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sen Alcoran grand 'ophete, confirmateur du Verbe diuin orii commande atous desu iure Iesus: Et deni ad parole plu- Mursis suiuirent. Apresil saeuietesmoignageducie par trois
nstat,&autres granti Philosophes, qui ont puis estε suiuis
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Merce reuu authentique diuine du Christiani errexeριne desa doctrine en theorique omen practique.
CHApITRE VII. Niter Ileuilya excellence dela doctrine, laqueilles accorde en plusi euricho ses auec la plus pure laine doctrine de Philosophecae des Iulia mais en plu-sieursioincts elle surpasse infiniement toutes las a tres religions. Livraye religion est celle, qui apprend4 fournitae moyens Thonore Die ,&profitera rhomme Ce sonties deux partie integrantes de religion A Dieu, qui est plenitude de tous biens,&le conable detoute perfection,nyieut advenirn estre adioust aucumbieni profit: mais bien iustemen est deuiout hone ει oute gloire: qui est v n ornement Membellissement au dehors, qui se prendri istient a son nom de sanetifiant, grandi sani de multipliant. A rhomme imparfatet, necessitelix, o Latousiours, que qu'ilioli, plus de uvide que de plein .n'est aucu-ment deuelloire, honneur,qui preluppotada cho se desia plei- ne a dedans, parnicte ensos mais est requis& necessatre profict, qui est una mandement interne&substantiet ori ossice M 'effeta de labraxe religion, est de bieni'aquitier de ces deux: celle qui est courte&manque est faus est,ne superstition, un
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Elle informe& instruit plus exactement acla veris, enisigne ne plus grande integritε puretε de vie, reformant& regiant
is Talmudia Alcoram Aux actions dela vie, esse requiert,ne plus grande seinctetε, deviaregis plus estroicte contretoutes volupteZ, non seulemento inseres, de soyduiout vitieuses , lesquelles elle condamnem aptat .mais encores natu relles, legitimes, es quesses ei modem, bride. En tous les deuwla Philosophie & outes lasaurem religion sunt fori indulgerites. Par out ailleur qu en is amenne a Polygamie es diuorces, les incestes, te disso
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96 VERITE SE CONDE, don, duilaisir entous temps de salsons, en tout estat de lasenis me, en touiccnsons.. Et hors natari gesta licence& deshauche est grande. Qia in au culte, seruice de Die externe,il esten ta Chr. mente, phistiche,4 beau cou mieux regle. O est ri aut res religio intel seruice de Dieipublic comme ecla Chrestien-ne,ordonne& ministrE pariant des te,d'ossiciers compos o deestabi de tant de diuerses piecessi bie enchainees.ensebie co fessions, ortitans, lovanges, actions de graces, lectures, pseau-mes, hymnes, cantiques,qui centresuyuent parvnsi bel ordre, celebrε auec tant i apparat, tant de reuerece, parε, orne d si grandes plei cur de ceremontes, qui par belle harmoniere- presentent aloeil ce quela voi chante a roreille: le tout se diuersifiant setondes salso Moecasiona qui co 'ulere taen atten-riuementiouiesces et ses, est raunen admiration Aux au tres
iambie plus ostin balelage, gestes de gens inses ea &maniaques. Considerons putide sola des pauurmae afflige qui abast tant
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oraeses soni deme ea mueis, ne respondans plus a ceux qui es consulto ient, eseu sacrifolent Le espriis, demons sontchasseΣ; forcedi de se retirer&sotaire. Porphyre uuenal, Lucian, Celse, IulianiApossat s . pleignent fore, en cherchentia causa, aeneia petiuent trouum Plutarque manici via ualet exprEs, ouil se morsondpoure trouuera causeri intremtres choses raconte a morti grand Dieu Pan , qui apporta tam doctis, heurlemens depreurs, emissemens partes Isses, costea dela Mer Mediterranee,qui aduintis ubkl Empere Iibere, foubs teque Iestis prescha, mourui, &riniscita.
Apollo Daphnien consultessuries falcis de rissae dei mrre Persienne; par Iulianimpereum, qui te pressottia sacrifices reitere de tu respondre, dimen fin quit ne pourmit parten, empe hε parta presen das ostreii ues de Babius Martyr
lesuyures comme plus grand eigneur. oest cho setout commune, que les idoles&Dieu G dintili,etrembloiententa presencedes Chrestiens, volae de leurnos sepulchr es, doni iis se plaignolent eout hauc, imploroient f cours Qand les Gentiis leti ruouiolent sacrifier ou les augureseonsul er Ia presencela'vn Chrestien troubloit tons leurs mP heres, dotato Diautevoixus chassolentio Chrestiens, cqm mellest die en Lucian; inevisu Christiani Leuta Sectateuis re ad- ωerans en falsolent de grandes plaintes paceserit, ac libellespou diffamertes Chremens, tesdeferans tendans odim -- Merstes Priacra, comme pestes de Republiques, caulas des mis
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sans, seQε de leur mort runtque vertis, integrith, necessit. du Christianisme. Certe ceste preuue aio Aicte demonstro bien euidem ment que nautheur, te patron de garent sticelay ,