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Et qui faibletaria de lariaim qui te presse,
couri vainemen croi encoris salalesset O ou melancolique importun ennu ux, qui, siue ouvais, e creverat les eux, Ialoux de monisspoir, tu laicaria Iumiere, Pour prolonge mariaim, prolonge sa carriere, Et retardes la nuit contre l'otare du temps, Asin de retarde te fouper que 'attendS. Ira denis assurement a laute d'exerci , Si ce mauuais temps dure, o tiron Icur ossice. Μaudit siecte de ser, o mori triste mulier Au sein des eunes gens trouvo des coeurcd'acieri Rriourd hui nous fousfrons de mepris eterneis, Ri ron nous sui partout comme des crimineis: Nos bons mota d0formai passent tousiour frivoles, On ne se paye plus avecque des paroles, omne donne a dine qu'a colui qui te rend; omne te donne pas, o te prete, o te vend; Ε ravarice variusqu'a celoint extreme Queiour ne Hen donne chacam se fert sol-meme On nous a memeite les messages d'amour; Chacuniou sol travaille, et pour sol sat s cour: Bien plus quo leur amou leur interet Ies presse; La bourae est a hac in saltus belle mattresse. I les suis, les approche, et 'une accorto votis Boriour, disese horiour, disrie encore ne Mis;
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Volci rinstant sata qui sera tout conna Itre, Et qu'il me serat mieuxta'avoir et que,'etre; Quo de ma trahison e ne metuis laver, Quo te mente salut si ne melourrat sauver; Et que ourbe, mensonge, artifice ni ruse, Ne pelit ni me servir, ni me laurni d'cxcuse.
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exis. Qui teriait, cher Tyndare, errant de ovies parta, Et destitas et des eo eviter mes regatas
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Cars Si ma colore etait de so osse suivie,
Quo respect me retient quo decimings et des denis
i ei sedulo vicit lard a quo mini, te oueli In vi objot d opprobro et do derision,ili sors passeriour libre en ton opinionu
I iii, racheter ton sisl TYND. Oui, si raide des dioux
Nous prodiitra hiento te succes que 'ospere. cars Ce Tyndare est lui-meme in quoi cet euronte Vous Osira tout leuour auce impunite, Et de eo ainissimi votre bonio se natiuilo n. Moi Tyndaro, impudent cars. Et qui onc TYND. Philocrate.
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Et que cet asseonteurra 'un vain espoi te fiatte. Comine e me connais, e eonnat Philocrate;
tri In libris quoa nobἰs prcimptum sui legere, hic vereu desideratur. N.
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TYND. I 'arrivo entre te pruire et te glaive et Ilauiet, Et sans remission attendole cola mortet.
Et payor in honte 'un si mauuais ossice polii, doquide siletice, et est 'aut recla vole, Τ detruisent asseZ, ain opOirique j 'avola. hien satis mallendus o servitudo ingrate lΜais vola-le bien ca Is Cest lui nEa mpei nomo Philoe rate. estis Chatain, de basse a ille, unie haut en couleur, De vingi an a Peu Pres. M. Cest lui-menae. O matheuri Dans la captivit chercher decla ranchise, Et ait-co uno loco que lago meu apprisopo triste experienco apprise a me depensi Fruit de mon imprudence, et non pas fruit duriemps, I'apprend bien a te croire, e etant tro credule. O vieillesse inexperte Dolonte ridiculo lxv ND. O ut sensis iovi espotes abandonii a lariois
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Qui me ren deiectieux et ropprobro et lariable.
'est e paci 'action quo uous me reprochea HEG. Cette action, mechant, te couturaria vio.
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ERO s I. Vieucrivelette Ouvant, mort tiro ducia biure, Ridicule mon aurae cendre et de mussiere, Donide nombre decans, revenant mos fouhaita, Puni depuis Ion temps tous te mau que tu stas, Ton attente ait encorde succus de la Gennel Comme o vais fouper, aliis toninis reviennel Tetoune te repastu tu 'as invite, Et te traiis te ciet comine tu,'as traitol
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Sacre pere des dieux, tu conserves a te, Et me prosperites vont passer mouisuvie; Tu me comblesta'espore, de lovange, de voeux,
Deciis, de pass temps, 'allegresse, de j x, De benedictions de caresses, de gloire; Et amat o ne but auioin oti e ais hoire. Μon heu ne dependitus de latitie 'autrui Ie suppilais hier, e commando ariourd'hui; Et puis sancte secoum d'autres que de mot-menae, Perdresce que eiais et sauveris que 'atriae. Ahuriu'au reste dii temps, a mes Our destinc, Ie separora bien celui que 'at eunc,
Et que, recompensant mon Ventre ave usure,
o. a part Plus ceti trahison me repasse en I sprit, Plus m dotaleurci'accroi et On courroux s'aigrit. Μon innocenc est grande, ii aut que e 'avoue, De ne discerner pas de quo artisti me orae, De soupconne si Peu es Perside ospriis, Et passer poli stupide avectam chev ux giis. De cute la cito e deviens la riseo; on monti ait dolgi la diape, et la Murbe est prisce.