Bibliothèque Latine-Française, Volume 72

발행: 연대 미상

분량: 417페이지

출처: archive.org

분류: 미분류

391쪽

inextricalias, ere. Cesque dii ies Pline se uouve enithrement dεmenti par te caleuis escens, basε fur de observations astronomique multi

nuages ne euvent exister a dessus de cerae limite.

CHAP. XXI page 66, ligne 5. Semperque.

Pline nyentre paciei dans letahiail de la Baetio precise acla quelle personne encore,' putaretver Il imite la solution indε- finiera'Archimhdes, qui, ne pouvant trouver exactemen te rap-pori decla circonsigrence a diamhtre, s'en ira en visant que cerapportiatait, peu moindre que celui de a his et plus grandque celui de ax 7. CHAP. XXI, page 66, ligne Io L misero duodecimam. En se conformant aux argumens que Pline prodest dans celassage, ou rechereber uelle actio de orbite solaire galela distance de la tune a noue globe, o devrai eroire que eue distance gale uncioixante-dougihme, et non commerae eut Ρline, uncioutihme de rostite solaire Les phriphεries dea ceretes sontis raison directe de leur rayons selon line la circo sigrence de rorbiis solaire est douge sol plus grande que celle de Porbile lunaire, uisque te mouvemen d solei autour de laterre dure douete sol autant de temps que te mouvement de lalune autour de noue globe done la distance de a lune a laterre, qui est te rayon de l'orbile lunaire, doit hue aussi grandeque la douetiem parti dui on de l'orbite solaire et comme, selon Pline ce rayon est galaria fixihme partie decla circonsiε- retice deI'orbile solaire, te rayon dest' oriate lunate sera egat hi solaante dougieme partie decla premiere orbite.

392쪽

NOTES DU MUR II. C P. XXI, page 66, ligne x6. Quoniam sis meditis ML

Entre les planhtes, anais non entre la terre et les deo signes. CHAP. XXII page 68, ligne 6. Stesiae moenite nascuntur, etc. Pline compie pri te astres qui missent subirement et qui perissentiresque dussi ulteriu'il sontishs, non seulement tesέtolles volantes, te flambeaux Ies Iampes et insγ'anx senisso leis, mais avssides comhtes La distinctio M'il sat entre ces astres de eourte dure et ceu qui existent de tout temps et parmiles queis figurent les planhies, te soleti, laclune la terre et les tolles fixes, est semblable Deelleriussi sat entre Ies venis constans menti generatis et les venis qui naissent subitement benti, pentini Les dernier peuvent naure subitement en out lieud la terre, et ne reviennentias Ddes Spoques fixes; les intres fovissent toriour declarum rhoonta eiel et 1 des poques fixes et pendant la me quantith de ours Les venis subit nai

sent de causes fortuites, les venis onεraux ou constans de causes constantes, Hest-,dire de celles qui sont attachfles ammouvement

393쪽

crinuus.

CHAP. XXII page 68, lignerio Pogonias de πωγωνίας, barbu, qui a decla barbe. L pohte anilius disigne les plansites hevelues et les pla

Nunc prior haec species dispersis crinibus exit, Et globus ardenti sequitur sub imagiris barbae.

394쪽

genrea ille a Jέrusalem un an entierieu de temps avant lades tructio de cetis ville et de son temple.

Diraeus, de Δισκευς, nit en sorme de disque.

CHAP. XXII page 68, ligne a a.

395쪽

lance.

396쪽

Cesque diciei note auten se pr-nte asse sonum dans nos elimata te me rappelle avoir varie et dans une grande tendueempreinld'une couleur sinon de sang, d moi 4'une nuanee qui en approchait. Une heureis une heure et demi apias it se man sesta, orage terribi qui fit disparestre enithrement i eouleur, et peu de temps μhcle ciet reprit in sωέntia premiise La causede e phέnomhne est due in inflections que les myon solaireseprouvent en traversant les nuages. L. FOUCRE. CBAP. XXXI, Messio, igne io. Et rursus Mures soles, dic. Ces sortes de phtaomhnes se nominent Parhines Cesson desimages, et eomme disent les physisiens des speetres solaires; laea e de retis illusion est dans la riserion des myons da soleti su nove atmosphere Onieu compare cetis multiplieation de

397쪽

CHAP. XLI page so signe 38. Olera e μορι- acta, e salicles, folia solstitio circum Gg-ι. Ce mouvement de senilles de Polirier, duieuplier lane et des saules, hilpoque du solstice Sete, doliaue rano parinides satis hasardεs L physiologie figetale nou a appris que les son tions de deu suri ees de seuille plane dissigratent, et que cen'εtaitioin sans intention que la nature mali dirio laclame inserie e de la euille lamina inferiori vers la terre, et laciamesupεrieure Iainina superiori vers te hiel, puisque lairemthre doli absorbera tumiditε qui se d/gage du sol et Ia deuxihme en rendrerexcedant parda transpiration. Si done celte disposition tali intervertie, it en resulterait, a bout de sortiseu de temps, lamor du-εgέtal onci'est assur que non-seulement ii nyarrivati jamai que la station de la seuille changeat naturellement, mais encore que les seuilles falsatent les plus grandkessoris,our Uincreta position forcεe qu'on leur donnait. Nous traiierons de Polivieri ea Europara, LINN. in livre XV,

in tectis arentis herba pia in Cette assertio est inexacte et mensonghre. Uniarei fait,4'ilεtait urat, renuerserat toutes lectois physiologique qui se rati ebent a nutrition des vεgεtaux Les seules plantes qui puissent continuera fleuela tant hors de terre, appartiennent aux crassu- lactes le plantes bulbenses tant placεes dans te m/mes cir constances, metient seulement des euillesci mais aueune herbe

398쪽

CHAP XLI , pagelo ligne et a mnetur hoc, qui non Obseroes quotidiano experimento, herbam unam, quo Moomur hinotropium, a euntem solem intueri semper. Nous exaniinerons les causes de ce phέnomene, communditu

CHAP. XLIII page, , lignerio. Hinc nasci procellas Et si inntile lurietur fatus aut apor, tonitru edi, etc.

Tout ce que dit Pline, dans e chapitre surde tonnerre et les ἡclairs est totalement saux se explications soni nonieuses,mais dεnuees de vraisemblance Auiourd'hui on ait que relectricii est la cause de ces ph6nomenes, donicia thlorie est troplongue, ou que nou puission la donner ici a FOU HE. CHAP. XLVI , page I 26, ligne Io Ex iis quo terrigismuntur, lauri fruticem non icis. C prejug n'est pas encore enithrement dεtruit nous avonsuu de nos oves d'estimabies savans ne pas te rei eter enserement, se basant fur a complete ignorance dans laquelle nou nous trou-von relativement an principauxilienomenes de I'hlectriclia, et regardant conini possibi que certains vegetaux puissent attirer, et 'autres repousser 'hiincelle Mecuique Dan l'etat actuet denos connaissances a semble e tabli quis arbre d'nne tallteralevέε

399쪽

et que parta les premier , ceu doni la cime est pyramidale et terminee en potate, testeupuers et les sapius, par exemple dolvent plus fouvent hue seapph de la Mudresque ceu doni la cime est totistae et donicies branches soni horizontales, omne les h/tres et les chhnes. or, o ne eul disconvenir, 'apes cesdontiles, que te laurier ne sol dans de circonstances favorabies a cet gard 4'estin arbre de moyenne laille a cime talhe. A ME. CHAP. LVII page 26, ligne ax Proeter hinc inferiori coelo

Prononcer sur cette question L. FOUCHE.

CRAP. LIX, page 3a ligne Ia Nec unquam plures simul

400쪽

I 'observation Ournalthre prouue la faussete de cette assertion. L. FOUCHE. CAAP. LXXXI, page 7 a ligne 18 Ventos in eam esse non

dubium reor.

Ceile opinion de Pli , que ron retrouve auasi chea Areste latis, crivat ancien, 'estia admissiste en esset, ii est ab surde de suppose que les venis sontria cause des tremblemens de terre Iis iennent des eruption volcaniques a FoucHE. CBM. XCVIII page 19 , ligne 18. Duo sunt momes iuxta remenn iusteri natura est ut ferrum omne senem, asteri ut respurat. naque si si clari in calo menso, ν ά o Gressi in alter nonposse, in isero sisti.

I exi te ea esset des montagoes qui oncla pro uti Satti ele ser oules matthres dans tesquelles le vital est inhiano ouj-binε ces montagnes soni sermhes en grande partie de piere Taimant Tout te monde sal que e min/ra acla vertura'attire leserri aussi, commerae dit Pline u Voyage ritu a des clous illaut que es clous solent en asse grandinombrexa se fouliers, et qui pose sonited fur une pareisse montagne, ne peia te leverfacilement. Il est,raisemblabiesque Pline exaghre, en visant qu'ilne peut plus te retirer. Quant ad montagne qui oui decla pro pri6lε contraire, e'est h-dire de repoussercle ser elle ne se trouvepas dans la nature, o du moin si elle existe, e qui n'estias probabie, nous necla connaisson pas encore a FOUcHE. CRAP. XCVIII page fi ligne si In crus ins naeum ibi

noxium , extin satiare.

SEARCH

MENU NAVIGATION