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Tu partes d'esclavage lal l l'esclave est colui Qui se choisit uti maiire infenso comme lui C'ost celui qui bravant te polivoli 'sigitime,
Et volcides tribuis que 'apporte a moti maiire. Comme iliariolt encore, Lolsive te fer; Lederitincolant, aussi prompt que 'siclair,
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PARADIS PERDU LIV. VI. 209 Tel, atta lusi solidain dans a base profonde Pardes sol soliterrainstilles efforis de ronde,
A demi renuerso, Croulemn antique montAvec te vieux sapitis qui Couronnent son front.
Leiri de 'espsirance et te cri dum Ourasse Demandent te signat cle signat est donno. Par 'ordi e de Michel la trona petie a sonno; I 'hosanna solennel vole de bouche en boliche.
Unirage brutant de flhches ensam nisies Monte, siffle, et dans l'air trasant illas freti sillons, D'une voti te de seu coiiure leui flataillons. De long obrantemenis de ce doubie tonnerre Le cie au lo immugit et si de voti e terre
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PARADIS PERDU LIV. VI. 211Fau it 'enitonner, quanti molant leui S phalanges, Soleurtoient des detix paris totis Ces million d 'anges, Dontin seul salsissant totis Ces globes divers, D'un seu coup auroit pudes lancer dans es airsy
Si Dieum'eu mis uti terme itant de violetice Lh, chaque balaillon est une armoe immense; Tout cho vaut Liui seu uti balaillon eniter; Tout soldat aut ianthes Chaque simple guerrier
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Utinam'd in heaven Do plenteolis, a thou Seest
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PARADIS PERDU, LIV. VI. 245 Dont nul potivoiri' pu halancer a vati lance, Parmi es balaillons rapidement)'a 'ance Vors le brave Michel, doni te terribi fer Ioniant, tombant, Pappant, aussi prompt que 'siclair, Dema lance, si de ux maius amensi eum Priore, Moissonne DChaque coiit' une Phalange entiore; Et parmidesvisibi is s'olivi e undari e Chemin. Ilippos si ses coups soni ouolier diviti, Son bouclier immenso, opais, insibi antable, Qu'un triplo diamant rendoit imphi oti able.
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De la dolice union demetire fortunoe, D'ova'exile aveo tot alatne forcensie, Et a triste discorde, et les Sombres Complots. Pars etiamsine aveo tot dans tes asseeux CaChois, Les matheui soles fortatis, ta famille exocrable; I 'enser accucillera ta race abominable Cour entendi e Lloisir, dans ce sidour 'horreur, Les cris de a discorde et ceux de la fui eur; Pars avant que Sur tot ma matura'IPpeSantiSse, Ou que d'uti Diei veligeurda tropclente justice, De soti bras suspendia procipitant e Coups,
A qui brave tori Dieuriu'importent te ParolesyDe mes dernier soldat nul 'a fui devant tot, Chaculi tombe avectioire, ou combat satis effroi. Je m'arme, protendS-tu, Potirine cause injuste Va, Ces grand intorois, Cette querelle auguste 'appelle par somnoni a cause des horos , La foro en doli juger, et non te Vain PI OPOS. Ou nous triompheron par a force des armes, Ou bientot de ce ciet, potir uous si plein de Charines, Nous ferons umensem dans es asseeucolais, Sibu ne signe potnt, eme Servii alias; La liberto sublimel sutura ma miShi C. Toi, Viens, en attendant, Inopi isable adversatre, Viens, et joins, si tu pelix, si tori bra menaqant, Le. udros de ce Diei qui se dit out-puissant