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uvir antee reiglein forine: mais bien au culte externe, police, disciplines, &--- Lesem , que pura quilifaut remrmer,
Hest donoli nne Les seules bonnes cholas en nature 4s Ance, mais accidentalement alter c, soni refo abies cles imeschantes sone adestruire. Lemembre vivant,mais malade est a uerit, te more est a muper Reforination compren deu choses,purgation des abus, corruptions ot ab acco ruption ne sonique des choses bonnes, laines,, eniter fabiis ostr sage mauuais ne chosebonne rurestitution eis premiere bonne, enitere forme, donesen son origine, sinature &---ee,elloestola bonne. La troilietae, qu.ellem estenta mainny appartient a tous It lautiareille auctoritε a reformes lacloix, qu a les faire.Le quatriesme que Murta reformet ii Uen faut passortir, ains ydemeurer Le Medecin ne marit pasiemalade enlabandonnantile seu ne cesteint pas encla maison pour cen Dyrrtes polices socierea ne se remetient tamaasiour en sortits en separe Nos nouueau reformaleur,emraordinairesoni falli en toustes quatre; qui seroit long a desciuire. Mais la chola est touto inire de lene veuxpoinet sortir de mon propa principat. Iisdisent aussi, queles choses mauuaisesse petiuent auctoriser, aussi bien par antiquitε, comme lesbonnes, incores Meux r
dini, ,, par ainsi necessatrement posterieure, commedita estε, auec trans suppostsae des leuiorigine, ou bieniost apresoni esthreprins:α parquesque generale censurevi auctoritε publique re
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qui niadulent tamai qu anx choses bonne maintenues vii Ciel, doni Die se monsue aut urrugarant, selon ledire de Iesus Christ metae , tuis de Gamaliel Ce qui naui este plantε de Dieu sera destacinε, ω cequiri est de Dieu ira en fu- mee. Et quanta ora exemples alique de Cain, Esau, Ismage Babylone cela est frivola caraoniourtoit dire que deuantem estolent leuriperes, gens deblan, Abratam Isaac de te Pa. radis terrest. Mant Babylone M' ain deuant
quiconsiste en faire, re est de aesion humaines, mala,ne an-εi nneth de creance de doctrine, qui se tienne au commen - nent ioin' qu lj a Mena dire enim la corruptelis de quaeques sarticulier ou bienda mustume purement humarne,& vne Coustum ancienne, auinentique, uniuertelle, Apostolique Et pinsensin il leuisaudroitauparauant prouuer quilamnec ceu laverit α puis dire que contre celle ne eulmen coustume. Or sil oncla veritSehea euadu non elast ela dequo on dispute,
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agoni inverite ny coustume, Ninquae Catholive a toustes deux Mais Hest a voi , ωc est dequo nous debattons maintea nant: pour leprouueren voic Vneruis on&marque Lantiquit , constante eompagnone de verites, axime accordis meta es, de allegum par du Plesiis Auleste de direqubllegurela coinume en mattere de religion de vetitε,4 d'Eglise, oon'est pas bis argument , c est mal auisa Leux ca salae Pauluse de cest argument contre es refractatres, opiniastres apres auolt employe plus eurs aisons, it conclud par oeste derniere, commeae voviant duiout accabier: Bres a qui est querelleux dit-il opiniastrensus disons que nous navo ioint ceste coustume, ny iuglis de Dieu. Finalement, disent iis, auiis allerit,'farien plus ancien quor Escriture, laquelle estant deuers nous, c est a nous denous pre- valoir de rantiquite. O voicyae refrian, Hest tousioursieuege
Cela est premierement faux,'u'u''faye risii plus ancien querestriture caraulebour, est toutela derniere L'Eglise,la Ay, l. doetiine, te Symbole, la Tradition , de tout e qui est de reia,sence decla religion Chrestienne estoicauparauant Iin riture Euangelique, quia estεla resere piece introduitte a monde par occasion , deuant sans laquesset fauoit, ne infinitesia de Chrestiens savum. Celaiestε monstre abon escient cy-dessus au cinquieta article de mon chapitre quatrietae.
qui e nostre sens est te plus ancien 'e premier e , de
en peine de .inoir par antiqvite, qui est te ineisleu partπε
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pierres, clo chers, aut eis, monumens,telles, telles Eglises,Col. Ieges maisons auoiresthbasties, on dees, e dotees par Charie- magne, Constantii, ouautres anciens Princes, quin uolent ilra milleae douete cens ans vi plus Les registres, tilires de lasondalitε, dotation d4celles portent de celebrerlesiastes des Martyes, honorer leur reliques, prier psuripam editandateur. Russit par les histoires anciennes& vieilles panchartes lemesmσse monstrera. Lenten dire a tous,in satis contredit, que les Saincts Cyprien Irenee Iustin, Fortullian, uant Sautres estolent biencio apres es Apostres, qu'iis ni mention devclio ses, quella Catholiquetiant te utres partis reprouuenten parient comme de cliose desi ree e par tout en commune creance& obseruance. Donviis concluent aleuratis que ces,
ncla temps es Apostres, quσrinstitutionis a est&faicte. ila comaeienti antiquitissuma nifeste& se nictioncher arcell
Ιis aliquent finalement antiquite des Eglises Greeques,
. mi. a. orien ales, de Ethyopiennes, ais nee encore de is Latine Occidentale, tenues par elles Mnpures schismatiques L obiection deces Eglisesta, mutant qu'elles viennent tant ouuenten iei, est alleguee par parrie adverse a tous propos, iresque emtoutes ira marque & raisons que nous employonsiour laCathoqique Romaine, it sera meilleur, po uile faire plus eo uri, sans redire mesme Gose tant de foli, de remetire a frespondre encla derniere marque, raison qui est decla successisti, ε liplus a propos. Seulement te dira icsque ces Eglises prinses
auecleur corruption nepeu uentestre dites plus anciennes, que laCatholique Roma ine, si ellesn'estolent dictes plus veritabies. Car qui est renu au commencenisntdu Christianitae plus verbrabie, rest ausit apresensoy. Pour metire in il ceste premiere raison , io dirasce motoque dui Plessis, qui en son traicth dei Eglis chap.3. contre les Catho limes, resette, reprouue cest argument de rantiquit poum
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religion Chrestienne depui faict,&digned'estre leu, conside re combienque cessuiectat estὀtres dignement traicto aupa- - Te etauant tu par lusieur Catholiques de diuerses nationi se iret dimetae argumenta'antiquitescontretes payens de infideles, po urmarque de lairayeparole de Dieu, Escriture saincte, de quant 'uρnt raro religion. Et au preface duisconditure det Antimachiauehial en est autheur, commeron dirkouautre,quiquat soli , cest unde sateligio 4 prouues'excellen cedela religion Chrestienne par deffusioutestes autres par son antiquite. Patainst non asse bien convenant asoy-mesine.
Pouria sigies me obiection , qui est contre rassomption, iis di δέ
requ4l se eondantinent&se trahissent en pensant se couurit car aegide ne peu ny ne doli iamati est re cachee commesse disputeriailog, de par expres enda troisi me marque oli ieien .uoye leae cteur, tenesonique bourdespouramuse les sim' ple s. s'iis auolentestHauparauant, quilien monstrent quelquasmarques vestiges , sinon de leur regne, durae , vigueut, a tout te molns de leui destillance, Ies occasions dedeurs cachette quales a forceide caller, ceder, se musseri Parda on Ourroitauc nement coniecturer, qu'iis auolentesti, au parauant, n'estant pasraisonnablessen fati de telle importance onleur croyesans au-Cune apparence' preuue tire destesmodnages de cho eseassees, des histoires detous iactes de naticins.
tout temps lourquosexce que si tost queanther o Caluia cest apparu personne ne 'est trouuε qui se it adioustea euos ii neus e des Lucteriens, Calainistesaeache a m de Hest a dire consentans en doctrineae creance auec Luther S: Caluin sitost quili ont continenc aprescher& se monstrer,suevisent recogneu leurscosipagnons, eussent courui eo sensestre appellei,ce quin aestε. Caraous ceux qui soni des leuis,'en estotentias auparauant, mais comme iis confia seni, iis estolent des nostres, Catholiques, voire metae les au-
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rorigine dele commen cement, sinonduiemps des Ap bstres cis meta es iis aduouent, cottent SS. Iustin,Irenee,Tertissim,Cyprieri, nuteura de nos dogmes in il est certain, que ceux uestolentio us prochains de Apostres. Dautre partiis soni austi diligens a remarque les herefies leurs autheurs: Miamais, en ont marquε,ne avolt etaintrodui-cte par aucun Pape, ais plustost auoi eis toures condam es par les Papes Caluin recognoist bien en to us les potnin controuerseZent renous&luy, tantiquite Siceux bien par dela S. Gregoire, quandit les ditestre deitreiae, quatorZe cens ans. Et de Bict presque tous les Docteurcillustres de rEglis e Catholique, qui nousint esciit aberriaigneia doctrine que nous tenons, omvescuires de deu cens ansinuant Sainet Gregoise , depuis Constanti iusques au enfans de Theodose Volla mur letemps precedant Sain Gregoire Wau dire metae des ad
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e seruer contre edit Patriarch e la priorith, prerogative . quies olideue de droici,& non degrace particuliere , ou concessiou
examen ta . hapitre dedisses dicte response, imprimee ala R-helle:
mune a plusseurs autres cholas, commesonrtes marque Peledonne, qui sonti separabies de I Eglise, communes aetous infideles idolatres. Nostre respondantiasthebien demonstreisce que ne doli pas est rem arquesmaisil ne monstrepa ce qu elle doli estre Ayat diti Marque,'est pas telle de ellecto se, it deuote dire,inais cedola est re teste cho se: Misinsi est it fori impatiaict eustii dire a semble quasi qu4t,ueille dire quera marque solitae forme essentielle delachose, to utes istinet dit pactout clat rement Carili Oid quid serendroit ridicule, Satitant' silci' arieti fuscachhen lachpseques m Hessentiellea, lamatini edoit estro notoire. D'auantage cesseroit dire que a marque de laecho se estis cho se metae ainsiil est fortempeschd Ilveut bien
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orbiennous dilans, quemarque est nequalite oua stion vi-sbleae apparente, convenant si proprement ilicho se qu elle de .
autre Telles sonties marques quei assigne a lingli se de Dieu,qui
eliose quen la raye glisei& principalemet ne sotrouueni potnten aucunerali faune:Cari'est pro prement oucceta que noustes cherchons, alleguons, afinde cestre trompeZ, ne prendrela nusse Egliis our latraye. Mais qu'est-il besoinde tant disputer des marquesque te donnesi elles soni Mayes, certaines,& lassisantes,qu non,pui quelesymbole dela Dy, lepremier grand Concile de Nice,&ω- tu de Constantinose, lesqueis nos aduersatres dissent rece is, lesbaillent, les en ignent i, est-cepasvn blaspheme a nomerespondant les appelle injurieusement imparnites , captis sei, obscures,communes au infideles,Cari est iniurier te Sym-,bole dela fon,i ces detin premim Conciles de ines me tibnes. Voye comment tenuis de contredire letousse en tout te impietε. Maisie,eux donner icy vn aduertissement bienque te layeasseet dicen monuiure in qui seravne solution generale ad pluia part detout ce qu'il dit en ce Chapitre , alleguant les Gentib
ne Disputant du Christianisane di contre les partis Chrestiens bienque non Catholiques, eretiques,' chismatiques lineisulpas chercherou imagine mire antiquitε, que cc doni est Memo , Rauoi Chrestienne ny ne latirer Sailleurs que de Iesus-Christi oute autre antiquita Vesta propos Celu la done
est plus ancien Chrestien quἱ est plus volsin de rautheu desu Chrestientε,5 de la nausance de rEglis Euangelique.