Fragmenta historicorum graecorum. Apollodori bibliotheca cum fragmentis

발행: 1841년

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tat He rinseription de robelisque d'Helioptilis,

tolemees, hou res contino dieux, meme doetir vivant. Elle se retroiive presque identi-

venient ri ute a ses prodecesse ars, adore dansle momo tomple et par les memes pro tres. Lesdetix contra is grem nous soni retinestre detixautres cirronstances qui ont ete negligees partes redaei eum de rinscription de Bosotte : lapremiere, elast que les pretres et pretrosses des Ptoli mees et de leum epouses rosidatent a in anniarie, ear on lit kρ' lερέως του Ame δι λεξαυδρεiα, κ. et. λά, et ailleum et- Οὐσωv au λεξαυδρtiti; la detixieme, 'ost que, Outre lectit te commuta a totis i in Ptolemees, te elies dela d3nastic, Ptol mee Soter. et Aa seriame, etai Dispocialement adores a Ptolemais de Thobaido, villo totale grerque, romine dit Strabon, tad Par ce prince. En esset, apres la mentitin dosai tres mis, Oti lit datis uti des contra is r av

Ce n'etest done quo dans em detix villos neques, quo te culte des Ptolemees etait omelollem nt etabit; re qui nous explique I urquoi

ne soni pas mentiolinos. Mais iis te sonti Dioum dans los text s demotiques. Cela vietit de ce que te texte eoptien des contrata oratile rex te origintit, et te grec, seulement uno

tres et rotare de res trois pretressos sonties memes dans les papyrus lant grees quo demoti an , a savOir one rara Ffirare, potir Berenice Euergete; tine eran hore, potir Arsinoe

Philadelphe; et une prsi esse suρεια), Mur Amsinoe Philopator, ou Eupator; car e'estainst que

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i uti des des x eontrais grees nomme certe prineesse. Il est sori dissicile de dire en quel sens, au juste, soni pris les mois athsephore, qui signiso I la letire portetise de priae; et cane ore, qui vetit dire pori se de eo Miue Uaer . Amei-

M. Drumann spag. 85, 86J, ne donnent retegariique des coni tures; mais it ti'est guere possi-ble, cncore maintenant, de donner auire chose. Ie presenterat a re si et quelques obserWations nouvelles rao I 'Ordro adopte potir les noms dos troisreines D'est mini chronologique, puisque evidomment ursinoe Philadel e aurait da et placee avant A enice Eo pete, et non pas εcelle-ei et Arsinoe Philo vitor Cette interi etant eommune aux aut res redactions de cis it oles V. Memoir of the Iise of Thom. nia p. I a) n'est pas une erreur des seribes: His atrat se roelle qui petitinue ressor ira de cene iconde observatione α' En retinissant totis les exemples de priles sormulos rassemblem tant par M. Κ seramque par te docteur Mung, d'apres les comtreations onicienses do Champollion, j'ai tableati suivant du sacerdoce des reines d Egie, solis les regnes d'Εvergete, de Philopaeis .

philadelphe.

epiphi

VIII

Pharmuthi.

Nov. 185. Pap. deme

bin M. Cham pollion Figeae a cloia reconnu queles sonetions de la plupari de ees protres et in tresses etaient annuelles ML de deo P . mpe p. 3 et 14). Lo lait resulte completement de nouetahi au : 1ο Aeto sis Aetis, pretis en ran vis de Philopator, avait cesse de r ire en rati vuld' piphatio, mais il le deuint de notivisu rann esuivante, δὶς lερευς, expression d 'one inseription de Cartas en Nubie Rech. Potiae s P a Phist. κ' γνω, p. 2 4. 489 . α' Les aulo oris et les ean lores des deux aranem consecuta res VIII et IX d'stpiphano soni disserentes a mUannoedo distanee. 3' Mais uti indiee phis Dappuliressori de cetis ei reonstanee siti Aria fille de Dio

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e, athlo ore ran VIII d Epiphane, eruit Ca-hore rannee d apro. Ce qui prouue a laque ces nctions ne duratent pas plus d unci que la meme persorine Pouvait Passerrutie 1 raut re dans deux annem consecutivo; a ii suit que l'athlophone etait au motus surpied d'egalite avec la eane ore; et que, Sihlo ore est nommee la premi ere dans Ieses, celadoit tentis a une auue cause qu, unig Plus eleve dans la hierarchie. meme savant a conjecture que Ia premuitieti αὶ d'Arsinoe Philopator etait Perpetuelle; ceait une anomalle dissicile , expliquer au mili de ces Pretrises annuelles. Il est bien vini Ela Pretresse mentionnis dans les acies dem

ues des annees VIII. IX et XXI d Epiphane est monte, a savoir, Irene, fille de Ptolemee; niais, inme raete derati VIII est du mois de Pharmvihi

em miri tout a sali conforme k l'ancien usage C des eponymi es sacerdotales. Ceci explite Potarquoi ies Ptolemees etaient si sotgneuxi l inferor dans leum acies publica, quoique tie insertion int deformais rendue inutile parndication de rannee du regne, selon Pusage:yptien. C'otest uti fouvenir de la mere patrie, cote des formes du nouueau regime. e: Les eane ores d'Arsinoe Philadelphe se trouvent dans tous les actes, I partur d' ver- te qui, en esset, ne pouvait man luer, des sonpenoment, de rendre cet hommage 1 sa mhre. uant 1 rathlo orie de Berenice Euergete, et lieanophorie d'Arsinoe Philopator, les acies es annem III et VII de Philopator n'en sontra encore mention silente cexplique par ceti'onsait dece prince qui, Peu de temps apro sonvenement au trone, sit mouri r son isere Magast in mere Berenice, et plus tard sa semine Arsi-

. Polyb. V, 36, x.ὶ Apres de teis attentat , ne devait pas lue fori enipresse de rendre Iesonneum di ins 1 rune et , rautre de ses victi-ies; ce sui leur Us et petit-siis Epiphane qui labiit en mime temps rathlophorie de son aieulet la Pretri se de in mere, reparant a si la doule cruaute de son pere. Nais mur honorer spe .eialement son aieule, it ordonna que son face doce seruit place, dans Ies acies, avant memeeelui d'Arsinoe Philadelphe. Volla, Se pense,

murquoi rette athlo orie ne se montre que inuste regne d Epiphane. et pourquoi rordre chr nolo qne se trouve interverti. Berenice, sille de Soter, n'est pas au nom-bre des reines qui oni une protresse athlo ore ou carie Orc. Les deux contrata grem nous expliquent cet te singularite , en notas apprenantque te culte particulier de Berenice Soter exi iait , Ptolemais; et run d'eux nous montre memeque cetis princesse 1 avait des Atreues et une eune ore. POurquot notre decret ne pari t-ilpas de ce culte particulier de Maer et de Ber

nice . Ptolomais 3 Ou Pignore. 14) Dans ce protocole, te mi regnant

celle dii is et ait si volsine rune de rautre que

dans une inscription copiis par Burcharet en

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cedo les aut res. An reste, j'observe que cPsdoubles dates sontires-rares; la plupari des piocos ronnues, monte rites par des Grem, soni da ines dapies le calendrier egyptien; quant a celles qui porteratent tintia mens la date macedonteiane, jusquiei ie

li ost done eertain que, de tia hora e heureites Grect laisserent predomitier te ealendrior egyptien, volsemblablement a cause desa simplicite et de sa regularite parsaite. Uti second indice de la priorite de la rhdaetiongremue resulte de la marche observee dans e long proto le.Llanchevdtrament des parentheses et raceumulation des epithetes, evidere metit tirees de rufage egyptien, ne dolvent pas empecher de reconnestre iei une grande regularite. Deux toti nures sont emplo3ees par los Grees dans les sor-mules de ce genre; ou hien iis commeneoni parta date, mais alors te nona dii mi, mis au genitis, est te eomplement direct du mot lτους, comme

Cest reue seconde tota ure qui se rem dans totis les protocoles grees connus des numem. Par exemple, uti des contrais citri μὰ

ete redigo te premier, chacun des deux recitteum a suivi rotare qui etait usite dans laburdont ii se ser ait. Il D'y a done Hen a re es de coite circonstante , imur la questim ipriori te. Tout ee qu'on peut ammer, erit pia forme generale est eniterementn'y a d egyption que eertains delath, tiales epithetes et les titres Omeleis, ea ques Malprotocole des artes de re que pharaodi seloti rusago constant de la Hiancellerie grei o

tient a rion dans la phrasea Dans aucua eri, i-α ne polareait eue te complement de ui verbe qui n'a jamais de re me, en de sessi

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LVpotiue do tu maiori te des Ptolem es a Ptexee Par les chronologistes modernes 1 rngo deuatorie ans IVisconti, Icono . p. I, P. 229,. 23; mais seulement d' apros des conside-itions vraisemblabies; ear aucula texto ne lVibiit d 'tine inaniere preesse. Polyhe, fur tequelli Ν'appule, dii seulement, en partant de Pt - mee Philometor, que Ia ceremonio appelee, ακλητήρια, qui est celle du couron nemorat, vait lieu lorsque les princes etaient parventis

En sin, e'est uti nil elabit quo les rhgnes des Ptolemees comme plus talia cciix des emitercursromatias en pgypte) se comptaient de inaniore

que totis les ii uri, quelque petit qu'eti sol le

nombro, qui restalent, dans llatinoo de leur aven ment, Ροur atteiud re te premier Thoth sui vant, e in platent eo in me la promiore an nec de letiri regiae. les Hyron, ad PDF. Taurin., p. 342.)C'est fur res principes qu'est forulee la table

sui vante.

son regno.

idom.

idem. 2072

idem idem.

idom. idem.

M Mesori et id e n.

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pre tres; dans ce eas, les prcires qu' an appelleici πτερορόρni, seruieni les momes que les πασet seροt, doni te nom nranque. Nais, Comme cesmstophores peuvent sciri hien avoir ete eompris dans la designation generale, et totis tes citiues prEtres, te nil demetire incertaiti, de nieme quela signification du mot. Cette expression, totis ira autres prvires, es ἄλλοι liptic πά-ες, comprend done les prasin ores, tes

miles, les sphragistra, les ne ores et ara res, On tin incit, toti tes les classes inserieures at

destitius des hierogrammates, la demiere qui soli iei nommee. Par ol ἄλλοι lερεῖς πάυrac, illaut ontendre, non pas totis ira prestres in PE-gypte, mais simplement to ules les estisses de protres, non comprises dans les preeodentes. Car on ne sciurait admetire que, lora dia coimronnement d)un mi, tuus ira Hesro de l'pgypto serendissent 1 Memphis, aband nnant ainsi leum temples. On ne petit done designee ici autreeliose que des desputations de toutes les classes

LIGNE IIII.

i8J Il est singulier que te temple ou naient se reunir totis les pretres de I sopυ. ne soli pas designe iei et plus bas l. 44J , auli

inent.

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oco de Prinu on des dieiix egyptiens et

unis altim potarquoi te grand Serapis, doni lote avnit acquis a celte epoque tant de deve- immerat, i, est-il pas nomine uno seule solsas totito rinseription Τ Pourquoi D'y ti Ouve in qu' Osiris et Phthas, Nemes, Hortis, Apis et re is p Landis que, dans les nonabreux papyrus Diphiliques, du temps de Philometor, imatre prenseres divinitos disparaissent eti-remerat polir nire place a Serapis, Antibis,

s recherches ultorie es.

arie ensui te de Zeus et non pas d'Ammon,

piciique Ammon soli dans le tex te egypti en), de eus, te dieu gree doni les Ptolemees se saltatente descendre, du eote des hommes par Herculeis de Zeus, ducote des semines par Dionysus is dia meme dieu v. Inseri Adulu. ap. Chisti. . I9J i on parte ensin dii Sescit, ni im, et non de

are. Ainsi, potir NeFh Estos, comine pour Zetist Hesios, les noms grecs se montrent seuis, et di ara issent ensuite. La religion grecque parallone au moltis cette Lis datis rinseription, et Uestrendroit meme oti tes formules dii proloeolennoneerit les fouvenire de rancientie patrie. ci eouronnement des rois, et les grandes solemnites celebrues dans ectio occasion, avatoni lieua Memphis, en veri u δ' uia antique mes , commelo dit te geholiaste de Cermanicus... M I PA Empti Memphis mos fuit solio rexio decorari reges qui regnabant si'. II, ed. Buble), oh nous voFons rexpression absolue in templo Memphis, commedans rinseription is et is iv Ma ρεi lare. S. Jeri mose fert d'une expression analogue, quand ii ditit Antiochus IV, meendu in Memphim et ibi ex more MMI Ii regnum necipiens etc. in Daniel. p.

mon Ouvrage inedit fur te calendrier ora ptienti ne pretive evidente de rimportance religi seque, des Ies plus anciens temps, Memphis avait acquise, et qu'ello conserva jusque inus la domination romaine.

καὶ θεyc κ. et. λ.; e' si en qualite a de dieii, sits de dieu et deesse, etc., , que te roi a sali tout eo qui tui merito les laonneum qieon tui a consores par te cloeret. Volla ce que i 'ai in liquo

datis ma traduction, en ne repetant plus te que apros ravoir mis devant υπάρχω , η qu, tant lieu. . . . it a consacre . . . it a supprime, etc. e.

LIGNE X.

ἐπαμ eiu etivi, est constamment celu de porrer

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d sense. Mais is secturi doni ii s'agit iei et plus bas l. a ), ctant posterieur a la mort du pered' piphane, te mot ἐπαμύvεiv, a te sens de Nevertes injures saltes h Philopator pendant m vie, de

de ce verbo; mais e est la evideminent l'ideoque les pretros Ont volitu exprimer.

determine. Ces reoratis, res eontributions ne

iant en argent, qu en bio, orge, ob m hulle, etc., certains protres ou senetiontraires sacres, a di-

vera titres, employes dans los disserentes parties de ce grand ensemble qui formait te Servietina .

ei: εὐδία, ἀr . . La meme si re se ni ire re core, non sans une certaine assectation. da, li

nymo de la premiere, hieti qu'elle ne te inl

presentent uno oppositiora asser remarii Fle. h

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t tre iuste; riane signi sie sotis te regne; rati tro,

salisse; et is πλήθεi deponil de ἀρῆκε, commetres hien vii Heyne. La meme circonstante de

remi se dos det tes revient encore plus has st.), mais appliquee seu lenient aux temples et x pretres. Iei, la romise 1'applique I tous tesbii eum de rEtat, sans distinction, τοῦ πλήθει, a

et l

question des debiteurs dii ne,or. 1 e roi tilapas seu lement remis rametit a relax qui tui dὐ- valent, mais de plus, it a renitti l a liberto a celix qui otaient de tenus potir deites liscales; et ii a abso us celix qui, depuis long temps, elatentscius te coiit' de reclamations et de procos liti αἰτία R Grae) intentos au si et de ces doti . La place qae rupe renonee de eo hion itroyal indi suo asse E qu 'it no concerne que les

voudrait diro que to ut ee qui Mirarit sotis sonpere etait malia lenii surranei en pied.

Mais is sera it trop hardi de supposer ici une

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mv; eria est trop gonerat; hien qu'On puisse citer des exemples du contraire, on doli naturet temetitsous ententire des ollaeis de meme nature quoce qui precede, a savOir des terres qui ne sotitni vignobies, ni vergere, consequentinent desterres Ira iambies, γη σιτοξόρος. Il resulterait de re passage que les temples avatoni des proprietes en rei res, vignobies, vergers et auiros, diant te pro luit etait versedans te Tresor, satis des pres ementi Ou IMarti, ἀπouo ρας, reservem potir rentretien des temples qui possedatent ces terres. Ces preterementi

nnbυ καθηκούσας). Ce dotali est eurieux en ce qu)il nous montre-rait que les Ptol mees, mut en laissant v ehaque temple ses proprietes territoriales, avalent troiive te moyon de s'eti attribuer leti principaux revenus, et tui avalent seulement reserve la partqui leur semhlait equitillo. On volt que les pret res s'applaudissent et sontun merite au roi de re que ces preterementi D'Ontpoint ete diminues et soni restes stir te meme

nitere an nee de son pere. O serati la une loci

ee eas, it s'agirait dii temps pendant tequella piat res devalent payer te droit doni ii suit

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