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f. II. Ces dernieres ornatile etant Xtre mement complique es, i est tenas ensin de Voir, quel sint les termes qu'on e ut negliger dans hac uiae. Je rem arque donc, qu 'onpe ut 'abor negliger te b dans Ous e termes, assectes de de -- se, quoiqison 'ait pas se te fatre avant a differentiation, dans laquelle Utrement on auro it per- dii bien de termes tres essenti eis. En sui te ne lecture rei te- re attentive des f. s. 6. a. 13 de mora premi erMemoire convain cra, filias que 'aye es in 'entre dans de longues discussion pota ei faire 'application a notre present
' es croyois etre e rennier, qui ut decouVert a verit de ceti proposition qui 'abor m a par asses paradoxe, que deu variabies αυ, leurspmnieres differetices etant dans uia appor in iniment petit δὴ QPs polivolent tre an uia appor fini: mais 'ai u deputoque es detix premier Memoire se cette mattere Ont te imprime que M. uter e Pere a trai te ceu proposition comme dei connue' dans divers Memo ires entre utres, dans elui qui a potar titre Deeollisione corrorum gyrantium, istae re dans e Tom. XVII de nos fou
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det en multipliant par ζ integrant:
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f. a En disserentiant et te Valeur de , on aura
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f. O. Mais si a premiere quation satis sat si bien, c est out e contraire quant a la seconde, qui ne ait tende moin que renuerser tous nos calculsis hypothes principale, sur laquelle iis reposent, saxoi que angi Vn 'est susceptibi que 'accroisse mens o de diminutions infiniment-petites In En effet equatio donne a entendre, que Dan glexi augmente a infini, e qui est non sculement contraire lyhypothese, at absurde.
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f. r. Il aut donc necessatrement pune de ces detixelioses: Io ou bien es calcul son justes, ri'hypothes doni j viens de parier, qui leur seri de base, man que de son- dement, ce qui Veia dire, mu'it 'est a possibie, qu 'en sup- possent ne extensibilite tant sol peti petite au fit, it puisse en
bi en 'hypothese est legitime Qvraye, Gya commis queique
au crible, faire unoe application ustes des principes etainbliso demon tres iani lex precedens me moires, cie ne uis cependant v la grande delicatesse de a mattere, me rasiuxerentie rement de 'avoir a choppe dans queique endroit, quipe ut avoles influe Tur to ut te resto. Il aut ii reste bien se garde de concitare, de ce que 'equation II. est absurde, quele calcul sol erroneux Car maypothese toti iusse, commea Out prendre cela 'est pas absolumen impossible, ne se-a ou pas si tonnant, in 'on evroit in contrairo ' attendre, qu 'elle menat enfin a uel que resultat absurde Au ueste jeje 'ai a bes in 'avertir que si 'equation II. e tot bonne, des constantes indique rotent, i une a vi tesse nutatoire initiale, 'autre Pangle se initia dii corps en OuVementi
Noua Acta Acad. IN M. T. III. X EA G
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e me propos dans celemoire, de reduire a des principes generauxis de presenter dans leur rapprochement les elemens dioptrique , qui servent de has a a Theorie des objectissachromatique applicabies au Microscopes. . Euler, dans e Tome XVIII des oliveati Commentatres de 'Academie, donne comme u Supplement a son grand uvrage dioptrique,un emoire sur application des objectis achromatique a tout sorte de Telescopes. Le procede extremement ingenteu qu il fuit ou simplifier e calcul, ne scauroit ire applique immediaternent aux Microscopes, iique les elemens, Ont iliari, sont adaptes a Phypothesin 'un o et Uniment Digne. J'aidon cruci usi ne seroit a sans interet, de presenter ceselemens fous ne forme, qui te rendit propres a tre appliques ali Microscopes, 'autant plus que te approchement deces elemens usa Ourni des moyens de simplifier en uelquespoinis