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antpourtoutes elles, qu'elle les face agi 3elesiousse to utes agem nn tant particuli e que commune de generale Ceste raῆ- n est fi forte qaeesse a forciε, me es ceu quioni douin de laviath de dire uini a Wne nature naturante, Cest adire essicien te, agente,&polluantiautes ahoses naturelles adeurdin,& ainsi com
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miε:variete grande, plantureus e vient dabor dante feniliteir' aeordie, concorde ou a pluralit, differente, est, te maintientear ne trespuissante sagesse. Apres, a factu re&micellelastructure, perfection, beautε, 3. nam a. tat en gros de to uice mode& entier,que de chacula e plece a pare, ne peucestre sans via tres grand& tres sage ouurier. La vc uela unpountsct Dict conceuot unieinire, din ouurage nisu urier, aequet init beau cou par dessus son Ceuure, comero usiourbi autheur, lacauis,lenis antae donant est plusque rei tae receuat. Ot quelo conlepletebastimet, structure de cesteio ut e celeste,ouso nilogeg de flabeaucesclairans, ae sans cesse roulans surnostestes: quero considere la facture de rhom me eis face, ais parties liuernes 4rtifice d'icelles, pulsi'ame qui ne sevo id minita beauthies penises,ses discoursis actions,qui ne sepeu-uent comprendre: tout cela monstre bienaroeil que out aestε satra quelque fin, ρκ'u'il ava ovurier tres grandi inuisible. La distisection,gradation, parrage de to utes choses, de leurs, sin risqualite naturelles .essentielles, qui se reduit a quatre degre - ρ principaux,estre,viuresenti Mentendre, contrain et d'imaginer a. --.vn libre, merueilleux autheurri maistre Les plus grand corps partie decemonde,qui sonites Cleu doles Elemens commegrandsvanseanx ou planchersi Vansque restre simplement c6tiennent te oustiennent toutes autreschos es. En ce premier de plus basordressest re ulementioni aussi comprisecto utra les ehoses, qua 'engendrent dedans le ventre de laterre, metaux, nuneraux, pierres reclauses vi amres , voLre toutes choses arti fietelles.
Apres en second lim plus haut, riche sonides plantes, arbres, Rherbes qui presque ne sontrie en corpulece a prix des Cleuxaedes Elemens, yanctoutes is estre, 'iure, se seruent, sensurrissent Sicelix,prenam vie, nourriture parta racine. En uersiteu sonides bestes, encore plus petites que les plantes, plus riches tout Ais que tous les Elemens, les plantes,commevans estre,viure, sentiri seruent deces deuia res, prenansnoumture des Elemensis, desplantes parta bouche.
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tous biens e soy,estre iure, sentiri ententie , se fert PM continiande a tous es precedens.
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ipiis pis cessite , qua payt ne premiere, fouueraineae uniuer- felle verit &bones , ouroei iniere de inutus aes singulieresus particulieres veritea, bonte , dispersees negalement par mutes les choses Caeselles Vestans de sosvrayes4 bonnes, aut
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choses natu relles Mais qui est nature qui lusa balliεὰ cours ceste forcetqui a saltae premier noyer qui imis ce train aux cho-ses,, te conduit γ'il ne manque potnc qui a fatesce comence-ment ii non ce que nous disons 'nautheursouuerain, qui agit paria volonth, nicies choses par saluissance sagesse infinie. Apres le corps ou rhommea si eu,comedit est, venonsa Dpri qui estin abysme, quero nepeuciamat tander comentdo ques rauroit-il fait en cete rit Da mille merueilles, que
monstre qu'it fades choses intelligibies par dessus les fenfibles,&encore ne par destis, non seulement ces intelligibies .mais au si par dessus cet entendementio est a dire tu, mes me, qui tescroist. Nostre entendement cognoist, entensioutes choses, ac se peucentendie, cognoistre lay metae, te qait d'olitu, vient ceste grande sumsancede cognoistretereste Il nes'est done 4 as nitio metae: re faut par necessitε qu is est,mentem demente' deffusae nostre,leque cognoisse te nostre lati fait,
nous, que nous clast a dire nostre entendement, est a pax desius te reste,qu'il eniend. Les pensem de nostre coeur,lesimaginations de nostre cerueau, les de ira de nostre voloth, les conceptions, inuςntions, discoura de nostre esprit, entenclamet, qui sontinfinies, que nous ne ponuom arrester changer nyranger , mais plustost nous emportentde tracassent tous entiers, monstrent bien que nous ne sommes pas maistres denous. Et
commentae serions-nous alendrost de ses internes, grandes
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rant grande, uniuerses le confessi,ni profession de religio partouthmonde, monstre qu'elle fest bien vinement plante clauature Car compent serost-on,insitous generalemeed, ord
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bonine inose penitae, qui ponte auec oneratnte, subiectioni oblis sion ,s'il estotiloilibleae libredes'en passer,si4'onio uuoit
iba estesint, chap. a. la religionae fatist valo irae te me parta effusiout te reste,tinoisinant de la Deuε,lasouueratne cause, apprenant ala desirer, Vmer, de reclamer La diuersite de religions est bie .grande par te monde divorsitε de creance, de prieres de sacrifices, mala parabut visentiment uniuerset de Deite. Et ceste tant grande diuersite dela seruiraydea confirmerce consen- tement carelle monstre, que ceri'est potnt v Moloctrine contagieuis, ouune piperie, qui se vend& couriderun ahautre, une conspiration intelligence mutuelle, mais que chacunila trouueenion air, en son cliniat, voire enio mes me. Ceste prompte ει nullenaenti ourpense inuocation de quelique yde de secoursiouueratnae eritraordinaire, lorique rhome
Ce Antiment remors de cons ence si violent& passion ne, Plata detourment dila'inquietud duquel ne se sinuuent desfaire lasmosinans ni -s forsari, est 'in argument infallible dine superiorit4souaeratae, laquellet, faut respondre. Car que eue
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Pres tant de rai sons natu relles , qui ont monstrεν roir, ne premere io eratne, infinie essen ce, cause efficiente,maistresse, Ne prouidente de to tescholas,ilyena de plus hautes,&ylus exquis es, --qui monstrent fauoirone spuuerame, infinie
seiugement peruerty. est chose, qui ne pes inronis dissimulae oaedes Athoistes iis en tendent la femine, ridiot pari
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Vne mire grande, claire preuue de euiginee tres haut de divine est auxistractes, par tesques,les reides le train, ε rord rede nature est chagε. Les queis nitractes on estε respandus& nicts partout lemonde: meleuuent estre mis en doute, sans fati elacariastre vi dementit lessures, les hi tres, la Gyri creance de taut lemonde Ilyadon quelque plus grandi plus uitrant, ruetout lemondo& outela natureciequel se monstre e streparessus la Loy, que tu mes me aestably ω dispense contre et quandill plaist. Cest Dieu. Vneautre preuue de Detes est aux predictions des ohoses a ve-
nature, tors qu'elles soni predictes:predirions, dis je, non nictes a Phaetardae generat, obscurement&adeu visages mala certaines, specifiees, determinera a potnct nomine, quipias ont euleurs executios entieres, v eritabies en toutes leurs parties . Carteile cognoislance clatre, certaine des cholas adueni nepeutestre, qu'en resprit infiny,erernet, autheu de tout, auquel touteschoses sontiousiours presentes, qui est Dim, qui te releue auxhommes par ses ministres, mes mes pardes me creans pou seruirasa gloire. O iis plusseur memorabies exemptes de telles pr dictions non subjettes a diuersis sages, interpretations.' sayeta dit disertement lanatiuitε, de nom d Ro Cyrus aequudonneroit libertε avx Iulis centrans auant qu4riast nay Daniel a prophetissi clatremenides quatre Monarchies, auant qu elles fusilent: enco res de plus lotngna determinεment predicta deso-