Bibliothèque Latine-Française, Volume 72

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e altissimo. Vore la note surcles inois hon quum ocissime de ce chapitre.

CRAP. XIV, page 5έ, ligne i 8. Digredi vero latis sne. Psine pensant 1 tori que les planetes inserieures ainst que les suphrieures ori te plus de latitude lorsqu'elles se trouvent dansi'apogεe de leur picycle .c'es h dire ad poque de leur corionctio matutinale, et peo de temps avant leurs lever Vespertinaux, est forch de dire qu' parti de te latitudes de Vέnus et de

Mercure vont en diminuant.

La coni onctio matutinale de Venus et demereure ayant neudans rapoghe de leur ἡpicycle, es astres s'approchen decla terrea parti de leur lever durioir mai Pline a seulement votitii marquer Γεpoque ou iis commen cent a parveni a maximum deleur proximit de notre globe. O sait doncaten de traduire tesmot digredi alti Mine par eo more is mirer dans te pisi e de rapieriae. C P. XIV, page s , ligne 9. Ad quindecim artium infero um. La distance dii soleti a lacitation de Mercvre se monte, termemοyen 1 18 tati

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Cyest-h-dire ec me temps que Jupiter. CHAP. XV page 6, ligneo et Mercurii Mero sidus, ele. Ce qui emphche les planἡtes inserieures hilus et Mercure de se lever, sol le malin sol le sotr, dans certain signes durio diaque et tias fouvent dans d'autres, 'est que les plus grandes distances vespertinales et matutinales de cestaeucastres au soleilne soni pa de m/me grandeur dans tous te signes, et que lesares de vision ne te soni pa non plus Maisiour que Venus et Μercur puissent se leve avantis aprἡ te solei dans uti signe quesconque , i est necessatre que les longations y solent plus grandes que les arcs de vision autrement, o ne pourrai voirces astres pendant leur eloignemen d soleti, et iis 'en appro cheraten de nouueau avant m/me que leuesecari du soleti sit de venu asse grand4οur que laclumlhro du solet ne nou Grobat pa celle des deu planἡtes, e qui n'arrive presque amaica ἡ-nus, mais plus ouvent amereure, parce que son Mongationmoyennera solei est seulement d'environ ' plus grande querare moyen de vision.

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Audie de in Libra riu'ondit dans tous te manuscriis et idi-tions de Plines, e lis es Libra, et e rapporte te mot creberrimos, ad place duquel on trouxe creberrime dans Pldition de Potnsinet,au mot ma tutinos qui fuit, et non a evertinos qui priSehde, commeon Paciait usqu' present. Ainsi, Ia peniae de sine est, selon moi, que ercvre ait fouvent sonaever matutinat dans les signes de la terge et de la Balance, et non qn'il sat soccoucher dusol dans la terge, et son leve du mati dans la Balance Selou Ptol/mεe, rare moyen de vision de Μercure se monte te sol dans la terges 18', et te mali licio ir3'. La digression du soleti est d environ 26'. Ce deruier no re extade te premisHde 8', et lesecondrae 16 113' donc Mercure doli plus sonuent se lever lemati que te sol dans la terge Ceraernier phέnomhne dolimhme se passer plus rarement dans cessigne que dans Iesioissons. Vo ada note prεcἡdente.)CHAP. XV page 56, ligne et . Item malusinos in Aquario. LMe moyen de vision est de et I3 te malin dans le Verseau; la digression se monte te malin 148- la dis Eretice des deuxtio res est x ' que Mercure parcour ena , 54ours LPεpoque de s conjonction vespertinale. CHAP XV page 56, ligne et . Rarissimos in Leone Lyarc m ei de vision est de x Ia te malin dans le Lion; la digression matutinale est de tyrra', et par cons/quent de 5 in plus grande queri'are de vision Μercure,'emploie pasin ourei demi h Merire umare deis au eiel; done it se levera seulementune sol dans la matinheri ainsi e phenomhne est tres rare.

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CRAP. XV page 56, ligne x8. In sagittario tantum. Cest parce que te soleil, yant eu sonifrighe dans te Sagittaire, du temps de Pline, allat aloes pins vite dans ce signe que

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san w'en se rapprochant rune de mire te planetes se communiquent entre elles leur couleur, Vestias a si absurde Dyellele parat de prim abord Mais, our M'elle ne te sollia toti Gisit, i est n/eesmire de pense que les mois in quarum aera mense de Pline, venient dire laut simplement que les centres desplanhies et leves longitude peuvent se rapprocher tellement que

CRAP. XVI, page 8, igne xa Eriremaeque orbitae. mesure que les planhies 'εloignent du centre de la terre, leur disque se lent perdre de leur grandeur; mais elles ne deviennentias invisiblesiour cela, comme Pline te suppose Cenaturaliste, vant plac te opposition des planhies superieures avee te soleii 14'apogεe de leur epicycle, devest m/me dire que les exissentias dicercle rendent les astres plus brillans; puisque si auxapogεes de leurs picycles esse se uouventilonghes dans une obseurit totaleis noue gard, 'est'u'elles soni leuesconion tion sur des potata m/mes de ces cercles. CHAP. XVI, page 58 ligneria. Aique commissur usidum.

Comme les mola extremaeque orbi in se rapportent au positions

desilanhies par appori in soleti et surae cisi cles, les mola

commissuro usurim peuvent se apporter seulement anxioinis

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on ne saurai nier que les planhies a si que laclune n'aientchamne une qualit phosphorescente, qui fait qu'ellas nous en volent fous des couleurs dissisentes la tumiiseriu'elles on re edu soleil. CRAP. Vt, page 58 ligne 18. Et earum is mel ci minemur. Cesseh-dire des tolles fixes Pline pense quera colacidencedes myons manε des tolles fixes influe sue la couleur apparente desilanhtes, selon qu'elles, approchent ou qu'elles syεloi gnent de telle ou telle autre constellation, parce qu'Mors nous consondons les rayons de ces constellations ave eeux de ces planetes Dan inaque sthcle te lever et les coucher hhliaque et acronyctique des tolles fixes arrivent chacuc une auste poque de Pannεe, et qui est presque stabie pendant te laps de ces centans La dissigretice decla clarifi de Patmosphhre et du cie contri bue natureIlement beaucon ad variation des couleurs que nous prεsentent Ies com chlestes don te planhies changeront de couleur dans chaque sthcle, selon γ'elles approcheront de cetiettolle fixe ou de telle autre, putique leur mouvement se eombine avre celui du soleil de maniore qu'au momentisi elles syappro chent d'uneiatolle fixe la position de cet astre, par appor ausoleil est indice de temps serein o pluviein, haud ouisolds, etc. Ainsi te passage doni nous parton dans et endroit nous offre, sens tres-raisonnaiae mais in a encore plus Ilse peu aussi que les myons 'une planhte se consondent telle mentisve ceu d'une tolle fixe qui est tias-proche du premiercorps sileste, que la couleur de ceraernier en rescit quelques nuances Ceu qui veulent connalire en delat les opinion desanesens surde changement des couleurs desilanhtes, qui est pro- duit parria proximite defratoiles fixes, peuvent consulter te premier livre astrologique de Ptolεmee, intitulsi de Iudistis

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CHAP. XVI, page 58 ligne a3. Et ipsa autem Iunia. Pline pensa que les phases de la tune viennent d'une Arce occultera soleti sur et astre, qui se prononce difffreniment selon tes grandeur de lyare de lyhcliptique qui est conten intreles, diens et es deu corps chlestes Ilis savait pas que lalune est torio siselairhea molli par te soleti, mais queriout rhmisphhre de son globe qui rewit les myons du soleii nyest pastoriour tourn d cot de la terre. Vo a nos notes in tesmot tantum ex se terris ostendat quantum ex sole ipsa concipi ι, du

tria sidera. Cyes ,dire en enuant en conjonction, en quadrature, en

trine aspectis en opposition avecae soleti, acla maniare des troisplanhies supεHeures, Saturne Iupiter et Mars Les dein pla-nhies inserieures,'enirent, en quadrature, ni en Mne aspeet, ni en opposition. CHAP. XVII pagessio lignei. In centrum incidens serrae. Cesse dire dans Pέquateur, donides potat de circonserence' soni situl chacuna sos duiole bortat et austrat. CHAP. XVIl p. ω l. Io insaris in parissus Arietis ae rariae.

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On donne te sumo de signes ascendans an Canem au Iaon, acla Merge, Dia Balance, au Scorpion et a Sagittaire, parceque es signes se vent lentemen et se inuehent avec rapidith. On appelle les aulae signes descendans, pare qu'iis se thvent vite et qu'iis descendent lentemini L'inhgalith des oves vient de e queries parties des Meetes diumes des astres situles a dessus de lyhoi ixon de chaque endroi deI'h-i hisesbo altae notre globe , augmentent , mesure que les astres syapproe ncta poleseptentriones.

plus da la terre. En lisant e chapitre o se rupelle 'iypothhsedem de Laplace que les aεrolithes soni des projeetiles desvoleans lunaires.

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NOTES DU LIVM II.

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CRAP. XX pagessa, ligne 22. Sed Pythagoras, etc. Je ne inis comment Pythagore, qui plaγ' soleti dans te centre de runivera et literre dans te milieu des planetes, a pu 'exprimerdans sa thhorie de 'harmoni des sphhres, de manthrea nous satre croire qu'il mit, comm Eudoxe, Platon, Iipparque, Pline et Ptoumhe la terre dans te centre de Punivers et te soletia mille de planetes Cependant, depuis Platon, tuus es

des idεes que Pythagore ut de rhamnoni de la sphise, syexpriment dans te m/mes termes que line surcies intervalles t nique dans tesqueis it range la terre la lune, te solei et lesciniplanἡtes Platon, qui parte a long dea'harmonte des sphises dans son tale, 'aurait i pa reproduit fidesemen tes idiesque Pythagore ut de cetis harmonie, et les crisatas qui verurent aprhs Platon auraienbiis copi ce que te philosophe vec ait dire a Pythagore surries intervalles tonique des corps ellestes' Il tout lieu de te croire.

des venis et de nuhes syhlevaraone, selon Posidonius, 1 5ooopas οὐ I67 toises et une fraction. B est facile de volesque cetis distanc est de beaucou tro consid/riste, puisque fouvent nous voyons de nuages Dune hauteu qui n' excede pas queique cen-taines de toises.