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tant de Gens 'armes serotent resis, an enoten savoir,n par es Capitaines de frontieres , ny 'aultres, distras avssy, que se monstrans es ouuerne tars, laevalier de
LXXXVII. Fus semblablement dicte secreta Son Altere, que se assemblans tous es Seigneurs mouuerneur , sepourroit facillement conjecture de quel advis o opinion serotida plus grande parti Pentendoit icelle sor bien malam necessite la contraignoti de prendre resolutio telle
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Atao re par commandement de Madam arriueZ
oster duriout i s'estoit outes sol bien ve e Pan inc- quante dernier, qu'iceuix our ulcunes causes solent este modere para Empereur, a la equested intercessio de seula Royne Marte 'i Iongrie que Die pardonne fasceur, Regente in Gouvernante des diis Paysias, de que leulaestre ne seroit hors de propos de consulte maintenant suri metae, concepVant ne forme de moderation des diffis
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XCI. Pendant que es hoses se traictoient , uti re es nouvelles qui' 'apportoient ournellement de diVers mouVernens troubles, tant de dedans es ab s notablementen An vers comme es frontieres 'Allemaigne , entroientii a fit en a Ville de rugelles plus leur de dicis Gentiis-hom me confedereZ, de maniere que Son Alter craindant quelque inconvenient, mei en deliberatio de Conseil,s'ilne conviendroit de les em pes cher, a quoslast respondu partous es dicis Seigneur , attendu u'il ne en Oient quePOU Presenter ne equeste eomme Vassaul de Sam que ous estolen Gentiis hommes our a plus partleur parens , allie .serviteurs, qu'on es debvolt lailser
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sauisset soli hastice comm i conVient , S u'une com- paigni tant honorabie demeure en son honneu selon qu'ilappartient. XClII. La substanc de la equeste esto ii, qu'euix estans Gentiishommes assaul , tant bon fidei a SaM I comme illa It notoir, stans content aula re non generalo particulier , Volent considere es peril & danger es quel se trouvolent les Paysias, que a uine en est oti plus proche qu'o ne Pen it, e que rennant On origine non d'aultre hos si non est Inquisitionin rigueu desit caris, es quei combie que du passe eussent avoi servyde uel que chola, ne prouffctoient temen cetemps present, qui de beaucoup es oti changein Ourne , aurolent bien uoul adverti Son Alte Ze de ce que se passeit, .la supplier hie humblement, que e soli sonao plaisir 'envoyer incontinent vers a Maj un Omme expres, Uec une roques e tres humble, 'est re servi de remedier e ce que dessus, de chercher aut tres remedes propres convenabies sans peril, que non la rigueu de didis placaris, par advis consentemen des Est at generauix, 'ue cependantque Sa dictem ' adviseroit e ce , qu'il plusi a Son Allegetenire suspens tanti Inquisitio commeriouite ultre execution des dicis placaris, Protest an ques par aut te de remede advient inconvenient, de sordre, troubles, o estusion de sang, qu'il eniendolent 'en estpe descharge e leur consciences devant Dieu, te Roy Son Allege, & de ce ut d Conseil,s'ayans Porte comme convient lappartient de laire a bona, fidei Vasaulce u mal tant Vident. XCIV. yant Mada me la Duchesi rece ceste requeste, icelle mei en deliberatio de Consei , e qu'elle auroit de respondre, apres longue consulte avec te Seigneurs Consiui sus dicts leur diist qu'elle estoit te determineed'envoyer devers te o pou la cause sus dicte mentione en leur equeste, sperant que Samaj s'employeroit de donne ordre S remede OnVenable a out signam mente la moderation des placaris, de la quelle se concepvolt au ne forme mais de cependant teni en surceance inquisitionin execution desdidis placaris, que Son Allege 'avolt
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teursin ossicier , 'use ave discretion d leur autori te, afin que. person Ile 'abre occason de se ouloir 'euic se confiant ultre ce que les confedere solent de volunt e de ne rien in noverinta rab e religion/Fo Catholicque . 'u' a surptus il useront de la modesti qu'il convient,in cur appartient. Ces Gentiishom me furent depe sche de celle maniere, es queis enir aultres hoses eirent uss supplier
es te encommenc avec te dic Seigneur , consaulX. Etestant par ce ut d Consei prive conseve ne forme de moderation des placaris, a uelle fustra depuis eue, exami- nece corrige par Son Allege, cles dicis Seigne urs avecqceuix dum estne Conseil Prive se propos par te civit dΤΩ-moni, lauicuns aut tres Se igneur , 'it ne serottion de publier incontinent la diste moderatio par forme de provision,Pour donne contentemen aus didis Seigneur consederogod leur alli eg; mais commesi sembloit de non debuoi enirere a te de sy grandirejudice an te mandement de Sam sus didi, que Disant cela stulement de la pari uino sans
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determination Son Allege advertit incontinent secretement a Maj . enuo ant onctement a forme conceue ou la moderation des placaris , a certifiant auso umescontentem ent
XCVI. Leino ab an receu ces nouvelles en a Ville de J Iadrid, fust fori perplexin fasche, cies examina consulta personetlement avec grand oini diligence en son Conseil mais comme Padvis de Madam la Ducheme stoli secret, Quis que les Seigneu de Serges de Mont nyavolent de Venir, que Pon attendoit te advis de Con- 1 aut Sistat surria moderation, ne tu sembla de debucirenco respondre publicquementa ceste mattere: in Cois prennant occasio de la premi ere letire escripte surcia relation ducim te de Megbem respondit e ceste substance. 'ayant estod 'intention long temps Volt, 'alter en es Paysias, ne ravolt eu effectuer our Causei'aul tres tres grand assai res qui Pavolent detenu les queis estans presentement depe scheg semblablement a uerre u Turcq, qui s'entendoit Dillie, qu'il estoit eniterement resolui mectre incontinent en
lettres de Son Allege par advis de eul de so Constit, des Seigneursin 'aut tres, qu'it Verroit seriti a propos, i 4'ad- visant alor auiculas bona molens Taras Outes Dis cependant in dre en utcune inaniere lesistat generauli par es vel la se inficio Catholicque Cencia uelle elle entendvix re mourir se puisse mainteni sans grande effusion elang. que de bienioniae Volunte4'accommoderoit a tem PS, ausim ne seroi difficulte de par donne a ceu i , qui Parlegeret ou seductio dea ultres euvent avoi commis aia,
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XCVIII. T E lettres lassii et depeschees, furent quasi enc la metae conjoincture presenteces a Sa Maj les Iettres publieque de Sonollege, avec certificatio de ladicte resolutio fur a moderation des placaris, lavssy deradvis qui se debuoi demander des Cons uix istatZ les quela selon qu'il estot resolu se debvolent has ter afin, qu'il ne fusi en prevenu partes confedereZ, qui de our en Cur multiplioent, Tollicitolapides Estat, bonnes illes non obstant la responce dc ordonnance que leur avolet esse don- 3 Dee.
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nee. Di it avssymon Altesse, que les Se igneur de Bergues
tentem ent, de ne Oul Oir rien changer, O prendre aut treconclusion, usque auoi ou les diei Seigne ur , is in syque larvini une fortune de lessure encia ambe a dis Mar- quis de Bergues , qui te detint quelque our , te diit Seigneur de Mont ny en vironde m mois de uin cludit an . 66. arri Vade vant, Vec lettres de creden e fori favorabies , que Son Allege tu avolt de livre , ou soliciter premi erement , a resolution des eu potndis de Inquisition moderationdes placaris, Te condement ou traicter 'aut cuias aula res articles contenu en son instruction, a cavo i de la dissiden cereciprocque qu'il ourroit estrei' entre sa distem plus eur des Estat de Paysias emblablement deaesiablis emen d Conseit 'Es at, selon qu aut tres sol le Princede Gradres avolt tra iste Vec Sam Son Allege en volte script Pan ne passe a mois de Juillet, ct ultre ce alle ede a diste our se dicis Paysias Le dicts Se igneur de Montign porta auss avec so les ad vis des Est at de Flandres, Arthois, mainauit, sur a moderation des Placaris, furent depuis en Voye ceu lx de Lut Zenburg, Namur, Tournay les Uns conformes a la forme conςeue avec aut cunes corrections , .les aut tres quasi eniterementcontraires, di sans que Pancienne forme esto it a meilleure
mandant aus dii te Maj de leu laire par a chasque imis desciet tres , misi ves de Son Allege de se responses resolutio su icelles, avec la quςlle occasion aut trementParticipans plusi eurs sol avec ceu lx du Constit 'Estat, di- solent
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solent que es alterations lauit res vivantes Volent principallement prin leur commen ement des leti res de S a Maj' au
omolent a a Sam es olent determine de prendreavecq spoiris as urance de veni a desis , moiennant labonne volunt de Samaj comme desis es dis , an qu'ilserate in de has e fori a venue, si non qu'icesse se me-dtra e chemin a a milleure commodite, quan tes hoses seront pacifieesin mises en tranquillite. C. Et comm a ce fusi dist, qu'es lettres de Samaj ne se trouvolt hos qui ne fust fonde en aison, si s ub couleur 'icelle avolt quelque mescontentem ent, qu'il ne procedoit u oy, in de a publication des dictes lettres Dicte an commendement ou ordonia ance de Sam contre advis du Conseil Prive Et d'avantage, sy les Seig
cendant te oves didis trois potneis, que aus bien il ontia metae uis ance presentem ent, Ton oblige de la me c.