Caii Plinii Secundi Historiae naturalis libri 37 cum selectis commentariis J. Harduini ac recentiorum interpretum novisque adnotationibus ... Volumen primum decimum et ultimum Pars quinta continens materiam medicam ex animalibus curante Jo. B. F. Ste

발행: 1829년

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. Iulien paraissait perdia sans resinurce a la suile d uti craehement de sang: Ie dieti tui ordo a de prendre avr I 'autet des graines de pommede pin, de Iea m/lor avee du miel, et de manger pendant trois iouracette preparation : ii sui sau ve, et vini temere ter te dieu devant tout I

. Lueius hiati atteitit d'une pleuresie, et oti desest rati de aes JOurs: te dieti, qui tui apparui en songe, tui Ordontia de prendro de lacendre sui' l'autet, de la tradier avre dis vita , et de se l'appliquer stir lec ie: il sui sativo et vini re mercier te dieti, devant te peuple, qui tui fou-haiiait toutes sortes de prosperites. ω

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Il n est pas douteux que t 'usage, qui subsiste eurore elim les et rei ietis grees et ea tholiques de I'Europe. de eo sacrer des em volo , dans legeglises, en ecim memoration des gueri Aous obtenues, tire son Origino dela eoti tu me des Palens, doni nous ventitis de parier. Telle sut rinstruction modicato pendant tine longue sui te 'annees. Detous les temples tametix rar les prodiges qDe sciva tetit operer leurs des-gervant , eelut δ' Escula pe. a Epidaure. sui te plus utile a la selenee in Mi- eale. Les Aselepiades, descendanis et ministres de ee dieti, grossiretit led sepol des connat ances relatives ii l 'art qu iis etilii valent avee utie dis . inelion to ute partient re, et preparhrent a in si les sticeps et lagloire dis grand Hippocrate, qui, tui-mptiae, etait issu de ces pr/ires illustres. Ensergnemene piabile de Ia medeciae dans In Coee, dians Ies Aoles psilosophisties. Avant la veniae du phre de la medecine, la philosophie, doniles progrδs sui valetit eeux de la civili sation , avait deia derobe au sanc- tua ire les plus importants seerela doni se couaposait a tors la medeeine. Les philosopli es, asn dlan perseetion ner la theorie, et aient Parventis aenireten ir avee les Asclepiades, sotis Ies portiques du teinple, des relations fulvi es, ata moven desquelles iis se phnetralent de la doctrine coli. sacree Par rex perienee; iis communiquhrent ensuite publiquem ent aleurs Noves io ut eo qu'iis a valetit ou radresso de s'approprior datis res

eniretiens. C'est ni si que Thaths, Pythagore. Empedocle, apses de seni,hlatiles novicia is, solas les portiques saeres, enset g hrent la modeci Dedans les ecoles philosophi ques de la GMee. Ces illustres prcis seurfiat exercalent potui i'art de guerir; mais a repoque ou iis sorissalent, et

grante de la philosophie C'est sui lout Pythagore qui rendit e plus de services h la mMeeine. Ilespandit rectat lo plus hrillant fur rinstruetion modicate, dans la eglehreheolo qu'il avait scindoe a Crotone, ou il s'hiait retire aprhs fies voyages. prdurant certe ville, doni te climat etait dolicieux, a Samos, sa patrie. Lepreviter, it enseigna la phvsiologie; il s'Oeeupa beatico up d'ex poser tesrhilles de la diei elique, et celles qui sotii relatives a Phygieno ἔ il si eonnali rela proprietέ des modicamenis doni on salsait usage a cet te epoque. Pythagore, Outre les eludes qu'il avait nites datis Ies parvis des templesd'tacula pe , avait aequis la contia issa Deo de lant de elioses , par de longsvoyages en diverses contrees, et particuli eremoni dans l'Asie Minetire ,

datis la Pheuiete et dans rΕgvpte . que ses discipies stirent de totistes medeeitis de cette phri de les plus habiles pour te teaito metit desinaladies internes; et los medecitis de Crotone. leurs successetira, iotiirent Pendant long temps de la reputat oti d'hiro les premiers de la Grece Nous ti ex poserons poliat ici la philosophie de P3ihagore et elle est etrati

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ghreau ε et de cet article. Oti fait que les Crotoniens te rega alent comine uu enuoye des dieux : sa figure notile et Patriarcale, fou eloquence entralnante, ses manthres assectueuses, et alent saltes potir luigagner tes coeura et justifer une pareille idee. La sobrielsi etait une des principales regles de sa philosophie, et la premi hre condition qu'il exigeait de eeux qu'il adniet ait dans I'ordre secret et mysterieux dont ilhtait te ches. Il eui une idee d 'une haute philosophie, ea salsant entror. comme un des hi εmenta de I 'art de gouveruer les homities, ta mεdecloe . qu'ii arraeba aliasi des inains dea prdires speculat eurs et sanatiques. quis'en servatent comme d'une arme redoutatile au vulga ire. Apres Pythagore, Anaxagore, Democrite, Heraclite, Eulyphron et quelques au tres motus celebres enseignerent la medecine dans les ecoles philosophiques; et, malgre les erreursque i 'on peut reprocher aux doctrine des una et des aut res, erreurs in eparatiles du temps ou iis vocurent,on ne saurait se dissimuler que ces philosophos sirent satre de grand sprogres a la science dans plusleura de ses parties. Mole-Hinoerate. Hippocrate, sis d'Horaelide. sui te veritatae fondat eur de la medecine, et merita de la posterito les fur uoms les plus glorieux. It hiati te di x. septihme descendant d'Escula pe. et naquit a Cos,

Pendant la qualemvinglicine olympiade , quatre cent sol xante ans avant Phre vulgaire, et mourut Ilan trois cent sol xant dix-sept ans avant Iesus. Christ, selon quelques historiens, ou llan trois cent sol xant di x, sellanquelque a aut res.

Il n'est pas douteux qu'Hippocrate n'esit beati coup proste de l'expct-rietice de aes ancet res qui, durant trois cenis ans, avalent de ervi Iestemples d'Ε ula pe. Il est incon est able que les tabletten votives, Coti Servees dans ces temples par leurs soins, Iut Out sciurni que partie des Observations qui enrichissent ses ouvrages fur la marche et Ia nature dos maladies. Toute is, en admetiant cette opinion urat se blatile, qui Osera it en argumenter po ut assaiblir la hau te idis que tous Ies med ius detous Ies sidcles ont conque du genie d'Hippocrate 8 Cliaque page de sesimmorteis ecriis ii'atteste-Nelle pas te talent creat eur, I'observat eur rem pli de sagacite . te praticien judicieux et habile, te insid in urniment philosophe 3 Ce grand homine. privi des resso urces de Panatomie, depourvia de ces lumiδres que la connatoance des lois physiologi ques, incorinues de son temps, peuvent seules repati dre sur Ia medecine, Aen hie a voirde vine . dans la prosondeur de son gente, les choses doni la realite ne d vait dire devoti re que hien des siecies apros lui. Hippocrate enseigna heaucoup de verites; il consacra peu i 'erreurs, parce qu'il dedaigna Iest hoOries lix pothetiquos qui regnatent de son temps datis les ccoles Philosophi lues, et qu'il prit constant me ut polir gitide I' Mei vation des latis Dathologi ques et celle des Phenomenes de l'organisation huina ine.

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- Ie jure par Apollon , par iacula pe, par Hygie et par Panace; je jure

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in me

moti art.

Ie ne tallterai potni les malades citi ei nis de la pierre : mais je laisserat aux person es qui se chargent de cetie operation te scitu de Ia pratiquer is Quelle que soli la maison ou je sois appete, j'y enlrerat dans la seule intention d'v s Ourir les malades. m abstenarit de totite injure a lotiregard et ae t cite corruption, specialement de toti te aetion libidineu se, soli que i 'aie a tra iter des homines oti des femmes, des homines libres ou des e aves.. Si, pendant te trai temoni, ou m/me apros la guorison, te venais ad ovurie, stir la vie des holumes. des choses qu'il importe de ne pasdivulguer. io les regarderat commo uti secret, et je ni imposerat lo silenee te plus absolia a leur ega . - Puisse-je, religi elix observate ur de mon serment, recueillir te fruit de mes ira varax, ot Pareourir uiae vie heureuso, sans cesse embelli e pari'estimo gonerale i Si te deviens pariuro , que te contraire m'arrive. in oti complait. a Pέpoque ou vivati Bippocrate, et aprhs ce grand mh-deei . di verses ecoles cethhres par Ponseignement publie de la med ine. Cello de Cos est la plus illustro de totites, satis dOute parce quVlle euil hon neor de former Hippocrate ; viennent apr&, l'heole de Cnide, qui passe potir la plus ancienne; celle de Rhodes, celle de Cyrhno et cello de Crotone, rsndue tamense par Pythagore. et ensuite par ses discipies, speetalement par D moehde. A eo epOques, uti seul medetin enset gnati totiles lea parties de lamedeeine et formait une ecole. II examinait , satis te concolim d 'au rtii, ses eleves, et, lorsqu'il leur recor Daissa it la capaeire su Disant , it letiraeeord ait lo droit M'exercer a leur tour et d'enseigner.

Aprhs in mort d Hippoerate, ses sis Thessalos et Draeon, et Polyhegon gendre, mutitarent la gloire de l)onsei gnomoni et colle do recole de Cos: iis propagerent les helles doctrines de leur phre; iis alterisent lotiis esciis certe doctrine, en . y introduisant les hvpothries et les subtilit Omprunices de in ph3sique do Platon. Εcole philosophiettie de Platon. Platon n'exeri ait pollit la messocine: ilens igna retto science . a i imitation dos philosophes sos predecesseum.

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1 l .int aprει Hippocrate, et ne prosta pol ni de son exemple. Iustementeoli tiro par retendite de ses eonnais ances plailosopli quea. por la sages eoi rolevati an de son Osprit. Platon cr a uiae thoorie medicato, en id- remoni spoculative; ii desgura la philosoplite naturelle en v in tr dii anti outes les subtilites Oules les chim res A tane satisse metaph sique tit s.foigna constanti tit de rohservation et clo rex rietico: il sut lolottilat eur de la secie dogniatique. Ses ideos errorisees stir les element s. ur la formati ti dii eorps de rhom me, fur la nature de rame, ele euretit tin Aueres deploratile; elles se sont propagees clari les Greea .lΡΑ Εgvptiens, les Roma ins . les Arabes ; et, parvenues iuriu'a nous. elle Otit, petidant plus de vitigi siectes. Oppos d'invincibies obsta eles a lacleeouverie de la verile. Gole .sAristote. Aristote vini nussi lieu de temps apros Hippocrate, ot. philosophe eom me reiait Platon, it enseigna la modocine avee plus rutilite quo ce dertiter. Aristote est petit-6tre rhom me te plus hiotitiant des temps antiques par retendue, la pro sotadeur et Ptitii versalito do aesetintinissa nees : rhis citre natu relle, lotis lea gemes de litthraliare, laphvsiquθ. la mederine. rastronomie, la poli lique, son gente embrassa it Out: mnis sa dialortique etait captieuse, et dolantiit avx soph sines tirit lanis . nil moveri des si eis it expliquait les choses d tit it ne poti ait avrair

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leg es. Herophile y et abiit Due ecole Dii it enseigna la medeeine et i uicta a parties, avee uti eclat qui tui attira des auditeurs des pays lea plus oloiguhs. Lμs histoi iens et les tu edecitis de rantiquita lui aeeordent una. iii inement la gloire d'a voir Oleve ranatomi e au nombre des sciences. Leprem ier, is Latinit lea speculationa de l'έtude dii cor ps humatis. It sotimiteetio et ude a rexportetice. Tous leg iainoignagea les plus autheniiqueas totis appretinent q Pavant tui nul nlavait disseque de eadaures humaina Celse et Tertullieu aioutent que Ptolemee Lagus, qui Pavait autori se ani re ses dissections , inalgre les prHuges qui renda ient de pareillea experientes odieti ses. livra des crimineis vivanis a Ilerophile, et stir lesqneis eoitii et eludia les seereis de ranatomie et de la phvsiologie. Teriollienoua luea si xeents te non bre des victimes for tesquelles Herophilo etit lehathare eourage de s'exercer: aussi disaii, is que cet anatomisto tametixa ait hcii rhomnae, bien qu'il edi ole avide de te eonnalire. Pliasteora Periuaitis modernes cini es γέ de iustifer Herophile, ain si sit 'Erasistrate . qui vini a prhs tui, de raccusation intentee contre eux da voir etita semeite d'expertinenter sur rhomme vivant. Mais res de ux modecinati e soni pa les senis auaequeis on reprophe ιravoir donne ces as e exemples de eruatito. Mondini, te premier des modernes qui ait re-notivole rari de dissequer les ea laures humatris et aprhs tui d'autres ana tomistea de ces epoques, ont aussi ele publiquement accuses, par leuraeoni mpcira iras, da Oir dissoque des crimineis vivania. Quoi qu il etis it , et queis qu'aient ἡte Ies moyens einplOyes par Ηέrophilo . il est eeria in qu'il evrietiit ranatomie de nombreusea de uvertes; il δέerivit, auee uno grande exaclitude, les distarentes parties do renit; it reconnisi . par la dissection, la plupari des membranes de eet organe, et Ieurdontia des nonis qui fout restos, comme cerax de retine, dΣ ehnoade, ete.

Il opera te premier la ea araeie par extraelion du eristallin. Gest a cemhil in quo les physiologistes durent la eonnaissanee exacte des uersa

phile regardail le eerveau comine rorigine des nerti ; ce qui donne titio ideo de rhabilete avec laquelle it disshquait. Parmi los nombreusea deconvertes que sit Cet anatomiste, it convient de parier de eellos dos pulsations arrerielles. La doctrine qu'il notis a laisse e sue te potiis est sortingeni euge. Iusque-la, coire partie importante de la physiologie avait hialneontiues. On a reproche a Merophile d'avOir pousse les choses tr ploin, dans sa thhorie sur te uis, et deti a voir reti tu Potude imp sibie potir quieonque i 'est a la Mis musicien et geomhtre; ear il distingue datis te priuis uia rFilime en quelque sorte musical, si nimis a desealeuis au moyen de vela is sera it possibio d)v reconia aliis uno caden

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et une mesure relativos a Page, aia fiexe, au tem rament. etc. decliaque individu. Herophile est te premier qui ait eu ridle d'ouvrir deseadavres, asin d. tu dier la nature et Ie siege de la malassie fous laquelle ita a valent succombe. It convient done de lui attribuer, d'aprhs le temoi-gnage de Pline, Pinvention de Panatomie pathologiqiae, si nigligoe par

Phile e ut uti grand nombre de discipies qui sorinhrent une secte dite des Herophiliens, et qui propaghrent par I'enseignetnent sa doctrine jus- qu 'au temps du galenisme. Les plus celebres des Ηἴrophiliens larent Philinus , S/rapion, Apollonius, Glossius, Ηἔraclide de Tarente. Lyeeole d Alexandrie, aprha la mort d'Ηεmyhile, eui uti inutien digne de ee grand hom me; ce sui Erasistrate , qui, comme lui, avait Ie gout de l'anatomie, et contribua a ses progres. It liait de l'ecole de Cnide, et sut ait iri a Alexandrie par Ptolemee Philadelphe. Los Ptolεmhes, prid6cesseura de celui-ci , a valent sol de certe hibliothhque celebre, doni Iaperte est encore Ι'obj et de nos regrets. Philadelphe. ainst que ses anchires, y avait joint un musce ou un grand DOmbre de savanis elatentent retenus aux Dais de Petat. Iis y enseignealent, . une multituded'eleves, ta mεdecine, Panatomie, et les autres sciences physi ques et naturelles que ron cullivait dans ces temps.strasistrate, qui brilla dans certe hcole, laissa aussi a prha lui de nom. breux sectate ars qui enseigneretit sa doctrine. Parmi Ies plus rem arquatiles oti compte Strabon de M te. Straton de Lampsaque, Lycon de Troas, Apollonius de Memphis, etc. C'est vers cette εpoque que des mede ins se uouhrent k rex erciee speeial de Ia ehirurgie, et d'autres a celui de la pharmacie. Mais tes

eludes etaient torioum communes aux uns et aux a uires.

Ce sui a Alexandrie que la chirurgie sut d abord cultivee aveo snceos; on y praliqua les plus grandes operations ; les procedsis operatoires furent persectionnεs. Philoxhne s y distingua par sa dextέrith m ei te .aprhs lui , te chirurgien , fron , qui ei eigna te premier que rἡpiploota

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o troilue solavent compris dans la hernie cim hilleale et Gorgias. Ammo. Dieus, furno in ing te lithotomiste, pareo qu'il se itura it exclusi venioni at operation de la ta ille; Sostrate, qui sui a n si titi lithotomisi e eelebre de eeite epoque. I 'operation de la lithotomie est la partio de la e hirtiro quo l)oti prati qua auec te plus de si cces a Alexandrie. Cotte eeolo estati, i remar in ahlo par te soin qu'elle init . perseetion nor les apparoil irui sica ux. Ρamni tes elairurgiens qui eurent te plus de part aux travati x do eo gente, issi fioire nona me Amunias de Bli des, autour δ' uti han-dago pove la fracture des os propres dii taeet. Hrightio ext auteve 'unbandago de rato D On appelait easque, et dii bee de ei gne propre a latis,ation de rhumhrus. Pasicrale et Nilhus imaginorent te plinthitim. Ospheo de ea isse carree, garnie de poulies . qu'on emplo v ait a la redii ii oti des iv,ations de l'hum 6rus. Numphodore inventa te glosso me. hoite propre a la roduction des fractures des inemhres. Eniri emerit de Ia medeeine eher Ies Romnias. Los herales de la Grpeo. particulihremetit celle d' Alexandrie, setiri retit jusqu a l'sepcique de I in vasiou de Romaius. Mais a lora . avec la libert/ . s rerou thrent les sedisiecthlose, par tant de beaux genies aux lettres, a la philosophie et aux aris. Roino , qui tu qu'alors ne connaissait d a uire gloiro que celle des armos. et doni la litterature se horna it a l 'si nonre de la tribune, dans losorum et au senat; Rome vit fletiri r duus son sein los seleneos philosophi quos et lea beaux-aris, qui ava ierat pris nai sance datis les terres et aa

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malite de Themison , qui se rendit celebre dana l'enseignem ent midieat, et qui sui te sondat eur de la secte des methodistes, Ou plutot des solidi sies.

Parant les no in breux elhves et Ies sectateurs de Themison. Ia posterito nomme l'afisanctii Musa, qui eut Ia gloire de guerir Auguste, perissant victime des rei addes echaustants et stimulanis, et fur loquel ii employa avec te plus heuieux succes la methode antiphlogistique, partieulthrement les bains Dolds. Musa oblint, . l'Oceasion de celle eure, te tit rede chevalier romatia; on tui erigea une statue d a traici datis te templed'Eseula pe. Ce medecin est te premier qui ait nit usage . comme re-mθde, de la chair de viphre. La medecine tui diit beauco up de recherches stir les proprisites des diverses substances medicinales. It composa ungrand noli bre de formules contre diverses mala dies : telles que les an sections catarrhales, Ies siὰvres quartes, les douleurs nephretiques , l'ohone, les maladios des yeux . les ulchres de ma uvais caracthre, etc.

Le lithotomiste Moghs sui un rethbre chirurgien. Le premier il re-il u i sit la luxation du genou en devaut . On tui doli la determination dea signes diagnosti cx de certaines assections scrotale uses. II etait de t hcole de Themison. Mais te plus il Iustre des eleves de ce Prosesseur sameuxstit sans contredit A. Cornelius Celse , medec in philosophe, chirurgiensavant, littera Par erudit. Celse est I 'ecriva in te plus ilegant, te plus

correct de tous lis au eurs latins dolat a'honore notre arte ii a Ete suris

Non seulement it enseignait avec un talent superieur Ies proceptes eo nia sacres, mais it salsait avancer plusi eurs Parties de la pathologie externe et interne. Il posshdait des Counaissances analomi ques peu communes

danx te si Ie ou il vivait. Toutelais Soranus mel ait a I 'exposition duvrai des id des populatres et superstitieuses qui teruirent in gloire. De ious les modecinx de I'ecole de Rome, Galien, qui de Pergamoetati allε eludier l'anatomie a Alexandrie, Ou cet te science, depuis Herophile. n'avait ces c d 'dire culti Vee et de laire plus ou molns de progres; Galien siit in contestablement te Plus savant et Ie plus habile. Ilonseigna l'anatomio avec ectat; mais la julo usi e qissexeita parmi sosconiseres la grande sui riori te qu il avait fur eux, tant scius terapportiles talenis que scius celui de l'es Prit, te determina d'ahand nnor imppromptemetit uti e carriere datis laquelle it ne brilla que pendant peti detemps. Ce med in qui, Pendant tonte M Vie, avait cultive ranat oratio. et qui en sait sotivent rapologie dans sea ecriis, sui plus favorable

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