Œuvres de J. Delille

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Des quatre poliat dii our, a milice des cieux Entre es angs pressos de leur bandes guerriores, Des forois de drapeaux d'enseignes, de banniores, Mai quant les rangs, te che , es balaillon divers, Au centre de 'armo ondoyolent dans les airs; Chaque riche cusson, de 'amour et durable Interpri te loquent et monument fidsile, De Services passos gages de 'avenit , Dans our chis res brillanis, gardo it te soli venit'. Autour dii Dieu vivant ave ordi e SO RUsse, En cercle redolabios, phalange Sur phalange A sa droite est soniis Lui, temporarit sardeur Dii trone quid cache si force de Splendeur, Di haut d'une montagne invisibi et brutante,

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Eccentrio, intervolv'd yet regular Then most, heri mos irregular the seem Anil in thei motions harmon divine So sinooth her charming tones, that God' own ear

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Jo te audis; ma voix te anni libamais Dii templo dii boni eur, duri our de lalaix;Qu'il tombe, qu'il habite aiis nil dii noli ab inae,

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160 PARADI SE OST B. V. v. 61 7

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Richo varisito doni te ciet se docore,

Non pasto ur nos beSoins, maiSlour os irinii Felix Le spectacle changeant de a pompe des Cleux), Le soli', ut Ioux banquet, banquet digne des anges, En cercle rounit es colestes phalanges I 'odorante ambroisio emptit des vases illor; Des vitis d'uniri coleste opanchen leur trosor; Et dans e tamant, ou leur liqueur ruisSelle, En liquidos rubis te nectaritin elle. Tous, a colipei a main, de fleursinVironia 6s, Etendus sui des fleurs, et de fleurs Couroianos, Aulanquet fraternet u leur roi es OnVie, Bolvent 'amour, labole et 'olei nolle vie Lellaisir sans excos est prodiguo potir ux Do leui adlicito Dieii lui-moni est heuret X. Enfinii mont divin d 'oti part lebour et 'ombro, Leti opuscule ellemne teintellus Sombre;

Volles ibi et loger, qui dans ce beau dour, Laisse encorem Ja nullaqueique restes dii our Le doux somnieit revient diij noti e paupiore Se mouille des vapeurs de son ait logore; Tous es Felix, hors Celui qui Veille incessarument,

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PARADIS PERDU, LIV. V. 165

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Nearly ivno concertis iis tot Sureo our omnipotetico, and with hat artus