Philippi Caolini regiae neapolitanae scientiarum academiae socii vita auctore Theodoro Monticellio academiae eidem a secretis

발행: 1812년

분량: 69페이지

출처: archive.org

분류: 미분류

51쪽

organes propres aux deux Sexes. Ce que uous myen rappo reis est tres remarquabie. Des que uous aveZ tres bien vutine enueloppe commune, qui renserme a la sols la matrice,

52쪽

curieules recherches, et te suis d'autant plus impatient 'en iuger, que la seule inspection de vos Planches m'apprendasseZ que uous aveet dόconvert bien des choses aussi neu verqu'intetreissantes fur les Poltans, et fur les Ecrevisses. Ie nepuis uous exprimer combien je desirerois que uous troua fer a Naples ou ailleurs queique bon traducteur Frangota qui contribuat par son travati a repandre au loin vos deis cou vertes. Uous saveet que la langue Franiolia est des longis temps beaucoup plus repandue que l'Italienne s elle est enquelque sorte, la langue universelle de l'Europe. Mais si Vous ne pouueZ trou ver un bon traducteur Franqois, te uous conseillemis de Lire uouv-meme un extrait de votis Liure, que uous enuerriez a Paris, a Monsieur de la Metherie, Redacteur du Iournal de Physique, qui te seroti traduire , et imprimer dans ce Iournat. Uous y gagneriez assurementd'et re plus connu hors de l'Italie, et uous excitόriea ainsilas Naturalistes creangos a s occuper des memes objeis , et a rόμter vos observations. Les Ecrevisses Ont iovi rs beauco. 6qud maeuriosiorό. E les nous avolent offert les prem res un exemple bieurdmarquaiae de ces admirabies reproductions organiques. doni te me suis moi-mEme tant occupέ . Vous nyignorex pas que des a te. PIllustre R&umur avolt decouveri aumonde les merueilles de la rdgenεration des membres de ces ustacees . Les Ecrevisses avolent done glε les prεcurseurades PMypes et des autres animaux qui multiplient de boum tures ou qui rεparent la perte de leures membres . on nase lasse potnt d 'admirer de telles merve illes , et Mus aurea vu, sans doure, dans mes omines publiges 1 Neuchatet en

53쪽

explications avoules par la boniae Physique de ces divera phi nomenes du Monde organique. Mais, ce que i 'ectois les plus curieux de conno tre a I'εgard des Ecrevisse, , c'est leur genόration. Ie n'ai rien via qui' ni ait satisfait sur Ieur accouplement, et fur la maniere doni tes oeusi flattachent aux petits cordons de la que vede Ia Femelle. Ie vois par votre Planche II. que cet te particularitό interessante ne uous a pas άchappε. La formationdes p rres, connues us te nom impropre de setix d' Gre-υs s et leur usa se dans l'Animal , soni encore des choses qui tila volent potnt encore estό eclaircies comme elles de mandolent 1 l'etre. Votre Poisson hermaphrodite est une grande nouueauid doni vous aveZ enrichi Phisto ire de Ia Genoration et te nere grette pas molns de ne pouvoir uous lire des a prόsent fur un latet qui pe ut contribuer 1 Eclaircir te Theorie des monstres encore si impariat te ec. - Bonnet. i8J Vide librum , cui titulus Gismati Enriclopedico di Napsi n. i. mensis mali anni i8o6. ip Hie referendas censeo autographas virorum illustrium epistolas ad Caolinum scriptas in comprobationem rerum huc usque a me adsertarum. Copen hague ee i Iuillet I 8 Monsieur - Par donneet qu'un amate ur dyHistoire Naturelle d 'un mys bienelo ignέ du votre , quyun Danois sadresse a uous Monsieurpour satissa ire les dύsirs les pius chers dans la vie. C 'estia description du Chevalier Gioeni de quel ques coquilles trouuges sur Ies rds de Catanea, ou vous eteZ nomme: ν qui m a donne lyidee de mladresser a voiis, Monseiar, com-- a un Connoisseur et Amaleur eclairg. Erant dans Ie casde pouvoir uous procurer des productions du Nord de tous Ies Regnes de la nature, qu'on ne trouve pOint dans les pays mwridionaux, meme des eoquilles; ie m 'of I re de uousenuoyer ce que uous fouhaitereZ plus particulierment , Iorsque Dissiligod by Cooste

55쪽

Napies a Paris. I 'ai die moi mε me tr s eton nό de nlavore pol ni de novelles ni de uous Monsleur, ni de M. Dominulti It y avolt dans te paquet les Planches ou P Dones rerum naturalium avec Ie 3.R Volume de la Zoologia Danica. Heu-reusement que j'avois marque la dare de Penuoi. -- Je informerat ici aulatit que possibie pour avoir des re nisi gne ments fur te fori de ce Paquet, ren donnerat des no velles a M. Dominelli , qui sera a Hanno ver dans quinZelours, et en to ut cas je uous serat un nouvet enuoi de ceschoses. En attendant te me suis presse de uous instruire , que ce n'est pas neglige nce de ma pari, qui vo us a prive si long temps des ces Ouvrages que uous desirieZ Monisur , et que te n'ai pas manque de repondre a voire obligeante

Je uous rends mille graces des belles elioses que uous enuoyeet par M. Dominelli, ii promet de me Penvoyer de Hannoveri Sur tout te suis bien charmet de possedet vos ouinvrages en Histo ire Naturelle - I 'at eu celui des polypes maritas, mais celui des poissons m'est encor paria itement in coniiu. Dans celui des polypes j at appris beaucoup de chosesque je ne savois pas: entre aut res te penso is que les vrais Mad repores nViolent potnt te squelet te des pesypes maisd'une esphce de Medusis. Je des remi beauco up savoir si Ies

56쪽

P.S. Ie uous felici te sur votra decouverte de la Zostheora Oceanica . Peu de Boianiques peuvent se vanter d' ena volt v v la fructification .. ConnoisseZ-vous les deco uvertes de la fructification des Mousses de Lir. Hedvig a Lei petig Monseur Cavolini Napoli se Brunsvic as Nov. Allemagne I si. - Monsieur -- Ce n est qu'avec tin regri tinfini, que te me rappelle d'avolt manque bien mal gre moit' occason de uous prouuer personet lement mon estime duremps de mon sόjour a Napies se Permetieet que mes let- tres reparent ma laute involontaire, et que te prosirre destumihres d'un savant qui ioint te rare talent de Pobservation a la Philosophie de PHisto ire Naturelle. Vous avea eula bonte de myenvoyer vos excellens traiiεs sur Ies pol sons et les έelevisses. C est un tressior de nouvelles, et importan tes decouvertes, et te me suis halε de te rendre plus univerAsellement connu en te traduisant en Alle mand . La traduction vient d 'et re finie , mais te serat bien alis de scavoir svous y aveZ des additions a latre, car dans ce cas, te uous supplierois, de me Ies enuoyer au plutot. J'ai 1tό stappis non seulement du nombre, et de l' exactitude de vos excellentes decouvertύs, mais encore de trouver que uous v us wids servi mῆ me des olivrages Allemands p. ex. Roesel Insec

57쪽

ue g

llom de iovis Ies naturalistes d'enrichir nos con nolssalices

physques par vos excellentes de Cou vertest . . . Ayeg la honte: de me laire passer vos autres Ouurages

plus a mes depens , en tes remetiant a M. Comi de Teramo qui me fati continuellemens des enuo is de Napies. Maispour les additions a voire ouvrage fur les pol stolas et lesecrevisses en cas que uous en ayez te lauti alterois dates a voir te plutot possibie pour les ioindre a Povurage: ayegla boniέ de les seire passer a M. Κleiber netgociant a Livo urinne, en te priant de me les expe dier par te chemin de Ue ni se, et Vienne ponruu que Potavrage ne soli pas d'un prosvolume. En vous re iterant la consideration la plus haute ec.-Monsi eur Vot re ec. E. A. W. Zimmermann a Brunsviich.

Viro celeberrimo Philippo Caulino S. P. D. T. T. Roemer Turici Helvetiorum Medicinae, & Chirurgiae

Doctor Eruditionis variae plena opuscula tua da Lostera ac Phucagroslidum κυο ψιον desiderium in me excitaverunt commercium litterarium tecum, Uir celeberrime , ineundi. Ab eru3itione tua longe procul, tamen eodem servore pro historiae naturalis, & in primis Bolanices studio percussus sum , & scientiam meam atque collectiones in dies pro vi rili augere pergo. Desideto itaque de te scire . . . . . Vale vir celeberrime, meisque conatibus fave. Dabam Turici Helvetiorum Li8. Ianuarii i794. G. G. ROemer. Londres le ist. Septembre i 88. - Monsieur - I' aireqv avec te plus grand plai sir votre leti re du i 8 Aout, et je suis charme de l'histoire des decou vertes interessantes quevous aveZ Lit. Ce sent des vrais observateurs philosophes comme uous Monseur qui avancent Phistorie natu relle, et qui tui donnent to ut son ectat entre les sciences Ilaspereque notre societe naisante ne sera pas indigne d et re e nrlchre par vos travata x , et elle attend vog saveurs avec lapius grande impatience J'ai te plai sir de uous enuoyer i 'ouvraee d 'Ellis que te uous at promis, et i 'espere que uous dat

gneae

58쪽

resse extremement.

59쪽

nommer de mξme Mons et , espere que uous nous se regi'honneur d'aecepter ce litte . Ce soni de vrais Naturalilles philosophes qu'il nous faut , entre lesque is vos ouvrages uous metironi roujours au premier rang . Dalgneet notas communi quer vos lumi res; nous les re evrons avec Patiention qu)elles ne manqueront pas de me

riter. I 'esphre que Mons. Pacifico et Cirillo nous en verroni quelque chose. Ie me ferai un platsir de leur ecrire bien tot, et i en verrat les Diplomes de to us les trois. J'esphre que uous continueE touiours vos trauaux literat res. Ie serat charmd de uous εtre bon a quelque chosequi puisse les avancer. J'ai lyhonneur dyet re Avec les sentimens Ies plus dis tingues, -- Monsieur votre t s hvmble et trὶs oblis. sere. Smith. P clarissimo amici minoque Caulino S. G. D. &e. - Si viris bonis atque doctrina excellentibus placuisse , haud ultima laus sit, animique resectio inter improbos satis laboreuterte perspicere valebis quanta me tuae humanissimae litte rae adsensusque tuus meis conatibus adsecerint dulcedine . Et eo quidem magis, cum facile perspicere ira, Te, vir prae elatissime, inter illos naturae scrutatores locum occupare , qui non tam ex scrutinio librorum, saepe ingenii tantum commentis expertus loquor resertorum, sapiunt , quin γ tius ipsissimae illius almae rerum Matris recessuum pulcherrimorum adeo ae abditorum . Id quod certe tibi animum meum illico conciliare valebat, propensissimumque in Te excitare amorem . Inde & est quod flagrem desiderio in opus ruum de Gorgonia, madrepora &sertulastis reliquisque naturae intra mare productis. Avorum cum non more alio rum, historiam tantum universalem, sed singularem intimi remque scrutinio penerandi modum assecutus daturus sis cer timine spero me, inde tandem evasurum esse ex illis, quaa

60쪽

me, fateor, hactenus tenuere ambages, num tota quanta aut saltem pro parte ista corpora animali regno vere sint adinseribenda. Sic praevideo etiam Te illorum moliustorum non externam superficiem tantum secundum figuram, & non eam partium externarum sed altiora meditatum esse. Hinc certe etiam tuum hoc mihi expectatissimum erit opus. Theoriam meam generationis & fructis plant. Crypt. per eamdem hanc viam accipies qua litteras tuas ad me venire secisti. Quam primum noster Benjaminus Sistheri ad vestros bibliopolas missionem expediturus est. Atque commoda satis est is a via, qua tua ad me qualiacunque trans mittere potes. Cum facile conjicere queam Te non minus

vegetabilium , quam animalium crypto gamorum esse amavtorem , non possum non te certiorem facere , me hactenus

occupatum fuisse , & adhuc esse , in edendis dubiis atque incognitis cryptogam is vegetantibus, quae cum pleniore de scriptiona tum iconibus vivis coloribus illustratis in sol. , proposui. prodierunt jam tres hujus operis fasciculi quorum cuilibet insunt tab. X proditurusque est nundinis paschalibus fasciculus quartus seu complementum primi tomi . Pretium praenumerationis singulor uni falciculorum est πFlo re n. secundum vestras monetas. Quod si tibi haec piaeeant, impera, & ego tibi cuneta secundum hoc prae numerationis pretium procurabo . Deinde per quam me tibi adstrictuin redditurus fores, si vel ipse, vel per alium in vestra regione vegetabilium conquisitorem , aut scrutatorem, copiam mihi seceris commutare nostra cum vestris rarioribus vegetan

tibus maxime muscis frondosis & hepaticis nec non alxis &sucia. Uno verbo dic, impera , quae de meis in tua eum. moda cedere queant. Habebis me parat issimum studiosissimumque tui . Scito mi Cauline meas animi propensiones

in veros pulcherrimae Naturae scrutatores nequaquam torperi

SEARCH

MENU NAVIGATION