Oeuvres

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la modecine reoque. En eonsultant les ierit hippocratiquos, sevis dignes dei misela, et eorroboris en ouire par lectis ignages des 4crivain contemporalas, o te volt Haes auauille aeun mouvemen scientisque qui a Gmmene avant tui, auquel uirend une partactive, et qui se dεveloppe avee vigueu et planitude onytemps encore ap- sa mori. La collectio hippocratique porte en son propre sein 'indice des trauaux qui furent Multa alore, et la iraee des pertes que nous avoncsaites; confirmantisinside Multat Mia obtenu par rexamen des muroes elle memes o ontinis les auteum hippo aliques Leursaeuis 4'ontias ot molns maluatiae que Ies aeuures de auues,ldecius de leur temps; de tesse sorte que la Oollection hippoeratique, qui n'est dia qu'un fragmen de Ia litiaratum rutiliciae do ceuolpoque, n'est a son in 'u'un fragment des productions dlane Mole doni quaeque livres seulement nous soni amuta sοus te nom mmmunχ'Rippocrate Il est question, dans pluiae cendrotis de la collection de traitta qui sontinisntis, et quile soni depuis hien longismps carii alien, ni gratien, ni tes eritique pius reculas deI'εcole d'Alexandris, noles onclamessius o connus. Tout ecla Mait pisi dans rintervalis qui separe Rippocrate de la sondation des grandes bibliothinues; Ies ouisages donides titrea soni citas dans la Oollection, et d'autres sans Mute qui ne te sontias, n'oni euriu'une exi teneo .hemore, et ii leur est arrivi, e qui est arrive si Muvent auxesivres de rantiquita, d'etre dMruits avant d'avola ete multiplies pardes copies. Pour emisuvrage hippocratiques, illae faut pace accuser Pincendio de la bibliothoque 'Alexandrie iis,'existaient diapius a momon oli Mite bibliothinue sui Mabile. Lo mo et auisu du Livre dea artieulaιiona annone plusieno oor es Iliarled unTrait aurae frietions it promet 'ex serua texture des glandes, leur position, eum signes et leurs actions, 'expliquer, murrane esphce particuliare de tumeurs, dans quel easit aucta aves remum a Pincision do traiter desilviations decla colonue vertebrais, en trasetant des affections chronique desioumons, de demontre les communications des veines et des arthres, te Mintd'ou esses partent, et ractio qu'eues exercent, d'entro dans des delatis infla naturo de rintestin et de rabdomen inut entier, surdes vo ges et Ies distensiovis de lamatrice Mutes em promesses ontraia sans Mute remplis ces crita ni te composis eton servi a Irense nomen de is id ino dans les leoles de Cos Mais iis,'en on pasdis in 'eneiante, et a moment ou le aiae do recueilli des livres se Muelappa, a momentouri'o coecupa de les multiplior, ceu lais'existaient plus. Ii eis ut diro auiant des imites composes par rautev du Seeondriore des prorrhειψvea et ni rouisage surdes collections purulentes, Dumon mur parier te langam nisidical doeetis is ue), ni eelui surdes malacies a ues, ni celui qui concernat Iestahures nees spontantinent et sans causes sividentes, et qui comprenatent an dout aussi I'exposition deserises, ni celui surdos diverses es es 'Ophthalmies, ne soni parvenus jusqu'aux commemininum do 1'Molad'Alexandrie Celaient Iades traiias considωabies fur des question imporitantes de in rie et do pratique dans cetis onu otio de utres 1'inu ration do granditravaucauxquela se Iivra I'antiquo videcine Τοut e qui suciat aloe eomposemitune hiuliothaque; nouin'en avons que des lauisseta disareules. Llauisue du iraiιe das asseetiora, isant, de soccot , de se uenis reisur fur se propres inpositions nous apprend quaesitatent les friet qui Occupatent Ia molacine 'Mors Ilavait compost des traiias spectauisur Ies collections purulentes dui mon, surdes phthisi-ques, surdes maladies des lammes, surdes yeux surda sono uere et la4ἡvro quarte salsis liveo qu'il inodo plus fouvent, o auque ii renuoi incessamment ses lecteurs est uilium

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surdes medicament qui on la propriein de procurer la maturation uillure surcles eam iares deculchres, et uiliis surda chirurgi militatre. Ensin, I'auisu dea'Opuscule sura'Ar renuoi ailleum 1'examen Fune question de philosophie suris qui, dans te nom et les idἡes des choses, est 1'ceuum de resprit humatiouI'empreinteistine decla nature. on volt combien est longue cette siste de traiias disparus avant questa collectio hippoer tique ne sat sormes, a combien aeo et diversu'4tude avest εω appliquis, et combiente i a lin conserv de cetis litterature, meme en ta restreignant LI'Mese de Cos, cole donici est te plus resia Galien e commentant te Traiis dea artieulationa, sui Dappi, tui aussi, dctem pertes nombreusesci ii Hippocrate, dit-il a annonce, dans e traiis, plusteum ouisages qui n'existent plus arioues'hui ou i ne les a pas composis, o sis ont ri ainsi'u'i est arriv4 1 beaueou d'autres livres anciens. Iusteum auis sint rit fur es pertes. Quajoute qaei est parisi a la vertia, des collections purulentes de la potuino dansae Liure dea asseetiona internea et dans la Hemiercitore des maιadies mais que, dans aucun de cestiures, illabi eorrespondance exacte aveccles indications duaraite de arti ιastans L insertion de Dagment apparinnant a disserenis minure, te renuoi frequent a des compositions qui Uexistent plus, out explique comment i se sat que cetis ollaetio prMente iant de

Je ne peu pas leu termine des recherches qui signatent ritat florissant de estis antique molocine, que par uno citation ou Galien in rappelle laute la rictesseri u I'hisits-- ais, divit Leerire u livro surria methodo hisa utique que les anciens Ont commeneω, et que leurs successeursint MMysi aeachever Iadis ii existat entre les leoles de Cos et do Cnido uno lutinis qui 'emporterrit par te nombre des dkouvertes. a les asellpiades ,ra' te talent divissis en deux branches apres l'extinctio de la branche de Rhodes A cetis lutis honoratile prenatent pari avssides m&leelns dea'Italie, Philistion, Empedoete, a η sanias et leur discipies; de telis sorte que tres Moles admirabies se disputatent IairM- , minone dans Ia-εdecine Celle de cos se uouva avoircle disciples las plus nombreux et les meilleum; celle de Cnidola suivit de peta; et remis Gialie ne sutias non plus sans, gloire nPlusteum eritiques, dans rantiquita, et inrisu dans las temps modernes, ni inclini hemire que certaius declinis contenus dans la collection hippocratiquo avalent εω supposta par des laussairos a r4poque ou les eois d'Mypte et de Pergame rivalisaient entre in murraehat des livres, et les payalent tria cher Cette assertion, contredite par plusteum innot- Mages directa, restirmellement ausia parrae assutions frequentes que les auteum des vrages existants ario d' i lantra des ouvrages perdus Men ne prouue mimcque os soni visit Iement des mωecinid'un temps anilrioue a la sormation des grandes bibli ininues qui ont compos&ces livres dis ussala n'aurai pu songer Leotis varieso de cit tions ilis' auraitias urun -yen de donne plus de orisne a ses suppositions et s'ilavaicem utile de remuris a cet artifice, illa ait bien pluto citi des ouisages existants asinque eos renuois de unda'autre sortitassent rauthenticito des ouvrages qu'il attribuat a Hippocrate. Et en esset, leuaussaim qui a compos la correspondane d medeae de cos avec Artaxerce et Blmocritem, a pas manqui uisite te PronoMie, leature tu risime danotia maladies algues, te Prorrhειique, et illassate paris moen de donne a se fraudes uncaractere de .rite. Mis Ios viritabies modecins donicies deriis ont in conserv& dans aeollection hippocratique se reserent ara'autres ouvrages qu'il avalent compossis, et qui

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vvres et murem rem attre Iecauisura Medate, l'indication d'une olympiade, ou de que qu'un des magistrata de stat Grees, nous auraim fit bien plus utiles mur lautos e question quea'adeesse de tes malade qui deme ait a latoris a Thrae LMdhre. Quoi qu'il en Mit, cerae sera passans lauit que nous aurons ainsi minutie ement explorola eollectio hippoemtique Blabor ona aequier latreuve incontestabis qum temps onesse cole composte, I mωecine etai tres storissante Elle occupes une multitudo d'intelli-genoes esse enfanini une laute de livres esse compini uino re infini de praticiens vile sitat Iivres a laure disaia et a leum recherines cetis pistode a Miour esse uno Driodod'aclivia dans laquelle heaueou a εω sait, mais dontio est resia. Ainia cest continule, sans relache mmme sans interruption la culture de is scienco qui sui commendiis Meetant d'ardeur et de suecta hien avant Hippocrate La collection qui est arrivoesi M'. nous monue qu'aprdi tui I EMe sesentisique Uavait rien perdide son fine te, ni latravati de sonaurait, ni latratique de ses enmuragementa. ais ei me temps o uouve, dans cetis collaeum, des moremo d'autenes diglrendi, Polybe et Euryphon, san compter ippocrate les aeuum,'autres mai ratranores, in aumidouis. son incorporeos Laicino traiion donMe Mur Polybe et Our uryphon ovis Iescharumacia eritique, et tui permet de parier avec plus de certitude des sauctitres donnis a declivres qui portent te nomi'Rippocrate et ne soni pas de tui. Α eoia de res interpolations o reneontre des livres tronquε donta finianque, idon te comme ει ment a divam. Puis iennent de notes publiem sans choicet sans inlaesion o apertoitia eontrarilia des doetrines la diffise e des styles; naeeonnati decemprunis de eos live

Be ee piant de me la muretion hippocratique est, chaos au milie appariassent des paruos d'une eonservation pariatis, tandis queri'autres ne soni que ruine et fragmenta Musnos efforis dolvent tendro h nouso reconnastre, a temetire dera' dre; ear, a dii Bacon, Citius emergit periιaa ex errore quam ea eonfMione.

La date de eos iamoignages en ait importanee,'autant plus grande, qu'iis soni plus rares. En esset, Sest, ainst que jea'ai di plus haut dans cet intervasse que se uouve une laenne immenso dans la litiarature indicate Lemure des Sentenees enidiennes, Ies ouisages do Philistion, de Ciasias, demi ths, de Praxagore, de meuchos, de Philotimus, et de tantaeautres, ni μri et Mite destruetion nou laisse sans minis de eomparaim avecclesteriis qui eo tituent is collectio hippocratique B devaic auoi ou de mentions nominatives dea' elisiade de Cos, ou de diaignations de sesines, ou des imitations et lautevia Mus ournirai des indices utiles Murcia lassification de ce que nous possedons autourd'hni Mus son nom. L pe qui nous reste des innoignages de cetis littεrature despuite, eoneernant Hippocrate, doli tre remellii avec te plus grand oin, et examine attentivement asininu'aueune des notion positives qui soni res remees ne nous octappe.

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erato, de Cos, fila des Asclepiades Mus avons qu'il''a connu et qulit a I ses herila da sorte que si nous trouvons, dans te livres de Platon des essemblances ave les livres hippoeratiques, i sera permisi'adineum que te philosophe Deopinae m&lecin or i y auraitis long chapitreis stire su les consoriniae qui se trouvent, Our outes sortes Sopinion physiologique et medicales, entre la collectio de Bialogues de Platon, et laCollection hippoeratique Thiersis, dans une dissertation particul re, a touchi e friet; i a fati volesque torsque Platon dit que a medecine consiste dans la connaissane de es qui, dans te corps dAsire la repletionis revacuation, it exprime une doctrine purementhippoeratique. 'Houtera encore quelque exemples Platon dit: aes inhdecim pensent, que te corps ne peu profiter de a nourriture qu'autant que les embarras en oni in expulses, comm rame ne eul profiter decenseignemenis sans tre purisee u Cestraphorisme, que plus on nourriti malade, plus o lui fait du mal La constitution des athlδtes, dit Platon est dangereuse οὐ la sania Cest eneor uiaphorisme ou il est ditque, dans les hommes livrsis aux exerciem, rexeῆs decla viguen est dangereux les termesson presque les momes. 'idM'u'un exesis de sani est volsin de la maladie, se trouvait depuis longMemps dans te domatne communicia peniae recque Eschyle, avant Platon et avant mεme Rippocrate, avait ditet uae potn ffune sania exubεrante n'est jamais durable; et torioursa maladio est volsine α. L Ἐδvres, dit Platon, sonta solutioni inanos et dea'opisthotonos Cetto opinion, ueriu'elle ne psu apparieni amphilosophe, 'appartient m&ne qu' u m&lscin quir arde te intanos et 'opisthotonos omine des maladies dirivere 'une cause de naturo ide Elle est eneor dans les Aphorismes iv feci.). Jeis'irat a plus lolidans ces a proehementa que je ourmis beaueou multiplier. a vovi en donne des exemples ovidenta carri' voisin des meisseurs argumenis en saveur de l'authentieiti decla collectionhippocratique pris dans son ensemble. Be telles similitudes monuent quo la compositionde ces livres est Mellement duriempsisu laus les indices la reportent. Surcia mδme ligne vientis secon lamoignage ussi approch du medeci de cos. d.utant plus important, qu'i porte su se opinions midicales et fur satratique, et quo ux de cette nature et de e temps soni plus rares Le'est celui de Cthsias.ciasias plus jeunequ'ssippocrate Ilaitin asclapiade de Cnide ii accompagna rexptilitionde CyrusHe-Jeune, et resia prisonnie di sep ans en Perse se connaissances mεdicales Iu acquirent lariaveu d'Artaxeree B a terit uno histoire de la Perse et uncilis fur rInde. B est aissi de voi par ses erit qaei avait rhabitude de coccuper do suleis midicaux. nlisantis extrait de se Iivres, ne Photius nous a donne, o retrouve Iecmtines termes m mucque dans les vres hippocratiques queique eritique on pretendu que is motmuaeι qui se uouve dans certainslures hippocratique est uno prouue que ces livres sontapoeryphes, attenduriu'il apparuent a risole d'Alexandrie, et que les anciens designatent Iecmuscles so de nom de chalas. L'argument est mau ais; car Cthsias s'est servi de ce moten raeoniant la mori de Cambyse, qui diNil se Nessa a la uisse dans e museιe oribaso nous a conservi de Iulin tragmen singulier suru'usue dod'helli re ui temps de mon phre et de mon grand- re, dii CtMias omne donnaitias rhelthbore, ea omne connes

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diverses reprises des objeta de ses iudes et de in profession Galien sancindique auque des ouvrages du-ωeci enidien ii empruniuitis citation nous a conservi une opinion omise in Hippocrate par Ciasias u Ctesias de Cnide, te premier, di ilians son commen, atra fur e trait de artieulationa et apias italas plusteum utres, ni critiquo, Rippocrate pou la reduction de l'os de a cuisse, et on presendu quo la luxatio se reproduisai aussito apres , es paroles de Galien soni hie breves, mais elles n'en soni pa molns precieusM. tiatas, quoique bien plus jeune qu'ssippocrate, a insoneontemporaim; it a pucle voi et te connanre car Cnide est tres volsine de Cos illa appa tenu aisne cole rivale et te seulio quo nous connaissons de tui est ne critiquod'ssippocrate. II est peide remisque austi importantes murra critique 'llippocrate queces lignes que alien auetem dans uide se commentatrea ce qui anque dans rinte valle qui rapare te modeein de Cos de I'Molei'Alexandrie ce soni furtout des fouvenies de se Ouvrages. Un reproche comme celui que Ctesias adresse si Hippocrate est latreuve lapius manifeste qui puisse tre donnδe decla connaissance que ron avait,rahcumtemps aussi recula, des opinion et de latratique de ceternier et i est res de dire que plus laeritique situdi minutieusemen tes monuments deI'antiquita dans I'εpoque messicale quim' cum plus elle trouverun sonds solide osi elle peu poser te pied. Ilo a eu, dans rintervalle de temps que j'explore en eo moment, un-ω in lameux, que ron a appela te secon Hippocrate Cest Biocles de Caryste La dat ou i csseuriis'est pas donnie d'une maniere tres pincise mal les anciens te nommenta joum imm&liat ment apros te m&lecin de Cos seeundus aetate famaque, it Pline u avait compos Ma mumd'εcriis qui ont in tres estimsis dans 1'antiquiti, mais donici ne reste plus que des fragmenta Par in date, par se connaissanceis tales, iocles estis de tes incles plus essentiet pou l'histolae des livres hippocratiquesci illa vocu aisne epoque urit a puc'nnalis parsaltemen tes hommes et les hoses o Biovis, combattantis aphorismedans teque Hippocrate di qu'une maladie est 'autant molns grave questa salsono est plus consorme, par exempleri sthise ardente dans I'sito nomme Ie mldeein de cos par sonnom. e passage de iocias arato cons erue dans te commentatre d'guenne surae Aph rismea Ie te rapporteres textuessemen quan j'examinera I'authenticii de eo dernier

Aristote ne s'eloigne pas avantage de I'isoque 'Hippocrate. Illa etε disciple de Platon, ainst encore volsin des Muvenies qu'avait latissis te misieci de Cos; il avait embrasse dansses nudes l'universalit de connaissances humaines la medecine ne tui avaitias in εirangeaee et Lavait composε, sur ceu science, declivres arioues'hui matheureusementPerdus, aut quelque Dagmenta, qui en subsistent dans Ies Probumes Cest done unlamoin importantheniendre. II ne nomme qu'une sola Hippocrate, et c'est dans Iasoι ιique. ono lit, livre vii, hap. 4: quan o di te grand ippocrate, o entend non pas I'homine, mais I msideein , Cette mention, quoique alte en passant, εrite d'etre recueillie Esse prouue queda reputation du Meet de cos init asse bien tabliea ne εpoque en re eu/loigMe de in mortiourdui valoi te utre de grand .alle se rapportoaussi auricinoignage plus ancien de Platon, qui eomme nou venon decie voir, ite lomedecin de cos comme ne autoriia imposante Ainsi Hippocrate ne tarda pacis siue estimi par ceux qui inrent immεdialement apros lui, utant qu'si te su par ceu qui, dans unage post4rieur, te reconnurentiourae chel de la mωecine, et enlourerent Sune sorte de eulte in memoire et somnom se Sestias te saltae motus important de sociastoire.

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La remarque satis au friet de Platonis'applique valementi Aristote Cetulini, eonnumpmerate Onde mitia la eitation de laῬοιitique. Si partant de estis hase, on mehercheles resse lances enire lectivres aristotestques et les livres hippocratiques, omen troiive une multitude tela'en rapportera qu'un exemple B est dit dans rHistoire des animavi, liv. in AEap. 1s, que this lauea est seule, vile ne se εuni pa si elle vient a tro opω, par exemple acla partie mince decla machoire, a prepuce, Dia paupiδre Aristote donnetour mison que lauea est la dipourvus de chair Dans les Aphoriamea feci. I, dans te premier livre Bes maιadies il est galenient di que la parti mine decla maehoire et te prepuee, une sol cou s, ni ne s'accroissent, ni ne se risinissent Laisaiso donnεe par Aristotei'estias dans les crivains hippocratiques. J'ai citi e rapproehement parce qu'il est Dappant, et ne Mut tre accidentel Au reste, plus On examine comparativement Ies erit hippocratiques, ceu de Platon et d'Aristote, plus o trouve de consorinthsentHeu et de potnis de comparaison. Les mentes doctrines, es momes hypothhses, tesmδmes satis de desail, iovi cela concorde dans Hippocrate, dans mala et dans Aristote. grasistrato, Gallen, Plutarque, Aulu-Gelle, ni it a diverses reprises deux discipiesd'Hippocrate qui ont vec dans te meme intervalle de temps iso soni Apollonius et Bioxippeo Dexippe de Cos Suidas parte de e dernier et l'appelle diaetrie asinoerate. B'auires 'appellent Hippomatique Il avait rit, dit Suidas u livre aurae Meein et dei clivressurae Pronosιies Platon mutient, dansi de so dialogues, que les Missons passent en parti parua traehis arsere ceti opinion avait Hyembrassi par exippe, qui arguait, mur la dMendes, dea'absenc dea'εpiglotis ehe les esseaux L mignatio positive de Bexippe, comme disciple 'Hippocrate, estin annoa de plus dans la chalne de tesnoi-gnages intre te cithbre asclepiade et 1'εciae d'Alexandrie. I saut encore compter parmi les principauitδmolns d'Hippocrate 'εrophile se mεdeein, illustre par se docouveries anatomiques, et chesd'une secte qui porta son nom, sormollan aientre lectemps anciens et les temps nouueaux'nila'ouurirent pou Ia,εdecine 1 Alexandrie Linus e attres, it misit une grande constance it eni4rite encore ne par tieuliere dans te friet donide Moecuperici, ause de so friou dans une ille tellequ'Alexandris, ou ne bibliothδque publique se formait et ou l'erudition commensait altabit son sirue M livres soni perdus maiid'autres crivains, alien silenne nous Ont appris qu'il avait commenti uides traiies d'ssippocrate. Puisque trophiis a comment Hippocrate, ii est impossibi qu'strasistrato nod'ait pasconnu Galien en dissis enis endroita, di qu'ovidemment grasistrate Mait jaloux des mill eins de Cos, qu'il est toriour dispos a contredire Bippocrate. Bo telles assertio , d lapari de Galien, ne permetient pas de douter qu'Erasistrate n'ait nommylo εdeein de cos dans queiqu'un de ses uisages Ces ouvrages soni perdus mais malgri son inimiu&mueles doctrines hippocratiques, malgre laus secessoris pon latro privatote les siennes, ut uve mome dans les couris fragment qui nous en on vi conservis, des traces de laconmissane des livres hippocratiques grasistrato avait dit dans un de ses aes affections hangent, et ce changement 'opδre svivant la lotis transpori des maladies.

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savοi D'Mrophile et Dasistrate, Haias au disu mme de trauaux dea cole d'Alexandrie, ni e conmissan χ'une portionisu molns de eo qui compose arioues'huia Colle tio hippocratique. L'avan Ddernier de euxinu'it 'importe de rappeter is est sinophon de cos, qui, eorum nousci'apprend Caelius Aurelianus, ut dεsenseu de la mεthode de chrysippe, laquei serraitae membres par une ligature, dans rhemoptysie La seule trace que j'a trouvω deson cinoignage est dans une glose intilite du manuscri 2235 de la Bibliothἡque Boyale. I flagit dea'explicationis mot disin, dans es maladies expressio qui se uouve dansle Pronostis, et mi a beaucou exeres la sagaeii des commentateum, tant anciens que modernes Apris auoi di que Bacchius, Callimaque Philinus et oraclide de Tarento avalent regard. Iecmaladies pestilentiolles eorume dioines, parce questa peste semble venird la divinite, cetis glose aiouinci , Xenophon, de lariamille de Praxagore, presen que io genredes joum eritiques est divin; de meme que les Bioscures, di ii, apparaissant aux Foux de matelois battus parcia tem te, leur apportent, par leur presene divine, lo salui, de metue les our cruiques arrachen Muventae malade a la mori. 4'inhumationde mite glose, non consuliae, et ensevelle dans un manuscrit, me permet de rapporter a son eritabis auteurine citation de Galien, qui a son inur, confirmea'autorii de la glose onlit ansae commenιatre sue te Pron ιie: Telui qui adit que leae e des jour eritiques est divit exprime in propre opinion, mais Ua piant 4elaire latens ''llippoerate. salie se fert des me termes quo la glose en visant is fore dea jοura eriιiquea. Lo-leein quli cite sans Io nommer est, on is volt, Xenophon de cos. Bien que la note misiseu marge du manuserit II3 ne Muvia nous apprendro ette particularitera'histoire

Iitiaraire.

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plus grand eloges; et u med in de Cnide, Clearas, contemporei de Platon, lul reprocta une pratique chirurgicale qui est celle deI'autev d Dait des articulations on voltque rexistenee litteratre d'Hippoerate est tabli fur de bons documents, et i est indubitabis que nous possedon de tui beauco , si de tui, Maumul a peri. Ainsi dans ligo qui a fulvi Hippocrato Mn nomin et pluiaeum Iois cite a des temolns irrem habies Rappe hons de es novis te nom de ceu qui , yant vecu dans ramanterim , Hippocrate lui eme, se uouvent appetes dans la collection hippocratique. Co sont: elissus dans te Traiis dea nat re de Phomme Prodicus et Pythoeles dans tes iM-ies, Empedocle dans le Liure su Paneienne meaeeine, Romere dans Io Trai ιε Maarti la tona, et te Livre dea sentenees enidiennes combattu dans Ie Traiis du risime des maladias atques. Si nous excepton Pythocles, homine inut-a-sait inconnu , et nomero,Murce commune ouam Grec pulsatent depuis lon temps ne votique des nomisortanciens Prodicus et elissus sont contemporians de Socrate Empedocle est seu vieux; loLiore de sente ea midiennes, deja publie deu lais est attribue a Gryphon, qui estanterieuris Rippochate. 'ajοutera quo te Traiιe de Paneienne vi eine reproduit avecune fidelite fori grande les opinio M'Alcmeon, philosophe pythagoricien donore que est tres remiae Ainsi, lautes les citations saltes dans les rerus hippocratiques sontirises a uno litterature anterieure Cedait est important dans rhistoire de cesinerita, et u e robore inuissis preuves que nous avons de Ieur antiquite. Si nous passon de eeux qui son cites dans la collection hippoeratique , ceu qui citent Hippocrate, nous trouvons, dans age qui fuit immediatement, Platon et Ctesias; uxitaientdeunes loraque Hippocrate etait vieux. Unim pius tard moetes et Aristote appulent de leur temoignage son novi qu'il invoquent. Ainsicles auteum donicit est question dans queiquesmns des imites hippocratiques, et les auteum qui nomment te medetan de Cos consuiuent deux limites enire tesquelles est place so epoque Siriout renseignement nous manquai dlailleum, ceu consideration nou sussires seule Mur que nous mission cetis Apoque a in veritable date et l'on arrive, parie deis , a consime ce que les biographesiae posterieurs, Eratosthene, Soranus de cos et d'autres nous out appris surae tempsolacii asseuri.

Le eonquetes 'Alexandre, te eommunications multipliees qui 'etablirent entre lasree et rorient Ia landation d'Alexandri en Mypte, Ia formation des grandes biblioth ques, dans elis villo et 1 Pergame, produisirent, dans les relations litteratres, uno revolutio comparabie, quoique sur uno moindre echelle, ara revolution ause par lade uverte de rimprimerie La litteratur medicate ne 'en essentit a molns que les nutres branches de connaissances humainei et Ies productions qu'elle avait mises a la

umiere dans te age pineodenis acquirent une publicite hien plus grande cela est manis te murrae livres hippocratique ; en esset, e qui anque surisu a ces lines,

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dans la Ariode eompris entre Hippocrate et Iadondation d'Alexandrie, 'est une publicito virit te et silendue Peu de gens les possδdent, peu en soni mention et iis restentiense mεs enire u petit nombre de mains, parmi ses leves et parmi se descendanis L publiequi les connali est sori restreint les copies soni tres eu nombreuses Ia circulatio est tria limites; les bibliotheques publiques n'existent pastu l'o puisse es alter consulter; raeces de ces livres est se εἰ la plupari des rivains. Illae aut done pas4'Monne qu'us alent sit rarement cites. Becla aussi tes hances de destruction, si nombreuses mur Iestivres doni ii existat si peide coptes; de tu la perte de tantra' vrages deri'hcole de Cos, doni j'ai releveram mentions dans la collectio hippocratique, et qui on per avant d'eire multiplias et repandus; de la ensiles facilites qu'ontamuvees les vendeur de Ilures, lorequeles mi d fgypte et de Pergame payerent autoid de ror Ies manuscrita pretaeux a inti- tuler comme iis le oulurent un erit bien anteisleu sans dout a labente meme malan'vant res encore aucune publicitε. et L metire u nom qui en augmentiat conside, Nementa Valeur. Illa'en sui plus de meme dans rage qui scivit Ia mort d'Alexandre Les Ireres, par cela seuIqu'us se multiplierent, prirent une forme plus certaine qui permetini bie plus difficit ment les substitutions de nom et l'interpolation de nonueaucecrita dans une collectio desa existante La collection hippocratique ear Cest uniquement d'elle qu'il est ici question sotrouva, par lectravaux des commentateurs fixε et ferme a laute invasis de uestes quin'auraientias recti Lee moment, te certificat de leur origine Bes Ioracla transmission enfiit reguliere Ies commentateum se scivirent sans interruption Cret cetis transmission deteries et cette sεrie de commentateum qiuit saut indier. 8'ilites vrai que Diocles de Caryste eui commentem des critid Hippocrato cesserest loplus anelaides auteurs qui on e crit surie friet Achermann dans l'excellente notice quisai partio de latibιωιhὸque greeque de Fabricius , donne Bioclis Mantias et Philotimus inmedes commentateum d Traite de Post in du-ἡdeein Ces une erreur: Biocles, non plus que Mantias et Philotimus is, potnt commente Garaite et les passages de Galien, Sur tesqueis chermanis,ppule Ont e te mal interproisis m&leci di seulement queBiocles Philotimus, Mantias aviam composδ u livro surde meme sinet et portant aieu Pres le mente titre Ce Iiure de Biocles est cite paradouen. Ous te utre de Traite surι olpetne dimedeein Erotienian ire l'explicationis, mot, qui est dans le Lisre dea τι euιationari e qui prouue quea'oiis'est servi ilis vrai des texies de Dioclesiour expliquercertain mola dissiciles mais que ces texies etaient non dans uicommentatre su declivres hippocratiques, mais dans des traites composes parrae ldeci de Caryste, fur disserenis inta dea'ar medical onteut assime que Bioclesi'aias te commentate χ'Rippocrate; ear se commentatres 4'iis avalent existe auraient lint cites par quelque uns des iammentateum postelaiendi. ais it aves sierit plusleursatures qui avalent des consormitas sol pouri style, olimur e friet, avec quesque livres dela collectio Hippocratiques tela sontae Truite dei pietne d medeein et celia de bandages qui presentalent de grandes ressem-blances avecae livre hippocratique Bea arιieulationa; et est encore u Traiιe dui nostic, qui aves aussi beaucoup emprunte au livrelamippocrate surdeissime sujet. Le plus ancien commentateumque l'on connaisse est done Κεrophile . qui sui disciple do Praxagore, et qui fleurit holexandri vers 1, 300 avant J.-C. I aves travam surcle Pronosιi d ippocrate Galien dit qu'il s init content d explique seulement les mois sans entre dans les explications sidicales. tienne nous a conservi une de se explicatio rcflεrophile, divit, pretendat queda prognos et lairi lictio soni deucchoses disserentes; que la prognose est te iugement que te medecin porte sanci'enoncer et Ia prεdiction, con jugementaui-mem mones. η tienne tronve cetis distinctio ridicule elle prouumqu'en esset Herophile ceruit furtout occupita sens precis de mota Cependant I navali sangdouindoint quelque auires explications car Caelius Auresianus , citant son Commentatre, rapporte γ'flerophile, examinantes passage u Hippocrate parte des vers qui soni rendus dans Ies sesses, di qu'il importe re que ces animaux solent evacuti moris ou vivanta Ou

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