Essai sur J.-M. Angiolello, noble vicentin : (1452-1525) : premier historien des Ottomans : (1300-1517) et des Persans : (1453-1524) : sa vie, son oeuvre

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Νul porirati ne nous ayani sitsi livi si ni par Angiolello lui-mo me, ni par lus historiens, ni par te S pe inire S, nou S

Vicentiu respirant sorce, volonisi tenace, boni si robu Sie, optimis me vigo ureux, inalisi rabie constance dans la vie. Clioyen de la I sipublique usi niti eune, it consacre Son exiS-fence au salut ei a la grata deur de Sa patrio. Matheure uxsur te champ de baia ille, it est plus heureux commehomine ci'a fratres, comme Voyageur et sicri Vain en esset, comme tot furtoui, ii sati honneur u Venis e. Dans se svoyages, it ovoquati l 'image de la patrie absente et communiati en imagination avec les gran is an coires. Grace licuite iniimilsi aveo la nisi tropolo, ou n' est pas siloniasi dei rota ver dans Angio tello l'em proinio spociale do la Reine do i 'Adriatique. De t 'esprit usinitieti, Jean-Marte a vati lebon sens et te goui de S rsi alii sis positives, te Sens dia i siet,l 'amour des satis. OP ceux ci relisis par la recherche des causes constituent prsicissime ut i 'histoire, telle que de an- Mahid i 'a sic rite. O utre ian grand bon sens, Aragio tello devati ienir de lanaiuro vo nitienne la prude nec avissie et la sine sSe, queviugi anno es h l 'si iranger, en Orient, is la cour du Grand

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- 14 Seigne ur ii 'auroni pia que do veloppo r. Les quali isis qu ilienati de son sol natat, de su sum ille, soni nil sies se sorti fiant grace aux lecons de la vie, aiax froite ments avec les homines. De tui aussi l 'on potiri ait dire si Vires acquirit eundo D. Certes. Jean-Marte a sit si molo aux assa tres: sonmilieu, sa charge de irosorier de Mahom et II, son nos oceon Perse, sa charge do ches des ΝOfaires de Vicence, sesnOmbreu Ses et grandes relations, tui in sinageatent maintes occasio iis de voir les homines et les choses.

Homine intelligent, caracthre sinergique, Angio tello est

tsi resso il l 'a prouusi comme jeune soldat oti it a employsito ute son industrie pota P arracher ii la mori quelque S victimes de la guerre. Son d si si nisi resse meni est illustro par

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- 147 liii si uiro, ni de son vivant, ni a pro S Sa mori. Ceries, ii D'yn Rue Une comparat Son entre la modesti e d 'un Angiolollo ei lii suiuiisi de iant d 'humani sies. Mais, celie comparat Sonserati motus Sotaienable encore avec in vantisi ei la si dure

dii bluir, qui emporient les humatus dii X1x' sthcle Comme homine, patriote, sic riva in Angiolello nous parati a vois bion mortisi de la patrio et des let tres. Vrai mont i 'on diruit que lisani les posistes patrio iique s d 'Ant. Losco, uti a mi de la famille, de an-Marie encore jeune ait priS, po ur Programme de S a Vie, de ju Siliter par sa proprocondulio in conclusion de l'une des plus belles de ces posi- sies. Ello e si cito e par Angiolgabriello, i. I, p. 246. nou Spensons qu'il convieni de la re proditi re iei

Egregie, o Iuvenis, quem clara ex indole magnum Promittit spes certa virum, dubitare coogit Excellens animi specioso in corpore virtuS Quid tibi sit potius summa pro laude sequendum, Ingenio et studiis certandum, an corpore et armi S. . . Hac avidam laudis ratione juventam Si formare voles ; si Lusco credis amico; Culmen utraque via celsum virtutis adibis.

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- 148 Γ historion ii 'Angio tollo de te glorifier aulant qu'il s'est humilisi 'est potir ob hir si ce devotr que nou S terminonScet e Ssai en nou S sic riant :Date lilia plenis manibus l

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Ces deux statues symboli sent si nos Teux les de ux types de prisonniers quo fit Mahom et II h Νsigre pont, te jeudi 12 juillet 1470. La statuo de notho povo Iisi re pro sente te S

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en si iudiant les principales langues parisios li Constantinople grec, iure, persan, arabe . Ces langues tk il les a parisios, les biographes de Mahom et II et celix qui onisi crit fur Angiolello te rapportent; ses sic riis ii 'aui repari en Durnisseni une nouvelle pretive Angio ollo parte greo avoc los siles de la De spina, V0ytae du marchand, sol. 85 , - lii une inscription grecque manuscrit vicenilia, sol. 35 , - affirme savoir bion te iure, te persan et l'arabo Ramusio, II, 78, it traduit te Testament, dia iure en ii alien). Ain si que nous te voFons, dans Ie manu serii de Vicenco, Angiolello, en sic rivant potar ainSi dire Son journal, a suretracer les falles histori lues contemporains glorieux, statieurs potir Mahomet II son malire pri se de Ν6greponi, mariago de fa smur, historique dii berceata, des modestes origines des Souvera ins Oitomans, grande ur dii Conquo rani, portrait dia Granii Seigneiar, description de sa capi talo . Quo ce deruier ira vati ait sith dsi disi par l 'esclavo aumat ire Ou non, toujours est-il quo Mahom et II au diro deses historiens) sui favorabie si Angio tollo et tui accorda lalibo nisi en te dsiclarant assPanchi. Il est sigalement acquis que

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- 151 Son milieti, ses relations, io ui te sollicitati k ne d siposer la

pathe, it ne tui a pas sit si donno de la parachever, si opera

ce quo j 'at pia comprendre avec ma petite intelligende jevise mon vorage dans lus conirsies dia Levani, oti je viens de passer hiiii ans et huii mois de ma viein je potarrais hire agro able a coux qui tironi mon rocii. Aussi bien, iis y irou- veroni une grande varioisi de satis et Une connaissarice serieu Se des peti plus, des villes et des in mures de l' sitranger. Si dans ceria ines parties de mon iravult it y a de l'obs-