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rimo non rivira ceste heuredu Pape,c'est auchir, non respon ire C est sauter dela proposition a Iassomption. alleguantia similitiide descriminelit retourne dire te metaeque te tu reproche,i te nis beau coli pius rudement, messauec veritε, distant γ'il forcent litos, intimidenti prennenta latorge te Iuge, se falsans eux metae maistres duiens de
Il est plessant quandiour monstrer quilio niles Peres. Con melles, rantiquit E pou eux, iis alleguent Epistre liminatre de
Calvinen sonanstitution, qui est, ne raye hapelourde, poura-museries simples It faictu ne sileed allegarions de quelques anciens, qui condam noyent des lors lenchoses, pou lesquelles
nous combations ieux nous accusent Mais outreque de cha
tune cho se ili'allegue quin seu ancien,&nous nitans bou-cter desperes cntroupe: utrem qualen allegue fori, qui ne soni potnt denom, d authoritε, enco res illos allegue mali pr*PM, troaiqument,i contre leur sens de intention, qui est leur mustume ordiniare. Silas anciens sonti ou eux ou non. I eleuronstre tres clatrementis mcin hap a 3 par te ars propres m ou se verra que Caluin .ses compasnon condamnent
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iniurient atrocementions lasanciens, noni s de mille oudo et e cens .mais de quatorΣ & de quinete censans.
Il est encore plus platiant en distant, que quanditen iis nepourroyent allegueriles anciensiour u , lem condition ne seroti paspour celapire, que celle dela primitive glise, qui nepouuoit alleguer Iesperes C est commesile vitain ius deterre, a qui on repro cheloitqu'il fait du nobie a faustias ense nes, de quid ne peut apparoir saucune antiquite de se gent& possessio acrepondoi qu aussi ne te peuuentiaire les premieta raycno.
ure homme, questincti Pieris, S ainct Paci Uent citesnon plustra liures dinouueau Testamentque les peres salendroitirpo urcela excussi celuu,qui ne uoudroit,ser non plus ditesmoignagedinouueau Testament que des peres Et,'ira'entendia cla primitiuereliseque les discipies, suςcesseurs immediais, queli aut res peresiourroit it alleguerica incest questio que desperesChrestiens, Euangeliques que les Apostres, non pluam'Abel aure pere qu'Adama S'il enien d des arriere fils, discilles, successeurs, qui uiuoyent enua seconde centurie, ca-il
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Prem ierement ceste regie, que tant nous cerchons, doli inre
peuuentauoir affaires clast vae de sesqualitea essentielles , qui se uisse par maniere de dire, tou chera dolgi Maloeil: afin que
sire letasut de tous , qui non plus queda nature quila cree, ne
defiaut elice qui est necessatre, semble requeri cella. or est ilque Egliseest beau coupplus patente notoire, plus en eue, de facile acceZ, que rEscriture , tellement noto ire, qui n ya Chrestien auis, Mahumetan, qui necla cognoisse combienqu, ne in finitε de Chrestiens mei me ne cognoissen aucune- menti Escriture, ne plus ne molias quin ne villetous cognotia
senile Magistrat,&lelieuo uiatientia Cour, &l restati Edes'faddresser, ce qui, est ai, si de ado . Et certes robligation do ecessite de croire, gnoistre,&obeirat Eglise , est beaucoopplus grande que de croite cognoistre, ob cicares criture. i. inu necroit, ne cognoist, i obeii a rEglise , n est bini fidele, Chrestien a Pource'u'at Symbole delatay,ii sedit par article exprea, Croire I Eglii e Catholique: uti'est potnt aut mi di det Escriture et i Apostre diist, que lasoyest de rouye, it faut don cunevoix viveti quelquin qui parte. Qui, sinon rEglises si non , comme dici Apostre, te prescheu renuoye pari Egliis Parquo laetay, qui est necessat rea salusi vient delinglis e partante,&non de I Eicriture te. . Et ressentielle description de fest croire en Dieu se reuelant par i Egli- se. 3. Iesus - Christ declare que qui nescoute, n'obcitat Egliseest gentil&infidele, ce quin'est ditain si expre de Escriture, Deces trois apperi latrement que cest de necessith ab solbe de Croire, cognoistr obes express ementa Eglisse Ce quin'est
nyesciit, ny vra dest Escriture, fans laquelle cognoistre Curie ment, Voyre inscroire o obeu expressement, mille millions sontiauueZ, quioni rece to ute leur creance, religion salue,
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hous instruit paria voix de nostre salut Tant de petit enfans inourans aptes le baptes me savueZ,4 tant de grand parae monde, qui on part au salut par i Eglise, non par rescriture, tantde nations, defectes sauueZ auant i Escriture. Secondentent, ceste reigle it estre non seulement patente , & accessibie, mris encore clatre, facile , intelligibie a tous asinis .it. quapres rauoi trouuee, ron en uisse iouyr&en tirer reffectile contentement, queron destre: autrement elle sero it inutile. 'oti Eseriture nest telle, ain dissicile, obscure Elle mes meptesche, tesmoigne son obscurite dissicultε elle dit, que les
ront donclessimples dissent aussi quela volonth de Diena est yrr. qu ellelast alia si dissicile assin qu ellene fust contemptible,pbur reprimeri audace de Asprit humain, Naassujectira lacrainte, reuerence, peine, estude S ainct Augustin, que ces gensueuient δε lib. εἰ fori persuade in monde, est re des leurs faussement en parto dei, ainfi, Combien est admirabie la profondeur de res paroles cc..t sue
sequ'ε Esctitures sein stes, si ignore plus de choses quil neu sfait. Et de vry inuic secer ei, naturelles, eorporeis, it se
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Nouuetant de dissiculteΣ, tant de causes&de retaris fearetistoachez a rhumaine science, pres tant desiecies, on si long&uniuersei stude des homines , quessera ce declarnaturetire,eternelles, spirituelles, contenues en rEscriture tercenient, ceste reigle doli estre non si lement vinye, cer-anratios . aine, intaillibIe en oy mais encores inflexibis , ferme non
trisy quelque qualitε, ladoitauoirenso plus grande disenties
Tes moinique du vivant&encla presenoe des Apostres desequelso povuoit consulter α demander te sens deleur direci onentreprint, comme di fain Pierre des escrit de S. Paul , au- tres escritures de diuersement expliquerieurcesseriis,4 plusieurstes prenotenta leur ruino contre lato de Apostres. Que se Hul ildoncnireapies leur mort contre laso des Apostres Tesmoin toutestes heresies,schismes,erreurs,depuis e comen oemenidet Eglise, qui e sontioutes defendues parit Escriture.
E Iesmoiniles disputes ordinatres, opinion differentes,
qu4 Ra entre ceux de mesmopartyi de metae religion ut les diuers sens de rEscriture. D smologiant de question problematiques Ne encores inde esses, desquevilest libre deleniri assirmative ou negative a cause dii eontreioiti des lieux de rEscriture, interpretation d4celle, urious les deux partis, comme de miseritquela tuo:
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lesloix soni bien reigies authentiques our iuge re deciderito proceat differens mais a causeri elles soni uelles, subiectes i diuerses interpretations , voire iambient quelqiieseis seeontrarier, enesnepeuuent estre reigies dernieres M absolues.
Mais te Magistrat qui parte, in laque viue partante, agente, romine talo est dicte agistrat muel Icelu explique lesens dela Ioy, rappliqueauriict present, ni parier, viure de agir raloy. Ainsi diencores beau coup plus en a religion Chrestientie moriture tient pl/ce de to est,rayement lacloyesmaneoae procede de Dieu, inique legissat . alaquelle Uest per
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, αν. i. cousteau enda maindiniurieux. Et pourquoy Apostre ditque I Euangile est a aucunsodeur de leavie,, odeur de more a mortauxautres, a pinstar de son autheu de Iesus-Christ misenda ruine, resurreetion de plusleursu ce qui tontefotin autem parte vice det Escriture, non plus que de son autheur,mais dela part dei homme par ignorance, infirmite de phisi is non misi, capabies de reistendre, ou bien par malicea passion , vite γ'ili fena qui vim nente Atheisme, comine adit Tertulian, ityruplus de qualorete censans, uel Atheisme venoit dela disputedet Escriture: derexperiencelemonstre de nostre temps: auquel plusleur voyans qu'apres tant de conferen ces, disputes, tantde raisons, es critures alleguεes Sune pati M aea re, l'on nestencores laccord, las, ennuyea: ne sachans quo croire, ne se so ucient plus qu4is crotroni ou bien pensent, qu'en tout partyron peut estre savue. Q is outes ces disputes ne sonesque curiositeχωsubtiliteZ inutiles, parte que partout en bien falsant, en bieniauantae salut festiuueri qui est neespece d'atheisme. Et S. Augustitas'esbaliisque lon apeuauoirceste opinion Caribra ne verite certaine auisonde, come irra, Dieu, laqueble est de tu reuelεe, mi sese garde re en depost en certainlieu, elle reside publiquement a laleue de tous, comme en son dinmicile, qui esti Egliis, lamaison de Dieu, colomne& appuydo verite, hors laquesse s a que mensonge erreur , tantases 3 opinions humainos Ar thorite de laquei it se aut rapporter
tes degens, ae par maniere de dire, commevne forest , outouel monde entreprend Sallet fourager, s accommoder, non se lement ceu du pays c est a dire du Christianisme heretique schismatiques de ovies sortes, mala anssiles estrangers Ιuictaavieti Testament: Mahumerans au vieit, nouueau, voiretes momstres&bestes sauuages d'Atheistes, ii est bien requisti dutout necessatre fi nous ne uoulon errer. vagum en doures& dis- Putes infinies, voire nous expose aux dangersdaussi tost rena
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ge, cesta dire dela viuevoix de certainface deputes. IES V s Act I 1.3.
De nostre pari, c'esta dire de nostre iblesse& de nostre ἐνῶιωenetoures fassens de nostre miserabie, corrompue condition pen quelque estat que nou soyons, init d infidelites, au-que poli auoir Demendement dilout obscvrcy, nous sommesentierement incapabies des mysteres de Dieuar de lase ,&ne Iespouuons aucunementio uster, commeditiainct Huboud h. . fidelites, auque selon que nous vivons deplfrementi terre 'mement , nous en rendons indignes, incommodes, dontia Q. M 'parole de Die pronon corious hommes ou sol , dautant m otiis ne cognoissent pas Die commeries infideles , ouae convissant ne vivent selon luy, commeles au tres tellement qu'au
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commes moyen, ne meditation entre latagelse de Dieu taeshaute, de la folle te rhomme Pourceque, comme homme, sera
seule qui conuitelas sola a couris vers la sagesse, dii biende metae
i Escriture,' u bim l Egliis. Volla les raisons principales, qui nous indulsent a dueae tenirque poniEscriture, mai ragiise est laderniere reigle, Iuge fou uetain de to usa doubtes cassaires dela religio Qued'Escriture seule ne peut decideretes differens, comme estant subjette par la, vice des nommes,de non lesen d stre priis en diuerses fasons, de auctiost en naia quaen bieria Dot tarnutiour ne chaneeler,