Relations des quatre voyages entrepris par Christophe Colomb pour la découverte du Nouveau Monde de 1492 a 1504; : suivis de diverses lettres et pièces inédites extraites des archives de la monarchie espagnole, et publiées pour la première fois par o

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DE CHRISTOPHE COLOMB. 3o 3 fit douge lieues pendant totate la nuit. Depuisle lever dii soleil jus tu'h midi on De fila que Vingt-Sept milles, et aulant depuis midi jusqu'h

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que si X milles par heure, et sit jusqu'au jour

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psit proditi re d'autre esset que celui de reti rerson baliment dii milieti des stois. Ιl marcha dans cette position pendant trois heures, et fit vingi milles. La mer devenait de plus en plus groSSeet te vent de plus en plus violent. Voyant ledanger aussi imminent, ii se init a colari r enpoupe ou te Vent te portati, parce qu'il D'y avait pas d'autre parti a prendire. Alors la caravelle Pinta, que montait Martin Alonso Ρingon, se mith courir aussi : mais elle disparui bientot, quoique toti te la nuit l'amirat tui fit des signaux, et

quelle lui rsipondit jus Iu 'a ce quelle en stit.em- poclide probablement par la force de la tempote

et par Son oloignement de la route que sui vali

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premisere terre oti iis arriveratent, iis iraient tot S en Chemi Se, et processionuellement, fati eune prisi re dans une ogli se solis i invocation de

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de Se rendre. Le remside que t 'amirat employadans cette Circonstance sui de satre rempli r ii 'eaude mer, alassi tot que cela fiat praticabie, les pipes vides qui avalent Contenu, Solt dii vita, soli de 'eau dou e : par ce moyen te mal sui roparo. I 'amirat sinumhre ici les causes qui tui otaientia Crainte que notre Seigneur permit qu'il futvictime de cette temphte, et celles qui tui faisaient esporer que Dieu tui Serait en aide et lesei ait arri ver Sain et Sauf, afin que des notavelles

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phre et de more en terre siti angsire, que deviendraten iis ; car te Boi et la Reitie, qui ignorerat eniles services qu'il leur avait rendus dans ce voyage et les heureuses nouvelles qu'il leur portuit, ne Seratent erigagsis par aucune considoration h leur Servir de protecteurs. Ρlein de cette perissie, ilcherolia les moyens d'apprendre a Leurs Altesses la victoire que te Seigneur tui avali fait rem porter en tui Disant troiaver dans les Indes tolli

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3ici PREMIER VOYA GEl'aut i , et pria instaminent celui qui te trou-Verait, quel qu'il fui, de te portor ait Boi et

dentale de l'horigon. Il para issait que te ventallait se lever de ce coth. I 'amirat fit metire labonuelle i) a la grande voile, la mer silait en-