Oeuvres, Volume 2

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O in il quere serit peut conceuoirine essencetre haute, tres. bonne,, en toutes fasons tres parnicte:&non seulement illa micon uore mais certainement illa consoit, y est menε, voire comme potab, fores pardiscours de rasson, en considerant, arrangeant har ordre,, composant les biens, singularitea di excellences, qui sonten touteschosestant a desibus de sis,quaudemus: en falsantipusio se Ilera monte en haut sonimagination paria recherche, conception de quelque nature&essences msiour plia parfavicte, osque es sin arrisera ne si,ute,si pariat , quelaxeues et nouble&se perdyesseoy, d admiration, de respecti&cela est Dim Carmim est out ce que ronpeut conceuoir de phis grand,&de plus parisict Tellementque ceux, quioni imaginatio plus forte, plus hautaine, ourceqv'iis montent plus haut,4 consoluem ne perfection plus grande, ili arriuentparriadresse de nature plus pres de rimam

de Dieu.

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que paraddition ron ne te puisse e aereide inite que se preser tanta resprit, ne ehose tant grande, parfa-,que ron uoudra qui pour lors sera finia, reserit se mutio oursioine aulaesa, ε eni iner me pluserandeti meliloure,, tousioura dire ecfres,d ancores, de encores sanciamais carroster Conceuarie

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aes autres est marcofuisse,aue des est Gons modificatios, it ne faut encor, outre ce que dinus,en paris plas expressemet. De ceux qui raduouent les Vns, comme Aristote, hay ostent , , ι. des choses corruptibi di basies hastrissat seu lement les celestes αἶ- hautes ancorruptibies, o use Mnt cacheri enserre fas se sinu Tatis. eieroicy bas: es autres luxisisset en redes inferieures, rhome, τ ὰ Σα cause dena dignite de sonesprat Gutres hay onnent to utes ehoses, mais seulement en gris de en generat, non en particulier zzz.ωen detail. Aucunctu ostentam choses casuelles, fortuites: stem les chos es necessatres, qui dependent, disen iis, du desin.

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Toucce'u'iij a dehon,de beau,deaecellent en nous, irest tres- pariati hement en ineui carde nostre n'est quin dogo ustide mixton de ceste meside cineisurce infinie. or en nous emtoin tes creatures,' ad quelqueprovidenc par laquelle chasque cho sepouruoita sanatu rebelle est donc es en Die tres-grande, pariaiete nfinis. Eleest dicelle que derive hi nostre,, celle qui est naturelle εὐchoses, quinea sensent,& nela pensentauoi commeles bines,les plantes. Toutes choses, tant petites solent elles,soni Heces de eei and , Nistiment dei uniuers. Iln yachose fi minc monue, chetiis

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aellement de πα--petites, laseres causes. Cesraisonsioni ire dela consideration de Dieu, sanature, bontes, perse ειν-mme eopsequeatices de son premtier eu-ure dela creation. Mais de ce qui se volt practique ες continuerauxereatures,l omen peut ire plusi rs. Est-ceias ne traf- belle demonstration dela prouidence, quela diuersitesdesse mes humaines,, tesse qu minesi grande,& comme infiniemultitude ne sin trouuent pas deuidu tout semiasile, laquiale diuersitε se rema ire en ta figure, lineamens, proportion, Couleur,

gestes, voix. Premierement combienimporte,& est necessatre aubim des hommes ceste diuersiin , de melle eonfusion, defordae s adulendriat si elle, festoit, it ne sopeut dire Carion ne

Langer amere dela fille, ibi dela sueui. Ainsi pactout incestes, indies carronnessa otia quilo deuroit, ron auroit promis

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mid Soysea , Micinixi .enquis de cenici, respondit que ces.ysem luse lene importuns, nectitans que crimis publier Miseurere de son pere La iustificatio de Susanne,, desco er-

de de sestiux accusateura descrite Lescritures authetiques des

πη V merueiaeux souuene esciatans a nostre e prit secreesae cachen vici a nostr entendement,dontraires a nostre sens, soasomne eant d'imaginations, opinion tantasques, ω disputes de ceste prouidence Dela soni sortis em mors de nature,magis,fortune, destin, necessitε, prodige, miracle. res, qu'--ee, M a 'u' visentio rides sciences, ans,disciplines reales AEn dexempterdes particuliere sinon adescouurir4t cognoistre les res res,tam

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e est eliose infinie e est vula tintiis tro obscur a ceu qui

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plaist coque nous appeslosis miracle. Volla comment on parte diuersement decine provide ei desesinets. ource que di- uersement eliose monstre a nos ye . Mercement, en is ligneia des effects, qui est plus ou molns' grande,selonis finderniere, a laqueste leschoses soni destinees. Carda proinde e est lieonduite des chosos a laurain. Hil fineque la conduite soli proportionnee respondante ad sin, selon ela finest plus haliteM 'Mnobis, aussita prouidem eunti

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4res iant a lana des bestes plus nobies o utiles. Certes unicha unde nous, qui se, eui biectaster , es couter ient qui ν vn intre esprit, que lesen propre, qui te frapp.&luy parte, de

-ectequelsouuet ne pas daccord. Et encores plus singuliere ment Die Lil prouidence des bons, desquelsit, appelle iniri lcre, protecteur, pastaeur, de peculierement Dieu.

inconueniens,qu4lsueuient tirer&concluredet. stabiissement de DMtε tales sonthootes indignes, temeratres re pleines depresumption insupportabis practiqua tre marceque tres bie a dit Aristote Que nous ne deuos tamala erant honte in craritise, que quand nous parions deDim. Messone diuerses des,nes regardent is nature Melleiace de . .,