Oeuvres complètes de Bossuet ...

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iemps inuni, mura fessi rebelle et ingrat ensem uno Mesesin

instate. Ainsi es maladies et a mori sontra justo eine duiochid'Adam. Diei exeresi in emeanee, en emnant letasiiuge, en uisant lambere te seu du elat in disciant par te statve les villasses en mi , uietas nou sommes dlaeccet que lautes ces ines et Oules celles qui finissent aveo te temps ne reponitent pallida malice duisiclisi La pein silemelle est la fetae qui enisale twmur, paremqu'elle est insinie dans in durae de sineque les mire malo, que nous avo 44 mr dans leuemps, soni des peines et usiritabies et austes, mala non des peries eges liasinormit de mire crime. χ-vient in re sans dissiculi que lipei , in tant in laesi hiemelle, ne se pini remetire a demi, parce que resemito est indivisibi et u 'ili'en reste ripidit Oul, quandille ne riusi Dastout enucte. Ainsida remission des pecties est totus siletne etiolour pariane a rei inare; et ron dest leniri r constant quela peius qui risis proprement in crime, He a te cello quirinale, ne Aousis potnt de partage. Πα'en est pastae meme des peines temporelles. Die Iesinit

me uesci mee laicine Memelle, et que uetas il les en sistire. sans es Deheur imponitens, qui oni peri dans le Miuge et cla

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ulctois it salit minor iei une pelli subtilite Les ministres ne eulentias mouerique eo mauciem res que nous reme laus sienneni lieu de pelae, si molas a rinard des inlatis de Dieu.

noue patience, et sint des est his deri amour de Bieu pluto quo desicines v I Nogula celan da vanias fur cella misere, et in paris lune mansere Ulliis Halaa et plus Messive I eo laesi' ord

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ses que nous Mons in actu Christ et en ta plinitude insini de aes msiriles Mus oblige, non a conlasse Ohi Uus axe nou

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Eu esset nistrilia usile in salut de ini me, qui tune eria iure si prompte a s resacheriar la facillisi si pardon inula lui

m re que la recliuis inienda doursis remission plus dis laqu'elle omnes le Melior ingrat, qui a Quia des bonisis de distu,

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Nogis p. 13.

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l. - Benexum presimiaires de ratum surdes stamen subans. Ilo a deucendroit de ΓΕ ositioii oli de me suis plus silenduque jei'avois lait dans les autres Ι'u oh illa'agit de lairsissenoer te, raulo in Ps'agit de rautorii dea Ese L'auleur de laris se, qui ne vini pa prendis la pelae de eo lacter mondissein et qui ne tache mei'en tirer quesque mantage, Sans SeSOucier 'en explique les motila, conclut de ili que 'ai sitsi sortembarrasin surdo des auum svi eis; et que 'sitant trouvo plus au large su G--chalai donM plus de liberisia mon 'le. OIIemla, a laa ne heure, que les miseres les plus importantes denos controverses solent aussi celles Ohious nous senion les plussoris et les, teuclandis Mais ille alloit pas dissimule que laverit letalam qui m' oblig&h truller plus amplement esse es, esi'u'vani examinἡ la doctrine des pretendus resorines suries deuiariteles, 'ai uouis O isn'avolantiu 'emphiner de laisserdans leur calochismetu dans d 'aut res aetes aussi authen liques deleura inlises, des impression manifestes de a salute doctrinem'iis avolent quiuis ala cru que la divine myidine ravolt permis de la sorte mur abroge les disputes Missis commeparmi iuuies nos controverses la misero de lai se eisielle est San doul la plus dissicile par son silui l et que celle de l'Εgliso est la plus importante par se consequences 'est principalementsur eo deo ariteles que Mus Mons DdMirer de faciliter lea laur a nos adversatres set nous regaron commmune grace si gulsere que die sana sonaglis rotari lique, fur detix inis stissicessat res, semensans qui se soni retirsis de soninitsit uvament dans leu croyanee des principes qui les ramsinent ala nove. 'est Dux leur conserver et Mantu que de leurisi

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DE LEUCHARISTAE. 20tremis devant les Dux leur propre doctrine apris leur avola exposyla Mire. Mais murcle iam plus utilement ae ne me suis pas content ili is in atque les usiri id qu'iis nous accordent; ἱ 'aimul marque les ais spar tesquelles iis soni conditiis h les redonii olim, asin γ'on comprenne m misi qui te oblige a Mus Mouer des in es siqui sembloieni si siles sim de leur premier plan. C'est pou cela gued 'a proposse dans l'exposition de eos puxarsicles, quelqueMum des principauci demens surdesquela ladoctrine eae lique est appu) petit rem querierinius principes de mire doctrine, Oniasividenrei'aias permis hios adversatres eu msimes de les abandonne toutis salti quelque dessein qu' iis alent eu de les contredire is te rhponse de notremi eur achhverint de lair uoi qu'il est absolumen impossibisque reo de s communion disentim de ala ni de iniri, bo-gulas ex seni leur croyance suries deo minis. Nous parierons dans la fuit des est qui res ardeI'Εglisse main-lenant ilis'agit de considsirer a prsisence bellera corps et dum de ει - Christ dans I Eucharistie. Iliso Hagit done pasereor de saviaris te e ps est axe te pala, ou si te pari estinandi in corps cetie dissiculi aura son aritele hiarici mala il

ia mallere de latrasene reelle sans parier encore des dissicultis parilaullares que les pretendus relamis iuvent dans inaran in avitation. renire inta done de stire volariu'apias lacris se de nesmauleur, on Oit teni pota certaininii la doctrine desii pisendus Iesmites Uest pas une doctrine vivij qu esse se siment en misis; et que, Dis iis lenient de copliqueri plus laure des melleum coniradictions deviennent visibies. ει verra a contraire en sim temps que la doctrine cassi lique se so ultent partout est que si d'un colh elle se me sortieuenietne deis'accorde me la mison humain et avec les Sens, de trinis rite careorde parisiument aveo en meme et me lasmata principes dichristianumis, doni person me peut diseo

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timens de l'Εglis catli tuliae soni rotis, et combien Sout sitrangestes contradictions des pretendus reformis.

humat ne et des sens pota applique t ut 1'attention dea' sprita simuleris que Die nous a revessi me une serme voloni de

isse. Mnsi ou se rendre propres eniendre r riture ininte, illam avola laut a sest impos silene a sens humain, et ne se servi de a Niso que Dur rem que alieni ementis que Uin nous dit dans ce divin Iavre. En esset iiij adamai que deo sortes d'exameni latre damia lecture 'un livreci run, our entendre te sens dera'auteur; rauue, Dur considἡrescit a mison et auger diland de la e M. Mais commmee deamier examen esse laut hastitamqu'on voti certainement que me a paria, laciaison ne dest plus servis deriemque poli bien entendre ceriu'il velit dire. B est meme vrai Oneralement de laus lectines que orsqualne casu que Sen eo evola te sens, it si,ut se servir de son e viii Dur recutali simplemini sans incune discussis G sota, requi sistille de la sui te didiscours. Leci iures qui soni dictis parte Sarib prit ne dolvent pas siue Ius avec molns de simpliei ;e nous devotis in contraire nous aliacher Saulant plus a die illa sinu is portent fama inter nos resso emens, quemus sommes tr - sursis que la usirilsio est lauto pure. Que si nous trouum quaeque obscurit dans las paroles de tremiure, inque te seus mus en parcisse Diueo, aries eorumd

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lessens par de interprplations violentes.

Tanti'inliddies qu'on voltissipandus msime dans te mille duchristianime, soni is sis dans ce premier matheus et les is rimens in nables des s iniens sonta'exempla te plus visibie duineo . e hsitatique et les inOHos conriennent dans coite