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Bois, dominations trones et diadomos; Quoi queri'ait prodiguo son potaVoir paternet, Quaes-tu pro de cessiis, par qui 'Etre ternol
Mais Duli'ose applaudiri u seconder sonable on te Domine indiscret et tomoraire enfinL'affroux Satan tri omphe, et illiin ton plus hauta in v Nous fumos dono crosis, dit-it, coem basit achel Et lethro h son fit confia cetto thcheystrange docouvertet ApprendS-nous, Si tuleUX, Par qui sui ovolo e grand secret de CieuX, Dans queis lienae, dans queis temps nous avonstris naiSSanCO uel caprico divinio iis donna rexistunc e
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PARADIS PERDU LIV. V. 179 Aux habitanti des cieux ne nis Potntiet outrage
Bace heureus du ciet notre antique Patrie, Nous ne devotis qu'inous notre Clat notre Vie. Bientot iis apprendroni, nos Superbos iVRUX, Si nous aVons uti maiire, ou monte des gaim; TOi-mome, tu Sauras Si 'est par a priore Quoenous compton de Diei dosarmer a colore Et si dans soli palais nous allons e chercher Pour tui demander grace, ou potir l'en arraCher. Pars et Cour en porter a nouvelle Dion mattre Pars, uti plus long dolai Seroi Peu surteus Otre.
i. coeur audit de Dieul que Dul remord ne muche. Enten is, entends 'arrot prononco par maloiichiae Toti chhtiment est prot tout celeuple trompsi V dans ton sortis Delix porti inveloppo, Et de tes attentat infortunsi Complice, Alias que te forfatis, partager ton Supplice; die 'inquisite plus, thche soditieux, Du rans; que tu siendras dans 'empire des ciet x.
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I'aurore et de la campagne donicia culture les appelle estvraiment en hanteur. Ce discour suffiroit our prouuerque Milton aimoit passionnclinent te beauisis simples dola natures et 'est ne hos remarquabie, que totis es grand posites piques, doni te genre paroit 'abor si hirange aux schnes Champotres, se font uti plaisi decies Dahle aiaxusicit des actions hsiroiques; c'est uides charmes
de Virgile et 'Homore lui-monae; 'est se que 'a thchsid'exprime dans le vers que e demande la permission dei appeter icia
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L songe qui a tro tibii te sommeit 'Eve est admirabiemen imas inhio uriri parerra' a me di lectea an matheur quid'attend on ait combienci'on ambussi de cotte machine positique des Onges et combienci'e et en est fur et Pulf- Sant, ors tulit Sotit natureis et vi a isemblabies Il est certainque a nature, en nous donnant la cratnte nou donne quelque is te pressentiment dii matheur; et les pressenti-menis qui nous occupent velliύs, euvent se retrace dans nos songos Celui ' ve est nature et toti chant Ona re-
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mencement de oliant, c'est in petritur charmante d'Adam consolant son potase Deu tarmes ouiolent dans les Seuxd' ve elle te essui ave se beati cheveuX Adam volt delicata tres tarmes protes h tomber i e prύvient la hute par uri tendi e baiser, qui es arrote et la rassiare inque laposiste est, dans co tableau sup irieures totis te talent despeintres, qui ne petivent salsi 'lu'Mn momenti POurrois e tablier de remurque la sensibilit6 vertiacused'Adam, qui accueille et boni ces Ouces larmes, commel'expression de in ortu timide qu'esfarotiche 'id sie momo ducrinae, qui se reproche a faut qu'elle cratnt, Omme ne faute commiseῖ
leur soliis Champotres, est in tableau riant, qui forme uri contraste agrύable ave les id es tristes qui e prύ- eodent.
teres guerre des anges et 'histoire de la crsiation on estotoniasi de troiaver quelque is au milieti des traiis sublimes de Milton natu vellemetit ori h l'ύlsivation et Dia gran- deur,''affectation pusirile des concelli taliens Pon enarOuVetria exemple datis te vers ouodam ait remarque li son ip use te messager coleste qui arrive dans toti son clat, 'heure qui marque te milieti dii our On cimit oir, it-il, furore an ii et is idi Ce 'est pas a seulo sol que il-
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ion a abush dii commerce qu'il avolt eu dans On VoTaged Italie, vestes plus fameli posites dei pays, O l'affectation et la mi gnardis ori prύvali surci socii pur de labello antiquit6.Dύlivr de totate sphce de prύjug nationat, e ne uism'empoche de rotater ici une critique injuste dii fameux commentateu Newton. Ἀ'approche de Raphadi, Adam invito son potis prendi e dans leur provision Ce queleur verge Durni de plus silicieux Eve tui siponi queleur provision soni fur totis te urbi es qui tes enutron-nent, et qu'ellem' mis en rhserve que quelque fruit quion besoin,'otre muris par te temps Newton trouve dansce passage, abus de philosophie ilis' pas observ que Milion, qui ve ut donnerra a fenim toutes es qualitέs convenabies h son seXe, api hs Vol petiit Eve comme mme aimabie, vetat lateindre comme sinaghre et OCCupo des oin domestiques La description du repas champhtre qu'il donnent Di hole chleste est d'une belle posiste; te traducteur 'est efforcsi 'en enrichi les sitatis et 'en fortitior es CouleurS. L premio discour de Raphad parotinoubh-fait indigne de Milion il explique longuemerit comment les ange Senourrissent et dighient, et les dis rences qui existent, Ousce apport, entre les habitant de la terre et les purus substances dii ciet. Le sicit que ait ensuite Raphasii decla guerre des anges eS heureusement amensi par a curiosit bie naturelleque simoigne Adam de la connoitre Le sit,ut dii discoursdeci'ange est h-la- is nobi et ouchant Ii tot difficile de comprendi e comment Adam, habitant de la terre poti roii. ConCeVoir es grand hvhnement du ciet, et lyon doli applaudi h 'art avo teque Milton est ali au-devant de la difficultsi datis es vers qu'elle a renduS siceSSatres