Simples réflexions sur le décret du Saint-office Lamentabili sane exitu et sur l ...

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catholique 'u rosesse te system comme et, dans Son intsigrite, et que les imputations testius grave ne sontriu' mollieiulas duriout fondsies,la synthes est en rair, et rheresi est subjectrue, de eux dire immanente a resprit de theologiens qui Γon si habilement deduite et si agre lement

Avant d'aborderis autre sui et les causes dumodernisme, te ape denonce encore ne Ois r agnosticis me, identine, torioursis tori, avec laphilosophie de Pimmanence et de raction. Τout acco Ver Die etant serme hahommed cote de intelligetice, crit te ontise, on

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Si doneste sentiment ne conduitias a Dieu, iij aperit δ' atheisme celerit ne serata conjure parte symbolisme, qui sera de la personnali te divine

une imple image, et nous voltu a PantheiSine. GeSt ou mene egalementi immanen e cur, Silonadmet queri aut phenomen de conscience est issu

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ia, non remotion donides theologiens de S Sain- iste marquent a bonismit les insumsances, qui est extrae dans experiene morale, ovinnavit intelligetice dans se jugemenis et la VoIOntedan Ses operations jugement et operations qui explicitent. Ρou ainsitarier, e qui est, dans lesentiment, intelligene et volonte implicites. Τoutis quo di de emotion simple et de

une veritable illumination de intelligene et

u asserinissemen de la conscience Cette expε- Piencem'estias auire hos que la vie niorale en e continuant, en e persectionnant, esse nepeut ussi que 'eclaire clavantage Ce 'on objecte surdes illusion des mystique ne tent

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Pas ici a propos, non plus que les considerations surde perilla'atheisme et Pacheminement ausam meisme. 'argument ire de experience desbons catholiques 'est a plus consistant Gatres grande majorite ignore e que pensent et disent les modernistes, et nou ΡOuVOn Vol queles theologiens catholique les plus eminent et les Plus eclaires, te redacteur mδmes de rEncyclique pontificale, ne 'en rendentia un compte

Ce ne sontias te modernistes qui on decOu- veri que la notion de personnalit ne eviratreaΡpliqueera Diei que par anulogie et non dans I rigueur de a signification par apporto rhomine omne doli passe figurer Dieu et rhomine comme deux individus doni run erat grandistrauire petit, absolumen separes Pun de rautre, et nἈyant entre eu que des apporis de convention . Si quelqu'un a dii que e problome de Diei se posuit matutenant ei terme nouVeauX, cem'est pas a raison du symbolisme, carie tangage humai ne Deutratre que Symbole en uitet sui et, mai a PatSon de progres qui se soni accomplis dans Ia connaissance de univers, dans celle dei'homine et de Phistoire humaine, progres qui ontete usqu' present comme non Venus Ourcia theologie traditionnelle

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omne conqoit a que les phenomenes de laconscience humaine puissent ne pas Otrerissus de rhOmmeri car, autrement iis se produiralent endehors de tui. Mais omne Volt pa non Plu comment la simple constatation de ce ait implique-raild nsigation deriout distinctio entre Die et I homine carcit en serat de momeῬOur toris les Phenomenes natureis donici laudrait exclureraclion de Dieii, ous peliae de te consondre aussiaVec te svi et de ces phenomenes. Disons plutotque te appor de Diemave te monde et rhommees le grand mystere. Diei est e nous, et nous Sommes ii tui, an qu'i sol personnesse mentnouS, an que nou SOyon personuellement tui. Μais a distinction docia science et de la sol ausens urentendent les modernis tes, ne ait pasde Dieu incontinissable ni inconnu; e 'est qu'une division necessatre et legitime dans Pola et

ment et ceu qui pensent tout savoi de tui ne Soni eut-δtre a ceu qui e connaissent e

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oner te sevis detenteurs de la sagesse, et M'ils disent, hautatas et gonnes se Nous ne sommespas comme es uires ommes, et que, Our coire pus compares aveo Ies uires iIS adoptent et imaginem tontes sortes de nouVenutes, momele plus absurdes gestia orguetL 'iis repudient inute fouinission et qu'ils retendent querauiorite doli se concilier avec 1 liberie Gest Par ormeli que Sans 'occuper d'eux-n mes HS songent uniquement a reforme te intres, etn'ont aucun respect de superieum, pus meme de rauiorue suprome. II mestias de heminitus cour et plus rapide Vers 1 modernisme queror eil. Quin laique, quin retre ait utiliele precepte decla vi chretienne qui non Ordonne

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i. est ce qu'on a compris depuis. Die X prononce rexeommunication, dans soli Motu proprio dum novembro 190 : ous reiteron et confirmons, tant eo dicret de ara Congregatio suprgine te dicret Lamentabilis, quo notre iteletire encyclique, en Moutant a Dei ne 'excommunicationeontre lea contradicteurs; et nous declaron et decreton queat quelqu'un, e qu' Die ne laisera etait asse audacteuxpour delandreaurae quelconque des propositions opinion et doctrines reprouuees dans uti et dans nutre des documentsci-dessus sisignes, Leucourrvit par te ait a censure dicteea chapitre Docentes de la constitution Apostolico Sedis, censure quies la prenatore des excommunications latini sententioeyesemees autontis romain . La censure de te IX 12 octobre

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sime, et VOucles represente comme uniquement

petris 'orguet et de vanite Vous ne les jugeg

ces crit respirenti arguet a ui te piant que cetrait suffirait a les distingue de ce que te Per-

186s concerne: ceu qui enseignent, qui defenderit, en publicis en particulier, es proposition condamnees par te Sioge apostolique ous eine 'excommunication lato sententio νὶ, 'est-h-dire encourue par teriait Pi X en elargit grande-men rapplication. Dans allocution consistoriale cite plus haut p. 204 , lePape dit: si Certes, nous ne ourrioris qui gemi si es hom-mes le protres modernistes , quittant te ei de I Eglise, passaientis se ennemis declares Mais Ous avoris plus encore deplorer iis en sorit venus a uia te aveaglement qu'il se erolent encore fit dea Eglis et s'en glorifient, hie qu'ilsinient renimen lait, sinon Deut-eire en parole te sermen de so jurea baptεm B.