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tant en cur nom particuliers, comme en qualite de depu-
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contractis An vers parile Princ Toron es aUecoles Sectat res, en conformiteincetu publie par les Gouuerneurs dela ille,suria liberte dela religion, avec permisiton de reXerser, S de ceremontes Hereticque , te presther dans la ville, desquel deu potiret se monstra Son Allege fori mal contente. CXXXVII. Et trisy 'achev la negociχtion surcies troispoindis sus didis oulare es vel fus avssy consulte ence que 'escripvolt par a Maj sur a leve de gens de guerre, an Assemans qu'aultres, Just conclu, que pulsque les consedere estotent appetisse .re dulci a servi ede Sa mu'it 'estoli es in ny convenni auis de
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point aut rement. Disant ultro, que our donne Ordre particulier auctrcubles de Sectatres meretic ques, qu'Onn' mestier 'auiculas strangers, ais que sussiron te ben- de S garni sons ordinatres, cies ultres gens de uerre, que a e parti estolent levees, S se ourroient en cor leve en es Paysias, ou les enuoyer me ire e lieux, o la necessite sera plus grande Furentinus' en celle Gsemble advisees queique tot & ordonnances, tant contrecedi qui Poriolent armes , Omme en auit res mattere sem-blabies, qui furent incontinent publiees, mais avec nul ubien petit frutet, 'estant acie eupte mis en ne licence uliberte effreVide.
Du Beso igne , Nie la Responce dura jur cesurdessus es dici.
CXXXVIII. CNviron e temps tomba temo malade auata hois de Segovia 'une si ebure, que diminua
laissa Sam ' de Dire continuellement out ossice possibie, estant accoullume, de eoirin Xamine tu me me en grandstini diligence toutes es hoses postposeces le leti res de la Duchche, lauit res 'importance, avecvile surptus servant, principalement a la attere de celles qui 'appor-toient de Pa3s Bas, S aus* 'estrire, note heau coiis de se main propre, taeniendredes relations de tout & quandi cholas dissiciles, pres avoi commande de les visiter examine a Constit 'estat, es ouyr ultre Ois Vecqyadvis de euix du dictionseit, ciuis de prendi e quelque is la resolutio en Passemble ei Conseil en sa presen ce, selon Pino portance des assaires. De out disje ne se perdit uia seu moment en e temps, non obstant a dicte maladi de a Maj , a uelle se monstra emblablementseloia iunion naturet, en tous es negoces accion tous
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jour tant modeste, tempereein constante en ceulcassaires, quelque extremes qu'il lassent, que amat Pon 'ave en icelle signat, o de passion contre te personnes 'une pari, o de relasche en se negoces de 'aultre, in se ren-geant ousjonr a a raison ite que les hoses, commenous avon didis, tu despiat ient en oymesme our eurmauuais disposition ne herclia que te promptis vrab remede. Et ausi commandant a ceul de Son Consei derassembler, fust traicte par ceuix comme 'ensui t. CXXXIX. Premierement discolarrant sommierement fur amatiere en question, fusi didi, qu'il se voyoit clatrementqu'il volt quatre sortes de gens dependans e forme de chaine es uns des ultres , des uel les Oindres estotent a Canaille S ultres gens viles, qui nibrusse les Eglise , rompu es mage ; les Ultres pardessus ceu lx soni les Hereticque Sectat res, qui se trou-Vent avol love les dict gens les troiZies mes tu graniis, sentcles ConsedereZ, qui Telon Otoir on prinsen leur protection les Hereticques, culo donne la chargeiusdiet a la dicte Canaille; cies quat trieta es cies plus
principaul sur ous, soni ceul de premiere ligne Malliance, de quel il est to ut clair, que les confedere sont allier, Parens, servite urs, consormes en opinion, voic selon
par pres de ouver uia script par te que se di it avo irles Seigneur promis au confedere de tant Dire, que les Estat generauix 'assemblerolent, Vec aut tres Choses sem-
ia main aux armes our latre resistence mesa a contraire, Turn. II. Pari 2. O que
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CXLII. Ces chosesinins discourues, lammis en deliberation la hos qui se debuoi faire A quo par aut cuns fustdictoque e principat seroit, selon la grandi mune instance que Son Allege Dis par outes se lettres, tota laquelle ous Iesion Catholicque crient, qu'i pleus a Sa de parti incontinent ver ses ab Sias semestre en chem in comme stant te premier, secon Qtroigieme, qui eultdire, e Vra remede S unicq sans te que i est out clair certain, que les hose ne cesseront amais 'alter de male pire, usque a ce que out sol perdu irreparablementi comm a ce fust respondu selon que a avolt este declaire es communications passees, qu'il estsi impossibi de parti de-vant i Hyver fuit respondu, O replicque, qu'en e casne
seroit avss possibi de conserve la uepublicque encia Lincte Foy Catholicque la quelle allant perdue de pas en passa laseule fauit de a presenc de Samai estot de cen telestat, qu' patrie se pourroit elle remestre en son entie saris
grand travailin perit, e que outes Disci avolt este id en son temps, inuessans a prompte presente alle de Sa
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ceste volonte , an doub te nusse nostre eigneu donneroica surpius yde dia assastence, non ultrement, euillanta e propos te redui re acia memoire comment Empe
pasiant par a France, que Sam par Pinstruction qui
fusi donne a Comte 'Minoni declara bie expressement, que our gari lar a Lincte Fo Catholicque en On eniter , icelle pereroi volontier cent mille vies sy aultant en auroit.
de be inpen Palle de Sam mais que cependant testoit necessatre de respondre auctettres de Son Allege, alendrotet des uelles sembloit, entant que Oucheria negociation des Consedere & Secta tres, que a Maj en a responcesta deb- volt eniterement glisserin passer e silence, sin de ne la ap-
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meure deliberation, qu'elle ne se POuVolt persuader, que ceseroi te prompt/ vra remede Ontre es Sectes, notam-ment en son absencera mais a contraire une hos tres dan-gereus pou tomber en une liberte de religion, confusionde republicque ce que seroi contre a conscience, contreson autorite, a quo ne se debuoi donne occasion, commeestant de tres grandi rejudice , Neu qu'entrant ne lais en
ver plus grand dommagesin scandales, que ousjours luna semble, enco te tient our ferme, veritabie, que levra remede auroi es e, deroit ou Padvenir, de resister contre les forces voyes de salit, par contraire forces voyes de Did contraires, selon que par exemple se monstrees lieux, o en elle .semblabi manter a est Didi teste resistence: en quoycia Maj ne doubie sera Dict out bonossice, stans pardela tant de persennages principauic, in aultres s affectionne a service de Die , ct de a Republicque. CXLVI. La substanc de Paulire secrete estoit, que Omme Son AlteZe entre ultres choses avolt Dict sy grande sue sive instance pou Pashmblee des Estat generauix, qu'icelle
cscript par a letire generale , our cause de se conscience preiudice, ais sy a contraire Pon falsi force violence, comme elle didi, que contre cellem' a remederi mais il le fauit remeetre a Dieuin a se providence, aut que, commeque cesso it icelle 'entendinu'aulcune hos se face commeprocede dire tementis inderectemen de se adveu.
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CXLVII. Nous avons dictis devant, commerae Roys'advisa 'estrire une letire a Empereur touchanicies affaires de Pays 'embas, lausi de son intention la uelle Sam ' Imperiale, non obstant des grandes occupations qu'icelle Uoit a cause decla forte guerreque te Turc tu fallit en Hongrie, respondit a mois de Septembre sor particulierement, osseant out amitte Massistence, telle qu' union rere apparienoit, dilant Outes Dis auec beaucou de dissiculte , restant specialementchos de la religio Catholicque tant odieus a beaucou de Princes Allemans, assie, parens d'aulcuns assaula duMoy, qui legerement 'estendroient ou leur donne ayde Ω-
cours, 'o prorederotent non stulement grandes oberies ,
hommes de Para 'embas, enuoyarent lettres a Sam h , tu donnant compte de ce que pas bit, tant en generat qu'en Particulier e leurs ouuernemens, si commerae Prince de
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Se neurs de Norrcarmes, Bari montin Menghien, te Visconite de Gand , Universite de Louvain, ultres tous es quei respondit Sa ori gracleusement les emerciant de leur bon office Dici par te passe, Ies en courageant d'ycontinue a Padvenir Semblablement escripuit ei remercier aulcuns illes, Estat & Gentiishommes particulier , qui avolent nimbo ossice, an obmestre u potndi 'humanite alendroid de se subjects fassauix signamente scripuit de a propre main a Pressident Vllius, te remerciant bien fori de se grand trauauixin fidei ossices le re- querant de continue a service , non obstant son grandisage indisposition, usque a sa Venue. CXLIX. Et comme en e temps le Comte 'rimoni sedoulut en es lettres qu'il escripuit a Sam aulcuns duConseil mu'o Di it couri u bruid sinistre contre luy, en e chargeant de mauuais ossices contre a verite , maisque a fin monstreroit e contraire, que oujours illa este, cil
tu commander quelque chose, tu iust respondu, lavssypar lames me forme scripuit a Prince 'Orenges par u duci Conseil que our steris es acerra mauuais fame, que se emolli'euix ilis' avolt ultre remede meilleum,n plus promptoque de monstrer te contraire par ceuvres voye de Didi, se conformans en out par out a lahonne S aindi volunt de Sahq la quelle est tant claire S notoire, qu'illa'est be in auis ne convient, 'attenere mandement plus particulier, que te ra ossice 'unbon Vasia est, pres avoi cogntrabsolute volunte Wresolutio de son Seigneur, de execute de bonne volunte, de executer par essest, oeelement de Didi, non obstant que traictant uparavant surcia mattere it sol este dyaul-tre advis opinion, attenduriu'un membre particulier Icomme estis vassath ne se eoibi estime plus age queson qui est te Seigneu souverain, a que seu ap- partient te Gouuernementis administration, de non auxVas aut particuliers. Se di it auis en substance, quem commune opinio estoit, qu'ayans euix deux, o rund'euix, monstre visage, es cholas ne lassent amat venue a telg