Œuvres de J. Delille

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wἡne Dans ne ex Porieno Ora i Vc uiui e Parer, parciudistillation, te merciar formani ave Cotteius Uri mal same, te iube su bris si ave explosiori par in dilatatiori limerCiare; et u moment ii trair relati a te mesa qui avolita couleur do rargent, 'enflamma subit ement et se Convertit en inaux.

De Pacide diminus, assignea mes ire;

La baryte, connia aratre is Otis lem Om de te rei sunt ebri existe polia dans in nature dans ori tat de pureia Leplus solaverit elle est combino avec 'acide sulfurique, quelque is avec 'acide carbonique Le sultate de baryte existe en grandes naasses dans la asse-Normandie, dansl'Au vergiae, et dans es mines si elle Sert ouvent de gangue Le Carbo nate de baryte e troiive exclusi vement en

Libaryte amne saveur tris caustique, et qui os promp- temerat sinύneu se Hors tu'elle agit fur 'estomac Elle ver-dit fortem ent les Ouleur bleues, ari'exception dia Ourne sol. Elle a potarci'acide sulfurique plia δ' attraction que lapotasse Le et ii 'elle forme ave tui se prsicipite sur-lecham solis la forme 'un uage alte ux, et sertra manifeste res proseiace deri'acide par-tout Ouci se trotive. TOutes es proprisitsis ni fait, datis es dernier temps, doniae Lia baryte la premii re place par inicies alcatis. La baryte se compose 'Oxighiae et d'une bas mi tallique appelύ baritim par M. Davy, quia obtenue enite tris antnύgativement a baryte en contactive te mercia re. Il4'est forna uia mali; a me, et a distillation dans de petit iubes de Verre remplis de vapeur de naphte, a si terminyla si paration dia mercuro Le residii de la distillation tot tiri ni J-

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La magnέsi se troiave ab Onda minent dans la nature, mais amat dans son hiat de pureto et leo est oujoursu nie soli avec dyautres terres dans les stύatites, lexasbestes,les micas, te schiste qaeon a nominos pour cela terres mayn siennes soli aveccles eides sulfurique muriati Ille Carbonique, etc., dans es au de la mer de fontaines salsies, etc. Combinhe ave Ι'acide sulfurique elle forme lesultate de magnos te, connu Ous te non de et ' sona, nolo,'une ille d'Angleterre oti se troiive une fontaine quile contient en ab ondance Sa qualitii purgati veste reiadH'unusag trho siquent dans latratique de la 6decine. La magni si verilit 60hrement les couleurs leues tes

quelle olle 'unit Dious es acides, lutis obtenta ne placeparua les terres alcatines. La magni sie est ian compossiH'oxighne et d'une substance quem Dau a appelli mastilium. En distillant son a mal-game, te mota paroit agi surrae verre, monae Vant queto ut te mercur en ait t&ssiparsi. Dans ne expίrience u

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3 urit hiat solis te nona d 'alumine; et te mot argile est exclusi vement inploy Ddύsigne les silanges terreux, danslesquel l'alumine domine et qui sontarbs ab ondant danslata trire.

C'est poli I seconde finis quo Dei ille associe, dans sonhommage autet artriu'il sint culti v si ave tant de distinction, ces eu Sculpteurs sithbres Le premier 'est guhre Connu que paries vers de la troisidine glogue oti Virgileilhcrit deuccoupes sorties de main habiles Alcimedon

Pocula Ponam Fagina, caelatum divini opus Alcimedontis: Lenta quibus torno facili superaddita vitis Diffusos hedera vestit pallente corSInbOS. J'orere d'Alcimsdoti deu vase Procleux, Chess-d'oeuvre d' uti ciseau protἡgii a les dieiix

M. Hotidon, qui dans uri age avaricί ouit en cor de

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bustes de Voltatim et de I. I. Rousseau Celui de Delille inanquela salio ire.

7 Ensti vient la silice, at lac molns agrέal,le, Aux acides divers constam ment intrat table.

Ιl ' a pas long-temps qu'on rogardoitra insolubili id dans les acides comine uri des cara thres es plus arquHS de a silice Cette erreur 'est dissipsi parcies progrhs dei'art 'analisereses terres On ait atrio urd'hui queri'acide fluorique disso ut la silice, et tui communique son invisibi- lith solis la forme de fluide lastique oma trouusi aussi que luelque acides 'unissolent hiette terre parua fusion ; qued 'aut res, et particulio rement l'acide muriatique qu'on em ployoit ouesi'arracher se combinaisons aveccles alcatis,la rete olent dans laniata de siritable dissolution , de manibi eo ne potivo i la sipare deci'acide qu' la faveur dei'sivaporation. Comine la base deI'alumine celle decia silice ausisistέVigoureusemen au efforis de M. Dav pour 'obtentrifolsie risian moin il est parvenu Munusis ulta quid' portύ conetur que a silice si uti xide sit aliique doti labas a resia te nona de silicium.

Et si des uicalis te se ne nou seconde, Inaltsirable a seu grace a cerae puissant, Oti tui dot de cristavxa'siciat eblouissant.

L'ea n agitio in t surda silice e masses mai si se mo-lsiculos soni rῖduites cun tacd'exti hinc sinuitsi, commecela arrive dans te fusion et les dissolutions qu'on tui nith pro uver elle forme avecu'ea uiae gelde trans parente Pelles' disso ut monae erilibrement oti dia molns ellea dem eure long-temps suspendite. Ili est poliat douteux que lamaturen'ophre compi hiemetit la dissolution de la silico. Cus cris- tu ux silicetix, qui se reprod uisent si sotiverit surcia furface

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ou dati l 'inti rieur dii globe, ne permetientia de regardercette assertiori Omine qui Voque. La silice se combine par la vole sitae aveccles alcatis fixo qui l 'entra inent dans leui fusion Elle forme alor tin corpStransparent, Onnu Ous temtam de uerre. 'ar de te fabri quer consiste dans te choi dii able bientur, altis que dela potasse ii de la Oude leui proportion, leui susioncomptoto ii 'aide 'une chalcur sustisaut et asse long-temps continia e poliri'avo i ni ullos, ni stri es, ni fileis, et potir u'il soli bien dur, bieri trans parent, in alti rabie hi 'air Mn y ajora te seu lemon ian Oia 'alumine, de charax, quelque Oxides in Malliques potarde re nil rei tu homoghne, plus dur, dune fusion plus gale, 'une transparene etd'una latio plus pars ait S.

Parmi Ou los objet 'lu'enseruae lamaturo, Leur essenc a nos Felix satis dolite est latius Pure.

Les premi res recherches de philosophes Pec sui lana irare curent our ut in Onno issario des principes descol Ps. a Plia part Se si termini rent Dadmetire quatre silύ- menis te seu i'air, 'eau et la terre Leti existericem'sitoit

fondsie ni fur 'observation, ni surci'oxpύrience. 'sit olent desit res hypoth sitique qui parte laps dia tempS, Ont acquis uiae rhali tyimagina ire Combi en de savatiis, d'aille urs

a Vec ne coii patile opinici trotyle thmo igna se de la nature qui si posoit hau temerit contremet antique pridia GH.Sici'on enteni par lenients les moli cule extronae mentdures, insύcabies et indivisibi es donicios corps Se compo-sent, i est probabie qu'on ne es conti Oit Pas Peut-btremonae qu'on ne te connoitra amat s. Si 'on enteni parsit ments te dernier rosultat de l'anali se les corpSriu'On

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tei tria maturith de Page, torsqu'il fit servi te pristites dύ- montrer a compositiori dii fluide qui nous clatre, et holabit labori table thhori des couleurs. Λ-peu-pro auSSi j eun il si olivrit lo calcul est infini qui alii vero la phy- sique, licia sicanique lici'astronomie, des carribres in menses. I mi te coaula salio ire par l' importante docou- verte de tot de a gravitation, qui e conduis irent ad duo iter te siritable nisicani sine u systhme plansita ire.

Anto inini aurent Lavolsior, n& Paris, te 26 aoli 1743, mori te mai 794, victim de furieu qui domi nolentator en France. Esprit 'invention qui enci'. io ignant desroutes battues, imprimo illa totis se olivrages te cach et dela nouueauto Pamsinito de carac thre, qui e rendo it acces- sibi a totis les avariis, nyant des observatioris ii tui fairo ou dos consei loci tui demander modesti sans assectationis iii, coqui aissant te sentiment deses sorcos, l' naphchoit dedύda ignorine opinion dissi reni de la siennc sonsi rosilii satis bornes qui tui salsoli sacrifier a fortune et On rc POS

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ravancement de a science favorite testes soni Ies belles

qualitos que Lavolsior uni recties ili' l. natur . L . chimie moderne tui doli son existunce Il4'o crip Diti v C ardeuro lola condit ire vers sa limite de persection , Honor non m me Ou se bourreau aigui solent I instrument de ori supplice. Lyanalis do air est ne des di coia vertes de ce grandi mine qui ont eu te plus 'influetice Sur te renou vellem sent de la chimie et 'il est vi a que Cavendisti rahit veni dans lii di coli verte decla docomposition deci'eati, orine petit dia molns ni disputor Phonneu d'avoi et ii, le

i tabli la composition de ecliquide.

Qu'On Se reprύsente a vapeur ilia ne i in D liti Morinoe d'eari bovillant se travorsant tin anon de fusi incaudescent, quirenserine des lames de fer Ouides en spirale Ct dout On con-noit Oxactomen te poliis. 'eati disparoit, e fer se calcineola 'Oxide, ii iii mente ora Oids, Et Cotte aras metituti ora

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cette ali ait sit dύ omposite en ga Oxighne et en gaZhydroghrae. Dan coite exp6ri tace les principes de l'eau se si parent, parceque te fer exerce Surci'oxighne ne attractio supύ-rietare, et cette attractio est telle, questa sicomposition det eau 'offectu lorsque te feri'est pas incandescent. De civient que te fer se calcitie dans des lacon remplis 'eaudistillsio it in production de ga hydroghne, et e fluide

em ploi emit, pour 6 omposer 'eam, 'action des vi gotauxvivant ex possis tota te l'activitydes a Fons dii soleti Enfinon perit Obterii iesili ments de l'eati, sinariis ruti de l'autre, en falsant passer uiae forte sichai se lectrique ii traver unlube de verre rempli de ce liquide. 'silo tricit voltatque petit servi au mome obj et d'une manthre plus Simple et eum sim temps plus isigante. Ces pretivos de a composition de 'eau ne potivnient pa mitre en tibi ement satis falsantes dans uri temps u le

tota te les incertitudes, reforme la monte quantit . 'caunx eccles ii metit qu'on avolt obtentis de a di composition.

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entre dans les Ou mons, at On ne Petit te respirer Plus long-temps 'lu'une minia te, et les petit animati metirent dans cessiacon uia tem p beau Cou Piltis cotiri.

san potivo i cependant alimenter la combustion.

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20 NOTES

Le ferit tous es mi tali combustibi es, perdent en ru-lant uiti bi illant ei leur ducti lito iis passent ei quelque sorte Du'sitat terre ux et 'est 'oxigone u iis absorbent