Œuvres de J. Delille

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siti montios de Corache immenses presque toti te formi es decoquisses mari neS; e qui protive que 'est quiesque Crande irruption de la me qui a sitruit ces spoces iijour Jhi

Di, quibus imperium est animari uim umbraeque sileti m. Et Chaos, et Phlegethon , loca nocte tacentia late, Sit milii fas audita loqui sit limine vestro Pandere res alta terra et caligine mersos. .EN. VI , 26 i. Tristes divinites dueto usi re de Pluton, I Oi, lugubre Chaos, et tot noi mdsigo toti, Permeumriu'un mortet, do vos rives uubbres. Troubie te long siletice et les vastes t in inres, Et sonde, dans se vers DOblemetit indiscreis, Ι 'abi me impi usi trabiem dorment o Se rei S.

ii Laiisent en monoeau ces brutantes Pyrites, Des mi taucleur amis obscures favorites.

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Parmides differentes mines de se queri terre ren ferme dari son sein il on est ne qu'on contandoit utre is avoc te pieri es solis te non de pieri es d'aimant Petiei'estque dans es dernier temps queci'aimant a tyreconnucommo tanti ne mine de fer rhodur, rh pesant, Tantor lina trementi ne Ouleu gris tirant Sur te no tr. Un imant quel conque en ferme detix potiat ou la force magni lique se concentre. Our es di terminer On placet 'aimant urin Orcea de glace polle, qUi repose Sur ne

fouillo de papier blancri On sipand ensuite ei ci e surcette glace decla lima ille de fer autour de 'aimant, o l'on volt tota te les molύ ules insitalliques se portor ave colέrito Ver cesso inis qu'on appelle stes parceque la ligne droite qui tes Oint, se dirige constaminent vers es potes de laterre Celui qui regarde te Dord 'appelle Pole austrat, et ce-lui qui regarde te id a prisci noni de Polo OD al. Si l'on porte uti imant fur di sirent poliat dia globe,

datis plusi eurs a directioia mincide exacte menti Vc uno

Iigne monile di midi aut ord i est-h-dire avoc te mori diendi licii mais dans 'autres Oinis, elle 'sicarie plus umo in de cui te ligne, tanto vers 'orient, tanto vers l'Occident; et cotto dilutation se nomine siclina ison. Του scies imant soni plus attiri s par uri des potes magia sitique declara erre quo par i aut re ce qui ait 'lu'une ai-guille de boussole qui possie sui rari piuot, ' iterat hori- Zontalem Orit, avarit 'hi re imant e proni une directionPlus ii mo in verticale dia moment qu'elle a roques vertia magia siti lud Cette proprisit des imanis 'appelle inclinat sola.

Lors tu'On si Ottemne verge de seriura aciei sui te polos d 'un imant, elle acquievi toti te les proprio sinu lo dis-

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Lingueniri comm l 'ai mari s verge te se ilia dracter se diris vers te potes, et 'est ceti proprii ie qui i donii Sisai sane ii a bous sole, clast a-dire a rara instrument i si si se compos .fune a uille aimant e traverse Parin axe quila soliti erit te toti est pia cydans uno bibite, si que I aibi uille, se balati an librem erit, vivo a tendarici qui aram ne ver te polo Our dixit ex la marche des ua rupi

stances hin trbs grand desita de pureto, on parviendi oti faire vario uir la veriti attractive que falso it ait recla prύ- felice laeuia aimant. Ibi toti rύservsi hin grand physicio, Coim Ionii, de dύtruire cet te erroni , on imaginant des exportences ingsiniose et silicates, qui ait ostent 'influetice deci'aimant surrious es corps declamature Cette influenco, quoiquerocile est dis rente dans disrarent corps ille est monte nύ- cessa trementord solbie dans a lupari, uisque elle a Schappsi usqu'ici ait regariis attentis 'un grandisombred'observateurs il falloit, Our Ori reconi ure rexisten ,

i'exportetico uno mobilitii qui leti permit de esideri luiliis sessire impression. COulomb parvi Dei donnant ii cliueui des corim qu 'il

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cssay la forme d'un cylindre, dontuos dimensioris tolent extromement a tisinusies. Lo petit cylindro tot suspendula uni de sole tot qu'il sor dii cocon, et placo entre te potes oppossis, peu distant l'uia deri autre, de eucharreauod'acie situsis dans ne in hine ligne roite. 'exporten erat V Oi que, de quelque alibi e que e petit cylindre futformύ, i preno it toujours exactomen la direction des detix harreaiax, et que si oti te di tournoit de cette direction, it

6toit oujour ramen api h des oscillations donicie Dom-bre tot solaverit de rente par minute Ces X psiriences furent Dites successi venient avectae petit cylindres 'or,d'argent, de cuivi e de plomb, 'sitaim de Verre, vec unmorceat de cire u fragmen d Os et distarentes sortes debois, et les rosultat que Coulomb obtin constam ment leconduis irentra conclure que totis es tomenis donti Otre globo se compose, soni Sotimis h l'influen e magia sitique, et conssiquemment que a rounion de totis es sili metit talido la terre uia grand et unique nimant.

Gilberi, physicien angi ais, a quid'on doli des rocherches

expi rimentales sui te magni tisme, ut conduit par es exporion cos ii considύrer te globe terrestre commemn granda imant Kύplor adopta la conjecture de liber qu'il tot tri sorvo a Coulo mi de convortirin certitude.

si Aux approche dii poterit iressa ille, it 'incline.

lent et 'osprit, parcio P. Folion, dans uia petit Od me la- in , qui ait parti dos Poemata didascalia re rueti nisi ressant et justomen approcii; dii petit nombre dramaicui vitie

loti ost dodio his momo Louis est 'uget, physici curat Ors cύ-I re, et dolat i est question dans a corresponda iace de nolleati et de BrOSSette.

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i ii nomen decla Ursice, antique eos an des mei .

Superbe Antiparos l

t'on it quel quos inscription nites a les anciens AEntreles doti pilier qui soni su la droilo, i y a uia terra in Onperite dotice, Densuite usqu'audo nil de la monte caverne, Une pente Plus rude, 'en virori vitis pas de longiae ur: 'est

tre Parin troii fori obscur, Par loque onme auro itin trer

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trois cent brasses de profondeur, depuis la furface de laterre Lairoite, qui est de la plus grande ea uisi, paroitavo irriti arante brasses de haut eur uri inquante de large: elle est rempli evi'uia grandiombre de coquille fossiles , et notam ment de belles et grandes Stalactites Ou congotations Pierreuses t rillantes, de diffi rentos formes, tanto la

M. de intes, dix- septii me ambassa deur de Franceo Constant in Ople, est te promter europoeia qui ait visit lechatenti 'Athhnos. 'est lui aussi qui renouvel lii in molae de lainrotte 'Antiparos, ou testeus dii pay n' olent ponsiti et . ournesori apporte que Xoinies, avec te secour deshabitanis, en uros es par os largessos, poni tra dans cet te

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ac compagni cle plus de invCent Persorines, tant de samalion, que marin S, archaniis, et habitant da pays. I sit tali re la messe fur deu demi-colon nos, Pri sit' uno puramide, Surcia a se de laquelle ut gravi e ne inscription latine, en momo ire de et voti moti ). Contgrosses torches de cire auri et quatre cent lampos clairoient continuellementiet te grOtte pendant ces trois ours; au moment de 'ύlsivation, te bruit de vingt-quatre bo ites et de lusi eurs terriers, Placiis ii 'entro dii soliterrain, sei Oignit a son d'un grandisombreta' instrument de musique.

Nunc .m ii ii illi modis quibus inritata repente, etc. Ensn apprend potir suo la flamine turbulente De Murna ises a'Eina 'exhale tincelante. La moratasne se crevse, et ses lanos sin sitire uxPressent uti vaste amas de Ocher Sullureux; ' Volci cette inscriptio rectaeilli et conservsi par ournetar masscitia emunt l. Ih: HIC II SE Oin ISTUMADFUIT 'IUMNATALI DIE EDI NOCTE CELEBRAT 763.

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i' Tel, et plus furielix, te volcati esseύnέLutte contre te mont qui te letitistichainsi: Plus il fui captivi, plus il sera terribie. Vnfin Promptria vocite, iliri se se murailles; De se flancs sichirsis it vomit ses utrailles.

On appelle volcans, des montagnesii silantes qui extin-lent ne o ire et pa isse sumsio; qui laticent a lolia des Pieri CS des condres, dia solis re, dii bitume qui vomissent me me quelque is de torrenis cmbras is de matthres Ondues ut vitri fides Lamature ius a vi pandus Vec ne Sorte de profusion dans te scin de la torvo, et deu de plus inmarquabies Ont te monti tria, en Sicile, o te On Vύ-suve datis te OFaunae de a Ples. L mont Elna se distinguo par latres suo continuit S c lavioleno de sus ruptions Los flammos qu'i vomit Ontrent aura in dans in Mi diterrario iux rosariis dii naviga

L V. suve os famula parcios octies onflammii sinu 'illance, et parcia grande quantito do mali res ulit vomit.

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Les ruption du)ύsuve 'an non cent, comine celle dela lupari des volcans, par de sis flement a reux Lesu riuos de la montagii retentissent de mugissement formidabios; olle 'i brante solis te pietis deri' observateur, Et se tremblement subit rendent oujour son approche

Les montagiae ne sontio in te sibge exclusis des volcans la me vomit quelque is de Dux des Ocher embrassis, O ianimas de sabie, de ceri tres, et de matthres qui forment dociles dans les endroit ou Ι'on ne VoSol au paravant que de 'eau Λinsi syest forna sicci fameus il de Santori n. En I s'en forma ne aut re ala vois in age est'ile de Sa int- Michol l'uno de Acores pendant la ui dii septinuiuit dύcembre, on vi sorti subito metit dii seni de la me uno immense quantityde piorres, de able, et de matiores inflammabies, qui Ormhrontine ite toti te notavelles coth dela premi h re, que cettersi volution avolt presque en tibi ementdsitruite. Plusi eurs sa vanis rogardent i existencedes volcans commeunitensa it declamature et oici los motis surriesquel iis nitent cette opinion Les montagnes volcanissies iit tota tesver leur sonam et une uvertur plias u Oin large, qui os e te moyen dori'. chapportu matthres donides en trailles de la terre cherclienti s Hobari asser. Si e supprime Purii Pen e cestuvertures salutatres, e vois 'accumuler AN Sies cavlici sola terrai nos uri immense quantito de mali breSh tsi roghnes, agissant les unes surcies utres aveo 'aia inrat plus illaesivi inu 'elles fori d inutiles offoris Our Se sipare dre La terre est ei proles des hchirement solidalias, elle Protavo dans se dissiarentes parties de forte SeCOuSSCS,

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tions qui offrent Iressi ayant spectacle de mai sons dsitruites, de villos en verssies, de royatames en solitis aveo des mil-lions 'habitant solas our immensos obris ensia 'tiri grandiombre de di placemunt in attendus dans te diffύ-rentes parties de la terre. I 'histo ire nous offire mille exemples de cesipo uvantabies catastrophes Je me ornera di crire es circonstances quia compa Inhrent te rem blement de terre qu'si prouua ne ville situ e u vois in age de la France, Lisbonue, te iv DO-vembre 775. On cntendit ii neu heuros dii malin uni ruit formidabie

accompagno de secolasses Violentes, de grande CreVasSes, de larges Ouverti res de terre, et d'une crue 'eau extraordi-Da ire te Tage 'ensia solida inement ali Oint que SeS IUX

natu relles, furent potissi es avec violence fur tota te les cotes occidentales de noti e continent Lailia part de maison sit des granil dificos furent onversi s u Oragio ut is, et plus dela mollisi de Lisbon et 'offuit qu'un triste amas de Pieri OS. Les secoiisse se irent senti dans to ut e royatim de

Il est probabio que les tremblement de terre sont aprincipato cause de si quent changement qui arri venti noti e globe Je Otipso iano qu'uia tremblemeni de terre