Oeuvres complètes de Bossuet ...

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avom traiiae. io Milexionii la risisse de M. claude aux Aela, ies de la discissiliedes piciendus risumex

Ma premiure restolan est fur laisiponse que ait M. Claude aux iis iras dela discipline de se inlises Je me suis servi de res Aetes mur monuer γ'irescit si Meessalae a io aes partieullam

dans te question de la sol de se s metue xl infinia inlatia libi de l'Eglise, que les prsitendus reformes, quida re elotent dans la speculation, se trouuoi in forcsis en meme temps h la reconnesue dans la pratique ceriu'no a de plus pressant dans ces tes, Ses Olaus I synode nationes, Drexclusion des conisis ioires, collaque ex synodes provinciaiax, mi auri si cla de nihre et finale resolution para parole de me a Mais paremque

Me que siet presidera par son Minlinurit et par siparole', Alas pare quχ erini devola meis mission enllare a reuesentence supreme quin sine sera prononiae, o iure de foumetu avant meme γ'elle rest se; 'est agi coniaque

'Moue queae ne sala plus emque les paroles signissent; et ilib

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rest dans laciis sede M. Gaude, de disissime dans scrino eiella γ'illa nitaeque dans, propre Besaiion. me se fidui h diro O'on est e sement parce qu'on diat

reponse dans son 'fremutis et se mentes expli-plement que les aut res quo laute eive persuasion, qui seri desindemini in sement, . est viae elaus de divitii des iermes de laquelle it ne laut potnt abuser ' is M. Claude,' potnt eud'autre reptique, et c'est la seule qui pares incor dans Sassi lation. Ai Lee sement si sesteo et si solennes de laus nos reformis

et de leuis inlises in eo s. leur 'mode nationes se rinuit limite proposition, qui ne semilai d γ'un inutile e u limenta

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pmvince eulseres sentirent dans e sement quesque eliose de plus sori γ'on ne vini presentemini Musa sum intendre; ea soris Velle freni une grande risislance, qui ne putesre mi eumque parran long emps, et par les Mereis resiares des unodes

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in commeati parient, leur mu0i, ne contenoit pas cella clausede Sotainii SSiOII . Les glises avolenti latetne is hirein Sermentia seu convenable licia doctrine qu'O leur avolt inspirsie, et adurer contre les principes de linouvelle Ms me, me esse so

Aines conire las principes de lai -- donner d' ires idos Lei in fisolui de cauaesier inuis lanaeni

Laisaison dontin se servit a synode de lassi helleio obli- fles provinces a iselle clauserae mutassis aucta es quisci olani resolues dans lasmode nationes. Sest γ'esse mitan ines vire ala validusi des conclusions de rasse-- , Enita res mur valide les acies d'uno assemiade, si summi que modontille seroi compossie ussent uniouuoi d' porte les sus-srages de eo qui tes aurolent euVoysis; et les di lauisis tant deseolloque que de synodes provinciaux Venolent inviour munis

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ministres particuliere, ni Lee consistoire ni Lees colloques, ni here synodes provincia pourquoi, Si ce 'est Our siserierquelque chos de particulier et de propre lid'assembiae M se de

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M. Claude insinua dans laec renes O l novit emesis une P messe dirine, que a reo qui Gemiermient, imuis ient se que te sement de ses inlises Duisit avola sindo ement dans

cella Νsurance. Mais amaici ne sortira par celte siponse deI'embarras OhIl est Car asside rendre te germent conforme lida

laute auire decision la dernilire sicision de l'Εglis par unis racthre si mariusi et parda prolestation d'une oumission si partic

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entendrecla parole de Dieique les synodecies plus universeis, et queriout te reste deI'Eglis ensendite Le second, qu'ilo a tempsoli uici silien baptissi Uest pus en sita de salae in acie de ses sur

positions Ualent sat horreu et qui ne m'ait dii, que non-Sevi ment ille les crotroii Jamais, naaismu'il silesteroi ceu qui Iesemient. Voyons done commerit demeure sit litarda Consdrance, qu'elles soni des suum de la doctrine des pratendus rasormis, et de synes si manissisies γ'elles sint avo es par les ministres. Et dria, sam sorii de la Belation de M. Claude, qui meo irancto te mes inii'apris laute assemblsi ecessistastique, chaque particulier doli examine si ello alien enlendita parole de Dieu, ou non Commerit avolt pulsi des inlsirgis humains, qui ouvent, dimit-il ossusquent la,sirilsi dans les asse iam las plus authe liques et lesiliis universesses deaselises: pou Miruire cella reponse ei monuer in sonoque ceri'lunt qaeune clueane, equi musis demanta si laut se passant dans rotare ei sanio'i parsit aucun inisersit humai dans te delibsirations it ne laudroit paseneor que chaque particulier examinat. l avolt avousi qu'il letalloit et i l'avoue en ore dans sa propre Relation mutenant qaenis' a nulla absurdissi, ni nul a mei Dun parilaulier, deeroire qua puisse Meuceniendo la pares de Ueu que ioviestes asse lae Mesta liques queique lamistare quχ fgatae et de quelque personne qu'elles uissent sil re compo es. illi une proposition et une doetrine qui paroitra asDeus lilaut Urit docile. Mais ast que Ia bos scit plus sensibis,

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hiis cra limum de eine doctrines in exempla parilaulier. Uinliso alvinione, de is sic sepi vingis an O'elle a

commenta de s'sitabliron' lanu aucune assemblsi plus authe lique ni plus solennelle que te synode de Dordrecht Ouire iuulestes glises de PVs-Bas, tonius te aut res de sim crnance, cellas d' gleterre, celle de Genhve celles du Palatinat, cesses de

Besse et cellas de Suisse, este de Brome et las auires de langue assemande, j soni Muries par laudi Opulsis et ront resu classiuque rien iunmanquat, si lethglises protendum risormias de

is des articles de Dorcietat, traduus de motri mot furent embrasias et dures par laut te synode, et e vile par iuules te pse rinees ei lautes le inlises particuliares Depius e temps auem des protendus iaso sis ne rivime conire eo synode B Usaque

les arminiens. qu 'Ono condamna, qui en lilliment i do trine, elen racontent les stabales et la partinu' a piae la politique et les

Se reposer Sur une autoriisi a si grande parmides siens que cellela, sam examine Montages si on te presse de reponcte paroci ou par non dans une quesilan si preesse et dans uisait si bienarilaut si ii stactariaen iis que non, et misi , ma res oui cela, ee Uest que des hommes, quelque habiles, quesque siclis res, quelque minis qu'ondes imagine, oujour su et Yshillis, doni clon fulvolt les sentimens Ll'aveugi et sans examen, On galerotiles hommes h Dieu. Ainsi, selon tes maxime de la nouvelle R, sorme riout particulier, et duriu'aux lammes las plus ignorantes,

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eare est de quo A casu, en examine te piant principalia la