Oeuvres, Volume 2

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ictoritε pastorale reeeue Mestabile demseu doni est, ne eiaeole defosae non descience Ses ossietem soni iuges nori Ad uocats, Rocteuus non compagna ns, Prescheurs non dispuisure, qui ense neat en restifiant non prouuant. Ses en fans, late fistant diis fidelis 1 oortu simplement croire obeir, non poreentendre,oussa is es aisons, ressores deceriselle ordon ne& determine. L mire oblection, en quo aussi iis se mescontent, est quad iis ditent, quela sentence&conclusion du Conciten'est pasta sentence nyconclusiondetoutel Eglise,d'autant quaux Concilesiam ais totis ny assistent,&enco res tousce liquio assistent,n'yconsentent pas: milesia conclusion seni paria plus grande an pluralith devolae, quin est pastousioursti plus ine Par quo ellen est tamais Dicte par tout e Concite. Et quad bien elleseroit par ovile Concile ellene sero it pasto utes- is deto ute

Aquoynous respondons. Primo, quela conclusion tousioursa . A faict non par a plus grande, mais par a totale, uniuersesse, unanime voix Car enco res que la deliberation to me fac . cordent, toutes-fois encla definition to us reuiennent a n. Et quand bienna conclusion ne se pourroit Dire parta totale, n nime voix, que io urro i ii micti faire que suture la plus grande Fourquosl moindre par qua itε de voix rien ne se ruide parta plussaine direZ-vous ouy,maisc est a commencer: quienserate Iugepsuria declarer tellet, en ta iugeant quelle 'artsuyura-ronia plus grande ou plus petiteZor Men nous en sommes pasta, carioussaccordetrito ut, signent Lia conclusis. Secanis,nous disons qu'en, Concite generalious yassistent, isti a ciuitous flantendent, ceuκ qui orit puislance de iuger de la doctrine,

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tous fassistent, autrementi auroiciamais de Concite generat. Vn ou deuxinourroient expressement ne cy trouuerpas,p tempescherq il ne fust generat, competant messiliuisit que de ebasque Prouince que uin tu biecta plus graode pari des,

Prouinces, des plus celebres ab trouuem maia que totis n. solent aduertis appelleZ. Cec est dit contrererreurde ceux, qui volent generaleman a s fidelles, a tout te molns testu inςes,. Magistrare eculiere,, assister aux Conciles , auoi voix deicietati ueri lie de iuger,

comm e subiects Le Princedi Magistrat seculier, quelqu'il soli, est durang. destrebis, non des Pasteum It naias rordiuationny rimposition de mains Ilai'a .pas puissance denseigner sypar consequent, isncore molns de delaberer, iuger dela doctrine de la Gycis pulsiancen'est pas spiritvelle Ecclesiastique, auris coryprelle e de rhumaine creation , comme dis Iainaerest aussi conteela practique perpetuesse derretiis en fin cointre tout ordr raison naturelle,& toure police Sicine doctrino. auolt lieu, ineae Princes eussent auctorith de iuge dela fos&la doctrine , ordonner dela religio , voviant chacuti Seu fhnsaire croire, infinis in conueniens en aduland nolent, mutariat eneonfusioni selanda division des Princes de des Gyaume la d , ne variemit: viare en metae Roy me, auilaisi aevnnose imu Prince chageroit a religion, comeaeest, an Arelaterre.

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rus Risabethonfecthe de plasieurs sectes nouuiale, de non ea,

Ce qui ne mut Musi adueni des Pasteur qui ne soni rece mynesuccedent ala charisaecvnsdes intres , que quant & quant iis ne succedental doctrine ce qui ne se practique par aes Princes ne soni censea tenus pour Pasteurs, Pilane αγnsentent. ne communiquem en doctrine auec to las auiresiasteuis dia monde Les Prinem cant telle intelligeneen communication

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La quatrie e Moinquiesme queae Cotitae stoli prest sonbs vis considerations humaines Sabolirae mariage de Prestres, que Paphnuce les empescha aure la pariae de Dieu Car ny oncile ne venia raostis, ny Pa nuce remm cher, cautant

que cela ne sui aucunementiresiste, nymus en deliberation min

cile , commedit dui essis de celibat des Prestres est done de la

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plus, cherchelemensonge. - i

AD VERTIS SEMEN ET REFexamen dis chapitre de lasses dicte respoli se, imprimebala Rochelle.

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dema procedure, disant, que te cherche les tenebres,la confusion. precit frict discouri tendant tous au fins de dregerres prit du Leeleurat Eglise inuisible, te desto urner de lavisi ble. Il definitiEglise eitrea compagnie desisteus solent iis auctes , ouenda terre la distingue en a visibie de inuisibie, mais qu a paridit pro prement, Eglii e Catholique est de Esseus seu .

iours letainistis petit, non celu dea Egliis, mais te leur priuε.

les tenebres Et time, inire fondrσω uanosty tout celaon inuisibiliis. Et faut notor, que uoulantence Chaphrcentrer

dedansle creum& abyse in d'inuisibilitε, -'accuser de ce que temetiens ala visibilite, & a ce qui apparoist,il est allestres-mal aptor in oblecterque te chorcheles tenebres: Est

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χη VERIT TROISIES ME,

ce que ron adiri es crit contre ces chimeres Cependant tin'est pas se ut emerit Caluinistes: mais falsant grandiori a Caluin, ilia embrasser opst Dion des Anabaptistos, laqueis e Caluina si fortae ferme condam ne Et les queis te respondant mesme condamnesilouuent, comme Heretiques, monstres. or Caluin authein ou promoteus de ceste opinion, que rEglis e solides Esleus,ne 'aiamais prouu., da plaidant se couppe tortiouuent, Maictiout en uncaup, quoles meschans hypocrites sonten i Eglise,&cysontias. t nostre respondiai ne lapprouue aucunement: scommence bienion propos ain si Les Anciens onesentendu par Egliis Catholiquotoutela compagnie des Esleus Oriamais au-

se est te peu ple de Die par toutes les nations comprenanti stes Saliacis, quioni vestu. uest-ceque nin Augustindit encela, quel'Eglis e solida compagnie des Esleus 3 peut- est quele respondant parces mois , Peuple de Dieu, Salmas, intenduesti,ia. Esleus. O grossiere ignorancestes Israelites soni apprile petiple eici de Dieu, Est ce adire EsleusὶSain aut elativant aux Romains, s 'o ι 1ν Ephesiens, Corinthiens, les appelle Salneis, voire ii apperi par

rea Cras que e nomestote communa tous ceux qui falsolent profession

τι - du Christianis me. Est ce adire, des taleiis commenteemend