장음표시 사용
361쪽
qui a te sens de are,ctro ad , dans le texte Pline veui dire qu'aparti dii leve du matincia vitesse desilauhies superieures,'est plus ausis grande M'elle P/isitavant la conjouetion, ais que lemouvemen est pourtant eneor tet, que is in ude des planἡiess'acreon de plus en plus ceriu'elle falsait aussi auparavant e dant te passage de Pastre decla seconde Mationa Leontonetion iis partis de la premiere station et usqu'ada seconde, te motivemen de lallaiah te est tet, que se longitudes vont en diminuant, tiniam . isque rastre retrograde, et que ron est lare de foustratrechaque ourrae nomise des secondes pareoumes a cie parcia planete, de laclo ita 'u'elle avait inparavant. - --α tum pinnum ista a deis L merus sis mise retroire. CHAP. XIlI , page so ligne . Parcius ad iri moius. Le mouvement direct desilainhies se ratentici uicta conjo-tion i γ', a premi re station doneste no re de secondes parmurues chaque our an eis dans ror, des signes, en diminuant, et les longitudes desilanhies 'agrandissent de molnsen molns On ne via pas ominent celli fnomhne est cause dece que les latitudes de planhte svphrieures commencent 14'ac crolire a parti duraeve matutinat qui succhde Lia conjonction. Il est vini que es latitude auwentent depuis eue poque enmEme temps que les directions commencentra se ratentir maisee dernier sala Uest pasioux erida cause de Pintre, ni eelui cida prenuer L in rie de reuuation desilanhies fur repi eleet relle des latitudes reposent sumune siste dedola mathέmatiques et d'ex riences'tranghres lectines aucautres Pline convient lui-mhme decla veritέ de cetis assertion, orsqu'il dis dans te miliende ce hamiseri u lusi eux astronome on pens , tori que latrias e cause des um-ns e'est 1-dire εpicycle et celle des
mur se convainere que Pline a dii ura dans te passage que noris venon de citer mais e naturaliste romain ' est lνἡs-mal pris
362쪽
lorsqu'it 'agismi de re terra'opinion e question I part duprincipe salix que les latitude sonides plus petites quandries levations te soni. - comenis stellas in occasu, pertino, proximas
esse terrae et latitudinae,atiirudine pulci dit, dans te passage quenous commentons, que les latitudes desilanhte svphri res s'Meroissent apes la coni onction, , partiera leve matutinal, et ildonve pou raison que, depuis cette poque les mouvemens di rect desilanhies sup6rieures diminuent, e qui vient, selo lui, de Phlevation de Pastre surasipieycle Cette demthre assertiones Lasse, et les planhies sup6rieures 'approchen du perige deleur cycle, quand eum mouvemetis die is commencent , allere diminuant. ais, lor mεme que cette derothre assertio serativrate lora mhme que les latitudes de planetes atteindraient leur minimum quand ces astres sontis contonctio dans te pεrige deleur picrcle, es latitudes de planetes suphrieures augmente raten et diminueratent en m/me temps que les el/vations et enraiso deci accroissemen et duraecroissemen de es deaenieres. Pline aurai done e tori 'ae serra'erreu ceu qui s)έtaientainsi exprimsis, et son propre systhme des latitudes des planes superieures et de leurialevation surasipicycle Paccorderat avecte leur.
363쪽
CisAP. XII l, age o, lignem. Quoniam tum primum in Mu
Lecomme ement de laiftrogradation,'est pas plus une preuve de rex ch de''elsivation 'une planhie surin epicycle, que te commeneement dura/eroissemen de vitesse directes, est cause dei'augmentation des latitudes. Vo a noue note surries mois par eius alici motus de ce chapitre. Dan tout e chapitre et dans lesvivant, Plitie a placε dans une correlation de causalites, out equ'il croit arrive en m/me temps mais ilis' pas prouu par laque les phhnomenes c/lestes qui soni eontemporains sontingendis lectans par lecautres. CRAP. XIII page o, ligne Io. Cuius rei ratio proatim reddenda est, etc. Nous ne favon pas si Apollonius a penssi, Omme Pline, queles directions te stations et les r/irogradations et to ute les au tres apparences ta mouvement synodique soni produites par une force occulte des rvon du soleti, qui assectent te mouvementde ces astres 'une manthre particuliἡre dans chamne de leurs distances angulatres du solei l. out ce que nous favons chst que Ptolemsie, reproduisant explication qn'Apollonius a donnse de cesphhnomhnes, les a pris eis qu'il se presentetit dans la nature et ean vouloi remonte avec Plines leur cause premihre. De plus,ces eu astronomes Ont suorhs-bie les explique et calcuthri cause defrapi cles, doni iis se servirent pour rendre compte des apparencesta mouvement synodique des plansites. 'aperqu
364쪽
CRAP. XIlI, page so ligne II. Rectum age e cursum. Cyest a ire de se motivoi par ordre des signes, 'his di recte et non de inivre in directio naturelle Le mouvement rhet
bien que des astronome modernes.
Cn. XIII pagesso ligne x et me non protinus. Le changemen d mouvement apparent de planhies se saltd'abor tres lentemen , et a vitesse istrograderi'aceeshre de
plus en plus depuis la station premihre usqu' i'opposition done
365쪽
361 CRAP. XIlI, pagesso signe 7. In summus usidias. Savoir, des4picycles. CRAP. XIII page so ligne I 8. Minimeque remuntur. Les planhte svphrieures bHllent in contraire u plus grandhela dans leur oppositions a soleti, et auparavant et aprhs. CHAP. XIII page so ligne 9. Tanto minore eum hoc in issimiis apsidum eremit signis. I s'agi de rapo. de rexcentrique de chaque planἡte πε-rieure Pline nous adit a commeneement de ce chapitre, ou chacunde ces apooes est sit . Quand Psipicycled'une planhte supεrieure est placε a Papo. de rexcentrique, et queri'astreo est a sonleve du malin his premthreis seconde station, Droppositionet dans tout intre aspect omne syaperςoitias anssi bie que dans laute aure position de rhpicycle des mouvemens de a planhte et de son disque Il est urat aussi que les vitesses direetes et istro grades de la planthi son alor plus lentes que dans tout auire position de Pέpicycle. Mais te ares mhmes de la rhirogradationsoni plus eouris qua Τεpicycle est Drapogεe de rexcentrique, que torsqu'il se uouve dans, intre potnt de ce eercle. CRAP. XIII pagesso ligne ax Parcius iam se minuente motu.Les vitesse rhirogrades desilanhies sup6Heuresci'accliarent depulsu premihre station ius tu' roppositionisu usqu'au leverdu soles elles se ratensissent 1 parti de th et usqu', la seconde station done passsi e terme, te no re de secondes que lyon ah soustraire auiourd'hui de la longitude questa planhte avait hier,ces plus si gransque celui qu'on a soustrati a veille. CHAP. XIII page 5ο, ligne ax Latitudo descenditur parcius jam
l est,ra que les latitudes et les mouvemens hirogrades des
366쪽
planetes vont en diminuanta dater du leve vespertinal; mais ledernier de ces deux phenomhnes,'est pacta cause du premier, ni celui ci de rautre. Vo a les notes surparcius adsita motus. CHAP. XIII pagedo, ligne aa. Augeme. Cest aratre commencer a devenis directe, de sorte que les longitudes de planhies ne on plus en diminuant comm dans Pintervalle de lairemthre station hia seconde, mais M'elles''augmentent de plus en plus. Vos ea nos notes surdes mola etiamnu- geri de ce chapitre.
leues4picycles, est force de dire que leurs l/vations fur es cericle vont en diminuant a parti de opposition Apollonius et Hipparque, Ontra thsiori surrae mouvemens synodique des planhtes est plus consorme que celle de Pline aux observations denos astronomes, disent que les l/vations desilanhies vont alorsen diminuant. C P am , pagedo, ligneis3. Summeniente M aris lasere rario. C'est-a direra cote oppos de leur picycle, ommerae dit Polusinet. Depuis la conjonction usqu' Popposition, les planhies supἡHeures se trouvent surde demi-cercle oriental de leur piem cle, et a Molle ou klouestia soleti depuis opposition usqu'ala corionction, elles se trouvent an contraire dans te demi-cer cle occidental de leur picyele, et a gaucheso a res du soleil. CRAP. XIII page 5a, ligne et Stileantne radii an superoentans. Le mot subeant,eu dire que les rvons solairesdrappenta partie auche ou orientale du disque deda plansite, et te motis en niant, qu'il se dirigent surdes parties restes, orientales de cedisque.
367쪽
CRAP. XIll pageda, lignea se, pertino occiasti, etc. Selon Pline, te planhies supεrieures se trouvent in phrigee de leur picycle quand elles enirent en conjonctio avec te soleti; e qui n'est pas urat, te astres tantis contraire alor arapooe de ce cercle. CHAP. XIV, pagessa, ligne . utim sint eram steum. Hardouin et Saumais retranchen d texte sans n6cessit&les mois quum sim diseram stinoe ic'est tronquer mala, propos a phrase, et lata6pouille d'une circonstance essentielle qui concerne la dipshrence des mouvemens de Mus et de Mercure. En esset, o a observ&que Mercure prend oujoursis latitude a midi, quandVέnus a prenia septentrion, et rhciproquement, D'il la prenda septentrion quand hnusrahcline a midi. De plus te detix orbites disserent en grandeur, celle de Venus embrassant celle de
CuAP. XIV, pagetas, ligne . -- sin dioersiae sinoe. Ces mois, omis dans queique manuscrit et dans te lined'Hardouin, son iei 1 leur place, si on te rapporte a motis siquarum qui prechde, et si Pon suppos que te naturaliste romainveuille dire que les mouvemens synodique desilanhies inserieu res dissiti ent de ceu de planhies sup/Heures. IIs ne soni plus alen place, si on te explique comme Potnsinet, line ne disint pasin mot de la dissigretice des mouvemens de Vέnus et de recure, doni Ptol/mέ parte, et qui ne sui probablementias igno-- d'Hipparque.' CΗΑP. XIV, page 5a, lignera Veneris stina nunquum longius . 6 partitas, Mercurius 23, a sole abscedant. Les plus grandes distances matutinales et vespertinales de vέ-nus et demercure, par apportis soleti, arrivent quan ces
368쪽
causes, donida principale est la dissigrencedes distanees de ces a tres ad terre, leursiongation diminuant a mesure que les as- tres syeloignent de la terre, ou, our parier te langage des astrο-nomes anciens mesure que te centre de Γέpicycle 'approchederi'apside recuth de rexcentrique Selon Ptolέmhe les plus p tites longations de Vhnus et de Mercure se montent a M' et 118 5o Lelles ont lieu quand*εpicycle est , Papoo de rexcentri que Nos astronomes hvaluent les plus petites digression des deuxplanhies 1 5 et 1 16'. Les digression moyennes se montent, selon Ptola e 1 4 5 59 pou Vhnus, et his et a po me eure nos astronome les portent 1 4 6'cio et Laa 3OLCHAP. XIV, page Sa ligne Io Conoersas halen uiariaeque a fidas. Selon Apollonius de Perga, ipparque et Ptolεmεe les pla nhies sup6rieures soni leur eo onction vespertinale dans rapooede leurrapicyse et leur oppositio dans te perigle de ce cercle; les conjonctions vespertinales de /nus et demereure arriventa contraire auilrigh de Γεpi ele, et les conjonctions matuti nates qui emplacent les opposition desilauhtes supεHeurecont
de Mercure son donc selon eux situε en sens inverse de ce de Saturne Iupiter et ars, par apportis leur aspecis Lesmola comersas habent iamque apsidas que lines employes, auraient uti sens uhs-raisonnableri'il sit donn au planhies en
369쪽
imposhes Mais illa saltae contraire, et iliense que les corionc tion vespertinales de tonte les planotes a vent an pεrighe deleur sipi ele, et les levers matutinaux de Vlnus et de Mercvre hrouest C est done a cette disshrence de position des levers malo tinaux hercle planhies supεrieures et che les insigrieures que ron est fore de rapporter te motis comersas halens utrinque -- sidas de Pline. CHAP. XIV, pageas, ligne I. Tanti que circulis earum subter
est quiantum supem praedictarum.
Les planhies supέHeures salsant leti leve du matin haes duperioe de leur picycle, et εnus et ereve LPouest de celointdu cercle it aut que les stations matutinales des premier astres alent lieu aussi ad'estra phrio de leuriapi cle, et elles desplanhtes insiεrieures Vέnus et Mercure a Pouest. Done, es deuxhtolles parcourroni rhεmicycle occidental de leur epicycle dans Pintervalle de leur corionctio vespertinale, qui se ait, selon Pline, a pεrigle de lχpicycle ici 'opposition, qui emplace lacori onctio matutinale des planhies inserieures, et qui se sali, selon Pline, a Papogε de I'hpicycle. C P. XIV, page a o ligne 13. Quoniam curoatura apsidum ibi non
habes longitudinem m*orem. Pour comprendre e passage, i est nicesmire de se satre ne juste idε du systhme de anciens surdes mouvemens synodiques desilanhies inserieures.
370쪽
Soli ADE Pεpieyele de Venus, de Mercure, Cese centre de la terre, et DB le cercle concentrique fur teque cet epi-eyese se meut Suivant Apollonius de Perga et Hipparque Mmageste, age o , te centre de Γεpicycle se meut presque aussivit que te soleti Donc te centre de ce corps, elui de la terre et celui de P/picycle deosnus et de Mercure, restent toujours
dans une sevi ligne roite Sol BCMA, ceti ligne, quandrεpi et est enm, Phlongation de finiis et de Mercure nepourra pas deveni plus grande que Pangle ACD, qui est formi parria ligne indiquεe BCM et par la droite CD, qui est tangentea Phpicycle ni et qui passe par te centre C decla terre. En enset, supposea que dans cette position de I'εpi cleria planhie seuouve en unioin aure quem de l'εpicycle, par exemple en doli en in tes coth Cd et C in te angle AC re AC inpar tes-queis nous iugeon des distances de la planhte an soleti, tombe ron entre les lignes BCri et CD de sorte que ces detix anoesseront plus petit que te premier, qui est ACD L'εpieyele tanten m et laesigne Fratant tangente a ce eerele, on prouue de lamhme manihee que' longation ne peu surpasser rande a CF.Dj0j1jgs by COOste