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toutes nos arque drantiquish, ii respond fortiiteu sement. A la premiere, qui est palpabie, iidit que linia techrista occupestousces lieuxta oura merce son idolatrie maisu deuolt voi qu'aum melleu Jay sermε la porte a cest eschap-patoire, dilant: qu i appeta par te fondations, dotatio Sic x, que originellement ibestolent pou nostre profession Catholique. II trou mauuaisque rappellelestiem sacreet, Temples, Eu
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enquatremanteres doni rune est pour elieu public, ous'assensitaenides Chrestiens pour te seruice de Diei, commeti est x. Corinth.ii. Et te motd'Eglise est plus Chrestien in plus propre que de Temple,qui est comm. ω sitε pariles Payens, pariles Ilitas,le cestpourquo il laist plus a nostre respondant: Mais Optatus, Miainct Hierosme orauires Ancies lemyent, pour Iaraison quora dit, me se trouuera iamai que i Elariture appelle ainst leslieux des Chrestiens, maistes appelle Eglises, qui est ne lourda
censans apressa fondation, commeen son premier Commen ce
ment Et si maeo res en auolent les Apost res duleur vivant plus quen emoni eous les Sectatres maintenant. Aliquatrietae ii est plainnide dire, que nous4'o serions ac cepter pou Iuges les Peres,&Juy metae te courrouce desce, quenous falsons tantd'estat des Peres qui es alleguos a tous propos,
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vicissit dis tres inal apropos, que i affoiblis parda mon algumentd antiquite Ce qui serenite sosmesime.
Au iure de S. Augustini a respondum desius. Quant a re 'it Slde Tertullen, que citvoyoit rEois Romaine en restat
ueror te dire du Philosophe Ie respons quele Philosophe parte
natur essement de ichosis naturelles, Nioutes corruptibies,tant
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Il dematide, veut Rauoi commentia long urduiemomere diminuerte aete, la deuotion la responce est a mesme heu g nes'en contente pas, lait que ce soni donPaussisten celestes, que te, tres choses intemes.Ie tu nie,que ce soyent dons com metes autres, caren ceux cyghomme a plus grand pari,&concsistent en practique externe radiouste que Dieu ne donne pasis grande melare cescaulas internes de la deuotion, Eele Donin'est de merueilles sicles essects doce qui en sori, in plus lasche de
Dieu,dela doctrine tela confesse, malarabus demeuretout entier arabusant, de non pas ad chose,aunom de Daeu. ala doctrine, qui demeurent nertes intactes, incorruptibles,aussi bienent,
Et est blasphemer, qued'appellerrEgliis Catholique, ainardo,
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mus a reformer. Et de falehilsontious de musiouredit en leurses crita, responses, protestations, declarations, confessio ,P'us venolenticu reforme rEglisse, iis se soni appelle reform teurs Euangeliciues estis Ont appellε leur Eglisela reformee Brettout leuescas est reformation. Maiice respc hi est phis en cholere. Il parte de destruction Selon tu tous Ies Chrestiens. qui estolent auisonae auant lusn'estolent potnt en PEglise,sontrous destiuicts de damneχ it, ..uoit potnt''Eglis et illa diceneholere, it ne tecroit pasainsi. . Au trois me, illaccorde Men mati ii te destorque Nous Vctulons dire que cen'est pasau subiecta particultersae brobis de reformer Eglise, mais Iesus Christm mea son esprit qui preside, ouuerne, kreforme rrilis paries Conciles, qui soni tres- utiles, necessatres a ces tas. Αv quatriesme isdit, γ'ilicini deme ε en ceste Eglis nostre, reor quationi peu, malaayans euri, auola plus d'esperance, iis cenioni sortis Main tenantili appelle Egliis Commerhommo estoit ala auant qόestre nisiade, la masson entiere auant quo
sonu 'separe deri a quis mictem eo
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ndes Apostres. Qui est plus ancien de ce coste la illa gaign..
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Voic une raison, quisemble bien apparente ento utescho- ses, maiielle est tres-necessure en mattere de religioni ouci it Eglis de Dieu, laquella est, ne multitude assemblee demi uia ' μ' Ἐφn . . profession publique de Iesus christ. Tellementis . ... que eost deresseneere definition delingitis Chrestienne, qu en' si . e sotivne naultitude numereuis,&icelle estendue partout lemonde. Et sty alien phis contraire alEgliis Chrestienne , que paucitε,id'estre referree en quelque certain lieu, qui sonideuxmarques deda fausse. Ceesse prouue clatrement par infinis lieux de I E seriture sata--α- oe, tant ita monou au Testament. Dieu parte a Abraham, λι- - α puis a Isaac,, par plusieur, is leur dii: Ie multiplictayia semene eommeles estotiles ducies, te sablon de limer: Tas menee sera commetapoudre decla terre res pandueau large en Orient, occident,Mili,septentrion. Ceste lemenceatissa
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semence .c est adire Iesus Christ, 'toutes nations seront benites. ω 'Dieu dicta son filii Iete donnera toutes nationsiour ton ritage, &les bovis deli terre en ta possession Cest herilage wVM pos mon si grande ne peucestre auire , que Egliis It ditavisi, que ioviles bovis diurnonde se conuertiron adus, toutes tes
arautre, duraeuueiusques a bouis de laterre Aux Prophe tesu est ditiano fouuent, questo utes gens de nations de la terreviendroncaturiviendroni deloins, aramasseront pou leseruir
Savueur de Dieu: Que te Rςdempleuisain ad Israel sera Dieudetoutela terre. Iesus Christ paclanta se Apostris pressa re ninnri surrection dit,qusit fatiloit quela remission desiechez fust tenchee ensen nom par toutes nations commensant amierusa item Et vous, dit-il a ses Apostres, me sereχ tesmolns en Hierusallam, Iudee, Samarie,, ius qua bout dumon de Alle pax tout te monde, & preschea i Euangite ato ut creature. L'Eglise Chrestiennedonc est, ne multitude tres grande,imΠle dispersee& respandueau long aularge Par out te monde. Tellement qu'alafason comune & ordinatre de I Escriture,elle est appellee, detoutes gens, detous peuples, de toutes nations o-M L'Egliis est,ne tres-grande societε re compagnie des Chrestiea ' dispersee parrout te monde Gest,ne communiona ςonsen tement uniuersei de toutes gens.Iesas Christ a donno pour dot ζ Σ dit S. Augustin, son Eglii e ceste generalit de eout lemonde cis Da Linusse qui est heretique ou schismatique .c'est ne opinioniat ch.
time,, cdiose partieuliere, excogiree par esprit priue differet et αρ
tainipes dot elle dit, Hestic offle suis: cella ostii faut asser,d Mai. i, testes particulieres indicatios,pourda designeriDesm in l
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croire, qui arolice que mulle monde eroit, ce qui est receu patriis, out Le Chrestim est,comme dilait Socrates, citoyen dimon-DH. de Celuyla est suspectru heretique qui sent de croit dei teste.&commedit latainiste parole, qui sui son esprit, qui parte de .sρο- metae. Vollatourquoy par son propre iugementa est subueris: ou croitrualent eoque ron enseigne enaeuieu, depulsiel temps Card uisqu'il adela restriction, de la particularite, ae querondesuve, ou rondes menti uniuersith elast helesie io'est schisme: c'est nussetε. ηρ-- Οr maintenant detoustes partis, qui ni profession duchrb.stianisme,leque est-ce qui a Ces deux marques, auque les Pro ..phetie promessesdela se de det Euangite se trouuent ac complies, sinon eelu qui vulgairemene est appelle Catholiqueν
a, ' Celle metae, qu'it,'est ii solas de semelne ala monstrericarquanta la multitude , Eglise aliosique est si numereuis au
Monde,quetous les a res partisChrestiens ensemble combienplus,si ondes prend chacuna pari, metieetet encotes es Iulis sivous, sulea)montent foripeu a son tegard.Tellement que non .sentement elle est,&doit estre dicte plus grande,que toute auiret maista presquetoute , chacune des autres presque ien. Quantata diffusion dispersion, o espandement aulongae aularge partout, ilest ausclair. Carpar out ou te nom Chrestien est ouy teoeu, la est aussi recognueda eo de i Eglise, queron dit Catholique Elle est certes entendue, a Tra desia plu- seur,siectes , son exercice public paretous las endroiias de literre, non seulement oules Princes soni Chrestiens deruis rexire. .mith Septentrionale, ou habite te Moschouite, iusqu a rauere costε Meridional de AEthyopie, ou comniandele grand Negus tauuerain dra Albissin , in monde nouueau oriental, o ridental, Indes, Ameriques, Bressi Iappon Peri Laquelle descouuerte passe de beaveou en grande estendue de pays