Oeuvres complètes de Bossuet ...

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omitot qaeelles parcisseserit Plus esses se Melamient, plus r8 se se declaresi renue elles Aviani desta γ' elles reno Holani

par 'Egllae mme, Vesve pas in meuglement manifeste Mais on a minis te moen de re re te consentemini de ratui quit inretienne suspectra nos adversatres. 'est asse de te dire avecti'Αnonyme, que les apotre soni sicrit que te a secret oule minissere 'iniquila 'opsimit' visu, comme iis te tradui seni, a Mit ma in irain, dis lauri M. Mint Paul, donissoni ira ceu pariae Ualien dii qui nous en arque te sempricis da plupari des interprhte entendent pari mystere I'iniquit me malignit secrsite qui commenFit dis lora Dremueri' bire romata conuel angite, ouilanae dessela misi γ' volant conquinuelque empereum de se sitire adorer comme desdieuxisime dans le temple de Isirusalem, oiqueique auire chose semblatile cis interpretes fovient que sarit Paul parisit obscvriment de res ta es, ou par respecti fles Dissa es Habites de Dieu selon las marimes qu4 avolt praeliges; in mur ne polin exciter la persecutio que les Bdhles devolent aliendre en Silence, et non latrovoque par aucun disco s. Α reste qui Veut smoire qui se peut dire su cella pariae petit vola saliut desome, pariniles anciens, qui la rapporte a Nison; et Graiius, parmides m dernes, qui 'applique DCaligula duo qu'il en soli, i est rhs- certain que c'est une hos obscure et douteuse cependant ii apti, nos adversatres de se prevales de robscurii de cetius rese, Dur Merier te consentemini de rantiquitsi Graiienne Mury attacher cella salisse idhe quod mystere 'iniquit est la comruption de la doctrine dans I'istis msime, et conmae inint Paulassum, pariant de son emps, que miserere 'iniquiu se remuedria; illa ense nent, Lichonte duehristianime, quedtale irius

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laut. Ceux qui sans cesse se glori flent de ne recevoi que ce quertariture a dii latrement, siqus par laria se ide que leum ministrae; auachent a des paralis obseures, si itimi mee dinanestre se des preMers times ei las Phres las plus appro M. Qui

. I seconde proposition. diibit, est en re molas is, quisiedoctrine embrasiae par iovi des villam elusiuennes, satis Olan

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des dogmes de la religio et des articles de a sol Ces dogines sint regardsis comme inviolabies, parce queda visit ne change mala. C'estio quoi quand in remis quesque e se quia Helesta, lac priis in sint Meessalaemeni Musa Mors in lautiael'Εglis dans la partie la plus vive et la plus sensibi , et l'Εsprilde usiritsi quid'anime ne permetia que des muVinutes de rella nature, sevent satis contradiction. Mais ceste resson ne laurienauccoulumes indisserenies, qui, Ven&rmani Meui me de lalai, euvent sitre changsies sans contradiclion e seres uneiamsirilsi inseniae que de dire que 'Egli se universelle, qui dis letemps de inint Cymen communiuit les petit enlans, ait Mdans lariae, Dur laqueste iant de martyr moumient ious las

dans lasses, que Duoi ii salae de nil si propos que Sen si guer res issemini in rabolition commmunishmgemeni dans lasest

En esset i est constant que cella mutum de communier trepetit ensans, Uidamai Myrismurie par aucu concite mea visi inandi insensibismeni sans omne Muissure ni condamnasion, comme nos adversatres consesseni eo mes γ' leuichange plusleur choses qui sonti la disposition de 'Egisse. Ainsi tant de sariis vinues et de ininis martyr Ont e leumraisons de donne te corps de Nesre es eur a ceu qui par leuriapiam Moient incorporis Yson corps mystique ista'Εglisedes sitates saevans a uis si dea ius motus de prepare se

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iraditions des Iulla'. o Ilieut apprendre de inint piphane que les tradition des Juis, ne sint pas inulas de meme natum, ni de meme tala, et qaeon ne destias te comprendre lautes mus une mome His cirire en reconniat illane telle autoriisi et de si anciennes 'u'illes attribue limoIse Mais it De a beaueoupra'autres qui soni nect 'iis, donici mus a norum les auleum et donici nous amamusicles commenemens. ω est Caecor que es tradisomne sonitas lautes minuesses, ni ouies repro his par te Asia Bieu. Quoi qu'il en soli omne pe ut pas dire que 'origine en sollinemnue. Pour cesses que Nolre Se Murri si ouvent eo ameses dans rLongile, te successit, res aula s de rune et de raudi communion convienneni de lesia orier la Nuparta liseela daepharisiens, Ont On Onnoli asseales avisura, a si bieique les comme emens et les progres

roprii, quand ii emit γ'il fert his cause, an consitarer hland et l'o peut aissiment diage eombien es injuste la comparesson qu'il est si sοuvent des traditions inretiennes aveo eriles de pharisiens'. 0 ne in marque les comme emens desuadulans chresiennesion vient de volariu'on sanae comminae ment et docia secte et de tradition des pharisiens. I parone trement par 'Εvangite, que es tradition des pharisiens Mesen contraires a r ritum Caris iis labiissese ut par esuaduums des observa es directemini Oppossies h lami delam,otiis metiolent avantago de persectioidans de pratiques indisessirentes, et enuout cas deleu 'importance que dans les grasis

preceptes de rides, o die ense non a soniinple la virile,ri misericorde et te iugement Musi in lautes maniores, ibisseritiaent te reprocli que leur salsoit Isisus-Christ, de transgre ries commandemens de Die li cause de leur traditions Si donem in comparer nos tradition ave les tradulans des μν

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relles de Darisiens nescient directement oppossies Que si rinyeutri Dura suppose que te silene de lTeriture sum murta lumine doctrine, quelque antiquiseriaecte an dans rL se,

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des ille ei ciladella de Mesa et pay Messin, elisis de Mela et de redis, lanei Mnsires des Suisses et Grisons, olone de Landaeneres, mineta de cana Musimi des imupes ademandes exies ses est.

Puisque eine villa et reue province, que les mines --μlae, ne respire plus que par oue appui tuisque testeuples quevcius use iam ne trouvent de salutii de inressi que dans la pro lectio de Volae Excellenee, et que volae Onctorii se les in acquis parde titreta monde te plus sigiti me nous ne derans Dint avola mihi grande dote que derisimoigner hauimeni reque nou senion e nos cruran et in ron ne volt me de Hensatis, ii est uste que riuinj parcisse sans porter des margues de recismissa e Cest dans cine pensis, Monses eur, que 'me

direpos que ous Mus donne a mille de tam de pestis qui nous emimment, et piusque resude est ineo alibi mee letumuli et te bruit, ii aut bien que e rende graces de moncloisirparticulier a Paula de la tranquillusi publique. Β'ailleum de Moula pas, limse Mur, que monere Hlod'unoen lavst rabiei discours qui ne landriu'au salut des arnes, puisque leuisus a nil la grace de consitarer te in es divino, commeelle qui soni les plus digne d' euper vos solas et finiretinis Milegrandi te. Et certes quandue contemple en moi-msi me oula lascite de vos actium immortelles, e Meque de satae ineno esse Mus inalent auce urines lasiliis renomnias, et questa post μriiula plus elisignis uelo radire sans sitan ment Iecme,veilles

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' religioli, mire plassidui prometient une prolaesion silui

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sanie. Mais ceriesue semispe recinno immittas iant de boni sis doni vovim'honoreg, siue Uesphrois rappui de Votre Excellenteque par des considsiratio insinerales Tant d' meum que 4'enairmus, et mimi'ai si pei ruisitant m gailans in lixes, tant de bientat qui soni , connus, tant de graces que e ne pesse liqueri me persuadent qaeelle favoriserim Ounage, que levous osside comme une assuranee et de mesari humbles resperis et decla perpsitvelleradsilit qui m'attache inviolablementa voire service. Que hi mon impiussane meum inutile: si is grandem de vos luentius ne in laisse pasissime de pareses qui Disseni

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Omni ili' aien de plus omarquille dans e Caicthismede mire adversalae, que I lamin age qaeu reiid Adad lice denotre cause, ausis mini demein principes Vestias tant de disp. ter et de contredire, que de laire volsau ministre les conssiquencestra linitime de que ues Veritis'aen a consesines, et d'instruire nos sthres errans decla purae de noue doctrine sur que uespoinis de notre orsiance'u'on leur a siguissis par tant d'artifices. Cestio quoia'a Ialassi plurie sis se que de Dumis dimis'meni reprendre, Dur appliquer Ouies mes pensos hine qui est te plus utile a salut des ames Ie conjure nos adversatres dedi reeet ouvragmen esprit delata, et Sensese les raison mens mecrauention et te sola ques ruent des mauhres de est in lanile. I 'esphre que la lecture leur sera connoli re que Je parte contre leur doctrine sans a me aureu contre laure peramnes, et quχvire linature qui mus est commune, Je sala enim hon re en eucle baptgme de Isisus-Christ, que eum erres ursis'Ont paces stiaesi. Que si 4'accuse Uuvent leur ministre d'aucter visibi metale sensim auteum, et de nous imp er des sensimens que uoucdsit in , mesilaintes Son tris ustes et tr insicessatres, et Musae Dumns visisse ense te sans intre peiumque So Hiram livres. 0r e se quo G disco sinclaircisse sumsammentsa pensis, J'ai cruriu'il ne geroit pas inutile de salae metire ici unpeu plus au laus quaeque en est de so CusUraime, misis in marge a de Gue reponse, et doni lamne de cer Hage sera e