Caii Plinii Secundi Historiae naturalis libri 37 cum selectis commentariis J. Harduini ac recentiorum interpretum novisque adnotationibus ... Volumen primum decimum et ultimum Pars quinta continens materiam medicam ex animalibus curante Jo. B. F. Ste

발행: 1829년

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is valent et i ainsi designes par les Anciens, et que d'aille ursie mot earabasti si que celui de scambreus defigurh. Ne voviant Pag adopter un sentiment arbitra ire, j'ai recoura aux aratori tes qui Pouvi ient meclairer, sa voir les aut eura grees et latins Ou il est sali mention du hupreste. Apresa voir comparε les divers Pa sages relatiis . cet animal, je me suis tarmetine opinion differente. et doni voici les hases. Presen tons d 'ah rd les satis, en donnant une analyse aussi clatre et aussi succinte qu'il me Aera possi hie de ce que les Aneiens ecri virent sureet insecte. Aldrovatide et Monset a valent rasseu blo fastidieusement une grando partie de Ces tuat in ux. Ie reti verrai a leurs ouvrages tes per- sonties que set te sorte ii ruditi an ii est pas capahle de rebulor.

I.e premier de ces naturalistes Observa qu aucula auteur ancien ne dein

peignit te Lupresie fous des traiis distinctiis, et ii doelara ingenue-ment Inseel. lib. IV, p. 488 que mal gre les recherches les plus

rangea trois au tres carabes avec les scarati'es. Une septi hine e spece de

carabes. la Plus grande de celles que nous ayons en Europe, et que jepresume devotr ἡtre rapporthe au cariabus scabrosus de M. Olivier. ou leeartibus inuriens de Pallas. y sui plac6e pag. IS dans te genre cantha rus. Monset Ia recut des en virons de Constantinople, et M. Olivier l, a aussi observee; mais elle est Diras coni mune dans la Tauride. La denomination de preste ne sui Pas exclusi vement consacree hdes insectes. Elle designe en re une Plante logunt ineuse dans Ios eeriis de Theophraste, de Galien et de Pline I'Ancien. Cetulini Histor. Natur. lib. XXII, cap. aa accuse les Grees de lἡgstreth ou diu consequence, puisque, sui varii tui. iis estimatent beaucoup eo te plante, init eomme

bus ei rum etiam habuere: tidemque remedia tamquam contra menenum proinderunt. et sestim nomen indicio est botim certum venenum esse, quos dAsilire

degustatri fatentur. Induit en erreur par la denomination du mot prestis. Pline donne a une plante des qualites veneneuses qu'elle n'avait pax. et qui ne soni propres qua uri animal du mstme nom. Il a l'air d'ignorerce qu'il uous apprcndra tui. meme dans un des livres sui vanis de son His-

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toire naturelle. Dat hamP rem arque dans ses notes fur eo passagequ'Hesychius mei fur 1'antbpenultieme syllabe du mot buprestis un aeeen a ii quand ii sagit de Ia plante, et sur Ia penultihme un accent eirconflexo pour designer I 'animal mst. Nat. lib. XXII, c. 22, p. 5a fi r emedii renco d'accentuation otait tequivoque. Les philologues ont uti Peu variε sur ivtymologie dia mot bus resto qua a tui mδnae prouu6 des althralions dans la latiniti du moveri aste 'Mais to Oura est-il constant que les autevrs les plus anciens, Pline notam ment, ont designe par la un animal qui fait mouriries breuia n mporte de quelle mani Ere, ou que ce sut Par inflammation , ecim me Ie pensent quelques interpretes , ou que Ce sui Par une rupture de Ia peau, ainsique drautre l'entendent. Le mot compos6 Croumbinus. quos Eissilire etedii Pline, me paraIt rendre de la manistre la plus simple lo sens de Peloi

Les aut ura grera et latins qui Partisent dii bi preste ne tenvisaghretitque inus les rapporta de son usage dans la mεdecine et do ses qualitestiuisitiles. Iis penshrent qu it etali inutile de dicrire un o et communei dotii la connaissante devait Otre familthre a to ut te monde; tel Ie sutaussi leur manthre de votis mur la Plia Pari des productions naturelles. Sui vant Pline i 'Ancien mst. Nat. lib. XXX , cap. 4), qu'Isidore de ShVitIocopia dans te douetihme livis de ses origines, te bupreste est uti animal raro en Italie, semblahle a un scarabee a longues Paties; caelis dans Iesherbes, it trOmpe lea regards, eeux du boeus specialem i, d'ou vient lonom de cet insecte; devorsi par celui-ci, et ayant alteint son siel. II exei tedam soli corps une telle iussa mutation qu'il crΦve. Burestis animi estrarum in Italia, simillimum Mambino long*edi. Fallis inter herbas bo oem mraxime, unda et nomen in Wenis et deν ratumque, tacto felle, ita in m-mat tit rumpat. Potnsinet de Sivry traduit te mot feste par celui de solo mala id est evident que Pline distingue ces deux parties dans Ie ehapitretrente-septieme du livre onathme de son Histoire naturelle. Nirandre, aut eur grec qui vivati enuison deux siectes avant Pline di fait avssi dans ses Alexi pharmaques que te bupreste est un poIson mortet potir les vaches et les v eaux qui ra valent, et que teIle est i 'origine dutiom que les patres tui a valent donnε. Les chevaux qui mangeatent eet inseete μrissalent egalement, et avec les msi mes symptomes, si nous d voti en croire Hierocles, citε par Aldrovande. glien inst. Anim. lib. IV cap. 49 , aprhs a voir Parte , et de la mome mani ere que Pline, des suis nestes esseis que produit te bupreste, ajoute qu'il a la vertu de la eaniatharide , et qu'il lui ressemble. Dioscoride lib. II, cap. 5a et Gallond'api hs lui , a valent Ait Ia mδme comparaison. Au rappori de Lueien Dipsad. . il est tres- commvn dans la Libye, contree qui fui totaiotira

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natent aux per Aonnes qui avalent etέ em p isontiees auee cet insecte; lotio pari erat pas non plus des seconrs quel 'On ordon nati on par ille circonstanto arax animati x domestiques. Ceux qui seront curieux de eotinattreces reinedos les troti veront clan les Ouvrnges de Dioscorido, do Plino .

do Galieti ei dans io traith de l'Art vhtέrina ire do Veghee. Ces traiiements ne dis ratent poliat essentiellement de eeux que Boetira avo a indi quoeon re to polson des cantharides; On Disait usage do dblayants. de vomiti R. de substanees grasses, bullenses et huicillientes , d'acides. etc. I es Aneiens pmpi Fatent furiout te modi et la pulpe des fgues. Considhrb quant aux propristea medieales, te hu preste avait en retine grande assinite avee len cantharides. soli dans la pisparation. sol dana te hiat pour tequel on s'en servati. 1l sallait, Atiivant Hippocrate. lni areae her in thie, les allos et les partes. Il le preseri vait isolement cilieombinh aveo disserentes drognes . sui vant la naturo des eas. Il l 'Ordoniannit speeia Iement dans les maladies dea iam mea. asia , par exemple . de provoquer ou de rotablir leur heoulement pericidique, do dissiper te a

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ψioufuments uterins . etc. On tui attribu ait Lme vertu fimi nemment stimulante, uno qualite septique, etc. On l 'appliquati exterieurement avee divers melanges Pour refoudre les squirres, Ira Concretioris muqueuses, et pour gueri r les darires Vives, les chancres, etc. Dioscoride torrefiait log me mont les insectes, en tes exposant a la vapeur de cendres chaudes sur

Monset.

Teis soni, messieurs , les satis Principaux que l'antiquito nons a transisinis fur te bupreste, et d'apres tesqueis te dois c tablir inon opinion. Mais avant de lirer parti de ces sal bles Moycus, je uous serat part dune obis ervation relative h mon si et . et qui jet te fur tui quelqeus ravons de lu- misere. Bolon, dans son vovage du Levant in titulo: Obseroations de p&- -rs si i lorites et chores rem myuabies, etc. liv. I, cha P. 4s , pag. 9r, dita voir uti nu mont Λthos uti e sorte de Cantharide semblatile I l 'expoeerissicinale, mais jaune, plus grosse, sori Puante, et se uourrissant indis. iorem metit de ronces , de chi cordes, d'orties , de conises et de plusie ursa ut res plantes. Les Cato ers l'appellent vovristi, denomination presque absolument la m/me que celle de bl restis, Pronon cee a la maniere des Grecs. et qui, au rapport de Belon, a uiae signisi cation identique. Cetin ecte occasion ne de grands ravages aux liabitanis du mont Athos,l herbe fur laquelle it flast posh, Disant Pori r a la sui te d'nno ensure Ies

que t 'insecte de Belon est iiii mylabre de Fabricius, genre qui, d'aprhaun passage de Dioscoride et de Pline. ren ferme les cantharides auxquelles eos auteum supposaient te Plus d 'enicacite. It parali meme que dan, Ieroya time de Naples t 'on se fert ario urd'hui du mylabre a Ia plaee donotre eantharide ditia vesteatoria de Fabricius . L'observation de BHIotinous prouue que les Grecs modernes ont retenu la dinomination primi live do hia preste, et qu'ils l 'appliquent a tan insecte de la tamille des eantharides. a in si que te nimient Dioscoride et Galien . Main tenant que j'ai recueilli toutes les donnees que polivait usos iri elude des Anciens, it ne me reste plus qu'a les sal re vaIOir pour la solution de la dissiculte qui a et e l'o et de mes recti erches. Ou n 'accordera

j espere t ' que Ie hu preste est tin insecte alle, ou du molns pourun d 'livia tres. Hippocrate nous en a conva incus: Σ' que e et insecte est mome del 'or ire des coleopteres, car Pline te raPprocli e des scarabsies et Elien dela eantharide; 3'qu'il a en generat les proprietis de ce dernier coleoptore, qu'oti te destinati arax montes usages medicaux, et qu'On neutralisait I ae-livito do soli polivoli par des Procodes semblablos ; 4' que cet in eoieest herhivor , pnis ita 'il se trouve habit uellement dans los lieux ou pcii,

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ne mehe pas que Ies habitanis de la campago e leuratent jamata imputele nec id nis doni on a censa it lex bu prestes. Si on utit autrefois aut cimbre des compositions medicales queiques es Peces de cicindele ou de rarahe, commerit et depuis quelle epoque a-t-on cessi d'en sui re usage pNos anchiros ne conservhrent- iis pas avec rattachement te plus servile . aveo niae sorte dct respDCt religieux, premi e toutes Ies formules et les re-

que inseete dotii la denomination primitive serati in omiueZ Si inut e qu on a rapporte du hu Preste tui convenait, si rosage de cet in ascie et ait generat. si ora ne potivait determiner i poque a laquelle it a oto intro. duit, ne sera il-il pas raisonnable de presumo que eri insecte est te vinibu preste des Anciens, que les divere changementis arrives en Europe de-puis la d tructiori de remptro romain, boul eversementa qui otit eu taut d influeuee. ont essare les traces de Papplication nominale de cet insecte, que cependant, Et sous disserentes designations modernos, it a conserve dans notro pharmacie les droiisque tui vaturent dans des temps reculo . et les steriis de plusleurs sa vanis illustres, et 1 opinion vulgaire.

or, je erois que te bupresto de nos phres de Ia medecine et de l'histoire

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que te donnerat plus has

Les moloea de Fabrielus Ombrassent Ia divisioti des ineloes apthrea de Linno. et i 'espoee la plua eommune datas nos climais est appetis vulgai

Les mhlohs soni herbivores. et se platient datis les natura ges, auxti ias des halea es dea chemitis lapisses de verdure. Leur pori est lOurd , et iis marchent lent metit, parce que leur ahdomen, qu'ila traitient potira insi dire, est trM- volumine ux. Iis manquent d'ailes, et leura elytres soni eourtes. Coa parties, datis les premiers ages de reti tomologie .n'aFant pas eis nominati vement dis ingustes, Hippocrate aura Pu, dans coqu'ii Ait an sui ot do la pesparaticiti du hupresie . appeter alles lea organes qui soni malistenti Di dea glytres. I Ormu'on salsit uti moloe, it eoi tracte ordina trement les patres, elsemhlo Opposer potir dilatiae tine humeur d'un hrun ja una tro, Oloagiis neu se En apparen ce. e r sive, et qui futute de quel ques articulationadu eorps, des gerioux purlieulieretnent. Aussi des nai tiralisios Oni.iti

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tagh, quant . la faculte loeo- motive, it D.st pas surprenati l qu'it puisseltrola vieti me de la vorae ite de l'animal domestique paturant a voe lui De mime que lea a uires insectes de la iam ille des cantharides , les meloes soni plus r pandus dans les contr/es meridionales de l'Eui opeque dans celles du Nord. On lea re contre et la, mais pas en quantite, comme les cantharides, et la plupari des espeees disparaissenta vant Ia sn du printemps. Ne ferai .ee pas ce qui aurait sitit dire a Pline que te hupreste est rare en Italie pPour qu'il fui possitile de dέierminer respece doni se servatetit les Aneiens, it laudrait a TOir parco uru les pays qu 'ils hahi talent, et y avo irremarque i' phee dominante. Peu -δtre emploFaien -iis indisserem mein totis Ies mhloes indig/nes. Sans voti loir decidor, i 'observerat qu'en Es- Pagne, en Barbarie, et Peut-otre dans les au treΑ pariles mdridionales deI'Europe. te m. ε ωὐigata de Fabrielus para it y remplacer te meiae

environs de Paris, et plus au Midi, que celle que M. Paneter a DOmmee

recta.

On POurrait m objecter que eertaines espeees de mylabres et demnitis de Fabricius, a uires eo te pieres vesicauis, satisfout aussi hienque te m/log aux eonditions dia problhme que i ai laetie de refotidre. Mais i 'at dit plus haut que ces eoleoptores repondalent en generat nHxeantharides des Aneiens, et qu'ils lea distinguaient des hi prestes. I ajou-

erat que les mylabres soni tres-co minutis en Italie, tandis quo te hu- presie y est rare oti peti abondant, et que les mel aos elant employ sdepuis tin temps immέmorial corioin ement avee les eantharides, On hiepeut expliquer te sali, si On D'aum et pus que e s melo s soni tes hu- prestes des Aiaciens. En sin tes multi bres et les multis se troti uent datis Ies lieux se es et arides. et sciuvent fur les seurs composhes; les eantha rido , ou les ditia de Fabricius, rongent les seu illos des artires et des. arbus es. Oe, ees habitudes se concilient ni ins que dans noti e hvpo. these avee te texte de Pline : - Scarabaeo longi pedi simillimum sallii inter herbas a. Au surptus, te eroirais totiiovi s avOir detruit tine erre urasse E gonerale parmi les en tomologistes, et avOir protive qu'it nul cher-ehee te hia preste dans la tam ille des coleopteres vesicanis. Lea Luprestes des aut eurs groes et roma ins stant dans moti opiniontios m/lohs . Geos oy a trop thghrement substituo te premier iamia aeelui de earMus. Les insectes do re genre sotit earnassiers solas la sortia de larvo et en ἡtat paruit, via lieu que te, ea bos d'Αrisiore subissa tetit Isura metamorphose fi dans les hc is sees, et devalent 3 pulser lotir Dourriture. D'aprhs le passage Ou il compare leurs auienties a cello des lepi.

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dopteres, et supposέ tOutesciis que la Ieqon du tex te soli exacte. je presumerata qu'il designe des insectes de la iam ille des capricornes, oudes cerambrae, et probablement les espoces qu'On nomme heres, cer . qui soni beaucoup de tori aux artires. Les anciens naturalistes n'ohser. Valent gu bre que les insectes utiles ou dangereux, encore salia it-il qu 'ita lassent asseae grands et asso commvns pour DaPper leurs regards. Les memes considerations myobligent a rejeter te sentiment de Camus, qui, dans aes Commentatres sur I'Histoire naturelle des Animaux d'Aris tote, tom. II, art. Crii nee, propose de rendre toujours te mot carabos dece naturaliste par celui de Metista, sau terelle. Les insectes de ce nom , ainst que les a uires Orthopthres , ne vivent Potnt dans lea bois , et leuran VmPhes soni t OKOura agissantes, ce qui est contraire au texte d'Aristote. LATREILLE , Mem. in Syll. period. cui titulus, Annales dia Miastam, tom. XIX , pag. 129, sqq-

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EX CUI SUS II

DE MEDICINE INCUNABULIS ET TOTA APUD VETERES HISTORIA.

Plura de ima medendi arte cogunt dicere, etc.

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dote notis appretid quo, de soti temps eiicore, les Bahvsoniens, les Chaladhens et d aut res peti pies . n'avalent pas de med in s. Lorsque quel quundeueriait malade. il se salsa it transporter gur la place publique; les pas- sanis qui a valesnt epro uve tin mal sem hiable nti sien, Ou qui a valent citi. servέ te mettio aceti otii, la m/nae assection sur il aut res perscinnes, dontialent an patient lea remocles que letir auggerat ent leur iugement et leuris emoire. Il netait perinis a qui que ee sciit do passer au pros d'un ma- lade satis i 'interroger fur la nature de ses sciusfrances. Cet usage, long- emps apths l'epoque doni parte Herodote, subsistait en re eu Assyrie , en Lusitante, dans les Asturies, etc. Lea premi ers homities qui, s elevant au-dessus du vulgaire, frent unctet is de speciale de la medeeine, et Ohtinrent des succes eii l'exersarat .surent oleves au rangdes dieux; on letir consacra des auteis. et les pr/tres qui les de servatent devinrent medecina elixis memes, en rendant Ies ora eles de la divinite que te petii te vena it consulter. Aussi, Pendant long-temPs. rexercice de la inedoeine sui exci usi vement douolu au sacerdoce; il enotait une dependanee. L'ari etait enseigne fous te parvis : cet enseigne-ment a'exeretnit par les ministres des aut eis, qui renui ronnatetit de pratiques et de eo inonies occultos et mysthrieuses. Cet art grossier cheae les Peuples encore har bares, ne se composait quo d'un melange de inysti Pites, de superstiliotis et de notions du plus abieet empirisme, doni tesprdires, dominatevrs avides, se reserva tent la connaissaneo exclusi vo.

Ainsi se passent les choses elim totis les peti pies tros peti avances dans la civilisation listir etre helaires des lumipros de la pili losophie. I 'On volt encore de nos joura chea lea sani ages de l'Amerique, chea ceux des Terros Ocoaniquos, cheE les habitanis de la Siberie, etc. les holumes rev/ius

des soneti tis saeerdotales exercer exclusi vement Ia medetine. Premiares redeo de rinstruesion mia viis. Les remam ues que salsat titIes pedires de l'antiquitέ suries esseis des modicamenis, et m/me fur lvmaretio des maladies, ri'etaient pas perdues potar leurs successe ura; iis inseri valetit leura Observa licitis sur Ies murs des temples qu' iis desservatent. En stgypte, ees mura Osaiecit eouveris de receites et de descriptions des mala lies. Cette mei hode se propagea, sans do ute, des Eeypiiennebeet les Grees, ou elle existati depuis qu'Esculape out hie deiff. Lamhmo otioso avait lieti et ea les Israέlites. Ou, du temps de Messe, et m/me a vani ee legi lateia r. les levites setiis saMaient guerir la l/pre, et possedatent le droit exclusis d'exereor la insedecine. Ibes protres grees a valent persectioni h la methode observee par tesstgyptiens: ils salsa ient graver dans leurs temples les novis des inalades qu)iis a valent gueris . le getire de rasseetion ol l 'espheo de trailement a ti

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