Oeuvres, Volume 2

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o DE LA RE Lic Liv REGII. - 183 Et,bur monstrerda force de ceste verit que les autres qui

puis que Eglise est gardienne, qu'elle res moigne Miselle de sonscingrEscriture, qui est procedee de Dieu, la redige en reigle, la declare Canonique, &da separe de toute autre, elle cogno ist nc, iuge quelle est laismyeiscriture,, quelle non , lauthoris pou nostre regard , aut questa receuions de samain aede son authorith. Puisque elle araeib&closia bouchem heresies, clast doncaelle de cognoistre de iuger delacib- inu. Mais c est, disent, iis, at ceste parololimiteera liures du

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luer, appliquer ceste parole, ceste Escriture. Item, puis quel Egli se a raelεce quelle cognois it nestre pas de Apostres, encore'inreti portast leto in .c'est don Helle qui cognoistac tu .ge .ce qui est des Apostres. ωce qui n'en est pas: equi est, rari& ce qui est fauxi supposia. Ainsii est elle qui nologue, au- storis ei resoit Escriture. Item puis qu'elle aclos la boueheau Heresies nees de mauuais es interpretations dest Eseriture, 'est doc elle qui cognoistri iuge des interpretations de rEscriture,qui declareae prononce quelle est lassionne, veaye,quelle est linusseri mauusse,i qui iuge de to ut ce qui s'en ensuit.

ce qui a est&depuis redige pia es crit authentiquementia les Apostres Euangelistes: quo ille iaut arrester stans frien ad-iouster ou diminuer Puis iis produisent les Peres anciens, qui di 'sent cela mes me quioni fortioue, recommandest Escriture: ront employee en oute decision de do istrine: condamnationd'heresies, appellentio usioursa esse pro noncenties esurit des particuliere,queis quais solent,sublata Lelle,& nonCanoniques, somme elle.

ν-- verite

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Dim,appu deveritε,αqui est conduitte parre prit de meo. En apres qui honore, me plus haut 'soriture que nous, quia recognoitans inreua tacrosaincte 'euelati Mi. oracle,

est nict. Mais elle doli estre prinis a ranis de diu rite publique estabile de Dimae condititie de comesme rit, quia

rari laeseriture, ovi est lFesiis , laquella; coa ne rinus venons de monstrer, par leur contes ion metae, est cella qui a raclε, κviaelos la bouche aux herestes nees des mauuarias interpretauo dicelle. Quant Leesiuit dita, des Peres , nous en parte ἡrons a chapitre quatrie e ou nous respondons a soccisi- quiesme, inques irretourne parterin ieres Docteura. Apresili nous objectent, reprochent, que nous mesdisons dei'Escriture, que norata reeusons. Et ou rauses de recusa 4 2tionsus nous font dire , quel Eseriture est imparistae , obscurς. o. s

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eoue eeque 'lassis ditisauri est qu'elle est parfaictessufflantea salis, que Iesus son autheur incla perfection*c'est en ain Careela aeste ensesgnε par nous deuant luI:ine sutiamais dit partes Catholique chois au contraire fien disons nous,ce quine sontrario aucillismonta cela, que ce que i Escriture enseigne - generat, agiis roseique, applique parae meninen particu-

di saccommodant a nostre Diblesse. Et c est selon sicharge,sipuissatice, quandion cherche instruction, informatio Ceble, mala Eestiaeneux qui lason impariaicte,& quieta diminuenten retranchanti rejetrant plasteur pieces Icelle, voire auee iniuras Luther, rapistre stincta irques,'u'i appelle Epistre des ille,rapistresai aude,la seconde desainct Pier.e, desainctem les Anabaptistes, Trinitaires de Pologne, te Piaultiet de David, te Liare de Iob, qudis appellent Tragi comedie leCantique des antiques, qu iis appellent chanso amoureuis: Les Caluinistes aes Macha es, Thobie, Iudith.

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rutexperien celeipereielle des heresies , Schismo erreurs, question Problematiques, disputes ordinatres e re ceu dentesmε par , la pluresuesdes interpretations de mesines passages, ta multitude des Commentatres , que ceu mesines qui lapresthene si elaire, font reus lectoursite qui ne se fatet pas enchoses clatres tout celaula Plestis ne respond len, nym en fiat mentionsetaon duli de lain Pierre, auqueli responstres-mal, ditane raepuisque saliae Pierre ne seplestitui non que Saucunslieuxi Sisinex Paul dissi te, qu4Ieensuit au contraire que rescriture cest pas obstaret carci'est ma die il. argumene de quelques

que affirmerrum, n'est pasinier rautre, en ditant vestieu dissicile dimal prius , ceti'est adire , quales aispes ne is solent aulant ore

plus C est merueisse, ne Pleslsipuis, in reinvini restrato

uistres ly, qu eique, cholis dissicil es, ce qui est de mastie paehrelati o. 4 qui ne se petierapporter L πλα ι, qui est do

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, uniue ellement nesost dissicile . ν subiecto a estre malinas

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sene ax choses qui se sone cuire mentiourn'estre circonuenus , Myour euiter proceE. Tout cela est,ray C est nostre Sozlsit, mais quiesblourteeux, qui deleur propreiarco pensentierouuoi contempler Cest nostre tumiere, mais que les tenebres ne Peuuent comprendre. 'est nostre alliance, te testMent de nostre Pere: mais avssi bie comme/salliances duisonde auxtestimens, o nous reuoque en doubte4e lavolonia du testateur,& les conuentions deson alliance auec sonteuele & ne

rapostre app biluiniere inaccessi ble: cie Sage dit, que qui

opiniastrema lare arder, o uoudra curieu semen fouille ousonde saMajesth, rex inousse de se glotis ora Escritu e rient de ceste questri divine , ς'est adire lumineuis, mais de dissi ellea ea. Et aiosi rargument deduPlessis ne fati rien mur tur,mais Duplustost conue ri Et riture estia ire, ea esse son autheu Pero de lunuere, να lacit flansuit que rautheu est encores plus clatri

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done merueille, si rEscriture te sera. 'gris Mais ouest,&douvienteeste obscuritε dit duplessis)'en unaatiere, dicit, ou enda fa*on decla trairter tenda mattere, iis noroserbient dire e linqon , ii faudroita autheur Die estre ouignorant, ne Rachantia clatrementenisigner o malicie' sivo utant ostentersa science, non rens igner Cela est bien hir-dy. Or nous distans, osons dire qu'elle est obscufe, difficile emtoutes sortes de matteres, de fason de traiiter, aisujetat auxparoles; ton autheurra ain si, ouluiour nous y faire estudier, oui sest ny ignorant, L licteux naais 'om me est oviles aeux L matteret lesujet est haut fertit, plein de myeres. Ceste fertilite falctqu, metae lie est prinsen diuersians lans on de traiiter toutetissue de paraboles, en seignes, comparat- sons, figures finalementi ex eo io urceritie c'estine eseriture, elle resole, po ur la diuersitε des iugemensa des gousts, diuerses

interpretations, aduenant xliures de metae qu'aux viandes. ωencores plus beau coup.

d'autres cat Hest voirementia Lutae, qui Ua auere lumiere, que

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heresi es nees des mauuais es interpretations d'icelle, ce qui ne se

plus detrente interpretations.

mucher ainsi nostre dire, aut remen qu ili'est. Au reste te velawbienen respondant a cecytraliter celoina 'nseu au long LElcriture sat lacte est considerable en deu fa-

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Par cec nous voyons que nostre These, nostre creance ence est to ureaurresque la partie aduerse lacouche,&donne ontendre. II est maintenant question dele prouuer: iour ec