Oeuvres, Volume 2

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o DE LA RELIG. IvRE III. x sndit M'elles soni conformes a celles que les payens alleguolent, νοurti deffence de leur Idolatrie. Etit ne volt pas,que ces marinques sontiirect du Symbole des Apostres,, de cetusdu premier

cte Catholique, Apostolique ydon it,'ensuit, selon nostre respondant, que ira marques de hEglise donnees par les Apostres, rete Concile de Nice sont payennes Que sepeu udire de plusinianis iis ais cel qui est aueuglε de passion , ne qait ce'u'ildit, qui se noyn ne regarde pas ce qua volt. Irimpose acti quo tedis, mele Pape est, ver qui longe ne pomme Carion' dit, Pape , Dronge. Ce ne soni quantures εο brauades. Illa faut lassiet alteriout sol

aeprochoient aux Chrestiens les diuision , qui estolent in laChrestientε. Et en Partieletroisiesmea'a dic, quo tes reproehecadtessoit, tomboit surda teste de ceux, qui soni sortis, ueconi diuise det Eglici Catholique maine,&puisse soni di-

tale nis au nom de rEmis Catholique a tous les Schismatiques,

ias Docteurimes mes de la Gentiliis, at o dcautres in aurant de Dieux, de resigions,& tant dopinions diuerses duiouuerari Biso,antant desectes de Philosophes Ioinctque quanditenti

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Sortant de propos ae par laseule enute de me sdite, si discoundes schismes, diuisions, qui oni estSentre les Papes4 Empereurs, qui soni furuenus aux essections des Papes Maisiourceque commerit dictu mes me par plus eurs fol. en to ut cela iln'estiat question d'aucun potnct de religion: que crestoit pourdes conliderations temporelles, mondaines: sar ainseque en est contre morn a mon propos , te e laisse la exerceria mes: dilance, descharger sibile.

paraboles mesmes Prophetiques, Euangelique nete sonit pastsussit qu esses respondent, solent propresen ce, ourquo es

a. Il est encore plus nux, quel'Eglis Romatae ne contrarie Potnim heretiques,& qu egeaeen ueut qu aux Eglises orthodo Res Oii , qui sontelles ces Orthodoxe, Note qua parte en pluries,

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riis reform Ee. 3. Encore plus flua, Cequiidit,quel'Eglis Romaine uisse in psiles nouueaux Arriens, Anabaptistes , seruetistes, desque ce

. Est aussi tres-Duxque i Eglis Romaine ne contrari potniaux Mahumetans&aux uise Ca ento ustes Conciles depulsis grand de Latranelle a traiethdurecouurement de a terre saincte Les Papes Ont publiε les Croyzades, eschaus aes Psinces Chrestiens contretes infideles oni faicit des ligues, metaementia derniere: doni est vennela grande vietoire dea Epanto ontassistε, confortet d'honneur, dem uens, 5 d argent ines Choua lieis de Matthe contre eux Entieremet des Iesuistes,Cordeliris &autres gens doctes,en Hierusalem, Constantinople, &autres villes Mahumetanes io ura consolation Chrestiens contretes infideles. Maisce soni bieneo, quin'y contrarient potnt, voire iusto stles fauoriseni: Tesmoingleur grand Patriarcne Lu. ther, quies tuoit, prefchoit de ne guerroyern sedes endre

Et quanta queri Papes, Princes Chrestiens permetient deviuretes Iuicten leurs terres, iis te sonipour de tres-bonnesraisons, utiles, honorabies ad Chrestientε, esquelles soni aD set communes mothes par autres, sanc arrester a les dire; Cati v xestre briefiant que te pourray.

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ques,qui couurent ceste sienne metaduentur quedin Cham ou Ch naam fiereti questi malings , qui descouurent ses hunt ea. Et

fol. II pag. 2. I 2.I3.14 I contre non quatrie e Arricle. . out ce quil discourticydes causes des here sies,ne noua conti arietas beau cour. Iresten & specifie d auantage ces causes,

que iei affati alleguat es sul alternes, adiuuantes, cocurrantes, que letu accorde,ambition, auarice,&c Et pauois desia ditati secondanicie demonchap. quela religion seruoita plusieurs de contrarier po ur metrie en beso,gne,& faire vales leuta passion sd ambition,auarice, c. Maisi uis qu'iliouloit tant cestendie ladessus,il deuolt exempli fier cela par Luther, Caluin, Bezestant distres Ministres deffro queat Apostare Silio uloit ausit dire, que s vices, passion humainessenties vrayes, essentielles osseules causes des diereses,ille tromperoi fore Cartain si ii se trouueror aulant defcctes auxiautres religions,ou iij a desciam. mes, lae ces passions humaines,aussi bien'u'enda Chrestientε.

Cesque toutes Ois,'estias,csime a diei mais lic use principale de tant de sectes en laci estient Ea,se doli cercher enda religio Mdpctrine mei mes, qui est comesonantheus Iesus,odeur de vie, ψie, M. deur de mort amore, alar ne, resurrection de ptu'

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Catholique plus que dautres. C'est commera Plessis en son Epistre liminatre aua tors de Nauarre, queron volt desiales conuulsions, signes euidens, infantibles delamori prochaine dela Papaut.,Royaum det Anteehrist. Ilpenseque toute inglis Catholiquesto maine est morte,&meseu plus subsister puis qua n'en est plus.C'est biendoing de perdre, que de eooueri do

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ditque o metae te refute ceste faussa te en distant,que laus tra

mentit respon au septies me article de mon chapitre Ovio commencer 'enireren dis p te, tetralete ne proposition sono

gnoistre cera est pacta 'dmalae .la palliarde repudiee. O iln'est pa te questionis ores quelle est ceste Eglise , si Sest la

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ἰegucr aisons, tes molns est rituras Mais potaren allegaer beav- couples affaires ne se uidentias .elles s'en font plus do uteus es: es parries, en vierinent en accord, ains s eschauffen d auantageten proceZ Ilfaut apres&pardemusto ut cela quesque auctoritε vive qui examine to utraries ais oris, ireuues, tuis prono et a sentenco uuidhis mette diu a oute destute commerant les Iugesiouuerains,les arbit res. Sicela est,raraux affaires&debat shumains sitemporeis, ill est encores plus au affaires dela religion, ou es disputes soni plus tendues,plus importantes, dangereus es, 4 accord plus necessat re Donesti faut v nerei-gle auetorii Scertaine re infaulible,autren coe ieroit, ne comi usion plus que Babylonique Enia religion Chrestietinera for-

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plus deraisom a plus avssi de doubtes. Et pulsi religion, qui

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& fairesca estUropinion Saucuns anciens Hecetiques, Minata tenant des Anabaptistes: les Lutheriens, Caluinistes nignentenaeee Sestre plus retenus acar iis ne eulentque inspiration soli reigie derniere en to utes choses,mais seulemem a rextremitε quandiis non plus aquoyse lenir in tant quili pluent iiss aydent calleguenti Escriture, mais si ron hemmet en doute l Escriture metae,ides autres principes decla religis commele Symbole de la fos quarne sole nict a les Apostres, Iors iisoni recoursa leum inspirations distansque Dieutesni igne amet aucoeur, quela Bible, les autres liures, qu'iis erouuentioris,e.αώ;.' soni parolo de Dicu, quela Symbole est des Apostres. Ainsil. i. o. en parte Caluinae les a res, po ut eschaperta duoue qu4lclestiennent det Eglise , ne sestans pas laria ite qu'il commetient, uoulans prouuerae auctoriser,ne chos e publique,& autheruique pM ne priuee, sesrrette, non authentique , comm vn contra public par ne sedule prviem Car, comme dist est,aE seriture est publique,te inspirationsioni secretim, qui est renuar-

Philosophie la raison estique preuuς: en ta police Escriture, commeles Registres, tilires, instrumens encla religion Chrestienne, lectes moignages de certaines personnes, votiatour- quo liparole de Pieu est appellee tesmoignage itHesi frequententEscriture ceux quida portent tesmoings 'doni par honneravdi speciale prerogatiue se nomest demeuresa ceu quioni sora