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lit ne Peur romper ny estre trompe , ii di que plusimis multitudes on fallis, que Piline s'est bien laisse tomper a lamultitude des Epicuriens , en croyant Iam e mortelle is que ceste multitude ra romph. Ie tu replique , Que fi lineila multitude de Epicutiens eussent seiunia plus grandiota,
lamais,'eussent re rame mortelle , mron cre mortellepour auoiri selon te conseil de nostre respondant suiu limoin Mevoix, caravniuersite desinoindre croit rimmortalitε derame, lacroire mortelle .c'effine particuliere,¶insi heretique opinion. or venant a formermamar edet Egliti, lene dispassimplement que cesso itine multituae o vn grandiombre de persom 'nes , non plus quin chapitre prec dant dela premiere marque Ie ne falsois ac comme iliouloit rantiqui isne multitude Sannees cest hom me ne duriens'ilne corrompti ne brouille mala te disque Eest ne multitude grande&numer se, respan due partout lemonde Cest,ne diffusion uniuersesse,&ainnee- seriarque est double,& composee de person nes, de lieux.L'E- οι imite raye est celle qui est partout,de a laqueste toures ges obeis irar
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mirile oli se soni accordea ametromper,&moyaussime suis accordesa estre romph. O voyons comment ille monstrem laus amuser a me reuancher par iniures.
wmplet ainsiderestae , sans estre plus long eo rapiae alon
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rescritureque 1 alleguelouria preuue de ma propositioia, de
eemotioutes gens: Cars est si ruine.
II ne volt pa qu'elle est non seulementiontre les tilis commei dit, mais cesta totale condamnation detous les schismati.
qnes: Carleur secten'est pas tenue partout&detoutes nationsilii est bienda Catholique Romaine Aussi ce mot de Catholiquen est pastant ioinctΛ appliquε al lis e rayement Chrestim. ne fila differen ce de la Iudaique que de rEglis heretique, de quisanmementsedit Chrestiennet, suffitio ut ceste heuresque te respondant accorde qu'elle est dicte Catholique pourrvniuersi , in
tε des sieux. lour eoque les fideles soni recueillis de tomes le suis, nations Et comme parte Braeensa confession, pour eque les fideles soni espars partoute la terre:ε si mille terre natur iamris parier Saucunfidele a la Hugoenotte,ny dela religion S doctri ne de Caluin Ils'ensuit necessatrement de lari par leur propreeonfession,que leur religio Un'estioin Catholique,nyparconsequent restienne, aliisquec'estia seule Romaine, commeta se ille qui portant tilire de Chrestienne, se trouue auoi este pat
Iiditquele Paganisme est aussiune communion&uneonses sol. iis tement de to es gens Ie dis que cela est tres- nux garoutreve ce ne laesiamais, ne communion generale , mais plast ostine dissension generale des Dieux de religio η'opinioris istis en cores depui quel Egliis Chrestienne aestε formee& produine aumonde &o'est de laquai faut commenceis a compter,&d'oanos aisons prennent leur tarce arinulalle a commench de latroeniendre, retentrion nom,ae Paganismeri' pas obtenu lage neralitε, maisa perdi,&a declinestousiours tendant aurien Mais a que propos allegue iric ce lieuid eux ou trois soni sufemiati e mon mon, c. yyIln'est ic questio que de quelque Petroisse ovietite assemblee de Chrestiens: m is il est questionde geste grande Paroisse, Dioces qui ales quatre coings dumondepourlitares,ssauoiri Eglise Catholique respandue vartout te monde. Iamais est homme ne parte bien a proposucommesi monstre encores plus puerilement en e qu4 dit Pros , applimant os ciboires les pareses estidis que Christ est at desertio nux caeh ttes ny alii fias les
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sar o lemonde, Caeta lamarque &4'effect de Pheretique, de aufer la grandera uniuerselle crua epou suyure quelque par ticuliere qui se garde en quelque certainlim ou depuis, eritiaeemps. Quand nostre respondant nepeut respondre, 'uero se presse par quelque argument dς restae present de raglise,il χωfuit incontinenta demps derriliis, tot sinuellene aiscit que naistre releut quel Egliis apres mi cinmcensans, ne foli riea plus que .qwelle estoit in bercem Alors il talloit croire .cqui
mero cruoit depuis inglans, trente ans,&en certainuisu dela Palestine maintenantii faut croire, ςomme ron a creu de .puistes Apostres. queron croit parto ut lemonde, non pas commeton croit 1 Geneue,aiuris, a vitemberg, depuis 3 o. o,
A ce quera dit de resten due dera ullia Catholique par tout le
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mion. Ce qui est manifeste, par ce qu is demandent de rEglise
Romaine confirmation deleurs Patriarches enu em leur. tque aux Conciles generauctenus enaEglis Romaine: onti exercice libre, public en Muta ceremontes, culi aeterne dedans Rome, comme ilia volt aux Edises,Colleges, Seminati res Grecs, Armeniens,offla Messes,dit,ile service de Dieu se inita leur moderi, reciproquement permetient demetae en
Irdit que Durde comparer aua anciens heretiques illauisahe
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deuxchoses aes auolt conuatacus cheresie, reles auola πί- terminεs Iedis que te premier est jafai partantae tant de Coa ciles , qui ont condamnε pou heresim les opinions ou'iis temnent contraires ala Catholique, notamment cela de atra de Florence,, de nos iourcle Concile de Trante trem iussisam ment, oiuili Uonthχε comparoir, ym est' appelles, eonuit
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pointest mendu depuisse Apostres uinosa Caluin son bon
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nestaueunementa Dropos: car ces gens lanonLintroduit alvis nouueauio inst de doctrine ny ne sontaucunement discordans
Irdit que Hestin blaspheme execrabie dediti quartauirendie oboillance ausape. SSaernata doc , Augustiae E qus es autiss
Ames allegations des Docteursu ne ditrien, laus qui repetetousiour son nux donnera eniendre,qui est que nous referrona
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falset a sim-sser, inseroi tost Catholique Lasolution a
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4-- i. Eis. Paulyest formellement contraire, itant que ceu quisontentans dea chair se in nrpas entans de Dieva mala sont en fans de la promesse μα
niers inura que letout duclugemen est proche. Au reste re tendsiestat constant, enti r det Egliis, afininuli ner plique ginta se sentasse, tosteria dure depulsae commoncementi est adire bientostvres la Pentec'ste, usques a lases, Hest adire,eu auant cla indu monde carces deunosuis estroi .nteste ueti es-petite duree quasi mominatan*es. Po.r,nouuet que te perit nombres, doni parte Ita scriture, ne intend dela vis boncie S: de lesiection, mais de la vocation de profession de μν, it allegue les deuibouis de rEgliis, is premiet Gont pariesain,Paul, te cumier dea Antechrist, qui in t eourner enta faute que i, refutee en mon Arricle precedent uallegue s inminusustin ,, Chrysostome, qui tous deuctre expresshment parsent dela findu monde,&dimiserable estat de restia est siderniere desolation. Et par ainsi mal a propos dele sim de stinctCh sostome aeste expiiquεW-dessus au lore, en son furillet cent trois, erit illauolt mala. Aureste lene fatapoine de Boises, eomme si dii, malis te considere en ne sevia sise, desparta diuerses des qualite differen is, sui ne se 3 uuent discerner par rhomine 4 en caesens sont cacno, sca virtus esteus, les reprouueg. Qui tousetans fideles de pro sq