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ceta'Orenges, Viscomte Hereditatre de la ditte ille, alenuo ut par es inhabitans 'icelle. CXVI. Le uel Prince, res que u commencement ilreus refuse , selon quavons idt, que non obstant laletire gratieus de Sam ' i continuolt en onmescontentem ent, des rant se retire en a maison si comme Distit avssy te Coin te Tramoni tout sol estant aulare Ois requis par Son Allege, fusi contenti'alter a dict nvers, 4rrivant a demie leue res Anvers, tu vini a devant te Sei-gneu de Brederode aVec quelque gens de chevat, arme de Pisto letZ, sub vant a pie une grande multitude de euple, Ies quel tous, quan tes dict Seigneur se en contrarent,deschargeans es ultres urs pistoletZ criarent a aulte voix, viveis Guelix, vide esilielix Le que cry se continua quasi usque a Pentre de la ille, o que es portesin surdes murailles Davolt ne infinite degens, crians te metae . aultres hoses a laclouange dididi Prince, appellans leur Viscomte, ra liberateur .celu qui mectroit te ord reau assaires par son autori te qu'il ne seroi plus es ingcourri a Brugelle acla Duchesse, avec beaucouid'aul rescholas emblabies, des uelles le dici Prince se monstroit fori lache de mal content. Et estant quant, .lu entre edidi Seigneu de rederode dem eura lamelle nui t mais Partale tendemain. CXVII. Cependant que celassas it en Anvers,tes consede- redis'assemblarent a S. Tron qui est une ille dulays dioces de lege, apparienant a Abbe u metae te de S. Troia henviron in cinc cent, o deu mille cheUaul , peu plus ou moins, Deitans presens te dies Seigneu de re-derode, es Comtes Loαγ de Nasu, de Culenburgin de Berguenpou traicter par ensemble, attendita longueu S dilationdulo pou se refould re su leur requeste , e que leurion-noit oubson de desconsance mescontentem ent de SaM commerii di solent Lamuch esse ob an cecy, 'adVisa pariles Seigneur du Constilla 'Estat, de requeriries Princes 'Oranges S de aures, qu'il leur pleus de se a trou-Ver Our communicque avec euix ce que fus ains Dici, apres longue communicatio fust diei, que les consederencnvob erolent a Brullelles leur deputea di ambassaeeur po urbi a traicter
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traicter illec absolute ment. Ice uix arriveg, qui estolent enaa Gmbre de douge , des uel est oti che te Comte Lot γ de Naisso Dere e dici Prince Torenges, dura a dispute uel quesjours, en f fusi conclu, que les di et confedere sero ierat conten dyattendre a responce de a Maj par respace de 2Φ. OUrs, sans cependant te innouer, inue de ce sustin- Continent ad 'ern e selon qu'il fust Dies par o Allege, di-
ter plus granes troubles scandales , que de Oindre est stat generaui X, que de est ad vis estolent sus es ei-gn cur aut tres dumonseit 'Estat, non Our e que e sol hon consei es y mes me; ny ausis hos asseu ree, que pod tant les mauu ais cesseroient, mais que 'est nec hos necessa ire, cla uelle apparentem ent Ourra prou fictera ulcunement pou par a Maj ne 'obmestre uia seu potndide Ce que peuit servi a reposin tranquillite de se Pays. CXVIII. Leruo ab an rece les dicte nou Velles, en corqu'il sust asse resolu, qu 'il ne conveno it 'assem bie les Estaiggeneraul en son absence, ny pou cause de a religion, nyaussy ou son autorite, our c que legerement se pourro it mouVOi quelque nou Velle te, principalement stant e lacho se que les Se igne ur ont ousjour tant de si re auco eur. par essus ceriu'il se dictis'estre certain si e re- mede sera solassisant, de mani e re qu'il plus de cra inste peril de run coste , que 'esperance o prou ficto de
Pauli re , out es Dis ne Gul ut en cor respondere absolut ment, ain te mediant e dilation Our mi euix considerer pense sur a mattere, respondit in Continent a Son Ahege qu'elle ne permit aut cunement Pasi nable sans ultre sonordonnan Ce Xpresse, Our e que usque ores ii 'avolt Peu entendre, que cessus chos conse illabi en facon que,
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pou paye les Pensio naires Allemans, qu'austrement, ausiyles et tres scriptes au Prince si 'Allemaigne, Pou leur don-ner aison . contentemen de la retenue de didis soldais. CXIX. Et fuit en e temps sortite note en presenc duRoy de teni so in de la ille 'Anvers, inue ce 'estoit fans grand mystere ce que ' passoit, selon qu'aVons recite cy dessus. Et comm les Sectes qui regnoient de rumpari, si comme en Hollande, celles de Anabaptistes, en An vers 'en rctrou volent trois, a scauoi des Calvinistes , Anabaptis est aultres de la Consession 'Ausbourg pou aus-quelle reme- die , fusi propos parci Prince Orenges qu'illa'b avolt aul-tre remede , quela'use de benignite lae doulceur, ne per-
De la Duxis ne demande que frent les Consederea.
CXX τοῦ Stant Ies hoses en et stat; plusi cur Sectat res
ConsedereZ, qui estolent comme diei est assembleg I.
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seroi remedi au mauiX, at a contraire, que 'estoit Choseriout asseuree que les refusant, en molns de troiij surs
ministres tres prudens, fidei Catholicq extremement Iesmenaces estolent sy Uehementes, qu 'en Ores quil enten- dolent for bien, qu'il ne convenoit , Outes fol furent
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constraindis 'estre de metae ad vis, S ue plus est de
ra1rei Comte our de Nepou asin de teni la main, queson messager fust incontinent depesche par te dis Cointe, quil le oulus advertiri succes de la seconde re queste des consedereZ, ans a quelle ili'y Voit apparen ce 'executer
consulte sur celles avec ceuix de so Consei cessori grande dilige iace solicitude , respondit incolatillent, qu'estant sadetermination Veue sur es trois potnct de ΓΙnquis1tion, moderation pardon, it speroit fori , qu'icelle donneroit
fonaires, oute Di ayant presentemen plus pense en la
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i te, qu'il sussent paye eniterement cur es endre plus contens plus asse Stionne a son service.
Des pillemes, et x F destructions de Eglifes c
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Duynes , ClermareZ, Walene, Sainst Nicolas a Furne , aultres, en res pace de trois o quatre our furent destrui-ctes plus de quatre cens Eglises, avec menaces que te mes- me se feroi et Arthois .en Hainauit, inu'il ne cesχ-1 Oient usque a ce que out sus perduin destruict.
tes Images, robeescies glises monasteres de la didie
Ville, ce par ne centaine 'homines non plus, an armes, oute Canaille, ultres de asse condition, que les Sectatres volent poste Ioue a cest effect , par person nesinterposeces a uicti di palaris par Our. Et comme entre aestres furent robbe les Monastere des rere mineurs, qui furent tres a traietego cel de S. Claire, 'u'un pres-cheurin ministre assemblant toutes les Religieuses enuntieu, les commenca a rescher admonester, advint que 'ab antioutes le dictes Religieulas prosternees la fac en terre en priant Dieu selon que leur superieure leur avolt commande, icelu prescheu change , .last oudain sans parolle estant admoneste par se compaignoras, 'efforca parquetques Dis de continue son sermon, ais it ne eult ulcunementrie dire, . ins partit de la avecise compaignotis, laises an les Religi euses en patX.
les Rebelles, qu'ilZferolent te mes me amouvain, Ma Brux-elles, acia eue de Son Allege; mais laionne pro Vision quelast mise par o Allege a Brugelles , Ou ille ei Capitat ne te Comte de an est, Ma Louvain a les Doste ursi et Universite, MouUerneur de la ille qui empe harent qu'it Z ne eurent ei cluer eur intention , non obstant a grande
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n'est olent outes seis libres 'alte ration sin scandales, qui ai exemple des ultres se suscitotent, parti par les Onsede . rego parti e par aultres de mauualse Volunte d'iceuix pays,
de quatre centri cie surptus fusi mi e sui te, an que
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Les remedes doni omissa Pon reles dictes Calamitea.
CXXVIII. T A Duchesse voyant les host qui passolent.
Lia te menaces doni Pon siit, fustis grande cratnte de se personne; ciant plus que la plus pari des Seigneursvi Chevallers qui estolent autour dyelle, monstroientasse Guvertement, qu'il ne voviolent faire grand service, sans a resolutio de Passemble de I stat du ays Bas. Desorte que en out cela se delibera de parti unci ou debon malin Vers Mons enm nauit ille tres forte Gatholicque comme nous avon didi, our se mestre illec ensauVete, e que communi quant sur te tardisux Seigneurs aultres clu Conseit 'Estat , fusi dix, que e constitn'estoition, in donneroit occasio de plus grande hardiesse aux meschanis, te plus grand desespoi au bons. Et Comme Cependant que Ceste communication dura, ceul dela ille de Bruxelles se trouvassent che Son Allege supplians tres humblement, qu'il luy pleus de ne sorti de laville, alleguans beaucou de misens servantes a ce Propos,ful ens constraincte de demeurer illecq, non pas tant des propre Olunte, que par fuersa, a cause de la guarde misea Gutes le portes Our empe scher son partement, si 'as ventur elle oulus sortir, lains y demetarant comine prisoriniere Telon qu'elle scripvolt par se lettres a Samai f)Commenea a traii erravecque didis Seigneur surcies assairestant consu me ciremes CXXIX. Et de Dict propos trois choses ei deliberation, la premiere en velle maniere se ourroit ege cute de me
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tremuelle hos se pourroit refouldressu les eu demandes dernieres de consedereZ, our eur oster out scrupule de desconstance consequemment les reduire a a devotion service de S Maj e . a troisiletae, par que mole sepourra remedier aux Sectes meressies tant es parses Ω- mees, emblablement auctumultes scandales tant pre
CXXX. Surcies uel troi potndis en cor qu'On ne trOUUequ'ains distincte ment sol este delibere, considerant Oeant- molns oute les resolutionscioineternent prinses en e tempsta par a Duchesse, pres longue consulte raeliberation eue
que fuit dist, que Samaj ayantiste a dicte Inquisition,
avolt satisfaici acia demande de Se igneur Consedere , en conformite de Padvis de Seigneur emtoutin par out Mais surcia moderation des placaris fusi didi, en cor que tacite-anent ii ourroit embler que Sam ' avolt oste annulleles anciens, yant ordonne de conςepVOir de nouzeauX, qu'ains estot satisfaidi a Pautre demande des consedereZ, qui voviolent avotristeg les dist placaris Moules Dis atten-d qu'it 'estoi satisfaid a la troigiesme petition 'iceuix consedereZ, a quelle estot de renouvelle les placaris par advis des Estat generauix, que 'estoit en essest rie ce que Samaj ' avolt accorde, ne servolt ussy a ce propos de concepvoirin faire auicune moderation, attendu que Pon nyObeyroit, C le temps tant change durant la dilation de SaM V, jacoit que les causes Graisons alleguees par es et- tres de Sam ' estolent veritabies disiui plus oulare surde Pardon, que deVant outes choses cetu se debvolt ostroyer aux Consedere pou leur donne contentement, e que fustfais enclamanteres forme que dirons Cy Pres.