Lycus te Macedonien rignorance η 'Ariamidore la prolixite et les discoura incohelaenis des autres , Itqui reproche, e qui est sans dou te plus lande, dei'avotrias sit fidele a sa propre doctrine, et d'avoir melsi auxraisolinementa decempirique des aisonnemenis empruntes aux dogmatiques et ii rioute, aVec mison 'u'il saut interpreterin auisu on se metiunt a sonioint de me, Asclepiade enadmettant lesiores et les atomes Hippocrate en admetiant les humeurs Cependant Lycus ne suo intin medeein aussi meprisable que Galien te protend cilci'sitai livre avec distinctiona resude deI'anatomie et dans undong morcea que Galien cite, et ou Lycus combata'aph risme queues eoma qui eroissent on ι plus de ehaleur innee, o te volt certainement plus fidelesque Galien ud'observatio pure et simple. Artemidore, furnommsi Capiton, donna une edition complete declivres d'Hippocrate, qui sui trδ favorabiemen accueilli par 'empereur Adrien Galien jout que de soli temps, ello Mait encore tres recherchee Ceriu'il reprocheae plus a Artemidore, c'est laclieence avectaquesse cet editeur avait altere te texte, en depit decla consecration quo co texto avait recue Par les commentateurcles plus anciens it en rapporte boniso re de prevvos. Ainsi Arte inidore, quan te senile gene, ne se saltia laute ' ouis une negation o lit dans un
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passage du Sisiὸme liore des Epidemies une phraso doniae sens ne paraitias clair a Galien
et qui est en esset sori obscure. lle est ainsi concite : Iavicule a illante, eines transparentes Arisimidore change celaen uaptethore meessive est sa illante lesie ines son trans- parentes Gallon dit γ'il a trouve, dans Ou les manuscriis consultes par tui, 'ancienno leeon que les commentate urs s'ilcavalent renc tr quelque part la phrase 'Artemidoro. ne se feralent donnsi aucune peinepou interpreterin texte aussi clair, et que rieni'autorisaitI'editeurasiare uichangement aussi considerable Artemidore avait supprime rionisme dans plusteum cas, sinon dans tous. Son sidition ara certainement une cause influente deI'ait
ration sirimpiente de rionisine des sicrita hippocratiques. Son parent, Bioscoride, qu'il ne aut pas conlandre avec raulen dii 'alte de matteremEdieale plus aneleique tui, publicaussi une editio complete des aeuiseid'Hippocrato qui parali avoir eum ne grande conformitε avec celleri'Arsemidore, et a laquelle Galien distribue aseu prδile meme blame et te meme eloge Elle donne lie a quelques delatis curieuxsur I'ancien ta decla cillection hippocratique Les manuscrita du Troisi eatur de epiciemies, que rensem la Bibliothsique Royale , prMentent, prδcla serie de selae maladesdonta'histoire termine ce livre u passageta'une inglaine de lignes qui, dans presquetous les imprimsis est plac avant l'histoire de ces seige malades Galien nous donne I'expli-eation deri'une et l'autre dispositions Le passage e question εinit mis , dans te anciennes oditions des aeuures hippocratique , aprδsa'histoire des seige malades Dioscoride reconnutqu'ilis avait eu transposition , et, dans son edition il le remit acla placeriu'it oecupeaujourd'hui dans nos imprimes Galienae Ioue de et arrangement cependant tui, dans
son commenta ire, sui Ι'ancien tex te; l'ο volt que nos manuscrit de Paris represententrarrangement antεrieu a Bioscoride; maicies imprimε prouuent ouriu'il nous est arrivo une coste dea'edition desce medecin, o que nos siditeum ni suiu son conseil. I avait eusoin de metire des utres aux disserentes sections des ecrit hippocratiques Ainsi dans 'e droit du Troisieme iure dea epidemies qui commence par ces mota annee ehaude, pluvieuoe, Bioscoride avait micen utre Constitution haude et humide Les a uires exemplaires n'a- aientriende semblable cependant quelques-unsavalent consιiιulion, scatastasis . Diosc ride se pretendat plus grammatriemque les autres siditeurs, et ii avait marquε 'un signe certains passages , comine Aristarque salinitiou les vers 'Homere qu'il suspectati. 'est sanidoute a cause de cette presentio qu'il avait change plusleurs mois usites en 'autres anciens et inusites, ansiten change a sens , et seulementiour substitue des archaismes .aux locutions vulgaires. Imparat cependant, 'apphcun passage de Galien, que Bioscoridoxespectat asse so texis pou metire a cote dela nouvelle lesoninu'il adoptait, 'anciennoqiri rejetait C solisaimit remembler son edition aux notres , dans tesquelles nous notons es variantes des manuscrita Dioscoride salsant une correction , et cloutant qu'il 'avait
trouu que dans eu exemplaires la teqon regarde commera'ancienne malle di que pouraui, yant parcouru les bibliotheques publiques et privεes, ilis'avait trouu que lavieille leqon Bioscoride, que Galien , o uri distingue des autres Dioscoride appelleae jeune, inelui qui a nee duaemps de nos pises, avait compos uiglossaire des mota hippocratiques Mais quoique cetiuvrage sui forme de plusleurs livres , ille contenaitias 'explication duriters o memetu quar de ces mola. Bioscoride n'avait pas, a ce qu'il emble,s itine distinction exacte des termes qu'il saltat interpreter et i avait donii place dansso glossaire avx mois Ies plus usiths au expression te plus latres. Si quelqu'unignore, di Galien is que signifient , ampho, amphtesma, et auires emblabies , nous lo renuποns a Dioscoride et a ceux qui se soni complus a donne de pareilles explications. En ouire , it avait Opie de Iong passages de Niger de Pamphile , de Bioscoridera'Αna-zarbe, et avant eux de Cratevas , de Theophraste χ'Bεraclide de arente, et 'une lauted'autres , fur es arbres, les herbes, les substances minerales , lesioissons et les animauxdon il est sat mention dans les oeuvres hippocratiques Ces delatis , qui Ont par superssus a Galien nous auraient tysor utiles , et i est certainement tres-regrettabi que 'Ouvrage
de Bioscoride ne soli pas parvenu jus tu'a nous B avait en outre expos Iecnom des illes
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ια plus eommes, des aures las plus remaequabis que , di Galien in ensant mδ--4gnore M. Au reste, malgre inutes seceritiques, Gallem, ainsi'u'onde volt par son cloa--ire, a muvent consulia Bioscoride. Arsemidore capiton et Bioseoride Misertainement contri εἰ entretent l'Mude deseeuvres hippoeratiques, et ces deux distura, quoiqu'il ne reste que de traces a demia effacem de leur aeuum meritentiis venis de celes qui plus de selae sierim pre eo entreprendia meme tachst. Galien elierumpetit nombre de soliun eommentateu de aphorismes, NumMianus ildonne tres peide desails sume m&leein .seulament ii parali en laire os; car apris avoirrapporisi ne interpresation mauualse, fulvantivi, d'Ariamidore et de Numhsianus, it ηοute: Cela ne Metonne pas dans Arinmido , puisqu'On uouve dans ses commentatres une Mule η 'erreurs mala cela Mitonne de Numesianus , qui estin homine de sens et qui n' pas, 'habitude de se percte en paroles vides. Galien cite, en msime temps que Num&ianus, uiauisur eneor plus inconni, nomme Bionysus, qui avait ausia eommenticles Aphoriamea. Pelops , disciple de Numisianus , aves compos uesicrit inutule Introduetion hiπο- eratiqueι, qui init a molns en deu Iivres, et urit avait foutenti tres viventem que leeerVea est rorigine non seuIeruent des neris, mala encore des eines et des arteres Cetait
delandrea'Opinio qui se tronve exprimεe dansa'appendice du Traiιede a naιure de rhomme. Gallan regatae ceti assertion de Pelops eomme lais us surprenante et a plus inc Fable; d'autant plus que Phlops, dans son Troisiemeature de Panatomi desieines,les salsest venirdu sola Pelops avait traduit Ies Aphorismes en latii, re aut ave beaucou de sol le mot urae mot Misastre de Galien disait queda vie humesne se divise en cinspariles, 'οisive, la laborieuse, a virile la sectile, et a decrepite. 'oisive est celle de a premiere ensance oua'intelligencela'estias Mueloppεe la laborieuse, celle ou commencent les exedi eices et les trauaux de laueunesse la virile, eelle qui se distingue para force deI'age lasεnile, celle ou l'on volt te declin decla vigue plaχεσεpite, qui est dite bonne u au-vesse, Omme lassin de iovis chose. Satyrus et Phecianus ou sphieianus ear c'est te momo personnage, et i ne aut pas ensaire deux individus disserenis, comme Achermann dans la Biblioιhὸque freeque avrientaussi commente tout ou partie des cevvres 'Hippocrate Ilcavalent sit inus deu discipies de Quintus, et tous deux mattres de Galien Pelops aussi avestessi preceptev d medeci de Pergame, quia'avait e uin apros Satyrus Celui-ei suiuit tria exactemen tes lectons de Mnmalis Quintus,n' cloutant,'' Uen retranchantistem Phecianus employa, dans 'expibeation des doctrines hippocratiques aes dogmes disicieisme, qu'il embrassa Galien te dita Propos d'une Opinion surda sensation, qu'un philosophe inicie foutenait ei que Ph cianus adopta. o trouvera'indieation, que Pheeianus expliqua, enu'autres, te live der peine a meduli, et tui et Satyrus te trait de Humevrs. Le dernier commentate , avant Galien, qui me reste a nomme est ut deci d'M Xandri nommeς Iullen, qui avait compossi quarant huit Ilures contre les Aphoriε me. dRippocrate. Nous avons de Galieni petit erit polemique contre te deuxiam livre de Julien, equel livre linit out entie consacre acia resutation disceon aphorisme de lair iniere section Galien mite tres mal Julien ude demande dit-il, Ia permission de puni son ignorane e termes rudes, doniciei'aiias rhabitude de me servir u labor , it 'est ps Vra que alien mεnagestant se termes dans sa polemique puis a en jugeria lineouris fragmenta que Galien nous a conservεs, Iullen ne parat pa un med in si mepri- siste Ilaait des objections tres sondere ad thεorie qui placessa cause de maladies dans les humeum est dii que si cette thsiorie tali rate, nis,urait besola contre cute assectionque de moyens sivacuanta cla saignee, Ies phlegmagogues et les cholagogues quandrae malserat dansae sang, la pituite olla bile. Iline me persuaderont jamala ni a moi, ni Deu disaiNil en pariant des modeein se adversatres, qu'ils favent ce'u'estria nature, grand mο D'il vont ephtant de tous cotes et doni iis soni, tanto me substanee simple,