De la philosophie de la nature: ou, Traité de morale pour l'espece humaine ...

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tlas instruments, ne est a meme a mi

Un sitele est done a. peu res la mesere

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pas a contrarier la nature.

Telle est ausi la melare decla vie de presque ous es philosophes pratique qui 'onepoin herit de leur peres u germe do ' 4radation trois sages de la Grἡce Solon,

mocrite cent quatre Cornu a venis so) Fontenelle a Paris, ne augment de nom-bre des centenaires.

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Ρour nous qui ne sommes ni sauvages nientinis; il ne faut pasta'etonne si nous avom

Anglois mort a rage de is anc by les

transactions philosophique sent mention de deu vieilsard , doni run Vόcut cent qua-rant quatre Crautre centrioixante-cinians. Drachemberg, qu'on nommoleste vieillard da Nord , vient de mourir dans te Iutland κέ de plus de cent inquante ans On vini a Bruxelles, dans a bibliotheque u prince Charies , es portlaus & histoire de trois

a Cessat ues-connu est citi dans Imi ire naturetis des Antillas. b Anar Thoma Parri ad M. lib. I. Betti de ortu e

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'Rom, caprὸ avolt ait subis a semicorps outes le e*εces de dόgradations que L ΗΟΜΜason sprit pervers a pu imagine , termine quelqueseis sa carriἡre matheureus par lesulcides 'est v enfimi robuste qui change aurar de so caprice architecture de samaison is qui e Voyant oujour mal logόfinit pax rabattre. La question que 'examine est ne deseles de la morale Socrate u molns Aant dans es chaines la regardoit seu ce Oint de ue,' te jugement de Socrate, martyr de la vere , aut bien Pindlis ence deIAnglomane qui se iuge en se traitant commeundire inutile a monde.