Oeuvres complètes de Bossuet ...

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2M FRAGMENS RELATUS A L EXPOSm .

un pisige semblabieci carine re qu'il improuve Peu qui resusent de mange de certaines viandes , parce'u'iis en croientd' age

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ebarisue ear no emit te insimo rasu Christ, a qui est due laute ad asson, in quia Divinise habile corpo innemini dans iovie

r'ils cmient present , pilisque te diei quais ercient present est unlaux dieii, et que elui que mus myon present est te rimi silea Ei eommentitabit excuser te tu histen qui ne eulias adorer te Dieu, sirit able qu'il eroi tirhsent, puisque te palen mῆme est inexcusatile, s'il res era ad atrii saria se diviniis, qualerest pareillament presente' copendant les pretendus rvi sis sonii est horribi injustice, qu'eneor que les catholiques et les lutheriens crotentigalement

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dans li ur jugementisne iniquit visibis, et leur sera voi dans lauriemur une aversion aviant extreme qu'ii juste emiseri'lvillae inmune. lis verroni premiurement unishrsiglemeni exirem dans leurmaIlii 'le de juger, Orsqu'il nous appellent idoluti es pare quemus adoro uisus-Clu ist, que nous myons Si present. n com

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in crime inexcusabie deri'agi pas seisice principe due si que, Olan est damnesen agissant selim sarem nee il laut dire ques croyanc est insupportabie commentione les presendus es- forinsis qui aprhs la toldrance des lutheriens ne euvent tent uvesque de supportabis dans lasci de la presenee Nelle, peu venNil eroire que Die nous damne, pare que nous a Moniselon cella solet Au riste quand n une sol trouu son jugement perversi duriu'hin exesis si visibie, uniorum qui pense seste ement, sin salut dest se e lasser liqui eme qaeno a dans son evrituais ement emisi, qui est lim e prosonde de iovi M MMesre aqui est capable de tui obseurei tes usirilsis les plus elatres. Mais te pretendus sisormes euvent incor remn lue itico ten avet te est raversion qu is Ont conque conire russse. Cestine seruo constantesqu'ila se sint Maumus adolicis mur las

que noue doctrine de la transsubstantialion se saevoit Meuiquela presenes sielle de Iusthriens, et si molant en quelque

ia constant. Mais rei'est pas seulement fur te piant de la trans- substantiatio que les auteum de a siforme prsilendue nous

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sur radoration tu , pou me Servi des iermes de rauisur a ques possi que te mus de rasii iuris sui presentieessement iij aviatilius de tam de radore dans te sam, ei, myrae que de

Hon plus sui vieque celle des luminens mala de plus, iis avolant nus in Senauger iam Mus Mons sies de lauri principaucat

s possida realiae; et murine qui est de radorati ui, murteu que

nos adversatres se disinsillassent de raversio mi ila on e inire Rome, illa'ne a guhre parmi eucqui se metiant Lia place desluthinens et supposant Isisus-Cluistirsisent, Uaimat mi euci'adorea avre nou que de hereber de Valam excuses Dur se M-kndre de re re a mn meu uieulla ti Meessalae cependant lasmison des luthsiriens, quoique plus solbies dans la pense despratendus resormale s soni devenum les meisse es dans 1'e mi de ceu qui Iesint sui vis; et les eas liques, intrescis plus resso abies, soni matutinant contamnsis avec plus dlaigre . de velix te qu'O mi reveni des sentimens plus do emere les luthsiriens. Hi aut, dit4'Monyme, quo te inretiens scient modissis a A quoi it mule . que les division soni σο Galae plus ines dans leur missane que dans leum scites, et plus grandes enire te personne plus proches qu'entre les plus siloigusies Mais est in juste qu'oniseis' ouelas enuere lasluthmens, que Durque plus implacabies enum nous Malysi iani de sentimens qui silaieni commvns enim les lui hctiens et les ealvinistes, i mavolt d molns queiques endroilio les deruieremus salsolent justice rils consessolent que noue doctrine surde Mint de ΓΕ hariae, silest pius saevie et pius ala nable Mai lanani nous mons tori in lauta lesialaon des luthhrionsiour sedῆlandre dera'adoration, msime suppos la fialit ces aisons, disrie, qui auuetas parcisscient ius portabies, sint mi iniuranni λ0ulam Nous sommesam sevis Mur qui te emps ne pini rien dii lauti nous ne Dumns rien dire de si clair, que nou pui

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iumsiriens, qui te eroo mi amsi present, ne Padorentias sest di uno pareisse injustice 'Les autres raisons doni o se sertiour metire de la dis reneeentre nous et les lutheriens, ne sontias meilleures. Ι est mi

a Phre celeste uici det si agresile, et de sanctister millesimprisires en nous unimant avec aevi claris prasent. Aliis reue oblatio non angiani que notis silebrons 'aura plus rim

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ssent leum intersiis et les nutres sentimens humains it arriveamsi solivent qaeila les abandonnent par de passim i ustes. Mus erisimns sans Maureus de peiumque res Messiora semient porths naturellement hi usirsissirer auctulliseriens Mais Rome et noue doctrine, qu' mistur a minuta mus de titres si odiet ei inus une forme si horribie, leur revient imi rili resprit; et rei ob et de leur aversion remporis par essus laute aulae peniae. Aius il ne aut pasci'sitonne si es luthseriens, qu'iis trouventiam les msime sentimens, te inuehent apris cela de plus pris pye Mus Ilis' a numne absurdusi, muro que les lumine ment ensesmo, qualine uouveni suppinable jusqu'a cella doctrine monstruem deri'ubiquit qui attribue rimmensile lida

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Miure humatne de desus Christa parce que quesque luminensia erolent, in stilia Sedan des livres expias mur montris Olasse

est excusabie Au contraire tout est insupportabie dans ictieathn-

queique pri que e soli, que te lutherien ait raison, et que lemibolique, quo γ'il asse, aura lino re tori Tant ii est naique lassaiwndela paulaei dela langueneno seri derim, ei que mersion qu'on a contre Min prevaut a laute auia e consi- Gration. I ne lautias que res reflexions in monarietis' mensi parnsicessito, causent de ra reur aux catholiquesci mala illust que Messieum de la religio prsilendue raso Hyant que ilave sion qu'il ont contre Rome les portera des extas si visibies, lactent dena modiser; et γ'it m Oivent quai Vestias possibilam'ilsi laesin augemeni dron sur nos controverses, iani quarules examineroni avectes dispositions site inuit les. S'illa ouvolent une sol et Iacer de leur sprit cos mages odie es de noue doctrine. 'ono a si sortement imprimere dis leurisinuare, it vincient dans reruilicalion de nos sentimens une lamiure de visitsi quides gagnemit et our ne pas sortir dela matthre qui nous occupe mainlenant, biento illa ne samoieui plus h quoi altachesia ripugnance'u'ssint murmvire croannes de Milet de IEucharisiis far iis veremini sun eoisi que lesta es quides prinent te plus sint des suiles si naturelles de layrtae e melle, qu'in,' alas 'en de ira deter suppossi gulon

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Anon. p. m.