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sante, plus petante& importante esse scule, queloutes les au tres ensembler laqueste comme premiere, plus ancienne,, commeti trossesouehedeia Chrestienretient uni res grand an g, do adeurant&sema intenant tousioursisne mes me par dessus to ut Ierine sans change ou seremue non plus inus colosse, s'estandant, se respandant par to ut, done elle est appellee Catho lique,cestidire uniuerselle, qui est lenom propre, ray, an, cient delimat soni te de Dieu. te furnom decentans , qui . lagitimement naissent. To aes autrespartis en grand nom-bite, entre eu forteontraires, sent comme petite pleges des-ehirect , peties lambea arruchea de se premier ren corph
guerrea e detoutes pieces, o eomme petits chiens camus jappans, erians alentourla,n lyon noble δέ genereux.L'onient donc par uni realable, par ne premiere diuision confiderer encla Chrestiente deux grandsparis&troupes, lineest appellee Catholique Romaine: l'autre est tout celle, qui luyeontrarie; qui par subdiuisior est de millie pieces, &a, ne infinire de paris diuerses, maisquipeuuent outes stre comprisessiuste nom commun4 generat de schismatique, ou 'aticatholique. Dautant que non obstant leur contrariete elles accordentioutes e ce qu'est de eontrarier, guerroyer, A destruite si elles euuent, adite Catholique Romaine, At nya aucun o nct, otidie soyent si uniuerseuem ent χ'accor , que cestu cy. Lapuinte donc&le reproche de tant de diuision sis partialite ne mehe pro premet ce premi e grandeorps Caibolique, puisque sans varierit demen re tonsioursine me me en soy, se main die fermeensa placer ou bicndio us les aut res, qui en sorte fouis e spirant&ψressant sparties contre luy, qui soni diuise nossutianent dugros: mais encores enire eur . si oricoso que M
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folle Ce qui adulent tr0 spuuent, car rhon me se aisbed'estre enserresen ne creans , qui sest de sun Foust, eos auola est tromph,i tro facile croceuote, eroire ne impression, quin a aucune apparen Merais'n. Volla fou viennentia reuo te, apostasies, heresies. Tertuli an appelle tresiniena Philosophie hardie, temeratre inter αede nature , des dispositio ste ordonenses diuines lites Philosophes, patriarches des heretia
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hire ala vanith de Philosophie or comme lesespriis nesonide me e goust ει capacite, austi soni diuersestes desbauchesiotreurruCequin'auientiansas auires religions, qui ne choquent soletu natureide rhomme,&no propolant choses si stranges parcoqu'estans des inuention es hommes, si est plus alia que
L'intre partis decla religion 'tii est avfaire, en nict de mesa me ad sensualitεω partie inferieuro de rhomme Caienjoignaetiense nant v ne Croire, tribulation , des penitences, satisfactions, eusnes,continences , elle despuist ore, &offense rhomo sensuer, lichairaeae sang, qui ei despestremuis pres ais inent,supaui. Gela Uin es aureos religion plus lasches, a se .&plusmaturiales. Certes la retoe, discipline Chrestienna
plus inrvicte,plus austere,&- cte,que toti emere catis , en sindreparaeeident xles despiis, impatienees, ae mescontente
inins Maa plus para des bandes, sectes, qui ont esteen lachre Mentε, estε introduite par gens impatieris de la diseipline , des pirecti marinoniens dea coni pagnie eorps. que iis
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elles se roidissent, calfermissent dinantage elles se purifieat aussi parte remue ment qui en est fatist lxo elles demouro t
monstrent,ointleurentiere force, si elles ne scint λ;tremuees: si cela se trouue vrafauichosesin sensitates, sans,ine, sans actio, combien plus auianimees, volontaires, libres, agentes auectu-
stelleri est in flavi battue viuement.
Dieia reuel , dresia deestabliacmonde ne crearice, ne Ve' sub auec vn reglemcnt de vertu, que nous ouuons hardinini appeterio et v mori, Religion. oriour occasion humate, comme dii est, elle rencontre de eitaurea mus propos mille tra uerses, tanta iesies, tant de superstillans, tant de sectes,4'os union erronees, qui s'esleuεt, te mutinent coir elle, ruta tuent letoutes parta Senaaininnirtousiours& par tout, ne mei me,
ble, te monde fontχω lesura cla netreta, integrit d'icellese declare la glo ire deson autheut, .puislance de Q garant se demonstre la vertu&-nstance deses professeur se manifeste u Certainement desis'es, heresim vi debat qui se lance --κώ seneuent a Christianisme soro venus ' viρnnent seu seuestres-graias profits Haveritε est plus atrementi par ses
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stanceavn chacun est fon e , examinee, affine eorum rotenti foumaiserae ce qui estot au dedans cache, tors est mis en euidence, comme rencens quinerendio in ceste sienne tant nne, tant plaisante fumee , salie sent bien fortae seu Brest thion, ammdement en vient aes heresim, se-ae debais seruent de lancette pour ouuri liveine,acnire sortir te nis ais sanides abus, corruptions, ad confiniation, sanie de tout te corps C est te cautere mur bruuer, consommer limeschante chair pou coupperae membretourry .c'est te cribis pol tpurgeriaire de ineu, de separer lordum ducion grain. Et nest a plaindre si quelques-vns se perdent, odesbauchent, voire des granditi infignes person nages carice qui se fore, vis mi xqu'il sola dehoraque dedans. Et encela rien ne se perd: car, comme diit Apostre saincidinis encore bienin rils trifiant auec nous,iis,'estolent pas des nostres: e ce qu'us sonetenteid'en sortis, Hestio profit, 'effect des resies, de soruare e prouuer, metire a parile mauu ais,& fairole metae seruicaal Eglis e Chrestienne, quela Medecine fata a nature Car4yant
Irserost bien a desitet, qu'iis ne sortissent potnt dea'Eglise, ne
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rhonneur. Sion vient a disputer, conferer ensemble,personne ne se, eutiendrei ceder: toutes combattent, agaillenti&dες fendent demesmetison , vsans demes mes armes offensiues fledeffensiues,& mesmes moye de persuader chascuneiaschedem require de saigner a se to utrales uires,deplore leur condition, eur au glement Metuine sedit, se porte comme fori desiim.
Il est done tres loquis mucia consolationi repos des con
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ponet mere, Cestrordre de nature ilEaut partes visibies, sensitiles, comme plus certaines a nous de plus apparentes, venis a la
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Ledessetnido deques de Dieu, soli chesd oeuum, son entre- priis est i Egisse, to ut te resteri est que pour seruir alcelle, en ta quelle Die fiat volestes principaux traii Esaepius iches de sa
t- . i Chrestienne apres ou les artieses de lassios, de Die te Pete
ment de utilem ent tous les vitres.
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ο eine Egliseest a Catholique Romaine, di non utre Par CM.6. . tquoyi Eglis e Catholique Romaine est la'raye, certaine, fouu maereigis,&inge dela doctrine, creance Chrestienno a mai χώθ. .. son de veriae, en laquelle iis ivtureri movi ir,lour auoi partallulateternet, & de laquesse Kn'est amais permis de sortit de so separer non stant les abus, corruptions,& abomination quo
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Petout cela appartient ada doctrine, de laquesse nous heeris. nipoin icy, commea est edit aulreface: Nous disons quotoutes es propositioncsainementirinses, selon intelligmine dea Eglise, les distinctions de Theologie,donitu metae parte en passant par mocquerie δε Causa corruption qua rappor
sol. a. It diesque nous enisignonia adorernes hommes moris: nous ne disons Oint moris, maestitiam, plus vivans que Ly adire heureis auecques Dieuin, ne di sons potnt adorer simplement, mais auec explication, ou bien honorer. M ven
titi, inseparabies , ainst que sonta autet,le sacrifice. Item it dit que noua retranchonile second commandementde laclo , qui est tres-fauxesCar init-il second commeat velat auec tesquiti, ou partie du premier, comme, tisinct Aug I in octa suspari des saindisseres, celati'importe de beaucotaride est comme problematique aestionsioum commandementi Et te receuons commele reste deda My, ansle retrancher, --