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I 'hirondelle porte des arques ouges surcia potirine; c ostio qui a Di imaginor is fabie de Prognsi.
On ait actuellenient que 'est une reine et non pas Unroi. wam merdam a dissi qui des inhres abeilles dans letemps de leur Ponte, et eur a troia voci'ova ire rempli 'une quantit prodigi eus de petits use, doni lusi Urs Ou- volent se distinguet laesa simple vite, an te secour de laloupe M. Maraldi te a observi es dans le temps monae deleur ponte , et M. de Boaumia les a surpi ises dans de moment plus di cisis en ore.
'est latropolis, noni qui tui a to donno par les anciens, et que les modernes tui oti conservo Cette matthre est di serent de la cire et dii mici 'est ne sisine extromementvisqueuse, 'un bruti rotas eatre, qui, panis communύmentune deur agroable tot squ'elle est chatis si e et qui se disso ut facilement dans 'esprit-de-vin et 'huile de sirhbenthine elle varie potar a consistance et potirua couleti qui e t plus ou moin. Desie, et potir 'od ores Di est plus ou molia aromatique Les anciens, qui es dis rences 'avolent poliat sichappsi, reconnoissolent trois sortes de propolis, auXquelles
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iis avolent monio donno des nonas L premi sire, qui totinoiratre, et a plus ambre u go ut iis lam Ommolent comosis la seconde sorte, qui avolt beau coup O in de consistance, iis 'avolent appeti elissoceros; et iis avolent ri servolemona de Propolis polir la troisibine est'. ce, qui oloit Oins Visqueus que les detix aut res, et se approchoit avaritasse de a natur de la cire. Un ignore en ore queis Ont esplantes et les arbres qui fournissent cotte matthre auxabeilles, et amat oni'aludes troiaver occupoech cette rύ- colle it paroit copendant que cette dύcouverte ne serotipo in distici loci faire.
C est a bouchercle crevasses de leui habitatio que Iosabeilles emplo ient commvnomen ta propolis Cependant dans des occasion particuli bres, elles avent en Dire unusasse qui prouue Γύtendite de leur vites, et te resSources de leur sprit M. Maraldi vitin oti uia gros lima oti qui ut sini prude cevi'entre dans une ruche aussito limbύ-cile animal fui expodii parcies mouches. Mais e 'sito itpoitit l, o plus difficile rit 'agissol de transporter ait dehor te cadaure, doni 'Odeur auroit pudes infecte par lasuite. 'sitoit ne masse normes Outes le forces de nos petites abeilles silanies ne polivolent a fouieveri te cas tolt embarra SSant Dans ne circonstanc ausia critique elles curent recour a leti propolis, doni elles mas lithrent ecorps de leur ennem mort et i emba umbrent Omme ne
par outes le gonsirations qui se succbdent, et qui e renouVellent perpsit uellement avecine sigillarito invariabie, ne Ont a Ceu qui pro uvero ient te plus en favetii deleur intelligetice La rogularit&mhme de ces actions devient SVS pecte: n Croit Pentrevoi une sorte de si essiisi, de Nahcanis me aveugle; et notreuaison, qui est si changeAnte, si capricietis et si di rogisie, nous De omines potnt portES
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la reconno 1tre an des Ouvement Russi constant et
dans de Ophration aussi uniformes . e qui fait te plus d'honneurora industrie des Dimaux Ce Ont, our in Sidire, leur anecdotes secrsites, te fatis particuliers les vhnement rares et impr6vus, qui supposent ne sistexion subite, une dύtermination promptes et Si 'On avo itin certain nombre de fatis paretis, reculillis avec Oin, et sirifisisAVec Scrupiale, lasameus question dii machinisme de botes
I ne aut a seire grande attention au conseiis que Virgile donia ici. I estis croire que te vis attachementqu'Ont inspirestes abeilles alia metire quelque is de l'exchsot de la timidith dans te prsicautions que l'on a prises potirles conserver Il est prouusi maintonant que les apeur dulimon to te les deum fortes, celle dii fumier do 'urine mome, leur conviennent Uraisemblablement celle des ocrevisses bralsies ne leur serottias plus funeste cependant en'en aiioint de certitude , et ii est fori tonnant qu'aucunde ceu qui ont critra histoire des abeilles 'ait pris apoine de faire cette preuVe.
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avolent tir uia miel aussi funeste. Elle est deci'espsice decolles que les bolanistes appellen d uti non bien barbare,
C'est una rand ubnement que la sorti d'un essaim, et poli te proprisitaires de molaches, donicies Ssaim sonile principat pro luit, et potiriles abeilles, qui abandonnent leur patriae lauro vers une ille out batie poli alter
forme un tablissement Out nouveni dans ne demetire totalement inconniae Cet usinement 'annone par plu- sleurs ignes extraordinat rex unio urdonnement plus fortet plus continu dans rintsiri eur de la ruche l'interruptionde presque tota les traVauX pendant un Our u deu qui prύcsident 'simigration et 'agitation tumultueus des
Pendant, dans e climat, ii est rare qu'il se dύterminent hsorti plus tot questa mi-mai, et plus tard'u' la mi-juillet. Pour 'heure dii our,i'est communύmen depuis dic o Zeheures dii malin usqu'h trois heures aprh midi, lorsque e solei est dans a plus grande Orce, et que a ChAleur, augmentant celle qu' produite te grandiombre des a bell-les , leur en leur demetire insupportabie. Pota que te essaim se metient e marche, i fautriti iis solent accompagnύ d'une reine qui ait ty condhe, et qui puisse perpsituer te nouvelitat. outes es lais que dis renis
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accident auroni fait pori te reines qui devolent condui rota nouvelle colonie, ilis' aura plus 'simigration, et les a bellios s obstineroni ci rester an leur ancienne demetire, quoiqu'elle soli devenue tropitroite pota contoni te grandnombre des habitanis Alor on 'a Oint 'autres res- sources , que de leur donne Ceriu'On appelle des harasses; ceson des cercle de a monte matthre et dii monte diamotre, donion ibue et agrandit leui stanters in augmentanto insit'. tendite de leui logenient, on prύvient te inimnusinionisii 'uti population tropiombreuso et Oricles et a porti e de
beaudes totardi dii bruit desilia udrons, omne te en Oit pas plus intimic es, ni plus empressoes h revenit'. I est,raisemblabie quo ette pratique biZarre doli sonorigine Lia superstition paleiane, et Li'us age uJ'on tolt, dans lociatos de Cybhlo, des appe fur de bassitas de cui-vre , en simoire,'un ruit paret qu'avolent ait les Corybantes uti faveur de Iupiter On ait que te vieu Saturne
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ayant a mani de di vorer totis se enfanis, a semine Cybolo volat ut auiso in diSi ober celui-ci ii a fureur riu'ellele fit cacher ave solii dans uia antro di montes da, qu'Onnommoti Dic*s et 'lu'elle eligasse te Corybantes, quisitoient se ministres et se pro tres h faire autour da ei ceau de soniis ui si beau tintainarre, que les cris de Onensant ne piissent poliat percer On saltinussi que nos abeilles Joudrent, aveccles Corybantes, uia grandisole dans cette importante affaire que ce futi leui nites que Iupiter ut lacon Servation de ses orars, et qu'elles Euro tria gloire 'otroles nourrices dii plus grani de dieiix Il est bien transequ'unisage inutile ridicule fondysur in tradition aussi absurde et aussi pusirile se sol conservi mdblemonibus tu'hnoUS , et que os fermier fasSent en cor tota les Ours,sans te favola, te honneurs dii herceati de Iupiter.
I dans le texte, trita milisphylla et cerinthin quo-bile ramen. a millisse est ne planteo plusleur tiges, hautes d'une cotidi e carrsies, dures, et aissies ii rompre; se Duille sont notratres, 'une deur de citron, et 'ungosit unici ac re. In a plusleurs sphces de sirinthes dύ- crites par es modernes; il est probabie que celle des anciolis est colle qu'on appelle Cerinthe lai o fore asPerior: 'est uno des herbes te plus communes de 'Italieit de la Sicile.
' Mais torsque enire deucroi l 'ardente ambition Allume te flambeaux de la division . .
I a dii urat dans co que Virgile dit ei surcies dissen
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quitier, et dans la nouvelle oti iis commencenti 'etabit rualor te dύsordire se me effectivement parmides abeilles, os
olivrages Soni interromptis, et laiai et i activitone seviennent que Iorsque les causes duarouble ni ceSse, et que totalestes reines urnumsirai resint tymises h mort On ignoro sic'escia rei ne-mhre qui se charge de cette barbare exocution, Ou si ce soni se sui eis qui 'ocartenti Our cotte seis de lotiramour inviolabi potir eursiliess, et les sacrifient ait repos
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oiit inprudenco de se loge dans une ructi dria occupoe parui aut re corps 'abeilles: lor il4'allum entro os doux parti une guerre t rhs opiniatre, qui dure monae lusi cursiours o conabat an relache, et ave acharia ement depulsu mat in ius tu'au soli Pet te chami delataille se troia voLla in Onchydo plus leur millier de moris. I est asso inutile de parte maintenant de petits Com-bat particulier qui se livrent froquem ment 'abeillo habet ile, et qui se terminent asse solivent parcia mori desdeiax cham pioris: ce Ont de petits fait peii intoressanis, apros les graniis ubiaemenis Ont notis avons ait leusicit, et qui 11'influentias surda fortune de la ruche, comine es grande guerres nationales qui emportent la mollisi de seshabitantS.
Ce vers est de M. Racine te iis.
La distinction des deo cesphces d'abeilles est une chimhred'Aristote, qui ii'a 'autre fondementinii te di sirencesque l'age apporte dans la couleur de ce insectes LeS eunes abeilles soni rises, et monae bi unes elles deviennent Ou-gesitres lors tu' elle vieillissent.
Les anciens mettolent dii iniel dans le vin foris.
Ce procepte est-ilaien prati ablo Comment prendre tesrois comment les choisi au milieu de colle foui de si eis ZCependant Columelle et Pline ont rescri la monte choseque Virgile Columelle notis appreni comment On petat prendre e ro impunύment; 'est, it-it, en Dottant sumatia de balinae. ais la difficulth de te salsi ne subsiste pas
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Ι dans le texte, Hellespontiaci sei et tutela Privi Priapo sitoit adorsi principalementi Lampsaque, ille batio sui ''Hellesponi.
D'api h la description que les anciens nou on dorinoe de leur narcisse, M. Martyn iolaniste angi Ois, croit te recon notire dans le Harcissus albus inculo Pur ureo, et dat Sune autre Spoce appeti e narcissus albus circula croceo minor.