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Iaque annue, lus GPutra des colleges etaient,ligos de venir a Alexandrie ', vOyage Pe-biu et couteux. Epiphane les en dispense.
m tres de l' gypte, mais seulement de clem-ttions. Or, ii semble naturet que les divers col-ges lassent ast rein is a enVOyer annuellementes deputes potir traiter des assaires commu-es 1 l'ordro sacerdotale et c'est ainst que jadis,ms Ies nomes enuoyalent ait labyrinthe dese putes qui traitaient des assaires generales du
Ἐλω vetit dire aussi hien en gre , clarae,rtire de persorines ίεργος liρεωου, δημιουργῶv etc. 'ue tribu et nation. Des IOrs ἐερὰ εθ.m designera, 3it les Hetres de l'Egypte, divisos par P incesu nomes, itaqueis auraient en voye chacunme deputation soparce a Alexandri e ; soli les,rctres divisos par classes, k Savoir, celix qui, lans toute t 'Mypte , desservatent te culte de elle ou telle divinite, a ti re deprantis Prestres, de metes, de stolistra, PtC. Dc ces explications la seconde me para t Otre 1 Seule conforme a Penumeration lai te plus haut note i J. II est probabie que l'on uoulait satre telibero leum corporatioris diverses solis toseux de rautorite, et sol imotire leur gestion Oueur conduite a ian controle exerce par silicique,onti se superieur residant is Alexianiam. Une
ment ira pontions, et non los deui tires. It y a dono dans le grec une ideo de plus, celle de quantur. Or, ce n'est pas la tine chose que l'on aiori te. On potirrait voir, dans cette disserente, unnou vel indice que te grec nti pas et e traduit
de l Pgypti en ; mais, ait contraire, que t 'egypt ena et D traduit dii grec par ian scribe qui a passe te mot aetiae, Ou qui n'a pas compris la locution
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'sstis ParaisSait resolue par les rechorches duehimisto Rouelle, de Forster, de Larcher et d au- tres savants. Il Ptait a peti pro re Onnu commecertain quo te BFotis est te coton ; mais dos Observations microscopi lues tres- delicatos, saltes par NM. Ianies Thompson et Bauer, confirmees par M. Dutrochet, viennent de proii- ver que los silanionis textiles du liti et du eo ton se distinguent par uti caraetere particulier qu'il est impossibie de eoniandre: iis onteonstate que les tolles et tuniques sini serventa onvelopper les monales, sont dii lin, et notidia coton; or, comme Herodote II, 86J dii
expressetnent que les momies etaient en veloppees aveo des tolles de motis, ii censuitque te BFotis devait eire du liti. comptes renuus
d. tiron potirrait induire deux rhoses: a 'que cetaloetis et ait necessatrement solis-entendi , Du, en dati tres term s, que rὀθόvi etait tolli ut scenso συσσιυμ; 2' que ces ὀθόvidi etaient des pio ect d etosse d'uno grandeur rotantie; au trementon aurait dit quelle etait leur di inension. Il en est de meme des si,3 ec qui, dans cesmhmes papyrus, soni touio uim distitiguos desct ire, et quelque is sui vis d'une evaluation, mais sans indication de la grandeur. It sera necessatre de reprendro si de discutertous les texies, en partant dii fait eurieux constato par M. Dutroebet. Mais rette diseussion ne petit trouver place iei. 'La sui te montre que τὰ ἐγώ aiμμέυα designe, non en penerat ce qui a cle neglige, maistolat droii, ait prolit des temples, doni On avait
neglige la perception. LIGNE XIX. 3s) Hermes, te prina et grand. e'est-a ire, deuae sis panis. Colle epitheis est renisue dans regyption parte signe prand repete detix seis; re que Chain-
pollion regarde eomme iane expression dii su
remarquilio que lipithete sacramentelle setρiσ-μtrimoc J d'Hermes De parali pas ici. Le superbati L exprimo par l'Obiet repete trois Mis, a m galem nt observe par Cham pollion datis .
plique te Bermes omnia solus, ct ter uatis L.
τριπόθητος etc., ne soni rien que des superlatati
Mais Cham pollion ne cite auctin exemple , eet autre superlatis, que j'appellerais is tu , conde missance, O rideo de Irris his est toe a la premiere id e de trois ; tet que τε diri.
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F cette dualite, ne Murnissent aut re cliose, imme pour Isis, Osiris, Hamor, Ammcis etc., in des formes ou des attribuis divers, qui ex intent les solictions disserentes d'une meme vinite. Satis enirer dans des developpemenis et desterives qui m'entralia ratent trop loin, te me suis 3ntente d'avoirmontre querusage de t epithetemμίτιστος est, Selon totale apparence , d unemque recent . Il est Probatile ipi'on ne la Driai sinit pas lora de la rbdaction du decretes pretres de Memphis; car elle aurait et enset yee de preserenoe a celle de μέγας καιετας qui est infinitivement plus saltile; ce d
pomσαπιες, et t. 23 ἀλλοτρεότης. I Observe queiλλότρια ρε eiu ne Signitie pas seulement amisso sentimenti hostiles, ce ne ferait que la molliele t 'ideo, mais encore les manifestere; et en e et i 'expression sapplique a dos homines aux-nieis leur conduite avest valu le bannissement.
granil papyrus de Turin lait montion dutrouble, fi ταραχή , qui eut lieu solis Epiphane, dans la partie de I'Egypte aii-dessus de Thebes; et qu'il indique en eos termes: - l'adversatre
c'est te doni ii nest pas possibie de doliter,puisqu'a la ligne ar de notre decret, ii est
lat tron des premiers acies de Son regne. La punition ne sui pas la Inhme potar trius ceux qui avalent pris pari a la r volte. Les simples particuliere furent hannis, tantles gens ue guerre, μάλιμοι, que les autres is ἄλλοij. Apres un temps qui n'est pas indique, iis furent rappetes s καταπορευομevωὶ et renirerent
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'et ait probab lenient une de ces revoltes aux-quelles pronaient part les eorγs ae traves, δυυάHic, stationnes dans cet te region ex tr me.
En esset, te papyrus parte des soldati qui ' prirent pari; et te decret, des μάχi i, gens ac guerre, qui iurent hannis 1 la sui te de revenement. 43) llροι- θη ιὲ καs. I 'or ire chronologique
est hien suivi. A pres em troubles , a palses la premum an nee d Epiphane, te decret arrive auri Evenement posteri eur de trois ou quatroans, a la guerre δ' Antiochus contre t 'Mypte, et d'ppiphane contre la Syrie. ScopaS, en 2Oo, marcha k la tete d'unc armce, et sotam it i utela Iud Polyh. v. Ioseph. A. I. XII, 3, 3)pendant ni iver de ceste annoe. I 'arance sui vante,
Antiochus reprit sa revati ebe; il battit Seopas a Panium, et recolivra la Syrte Id. ib.;- es. Chamo. Fig. M. Hes Lagides, II, p. 9 -993. Cest eet te guerre, doni te theatre sui Mnde rvinis, que designe I'expressiori ἐξαποστα-
oti te retrouve plus bas l. ar et asi tiexemples cites par M. Drumann lla , . petit joindre l' inscription de Busiris i ii Rech. p. s. ia rhist. de PE Pte, p. 39a , M. M
anciens en complent detix : eelle de la ta, Mypto, a present Syo ut, et cesse du Desia. sueis par sttienne de Byrance, dans le Mis εpres de la branche Sebenutique, nodie lix, trophe dia risirite. Cetto disserente ne oblige potnt a supposor rexistente 4- ij sieme se polis ; elle ost seu lorueni une praei que des changementis soni quel quesoli sumis dans la circonscription des nomes. I re ailleum des exemples inad. h. de Sur . O. p. 364 et 3 6 ; -Meh. p. s. a Laist de Vope.
eo polisne s stati pas revoltis desse- mente eraque les rebelles cetaient empares de teste in .en en chassant Ies autori teti rorales et H
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Lycopolis. V. la note 5o. p. 24.)LIGNE XXV. 5οὶ Ce que te redacteur appelle ποταμοί, Aemora, doli et re tant les canaua cre es de main
bon donne aussi te nom de ποταμός au canal
iviri ait a Arsinoe par les Laes amens, sappelait
nondation, s'eu trOuvait cependant preseme, formant une espem de Pollacri Mais, Commeles assieges Ou leuim partisans n'auraient pas
5a Polybe rapporte une circonstance Peuhonorabie mur te roi, et que les redacteum dudecret, par une reserve prudente, Ont Passee Solis
Vigoureuse, vinrent se remetire en ses maius, S
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rendre, et de Se confier, comine precedemment
d Epipliane et d IIorus, dans les mi es licuae, Sest-Mdire, dans le Delta, est tout a sali remam qualite. On est tente d'y voir une allusion hi antique guerre, si celebre dans les annales myptiennes, contre les Pasteura qui possed rent, Pendant plus de detix cenis ans, la regioninseri evre du Delta, ayant mur place d armes Aoam, comme les ennemis d Epiphane, Line Polis. I.es protres uni-il S donne a dessein uno muleur minthique a un evenement de l'histoire pae emimis plutot qu'iis se reportent a une lut te anterieure, entre les Myptiens et quelque mu-ple conquἐrant, a une invasion plus reculee, donile solivetar se perpetuait dans cette image d uncaptis, les maius lices derriere te dos , que I on representati scius la semelle des sandales. Cette pece de type de retraver ennemi se retrouvant dans les sculpturos d'Εl-Tell, anterieures a l, poque des pasteurs, doli en esset remoliter I une invasion plus ancienne V. LIMIte , Leuros rerito E'EMPte, P. ol. Sans l'usage constant d' emplOyer καθά iαρ, et a comparaison qu'il annotace, ait oecond tertne, j aurais Peut- et re rapporte ce membre de pliraseli ce qui fuit, et non Λ ee qui precede ; d aulant plus qu il malique une copulative , au dcuxieme membre, τους αξη s. au lieu de τούς τ' ἀξ., oti-c δε ἀρηr. Ie ne changerat done Hen a laponetuation admise, et te sens restera te mδme. I.e redacteur aura oublie un τε, comme l. IO; jel'ai supplee dans les detix Cas. Hermes et Ilorus ainient Suuivis bim.
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tit tres - solavent, ne signi fient rien au tre
hose que ἀυάλωμα, impensa, et correspondentiu et μαs dii premier membre. Ce setis deri ρορ , et suriout ilia pluriel διάρρρα, est se auerit dans te stylo Alexandrin. Aux exemples dupluriel ei res datis te lexique δ' Henri Estierine, iris de Polybo, de Donys δ' Halicarnasse Ou des Septante t. II, p. 338 . D. ed. I idOt , it lautriouter, Outre ce passage de notre inscription, II re,sori de la uti sati assea curieux; e'est queles miles, avant livraison, talent soli mises I une seri alion, doni on mettait la dopense A laeharge des Murnisseum. Unsi, viles arri valent satis aueuiis Dais au trosor; en d'aut res termes,les Dais do perception restalent I la charge deseontribuatiles.
git pas seulement de la remise de rartabe non
ii etait plus clegant de continuer par Mn a cu- satis absolu quo 'attaeher eneore uti gonitis a ἀπέλυσε, . Ie ne traduis pas κεράμιου Par am- μ ore, parce que ce dernier mot presente uneidee de plus que κεράμwv, et Peut-etre momeetrangere a celle que les prcires velitent exprimer : que πιράμio, soli uiae mestire de lia quides, comine arrabe unc mesure de solides, cela est certain; que, dans plusteum textes, de repoque romaine, κεράμiου solt empi Te comme uti synonyme d'amphore, cela n'est pastellii-ci dia Pseudo Aristeas, qui ossee la mdine non plus douteux ; mais ici te redacteur a-t-iltonstruction; raute ur dii de Ptolemee Philadel- i v ulu exprimer uiae mesure identique avre ram-
egyptienne, doni la rapacite etait hien eontiue de ux qui emplOyalent te mcit; h peu pres commeles termes vagum μνι et botitetve, doni lo sons propre est relut d 'une sorte de vase, mais qui
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se prennent aussi comme rexpression d'une mesure : acie la biere 1 3o centimes tu pol, la. botit ille. . Dans eel te incertitude, j'al eonserve te mot Ieriamion sans te traduiro.
LIGNE XXXI. 6οὶ Les pretres distinguent par leur nom lestaurea x Apis et M Pis; les au tres anima ux saeros, iis ne les designent lae vaguement partes expressions: καὶ τοic o Oic lεροῖς ζώοic, mic iv Al π . Le decret confirme te tem ignago detous les auteum anciens qui metient au premierrang des animaux sacres en Mypte, les taureaux is et meois. Iis nomment totis Apis te premior, et M ois te seconii , excepte praui tant Ammien Naresellin funeris et Apis sunt notiora. Amm. Nare. XXII, Io, ). Totis s'aerordent egalement
on tes considerati tous detix comme consacres a
representes par des animaux vietanis; te seu lqui sciit connu,t utre Apis et in is, est roram
Les papyrus grees confirment re temoignage, en nous in liquant qu it 3 avait a Memphis meme, outre A is, tin taureau meois, doni cineelebrait aussi te disti a m mori; ear i'ai trotive
σορ--ρic, quo donnent des papyrus sap. priron, II, p. 56), ne disserent que par
pellent les deux noms divitis vos, ct et
LIGNE XXXIII. 64ὶ La remarque de villoison fur es et vi, h
LIGNE XXXIV. 65ὶ On volt que des gens de Memphi
solat les premiere interesses dans te decret Tovies les Mis qu'on sori des ehoses generatri
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m, consistaient en 'myrions ou au tres conctioris accessotres, qu'on distingue encore: los Doms des Ptolemees dans queiques-um plus aneiens edifices de Thebes.lans Ce cas, les mois λίθοi nouit sic ne ient Pas ce que nous appetons des pierres prinses , teis qu'agate, corna line, iaspe, saphir,
metit d'Alexandrie , par χρυσω καὶ ἀργυρω καὶ κτρω.... καὶ τοῖς ἀπὸ ηυδίας καὶ Aldion die iὀέοις Ae g. III, a, p. assa, san.). Ces ἔργα vietari soni done la doriare χρυσωσici de queles partim du temple, et rembellissement de et lues cha pelles par incrustation de pierres
, p. 523, B. ed. Didot . Gest ea passage qui avait eonduit a rideo que les edisees On pa s d edisces egyptiens, sur tesquelles des in-
amphibologie; on aurait pu voir l, te di
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Aonnetira s rem les, comme ii conveniat fousson regne. . Cette disseretice provient de re quele scribe ogypti en D'a pas eniendia te gree. En esset,les signes qui representent les Aonneiam destem les sont les memes qui soni exprimes l. 33
Iei fi χώρα designe totile D rate ; ear illi dans rinseription hieroglyphique: . as
advertante. Nais re que ron Corioli obile est qu'un tradueteur at ille au textis ori qui n)y est pati. Encore hine induetion exa
du simple αύξεiv, dotat On s est servi plus 53 . Epiphane a augmente les hometiri savalent ote rendus dria aux premier, priae Champollion sest fur εἰκουα une rem pini portante. a Le texte domotique empli. l. seme qui a deja parii l. a. la οὐ se me a
a Le texi hieroglyphique vient tui me l. rappui de cette distinction, puis e laM