Essai sur J.-M. Angiolello, noble vicentin : (1452-1525) : premier historien des Ottomans : (1300-1517) et des Persans : (1453-1524) : sa vie, son oeuvre

발행: 1913년

분량: 250페이지

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분류: 미분류

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- 12si parque, Ben. Ramberii, les Italiens, mais surioui tes Vsinitions Ont sali lachasse aiax manuscriis de I'Orioni et potisssit'imporialion insithodique des manuscriis grecs en Italie iovi comine te sirent les Franquis. Ce potui de i histoire asitsi mis en plei ne lumiore par te savant M. H. Omont dans

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CHAPIT RE VII

Improbus labor omnia vindit.

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- 12 exotiques, ta beauisi et Ia grace des semines, sont lolii delo luisser indisssirent. Ei de combion de su eis divers il se

Malgi si te petii nombre des anno es, Angio tollo pariantpoui' i' ex podition de Νsigre poni siluit relative me ut pro parsici voyager en Orient. De sali, grace si Ses situ des se condat res, de au-Marte Savait dii latin ei dia grec, it dochis oet traduit uno inscription grecque qu'il iro uve h u Fillibe

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lin Par exemple, les sicritS des premi ers historiographes ossicie is de Venise, comme Sabellico, Navagero ; les Diarii, n0mbre ux alors cs. Muratori, XXIII .

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Angio tello nole goigneu sement ious les phsino mone S gsiographiques, tota S les accidenis physiques qu'il renconire :Ville S, cours d 'eau, montagnes, calix thermales de laptaine de Thermopole u bagni medicinali quasi comesono quelli di Αbano. is Les sorteresses, it les ii sierit parquet ques iraiis prsicis, sali ressortir leur si tuation exceptionnolle ou leurs approvision ne menis sinormes, parsoiSi 'ossociis de la garni SOD. ll dsierit avec complaisance te mont Atho S, RVec Se Scaloye PS OV moines ausi si res ei pudiques, i 'hippodrome de Constantino ple, te palais d 'Ismayl. t 'sis life Sa inie-Sophie et les principales villes de la Ρerse.

nime de ses contem p OrainS.

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- 130 La gsiographie historique est uno science samilthre hΑngiolello, ii rappelle avec soli1 lo noui des sonitatu ursdos clisis, i 'endroii oti a passo, campo iel potentat ou telgrand capitaine, satis o ublier les enirsies trio m phales dans Constantinople, dans Tauris, ni momo les sicuri es d 'unAlexandre ou d 'un roi de Perse. I 'auieur a tan SotaVenirpour te Mont Parnasse. Cavalla, il la signate comine lenid des Pirales redouisis depuis des Siheles. Datis Sesretours sur te pasSsi, aestu te Vicentin sati pro uve d 'osprit critique, it ne suit pas h l aveugieite les dires dii premiervenia. Il en va de insime des informations de Ses contemporatus il les vhriste soigneu sement et les reci iste aube sotu. Il le fuit en particulier potar te rsicit des derniers ours de son jeune mattre, Moustasa ΤhHlsibi. Mais plus encore que te paSSsi, les ro allisis prsisentes, vivantes, de Son te in pS, te iras pent et captivent son attention. Il nous fixe minutieusement Sur les cultures, Sur les murchandi Sesdu Levant. Les re Seio canari Μ tout comine les u ga UdeS η, et d'autre pari te noui bre et te tonnage des gathres, l'intsi-reSSeni ausSi bien quo les marchsis des grandes villes, lasvreisi des baZars, te pitioresque des caravanssi ratis. Il en

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- 131Bellini, aussi bien que les Diarii de Sanuto, que la I sist-

merciales et millia tres i , qui monent de Vonis e li Constantino ple par mer ei par terre. LeS religions, te S langues,les cosium es, lus bij Oux, les jeux, meme la coissuro dos Persans fixeni son attention. Patriote et chrolien, illi'oublio pas de rappeter i 'origine chrsilien ne des janis-saires, popiniore des ossiciers de l' Empire tur , ainst quo colle dos silles dia harena dii Grand Seigne ur. Angio telloen partant des Turcs, ne conseni pa S a te S naiter, molnsencore S 'abaisse-i-il en tes dsinigrant. deuiae set bovillant soldat 1 Νsigroponi, it lui arrive bien de rudoyer cessi patens crueis is, qui ont eu te tori de l'emporierisur les Vsinitiens ; mais, dans la suite, it leur renii toujours par- saltu justice. I 'ardeur guerriore et les proventions de sescompatriotes contre les Turos expliquent sumsammenti' sicari que notis devous noter. Essective ment, Par Suited'ungerreur sciri ro pandue depuis te Moyen-Age, les Turcs

ou Sarrasitis si talent des patens, des heretiques Cf.

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secondo mollisi dii XV' si hcle et ait commen cemeni du XV1',

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