Oeuvres complètes de Bossuet ...

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MV. insicapitulation des principes et lis ci-dessus. Applicatio de cesprincipes a imis acies particuliere, que les pretendus rὐχ tas condamnenteomni superstitieu et idolatri rinvocation des minis; et ri ven ration des reliques; ν esse des imago.

Mais A est bon inparavant de reprendre en in de paroles lasis es qui Ont δε dites. Nous Mons sit lites laus eo iam qui dolvent Meidera com

in sane plus immolate de nos vino et de nos moris Munmes, nous cmyons deliin, Phre, ei Fila, et Miniasprit, ceri u len uult emire Mnsi ilia impossibis que parquesque endroit quo

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ne lauris blatas condamn te paremque Dieu in esine premis ei te principes mesis, rEglise catholique laur a Melare dans laus

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uti iii te senti inent de l'Εglis et 'hint de la question seconde ment, Ioe objections que tirent nos adversatres dicommandementili calogue, in tes images et leur culte se lent absolumentdilendus imissemementi e Meouinres lacerie sis ridolatrie qui otii do si in Leeite Mense M'opinio que les palans avolent des mages et lesion neum sitestablesinu iis Eur en dolent, intaiment disserens de ceu qui sont en sage da TE'8sse inibolique; quatrimement, de lara via γ'i Daunenin nitie innocente deae honorer, et rela par destrine es certains, amuis dans la nouvelle I forme cinquisimement de sim res X objections particulieres qu'on nous sitit surri'adoration de lac x inrisimement de salislara a quaeque auum Objections ii re des abus qui pinveni se reneonirer dans rusve de imago, ei de uerium diverinta qui parcisseni surine stuet dans la disei pline de l'Εglise Ie procsiderat, dans inules ces choses, selon lamsithode que e me suis iri I ossie 'est-h-dire par de satis ceri ius, laissant li part les di levitta sint la discumis est emba -ie et par l, imissile licio desinis.

BOSeguet, auraue, dans lac uomens relatio a re Milion, que dii culle declinasses. Disitia πιν Corale

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L ae sentiment deri' sise et rἡtat de la Iuration. mme in par expositam de la doctrine miliciiqiae, et in portons mant iuules chose les parolos du eoncite . aes mages derasisu Christit de la tergemhre de Die et desciuires Satinis,

qui melicient leum et inrances dans leum idolo mala parce que 'monneu qui leur est reno se raA rie aut iginam γ' estes represententide sorte quo par te moen des image que nous

tes salvis doni esses sint latesse lance, commeat cessi obliquo parare Mervi des contam, principalement par ceux dii secondeo illa de Nitae s 'est ainst que te concile siland de symrsiter aux imagesci out rhonneu passe aux originauc ce ne sontias tant les imago qui sint honorem, que es sont Ies originaux qui soni honoris devaniam images, commode res rem γε dans te lim de PE position Mais achevons de eo idsirer les sentimens diconcile adi aut, di ii, que les lusique ensiugnent avec solim'en representant les histolare de mire riden pilaniar desiemiures et auires de rem blandes, te petis est instruit et inviisi hieme continuellement aucarlicles de notre sol. ireqoit aussi beaueoumdelauit de toules las inrites images, parce'u'on est averti parda desbientalis dixius et des Mares que risu Christ a latius a misellae et auin paria que les miraeses et les Mns exen a des minismis de vanitis Dux de Meses asium is rendent graces h meu

exemples et w'entariis solent excilla a Morer et alime Bieu, et a pratique les exeresces de laiiessi'. v

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eique evia sest duo utile mur I numellanduimple ignorant, ille Mi so ne ement avertis qu'onio presendia repa Menter la

pe tures dolvent siue rares, selin rimention diconcite, qui laisso ala disclesion des evoque de les relenirisu de les si q)primer, sinuant les uiuites Oiles ine viniens qui en poumilem arrive Mais it ordonne emtout eas qu'on sitrui se Iiar de instructions elatres et preciso, outes Iecsa se imaginations que de telles apparuis io resentabire natue contre la simpliensi dea'nredi, in , et it Garge de cella instruesionale sese e desivinum. dui pisera avre attentiis laut de heroi dii concite, mirouverala condamnation de totate les erre urs est' idolatrie ovehant tesimages. Le palans, dans ignoraneo prosolido ou iis tolent lauectant les Goses divines, erocient representer la Divinusi pardes iraiis et par de mulem lis appetiam leur idolo dieiod med amisi rossilire, que nous avonipeinei te eroire, mes lanant que 'Εvangite non alasilivrsis et sisabussis desces erreum. Ila eroesentiouvotriensemer a Divinitsi dans leura idolesci seloneola seeoum divin escit allachyli leuis statues, qui contencient in Hie mmes la versu de laudi dimi: lauelisis de eo sentimens, iis, mettolent leur constances iis leur adressolent leura voeux, et iis leur osprotent leurs sacrissces Telles sitoientdes erreum de idolatres, comme nous te monueronte sollieu paries satis constras et par des simoimages indubitabies Le eoneste a re etsi lautinere erreos de noue culle Selon nous la divinithis est ni renser misit representeo dans les images. Nous ne eroγons PM qu'ello

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Vertumue cesse de mus exciter par in ressemblance au muVenirdes originauxa e qui ait que rit neu que musam reno ut 'adressera elles, mala passe de in nature a Mux'u'ctes reprἡSenient. Oilli coeque nous mettons dans les images. oui lereSte, que te Palens y reconnoisSolent, en Si exclu par te ininteoneste en termes Haim et sorineis; et ii fautrici remarque que cenesoni mini solemini des docte si lieulier qui deuenia lasces sausses imaginations in soni des d&reis publie. Sestin eo elle universet, doni laclo est evibrasSe par toute la communionealliolique seu'On ne nous objecte don plus lete te grossier et ses sentimens charneis cete te, que qua soli, ear ceri'estpasee que nous mons lai Diraueri ait profession de se soli metire aucontules et les particulier qui laute de s'gire ait bien instruire Seio rotent uouVer dans queique erreur opposta in concile de Trente, in sontii illa a se reti seriar se Messium, omne sonipas catholiques, et dans celas Musae abandomons Lia censure de prsitendus silariusis. Ainsi 'est peril re te temps que de nous objecter ces particulier ignorans Illa'agit de la doctrine dicorps et de lario duino ne que Mus mons de representer Mais comine ce monte concite, uire ceriu'il dit ouchant les images, confirme encore e qui en ut dit diuis te second concile de Mese,il est boni'en propinae la doctrine.

iei done les maximes quis nous imuis inlabiles, ou dans ladinesilan die esse, ou dans las pareses et les simis qui noni δε

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ne soni poliat les traiis et les cara thres qui nous lovehent malaseulement te su et qu'elles appellent en mire memoire.

si natu lenient in 1 mel de la dis renee, ii est Hala quese'est a se de la diversiisi des su ela et que iovi se rapporie la.

Iume remarque Graise, patriarche de Constantinose , qui etestrame de eo Gneste, Hest salae des in es contraires que de eo

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O FRAGMENS RELATUS A LEXPOSITI . sessor γ'on a de laisinsirationi uestes images, et cependant leurre usefl'adoration qui est te signe de Phonneur. C'estio quoi le eonesse ordonne non eulament la sensimilan, mala me est 'ad rationi fles imago, paremque nul Mmme siniare ne stat dum lia de donne des marques de reinu Psent dans te coeur. Au reste comme es signes d'honneu ne soni satis que o lamoigne ce que mus sentonsis dedans, et qu'en regareanti mage imus avoncla eoru attachyliata iginal, ii est Hala que lauta limineis sei porte la se conesto dheide ausia surio χ dement a que l'honneu deI'image passe lici original, et γ'en adorant rimage, on adore celui qui nest diseint L sn apprino a si cella pares de IMonee, viniae de Napoli, dans imo de chypres usuand uous verem les clusitiens adorer lac iX, saetie qu'ilirendent cella adoration a Jesu Christ crucislsi, et non in Mis . n

lestres, aux images de JMus-Christ et destient ureu iux Goses animos et inani es, minies et prinnes Cest de ques lasir tendus sirumsis, et Aisorii mire aut res, deme ent d'accora. Mais te concile distingue par des ara thres certains, l'adoration qui est duo h Dieid'avec celle qui est rendue in images Celle qui est due a mei cappelle dans te eo te adoratiori de latris; mala cella γ' iend Qx imagos 'appelle u salutation, adorasson honoraire, adorulio relative, qui passe lid'original, distinete de

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ium et lainendane absolue C'est e qui sin dire a sarit Ana ase patriarine SAntioche, iani de is ensi dans te concite, res paroles rem Fabius a Nous udis sues anges, maikno me

traveu de prsitendus rsiformis. C'est ce qui pares par te sentimenteorumn de laus te homines Car, omne nou mons dit, lasmarium exime es 1 meu soni uiuia age de laui te in f, qui doli recooir son sens ei in signineation de rusas et delii herilion de reo qui 3'en servent. Ainsi quand te ministre Dalila et to des mire ministres re praebent aux phres de Nitae, que les hon ura γ'ils rendent aux magis . soni in esses et in eo me de his urs dirim, quoiqu' iis ne te solentias dans leur intention et de leur avet', nil disint des in es contradictoires, piusque c'est Ι'intention qui