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De Confultes que Duo tint fur es a Satres.
s mauuais lason , delibera de sere ut dre, non obstantqu'iln'estoit en cor asse satisfaiet, .ne at amat este, si non que te die Ararquisse apres arriva a Segovia,4 commanda a ceul de so Constit 'Estat, de assembler, traicierjoinctemen surcia dicte mattere, selon que plussieurs Dis avolt est falsi a devant de se personne , Iour Par Pres ren-dre resolution conclusio en ta presehceo stans euix dudis Consei par plus eur is assemble , consultarent fortamplement, .last e sommai re te que 'ensuist assavoirnon seu lement de grandissime importanc , mais avss une des plus difficiles, perplexes que jam ais 'avolt este eue, sembla que serottite de considerer te mal apart .apres lereme de 'iceluy. CIV. Et quant a mal sus dici par aulcuns , qui regardant diligemment, lavssyavec bonjugementientiere masse des choses, doni celu avolt prins a s urce par unisu
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parua quelle quali ou Verte ment se pretendolent es eu X cho-ses, comme Par pres 'est e plus latrement par es lec-
si 'estant acheve te de uxietae selon leur volunt ein desiir est
furvenu te troiZjesme degre, de la equeste des consedere , les quei considerans que gens e scant, Davo j est parens,
demandent par eur re queste qu'esti 'est iis ire de to υtpoincti Inquistition moderer es placaris, ciccorder assem bicedes L stat generaul , 'ont ruta fert our ob terrircia liberte de la religion Paut re te changement cum ouuernement generat, se pou voi sacillement ad devincros'il in intelligen-ce enlr' euix si te uns soni instrumens des ultres, unon. Et asin decie eoir plus latrementaque ron renne scu- lement regard D quattrisme degre, qui se traicte presente-ment, qui est advis de Se igne ur asse consorme correspondant a la equeste des consedere Ζ, a Pavoi poti te preme que inquisiition 'oste. que les placari solent mo
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supposer Our out certain, que lacii finale de toute la negociatio est, our parveni ames eu XJOincis , Sinue pouries obtentrion ait procede usque a maintenant par es dicts quattre degre des ceu lx ne soni enco bastans, que sans fauit nulle o en doibi cra indrein attendre des plus perd-Ieuxin pernicieu par te dictes aultres gens, attendu principalement, qu'il commen cent ara dire, que euit stre es confedere ne se contenteront de ce que essus est dies ,
gocie deau de Pautre Oinstement. CV Venant par apres a re mede, qui se doibi applicquerace mal fuit dici, que puisque 'est cho se qui cpncerne prin- a cipalement
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cipalement te se Trice de Dieu, Ia conservation decla saln-cte Eglis Catholicque, que evant oute hos Sam i in
ores qu'aulcun d'iceui X euvent par legeret O aultrementauoi commis queique fauites, que la plus par est bonne ,
niere, qu'en tout se monstrent de echercher non la vengeance
propre, mais te bienin prousfidi de leur maison , fimque les dicis delinquans solent corrigeZ, non destruicts, Garria
de ux manieres de remede, une veritabie la quelle se doibi procurer faire, auire moyenne, qui ne se cloibi ob- metire La raye 4nicque maniere de remede est, que utes hoses postposees a Maj I se trouve incontinent en person ne en se dicta Paysias fournye de sorte, qu'icelle pensera convenir alleguant de memes, ula fauit de ce, san doubi nulle, lassiaincte Foy Catholicque cependant signament en Phyver prochain se perdera, non sans grande charge de conscience, des aut X 'augmenteron par dedans, cies abliron parcies e strangers, de sorte que e que se eult presentem ent latre an despence, sans trouble effusion de sang, ne se pourra executer apres eu ejoUrs, si non avecq grandissimes fratZ, dest rustio Δ'images, Eglises, Monasteresin effuso de sangri, que pis est, comme main-tenant est e la main de a Maj de commander absolute-ment, Hectre ordre a laria inste religion enetout lar tout,
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ques, que se crain beaucoup, Ue ou la dilatio te cho- se viendron a tet termes, qu'il ne sera possibie 'extirper defracine les mauuaises sectes des ceur de hommes; que plus est, qu'it Z se fortifieroni de telle sorte, que Sam sera constraincte de leur Oftroyer aulcunes capitulations deliberte en a religion, inouuernement de a republicque, de quo les eschans se antent Ournellement fans qu'ils it conse illabi a Sam 'envoyer quelcqu'un par delaavec gens de guerre en son absence, Our e que cela ne proussiteroi seulement ien, ouri'estre obey, ais donne-roit aus* occasio de plus grande division , se dilans te uns te aut tres estre serviteur de a Maj I selon qu'it 'estve es division sin troubles de France. CVII. De Paulire coste, se trouvant Sam ' serviei'alter incontinent en personne en se Pays 'embas, que ansfaulte nulle ous te inconveniens se Ourroni eviter, stant
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ci pallement a distributive de benefices Mossices, de la quel
conforme a Out e que se requieri, ilis'est asseure que ceprouisi ter quelque chola, ais a contraire est sori apparent, que les confedere Maulare a ecq Out cela passeronto ultre a chem in qu'il ont encommence, Hausi te Sei-gneur se contenteront, si avec ce ne Oit Ordonne en equ'il requierent u Con ili'Estat, e que ne convient enfacon quelconcque estant te Ilo absent de dela non furn des regiitres tritonia ances, qui necessatrement se dolu-vent eoi examine en hos que tant importe pou sfa- voi restat e temps passe. CVIII. ultro e fuit auis considere, que 'oster entie- rement inquisition , seroit hos contre aut orite de SaMaj de se ainctete, raecia aincte Egli , qui Pat introduit de ordonne, an passer oub silence, que par emolen ii adviendroit, questa religio seroi libre, dumolnsa uia chascuri en a maison estant oste te seu unic re- mede, du uel Eglis a tousjours se de teni s in des consciences Saonnes doctrines de se subjedis, principalement sy Vec ce es Bit a rigueu des placaris, selon a moderatio en VOVE de dela, parci quelle it ne se exaul- cun tiasto contre ce ulcia qui e schent par obmistion, nassant a I Egli se, ne eum ant, ne communiant, ne suyuantles mande mens de a dicte Eglise, ny aus, contre cevix qui ne sont e qu'il doibuent satre en leur mai fons particulierem ent, in sculement contre ce ut qui e schen e pu
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contravention a a palx tranquillite publicque , contrerautori te ob ale, de contre te bien de a republicque, par coli sequent ne sese ut ny oibi et royer. ClX Nb avssyle troigies me, parieque se demandete pardongenerat, a que serotent comprins es plus coulpabies, com- me prest heurs, ministre S seditieu X, auis hiemque les aul- tres qui on erre e molns De sorte que si te cholas funsent en leur entier oues Ro prest Our se medire en chem in sembloit e bonne conscience, que Out Cela sedebuoitentie rement rem mai conliderant de Paul tre coste en
religio ceme urent en e Ur entier.
CXI. Et est cestu te sommatre de celle consuli qui set in par plusi eurs ours au mois de uillet auio is de Segovia ou e Roy stoit, stans de son Consollio Ferdinando, mare de Tolido uchd'Alae grand Maistret 'hoste de sam 'person nage de tres singuliere pruden cein grande lassis iace, Don Gine de Figuerba Ct te de Ferim, Don Antonio de Toleto grand Command cur de rord re S Jeam Don an Manriqueet
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premierement etant que Ouche te mal tu despieut infiniment, que les hoses estolent reduictes a ces termes, que nous avonsis dessus declaire ordonnant avecq tres grande piet epour te premier remede de laire prieresin procession publicque par l'Evesque riout te terge de Eglis Cathedrale de laxite de Segovia , .par auit res ille places 'Ε-spajgne, aussypar outes se terres&provinces des Pays dycmbas Declara semblablement, que son intention 'avolt ja-mais este aulare, ny serat, que de traicter se subjecta Vassauix par tout voye de doulceurin benignite, comme de sat illa ousjours demonstre Davantage quant u remede de son allee, declara allegua estre de metae ad vis donic dessus est Dict mention, S propos si en aut cune maniere ii seroi possibie 'estre es didi Pay devant rhyver, quel chem in tu conviendroit prendre, O celu de Levant parci me Oceane duNOrt, O celuydu Onent par lamer Mediterra nece. Sur quo selon qu'auparavant avolt este traiiste tres amplement, tarde enu, fust respondu, qu'il estoit
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non seulement our es fortunes de la mer, mais uss potirles Francois S Anglois de Rebelles , si 'adventures'emparassent de Isse de Walcheren celu du Ponant plus long mais a Contraire plus eur, principalement ab arat honne correspondensse Vec PEmpereur, auque seroti boni'escrip re savoir On ad vix comme depuis fusi fates , scrip vant acla Ducta esse que .Sa Maj 'inspercit d'estre a Paysias de par declara printemps. Et passanti ultresur es distis troispoincis fusi conclu, parcia propre bouche de Sam ceque 'ensuist. CXIII. Prem terement, qu'estant Pexerci cede a jurisdictionepiscopale silabile coin me de droici appartient, que SaM Peltoit contente que autre Inquisiitioncesseroit. Item qu'aul-tre forme de moderation des placaris fusi conCeue par dela, tenant Oing que la stincte o Catholicque 'aut horite duRo fuli gardee, our pres fans dilation Helconcque enestre par a Maj . ordon nec comme conViendroit, aut oris anten ulare adame la Duch esse, de donne gracein pardonpou leurs fauites passees au consedere sevis, O auis auxautres non condam ne selon qu'elle trouUera convenir, tout cela a Condition, que o Allege soli reali ablementasseure par les Seigne urs, que moyennant Paccord des didis troi potndis, iceulcseront contens 4'emplob eront en Diretoutio office pour a conservatio de la aincte religio de tranquillite decla Republicque Et quant a surptus, que solent ostees toutes ligues, consederations assembleces, pre- sches, scandales, ciuires hostes semblabies, o si non, que les Rebelles se mectent en armes, que Son Ahege se serve des endes ordinat resin uarni sons pou sa eslance, qu'auss e cas de necessite, elle tienne apperceu aulcu-nes gens de guerre ultant que sera de bes ing, choisissa epou Chela Mapitaines eui qu'elle jugera les plus apropos, sperant & confiant, que les Seigneur ne laisseront de faire out ossice possibie, ausquel Sam escripvoit let- tres fora gracleuses,4 semblablementetu ConstulX aux bon-nes illes, lautires, si que chas cun 'esvertuast de mainteni le out en repos tranquillite, jusque a se venue par dela. Tm. II. Par 2. M LA
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CXIV. Ependant que es hoses sus diistes passolent, esto it en ruxelles Evesque irrenti Non ceApostolicvenvoye par nostre S. Per te Pape ou traicteravec lamuch esse fur les assaires de lareligion, equelayant communicque uel que Dis avec Son Alie Ze, Mentenducia disposition du ays, telle quavon didici desi us retourna udain vers Rome, Ultre e qu'en e temps diverses preschesin assem bleces se falsolent a les Sectatres en tour de Tournay, Valenciennes ille, Bois leduc Anasterdam, ailleurs, croissant de our c jour; a Uille 'Anver sust reduicte en grandes difficulteZ, tant our es presches qui se falsolent en deu langues, Francois QThioise, 'uelles