Oeuvres, Volume 2

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Lux,, I Escriture diten centile tout elatrement, que ragii se sonthonsae meschans, Esleus, reprouueet mesIecensemble, de quela separation nes'en fera, que iusques a la indu monde.

Et si ragiis estoi des iustes des Esleus seulement, elle sero itincosnue, incertatae, inuisibieci a resection est te secret de Dieu. rl Egliseest cognue, certaine, visibie. Maisil est ridicule, quand fol. 4. page .hildit qui apperi par les Peres, irvient Salleguer, que son dire est,ray,4 letalis Peres cendisent mota

Il est fortia a via combien nostre respondant est empeschεaee quit dit Iriaidbragiise inuisibie, des Esleus seulement, de

tiore, scauoi militante, triomphante Iecle veux, mais celapas. quela militante, de laquelle nous partonsiou

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roni animique laseule militante sans la triomphante. Et quandon dit les personnes, les afferribiees aes Conciles, Qtes opinions Catholiques, cela ne se peucentendre, que dela militante or te dis, queniret Egliseirentendsiousio ita militante,c est resuetae faire vesco qaratae, parte a ceste heure de uuiomphante des iustes ou des Esleus seulement, Oulanire inuisible, cest, ne folle inuentee finementiour *yri se cachet

te rantiquitε. Nous en monstrerons tantost rabsurdite in enmon Chapitre neufies me, ren monstrea nussete Nous di sons, quel Eglis e la militanteis Catholique s'entensiousioursi est hi compagnie des fideles, Cest a dire, de ceux, qui se tiennent

comme membres a ches Iesus - Christ, non par Iustice, com- me, euient les Anabaptistes, oti par essection, commeseu Caluin, ωle respondant, euietous las uκ mais par lasoy,, non

pariata iustifiante, cela seroit eueni a meme, que iustice, Messection maica la pubiique de externe confession defos, frofessi on deita Christianis me, laquelle se fatet, se motist e par paroles, pariaict externes, visibies au eu, sceu rundo autre. Et arisia,ent nostre respondant ditant,que les fi les Ioa visibies, norientant quati soni fideles .mais entantcsu'ila soni homines: Caesiissent aviant vis bies, entant qu'Mypnt fidelles, commeentant quila soni hommes, dautant que

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isures les Ulises particulieres visibies. Orparion dire mes me. IEglis Catholique uniuerselle ne se nict que de toutestes parti culieres, car il confessequela Cathglique oopsiste ento estω particulieres, qui soni au monde Π filud radon: outre sacondition manifeste queda Catholique soli visitae,&quit,'fati potne eultae inussibie in monde. . It confesse,queles Eglises particuli πω sonios dimirement messem de bonside mauuais, d Esseuetra reproum orta C tholiquen'esto ne subsiste , que de mutes las particulieres parsa propre confession , eomme leviens de dire Parquoyla Catholique est composee dehons, denteschans, des Esi Z, rei

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membre dena Catholique&inuisibie, de laquelle parte i Eseri . ture,ou non3 Stellae partis,ellen 'en est doncias separee. Etrinsece quis eradit dela Catholique inuisiste, sera commun aussi ala visibin Carisequiisappartient a genre, est commun aussi auxHpeces si ella asest mini partie, Hest unu autre Eglis sepa

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prouuεs ensemble , sera-elle visibi plus-tost que diutre , qui est des esse se ulement cardes renouuεs soni ausit bien inuisi.

blesque les esseus. Et ain si estans eous inuisibies, ε nayans au-Cune marque certaine deleur election o reprobation, sinu dras arnecessit'queragitis init oute inuis bie, &'u'i Ufena potne de visibie o tenebres sobrouillis que laverit Catholique est

bien autrement nette,claire,&courtetit, y a quine Egliis,&iceble Catholique, visibie in laquelle sontious fideles, tant ineus. que reprouues, qui sontaien inuisibies en ceriu'iis soni esseussu reprouues mala tous visibies en ce'u'iis soni fidele, ou qui declarentestreteis paractes&marques visibies ori Egliseestia compagnie detous eux comme fideles, visables,re non com- me esseus, reprouuti,qui sontious deux inuisibles Cependanton sera aduerty, quele respondant, commeti into ut conius de trouillesen son esipiit, en ta doctrine, ainsi que nous venonidemonstrer,ausine cesse-irente chapitre de broistiller utant sans cesse enses response, ne agiise a lintre, desinuisibie ad visi-blae, de celle des esseus a celle defreprouues,de a Catholique auxparticulieres, ala Romaine, a celled'Antioche,&e. Et ne fatetaue demander tot siours, de laquelle ilaniens ce querie dis 1l ne nutioint demander de laquelle 'entens, puis que te ne falsaen'en crois quine Catholique, visibie, ain die, Apostolique de Romaine,n'entendant tamais paria Romaine V ne particuliere, commetiveut Mais la Catholique commesi expliquerasasseE

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sus.Christi'erre sint:C est, imauuais argument, ear plusi eurs

Schismatique enisignent Iesus Christ is ne laissent pas Serreti Mais te dis ains, lingiεse est duine eniteremet, a Iesus Christ& son esprit de vertes, comme is corpides homine par rame. go, elle ne peut nilliri A cecy, it ne dit mot. Et ainsi volu mes trois premier arguments,qui demeurent sanε

tholique suit des esteus, que tandi Augustinia, dit, qu illa

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choses, que es promines de Die condition nεesci'adtessenem particuliere, non a i liis p.uelaire contremos, it aut φ'il colis,ne Aules te me contente de peno promesse de Dieuconditio nee addrinante a lovis i Egliso Ce qu4l ne ait, nyne scauroit ire.Parquo tout ce'u'ildit e fert de rim indieque Moyse les Prophetes parto Et eo leura exhortations a lovaterassemblee. Et bien, qu ut est question ore pro nesses de Dim, non des exhortations de Moyse B des Prim tes. Item, enicores M'ialesti misi turasse parr

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rauolas aute is briefuere, commesnestant important, que les reliquςs se seruolent anciennement de celim de seinct Ieana sese satin Esprit nous enseignerati suggerera , bientele 'eux. 'est eousio ursiou moy pou monstrer que les heret, ques se seruent dea'Escriture pour falae valoipleurs auges opt- Bruns. Et pou rete que les heretiques Ont alleguescelieu pour iis tr uire eum nusses traditionspou Apostoliques, illes'ensuit pasqu'on ne te puisse allegue en confimiation des tradisio Vrayemen Apostoliques commeson celles, que ouved Egli- se arreste estretellas Irappelle subtilitε la difference que te merientre enseigneri reduine en memoire. I nela trouu gueres deniεe, caries moissentiae expressement& clairement differens, maisi ne respondpasau heu, que allegue de nostre Sau- ue*r, qui di expressement Ienevouspuis prediretout main, tonant, car,'en estes capabies:mais te S Esprit, ous enses era: lei luel lieu est tres AExpres contreeux: Ibal,que bie, vn mire item

di senibi contraire a cestuy- , auquotiesus Christ dicta

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Volt quoIesuas abista de ses Diseipies arrespace de huietiours: Carencores queiainctaean ayant narre equi aduintae premierdes quar aeriouria remiroi desditas dis Apostres, saute acequi aduint huictrio ars apres, a cause decla similitude des de a stes, de larepetition des mes mes propos, qui furent redicts 1 cause desainctThomas,ce,'est pas adire,qu ili apparui lusieursabis xdix Apostres durant ces huictiours.

Α premierioinin il respondiar modification, confessant

par laquei aseura son de me plaindredoleur dire, commetropcrud&iro rude S il se fust contenta de cela, teneluseusse pluadit mot,mais pariant trop,iliaut aus que te disequi ne q ut sequ4rdit, en ditant querie veux niteri prerogatiue deis'error Potnt, commune aux CurEs de village, quela rattribue auricrosses, mitres Tout cela est faux maiste dis hien contre luy,.que I Egli se aceste mes me prerogatiue, queles Apostres, deno Pouuoi errer, in acies promenes de perpetuelle assistancedusainct Esprit,n'ont, oint est Edon neesam Apostresimais aQ,-glise , est a dire qu'elle ne leur a poliat estε donnee pour euX, nyPΘurleur cause priuee, maispour ramo urdel Egliis. Et qu'eustieru degarder, assister a I Egli se, durant la viedes Apostres, M

Cest par tro nisisemen estre sophiste de mord re de ceste fa-ςon Pource que ita dit,insi, coeque dit da Plessis est faux, absur-URμblaspheme,di quand bien seroti urar, cen est mini contremo argumet. A cela it,eut subtiliser disat que i aftacdit, rari