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dire par les mois es ideo non possunt Messe a litis , quoniam cur oratura apsidum ibi non hales longitudinem maiorem. 'expression
cur tuae, sidum ne signifie que 'angle formesparda ligne BCMAdes apsides ave la tangente Cm; et angi ne hange pas de
grandis quandΤεpicycle se meu suris cercle concentrique; maics'il se meu surru excentrique, a grandeur varie Dan cemhme eas, ta ligne qui vara centre de la terreis celui duiso leti, ne coincide plus ave celle qui vara centre de notre globe celui dea'εpi ele, quand ce ceres ne se trouve pas aux apsides de rexcentrique mal la premihre ligne sera oujour parallhle aeelle qui vara centre de excentrique Leelui de lyhpicycle. En supposant done queri centre de la terre ne sottias en G, messen et que spi et se troiive dans te potat, de l'excentrique la lignem misera paralles h la deonem quandue solenoceupera letointra Tirons maintenant du centrem de la terreune ligne Re qui soli tangenteat'έpicyclea Fe dans letointe,
nis plus grande que 'angle S Re form par les lignes' et Re. Ainficia ligne Ca w'on appelle a ligne de apsides moyens, parce qu'elle passe par lesioinis aete dea'εpieycle , doni run est te plus Moigne et l'autre te plus approch du centre C de l'excentrique, saltae sonetion decla lignes a des vrais assides si lecentre de la terre est ei, R et que rhpicycle se euve surri'ex centrique Μ Ν, doni te centre est e C. n,' don M'atradiare les modi euroatura apsidum de line par eourhure des fides moreris, et te sens du passage que nou expliquon ne
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de Papside proche de rexcentrique Ces propositions Ont εω δε- montrees par Ptolesnfe page 5), et 'est a cans de res suisque la grandeur de digression de Vlnus et de ereare ducio
leti varie tant. Petit ire n'aurai on pactor de prεtendre quePline, toni en attribuant un picycle et u excentrique LVhnus et Μercure, ne connaissai pourtantias cetis cause principale de Pinhgalite des digression de ces detix astres Le naturaliste ro main non entretiendra biento des ause de petie anomalle; il passe Deette occasion surria principale, et parte d'une autre qui influe tresise sv la disserene de la grandeur de anoes dyMongation.
nome modernes valuent k Io les plus grandes latitudes boreales deosnus et , 6 5ι celles demercure Les autem pia nhtes,'ontias antant de latitude. CRAP. XIV, pagessa, ligne 18 Sed ratio e noniarefactis. Ces ainsirine Pon doli lire avec plusleura manuscriis citctiae
Hardouin, et non ratio canonicos, comme te portent quelques au tres manuscriis Ratio canonicia signifie une explication e rinle,
methode systematique Cette mhstode est laribέorte doni Apollonius de Perga et Hipparque se servirent pou prouuer que les planhies inserieures ne euvent pas 'hloigne de x8o du soleti la note surrae mot quoniam cur uina apsidum ibi non habet longitudinem maiorem.' sine regatae cette mhthode comme vicieuse, et i a raison, Hipparque yant dii tui m/me
A ageste, o et zo5 que a ligne qui, du centre de la terre, eelui dii soleti, retarde succelle qui vata concentrique ou derexcentrique totis te huicans, d'environa iovr έnus et de Si
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Po v donesque 'epicycle, tant dans te potntra conee trique FBN, Phlongation de Vέnus ou demercure soli galea Panoe . ou a celui de a C e , elle sera a bout de huicansdera , et a bout de quarante sicans, de 5 plus grande querande a C g, et d'autant plus petite que Ce ; et, dans te casoli epicycle hiant dans te potnt m de excentrique FBN, Phlongation des deucastres feraiiugalea Pangle Srue oua celiade SR elle ferait, v bout des poque indiquees, de 3 oui plus grande que rangle S e et d'autant plus petite que SR . Apres te laps de huico quarante fix ann/es, Mongation sera deam 3 et de am 5 plus grande que Pande a C. O SKe, et Sautant plus petite que 'au es C e ou SKe , et ainsi de suite.
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ita ut de sorte que et e regarde te passage fulvant qui commene par itaque et qui sinit par summa comme te eommentatre de elui que nous avon , expliquer. ovouriu'on emplace te quod par ita ut de sorte que les mot itaque quum inpariem i somelus incidere margines asterutro latere tum et sisti ad longissima sura interoa ,re mire intinisuntur, se apportent a cas ou dans lafigure precedente la lignera centre de la terres celsita soleileolacide ave la Mollem ais RS, de sorte que a digressionde la planhte que nou supposon eue en est gale a Panoen C eiu Leelui de SR. . ias modi quum citra fuere margines totidem
partisus es ipsa ocius redire creduntur, se apportent a casis laligne decla terre au soleil retarde d'un certain no re de minutes surda droite Gaium, de sorte queri premihre ligne se tro avesiluee entre les Moites C a et Ce ou enue R et Re et que ladigression est par consequent plus petite que 'angle C ouSRHd'autant de minutes que la ligne decla terre a solet retarde
la m/me distanc mi de rapoghe de rexcentrique. Suppofons que Pline, qui parte de rexcentrique de Vέnus et de
Mercure, lasse movuoi Psipi cle de ces deux astres fur uneercle de cette spece Dan ce eas, ilis' aurait Hen a dire contre te sens de moti quum sitim semper inrisu extremisos,dh qu'on es explique comme nou venon de te satre. ais quand en partant de la,hme supposition, o leur donne lesens de Tangle S decla cotibvre des apsides est des me gram deur dans chaque distance, de εpi se de Papogε de excen
trique, te passage en uestion renserme une erreur rhs-grave;
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ΝOTES DU IURE II. CRAP. XIV , age 5et, ligne za. Ad longissima sua inserealia. Ilieut se satresque Venus et Mercure, tant a leur plus grande distanee matutinale ou vespertinale du soleti, ne se trouventias dans letoint de leur pieycle, mais en g. G ad figure de lanote prεcidente. Dan ce cas, ta ligne qui, du centre de noue globe a celui du soleti, sera situo e dehors de Pangle Ce ouSBς, oute les seis qu'elle ne coincidera pas avec la droite Caou RS. Done Phlongatio de sinus et de Mercure est Mors plus grande queri eourbe a Ce ou Rides apsides Pline a nεgligh: de
parte de ce eas. CuAP. XIV , page 5 , lignea Hinc e ratio motuum conoersa inlini stir, etc.
mouvemens de corps celeste su leur epicycles se ratentissent dans rapogfe de ce cercle, quand''astre parcourfla circonserencede cette eourbe dans la direction opposε ammouvement cen ire de Γέpicycle Pline disque les planhtes superieures se meuVentavec te molas de vitesse quand elies sontis rapogέ de leuriapi- cle: Iure a terra altissime aistinc, quum tiardissime mos enitur. Doneces astres parcourent leurs picycles, selon line, dans e sensinverse decla marche du centre de ce cercles, 'est a dire de lyest, lyones et contre rordre des signes duriodiaque Ptolεmheriait oir galement que 'est dans te apogles des picycles que les eorps chlestes soni transportέ avec te plus de vitesse svr laifr phsirie de ces cercles, quand iis marchent dans te m/me sens que Ies centres de ces courbes, 'est dire dans l'ordre des signes duriodiaque Pline di que la marche de planhies insigrieures surleurs picycles est a son maximum, quan elles se trouvent dansles apogoes de ces ceretes done Vhnus et Mercure parcourentienrs picycles, selon Pline, dans la mhme directio que 'εpi elesyavance dans te ciet, c'es 1-dire deI'ouest a rest, o par ordredes signeS. Ainsicles planetes superieures et inserieures se meuvent, selon
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Pline les unes dans u sens opposε a centre de leursiapicycles,les antres dans te sens du mouvement de ces cercles Mais celaetant, et Pline ayant place les conjonctions vespertinales de toutes le planetes aut/rige de leur picycle it est n/cessatre queles levers matutinaux des suphrieures alent lie 1 rest de celointdu cercle, et ceu des inserieures h l'ouest. Pouo que ceta ait lieu, et que les corionctions vespertinales de toutes les planhiesare vent a pεrio de leuriapicycle, i est nεcessatre que leursmOuvemens fur es cercle solent dirighs dans te mhme sens quela marche d centre de repicycle, pour εnus et Mercurre, et a Poppos de la translocation de ceti eourbe, pou Saturne, Iupiter et Mars Ainsi line po-ait partir, comm i rasait, decette position inverse de levers matutinaux de planetes supε-rieures et insiεHeures, commeta'un ait εnεralement reconnu , et dire ensuitesque clas a cause de cette position inverse m/me que
Celte assertio est hasle sue Ies mois superiores enim ce/rer me. . . . ocissime de ce thapitre et suris passage dii prέcedent, dans tequel iles di positivement que lesilanε tua superieures enirent en corionctionVespertinalc, quand elles sontinuiorigeo de leur epicycles ConMeni stellas in occasu evertino proximas esse terris e latitudine et altitia fine. Quand ces astres se euveni te plus vii a Pέpoque de leu coucher dusoir, tinnan Venus tmercure se meta vent a contraire Hora Ie Plus lentement; si ces deu corps celestes votitae outre te plus vite quandala
du soir, et par consequent dans leur corio notion vespertinale, iis se trouxentires dii perige dera cur epicycle, triti iis Dentren meme alors. L emplacenient que lineis donne auxilanὁtes en coni onctio Vespertinale 'estia juste, et Saturne Iupiter e mars scoro avent a celle epoque dans Papogue de tuu epicyole, Venus et ercuro dans le Hrigee. Le regi in oppose visiovvement de plandios superieures et de celui dea inseri eurcs vient de ceti position inverse de leurs conjonotion vespertinales, es astres porcourant tout leur epicycle dans le ἡ me sensque auit te centre de cultu courho en avarasan dans te ciet, et eurs mouVehaenaliantia consequent acceleres a perige de epicycle et alentis dans Papoge de ce cercle Clast dans ce sens qu'Apollonius do Perga et Hip- parqueon ecrit leur ilicorie dii mouvement synodique dea planὸ ea avan lalaissance deliine, qui 'ailleurs, paris theorie surcle mouvement v- Dodique desilanhies nous prou vera qu i s 'en tendati Peu au apparen aque nous orere la marche de planε te pendant leur retouris la ἡ me positio par apportisu solei l.
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P. XIV, page si signe 7 Qui sim in ius propinquitas
centri acerierat, is in his extremitas circuli.
Les mois propinquisas centri son synonymes de pirighe de Γεpicycle, et extremitas eis di d'apoghe de Pspicycle Le sens dipas sage que nou expliquon est dones lui- eici uae mouvementdes planetes surdeurs4picycles est dispos de maniere que celu de suphrieures 'acchure a perige de ce cercle, et que celui des inseri ures,' ralentit is ovesque cela psit avoiruteu, it sau-drait que les planhies superieures se mussent fur leur εpicycles, dans, sens contraire ammouvement de ces cercles, et les pla nhies inserieures, dans la m/me directio que es courbes Orc'est justemen rid/erive Pline 'est alte dii mouvement de pla-nhte su leurs4picycles. V ea les notes surrae mot hine et magis motuum comersa intelligitur, de ce chapitre.)CHAP. XIV, page 54. ligne 6. me quum ocissime. Il est rataque εpoque u coucher vespertinal desilanhies
supεrieures est elui ou elles se meuvent avec te plus de vitesse surdeurs epicycles Cest alor a contraire que les planetes inserieures se euvent te plus lentement mais it 11'estias urat queles premthres soni au'apoghe de leuriapicycle quand leur marches'est ratentie te plus, et les autres, quand elles sontinu maximum de leur vitesse Lesilaiahte superieures, alias que les ari tres, sonta contraire auterige de leur epicycle quandri cur mouvementes a minimum de vi tesse et les planetes inserieures, ainst queles supεrieures, vont te plus vite quan elles sontrari'apogee deleur picycle L mεpris de Pline vient de son erreor sondamen tale par apporca' position desilanhies en conjonction. Mureala note prhcsidente et cella surdes mot conoersas habent utrinque
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CHAP. XIV, page 5 ligne Io Et statione matutina usque ad
Labrate cause tient a ce que les phrighes des picycles desplanhies supεrieures son silues presqu'au mille des arcs de rh-trogradations et que les levers matutinaux de ces astres succh- denta a conjonctio vespertinale qui se ait dans rapogsi de rhpicycle. sine explique te sat e disant que les dernier Dinis de ce ceres soni sitne entre les arcs de rhirogradation, et quela conjonction vespertinale seri ait aut/rigεe dei Spicyese, et eude temps avant les levers matutinaux.
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CHAP. XIV, page 5 , ligne ii Veneris a Mespertina usque ad
Pline, Apollonius, Hipparque et Ptolεmεe, donnent ourraison de ce ait que les phrigεes des picycles soni situsis pres qu'a mille de ares de rέtrogradation, et que la conjonctionvespertinale adie dans celointra cercle et avant les levers,
CHAP. XIV, page 5 , ligne 1 a Latitudinem scaρdere, etc. Ce que line ditrici des latitudes de planhies insigHeures est consorme De qu'illa dit, dans te chapitreirhchdent, surri'εcarides planhies sup/rieures deri cliptique Il suppos que les pla nhies de lairemthre classe atteignent, comme celles de la seconde, leue minimum de latitude quan elles soni leur coueher ducioir, et leur maximum, quand elles soni leur levers vespertinaux; equi est vini par appor au planἡtes superieures, si commeApollonius, o place leur contonctions vespertinales dans Papo-gεe de lχpicycle mal ce qui ne sera amais vrai par appori auxplanhies inserieures, quan mhme a th/orie de leur latitudes resfemblerat dans tous se dεtatis , relle de planἡtes sup/rieu-res, selon Hipparque et Ptoisimἡe caesia corionctio vespertia nate de V/nus et de Mercure arrive a pεrigε de Γεpicycle aumomentisi te latitudes de ces planhte devmientiatre les plus grandes, si te rε me de leur latitudes, comme Pline te suppose en e lieu,ratait te m/me que celui de planἡtes sup/rie es. ais ceci,'est pas vrai non plus et line, pariant des latitudes de Mercure, nous a pourtant dono latreuve qu'avant tui es astronomes anciens s'έtaient om u sysiam semblabi a celui de Piothmsi surrae latitudes de planhies ins Frieures. I est done prεsumable queriout e que Pline di depuis les mois conoenis ste
Ias in occasu, pertino proximas esse terrae, e latitudine vi amis-
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incompletes et m/me vicieuses.-In quibus aliter musta quam priores tradisuri. - Ο ne peut 'emphcher de reconnatue qu'il aurait mieux ait de traduire litt9alementia gre en latin ceriu'Apollonius et Hipparque avalentiacri surries mouvemens synodiques desilanhies et fur leur latitudes.
Les corionctions vespertinales de Venus et demercure ayantlieu au phrige de leuriapicycle, ces astres s'eloignent de la terre parti de eite poque et de celle de leur levera matutinaux, qui succede a Pautre et qui precede te moment des stations matutinales.
CRAP XIV, page 5 , ligne c. Ac solem insequi.
Depuis la seconde station usqu'Dia premiere, sinus et er- eure se meuvent contre rordre des signes, et par conssiquent dansle sens oppos de la marche du soleil parti des premthres stations , qu on nomme aussi matutinales , es delicastres comme
cέnta se movuoi de Dolivea dans ordre des signes, et par conssiquent de a mhme manthre que te soleti, 'est-a-dire del'ouesta est. out te temps qu'il metient a passer de la con ionctio vespertinale acla statio matutinale, et de celi ci h laconi onction du malin iis soni situ fis a Pouest du soleti et letoum svivent en cheminant de Pones alest, ver lectieuco te soletis trouve Ilcs'enialoignent d'abord ver l'Ouest, de sorte quela dissigretice entre leur longitudes et cellera solei devient plus grande mais aprἡfratre parvenus au maximum de leur digression matutinale, iis se rapprochent duisoleti, et parviennent enta a lameme longitude que ce corps lumineux Aprh cela, iis s'en floignent de nouueau en apparaissant te sol ad'estra soleti, qui tespoursuit a son to ur et syapproche''eux, des le moment qu'ils soni parvenus au maximum de leur digression vespertinale.