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dans I acie de Ia combustiora qui produit cotto sorte demi tam orphose Mai dii moment que Parin ea 'attraction lective oti erit hve''oxighne aux insitati qui on brulsi, iis recolivrent subitemen leurs proprii lsis sitalliques.
Hermhs, est te Doni re dii Thoth de Emptiens, dii Mercure des Latins die quod'On considhre commeJ'invente ur de aris Les annales fabuleti se de Ili sypte tui nisi i liuolent tine existence roelle, et quelque rhveur Ont imagino'u'il avolt confi&au protres dei pay te do pol de sessecreis. Ce qu'il de ra datis tota cela, 'est que les Loptiens ossi dolent illa lusi eur de nos prochilsis chimique les plus utiles dans les aris.
I 'auteu dos igne ici des aisseau contius par os chim istes solas te non de cornu S.
on nomine Oxide la combinaison 'un corps combustibi emotallique aveo une doso 'oxighne qui tui fait perdre sola siciat et a ductititsi mais insumsante pour tui donnerri'adidito.
7 Lechrillant alcatis, et lesii quant acides; C'est de leur set douteucles suos neutralistis. De leur cubes polis testatis cristallissis: Les uti son te pro luit de tribus insirales, Les aratres sola l'oxtra it des races vossitates.
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at gre et pi quante, ain si que parda couleur Ouge qu'il imprimenticio ute les infusion si leues vύgύtales. Datis l'ύtat actuet de nos contio issances, te calorique est leprincipe gaZ6fiant, Parceque tota les corps complhiementdissolis par te calorique acquihrent la fluidit nori forme. 'oxighiae est regarilsi commemn principe acidi fiant, parcequesta lupari de corps combusti bles deviennent acides, ou dii molia Oxides par leur combinaison avec 'oxighne. Vercle milie dii ix-septihme si octe les eis tolent regarilsis comme de corpS simples. 'analiSe en e perfectionnant, fit doco uvri que les eis se composent 'acides combinos ave des alcatis, de terres, o des sita ux Lesacides dolvent donoratre regari sis comme des principe sali fiants les alcatis, e terres, et les blata comme deshases salisi abies. On a senti, dans es dernier temps, iam sicessi id de Direpou les principes des eis ceriu'on volt ait pota les et eux-momes Lavolsier . compos te acides, et laissa Dunsa vant moderne, M. Davy te soli de sicomposei des alcatis et les terres . nisait atrio urit 'imi que les alcatis et les terresne Ont nutre Chos que des Substances mύtalliques combi nites avec ne quantith 'oxighne insuffisante potar eurdonia eru'aciditύ. Les alcatis ne soni dono plus des eis. Ιl eties de monae des acides. Si te polite compte les alcatis et les acides parmides eis, 'est qu'il parte te latigasse sit tors
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La synibi se et l'analis, concolirent poni domo intror sacomposition decla potasse C et alcati se conlpo e d Oxi hoc,
De Hlsimonis de raminoniaque soni Poxisse ne et uia sultastanc ni Stallique quem Dau a appel elium ium. Lei bre os alcidis se borne horo is celui des acides est beaucoup pius considi rabie Choque rogiae Mos ieris.
paris combinaison audes hydro fine s acide muri iti quo a
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stant asse d'Oxigone Our passer subitemen de la classedes substances combusti bles h celle des acides. Ι devientd'abord oxide de so uise, biento it se transforme en acide sulfure u X, pota passer halitat d'acido sulfurique torsqu'ilest sature 'Oxighne Ce que e dis dii ouis do it 'appliquer aux Substances combustibi es. 4' 'acido carbonique qui a poli baserae carbone, etl'oxighne pou principe acidi fiant.b L'acide phosphorique, o noles lύment sonide pliosphore et I'oxighne.
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sa parsi respirabieci se combine ave roris e De calorique 'Ecbappe et doniae Naissa iacera a chaleur ei a laesaria lui accompagnenties sortes de combustions. I nota ut Oui tantia rogariter tela Oxighiae comme I unique so urce de la chaleur qui se dogasse de a combustiori Les orps qui brulento contribuent aussi mais si 'on consi-dhre que dans te combustions accompagnoes de flammes, levia Oxighne Perditus o mo in sori tat lastique, pendant que te corps qui bi oleo pro uve ne augmeniataon devotra me, on ne perit 'emphither de resar lex se ga Oxi fine comme a principale cause de Ce hsino inpiae.
vent tot our solis Dia anale si a ii colui de leui obvie coni in ipse, soridi surci' portene et doni te di veloppomen
riore a luce dans a sim sit uation que e suis devavi elle, Our u repi senter sed lenaeni mori iniussu
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I propos de la thi ori deda lumisere et des couleura, doni traii Sonoque, livi sed de se qui stion natu elles, i syclhveave uiae juste iri dignation contre l'abus scanda leti et immora que falsolent de sonoemps te Roma in deci'us agedes miro irs il les ambiae, chapiti e XV D, ii leti premi hre et v si ita hic destination, e qui tui foui uit uti parali sile loquent de la simplicito des minui S antiqueS RVec in corruption si sinoe de son si sicle. I termine ce beau Orcea pardes r. flexioris pleines de jus tesse et de gravit 6.u Ce quo a P publique donia potar cipion, ne patero itpa uia seu des miro ir ii 'usasse des plus eunes illos denos affranchis Peu ii peti a luxu re, oraco ui age par aricli esse, a potassyl in I cen e plus lolia; a d pravation afait des progi sis normes. Des aris pervor Ont introduitu ne telle confia Sion, que comu on appeto it 'at tirai dessem mes, ait parti dii agaso deci homine quo disse dei hcim me du milita ire. v I tid de Lanca me. Arassi Juvύ- Da notas reprosente-t-il 'insanae Othon au milio ii descamps, et retra combattre Galba, tonant son miro ii a lamatri, aveo laesi ortyd 'un guerrier qui porto te dύpouilles
de 'onnem ita incia, et contemplant avec complai Sance dans Ce miro ii , son ait irai milita ire.
tile tenet speculum pathici gestamen Othonis ' in, Aetolis Aurunci spolium, quo se ille videbat Arniaturii quum jam lolli vexilla uberet.
'autre leti te miroi de I impudique Othon, Ce miroirriu'i portoi comm au champs de Laurente Turnus hoc olivi'Actor la depol ille sarii unie; ' Ces vers sont a paro die satirique de elui - ei do Virgile. EnEide III.
. 86 Mai iit 'estamen Abanus ei de cot uire ibid. XII. Actoris Ais unci stioli tim.
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cription L 'oxam n uio id des insidailles lui fit dίcouuririo appori de a iure de Roma in avec noti e poliis de mare et i appliqua coitu ouverte niax mori noles de diversi cupio docia rhce. Desii an faciliter a dforme probet. e
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de se livrer ou vertemen ii sola neni liiiiii, iliri se dogi sis a Reims en 174 i, et retourna dans a ville natale potar exercer a profession Via has ara heuroia dcti do aut rement
cipalement our os sita iis de description et 'anato ita iuauxqueis a se ibi esse de a viae ne luti mettoit pas de selivi or it et lo 3 eu stir Dauben toti, et 'attira vers 1742h Paris, ou i tui fit donner, en 745 la placerae sarde etd monstratorii dii ab inet 'histoiro naturolle L choi de Dus fori ut 'autant plus approlivo, que Daubenion OsSύ-d Oit prύ iso metit oute les qualitas uocessatres at Cenire detra vati qui tui tot confisici uno rande usi essed sprit, unceXaelitude rigo ureuse, et uno palieno a muto pretive Le
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1 uelles Busson volt unlenchant si marque, an monae e permetire de ire de ses observation les conclusionston 6-rales qui en Daissent te plus naturei lement. ut es servicesinu i vendit ari' histo ire natu relle, commeprofesseur, ne starent pas moin grand s. Il est te premi erqui ait fait ori France des o oris sui cette sciencein autΟ-