Oeuvres, Volume 2

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qui allegiinent comine ceu de ce temps, pour defence deleur depari , te, iste des Euesque Catholiques de entre autres de Cecilien Euesque de Carthage, bien quillustiustifieae abinus fouuene par iugement publici, gens commis par rEmpereura tu aireson proc . Et bien, dicit, si Ceciliet anilly, faut- inque pov cxla Iesus-Christ perde son heritages fagi inquepourlas fautes des personnes la maison de Die soli deschireedi dissipee que te iis de Dieu soli priuε de ses dro ct 5e des possession Gettes le Fus de Die de spein de leurs couieues vitainement les Scribes c Pharisiens , qutesibicit enset-gnequemur equus sontassis fur lachai 'ς Moyse ron leue

obeisse Cest argument est d'autant bonis valable contre les schismatiques, comme iis ont accoustumhωles anciens, dit Unct Augustin, ωles modernes, comme Caluin ε les autres, οπινιιω-d' comparer, apparier nos PAsteur Catholiques, quan iis in me mi v eulent bien representer quelsus soni aux Scribes, Pharisiens 'Iudaiques Certe sua consideration des persennes enmatiere

ineloy Religion AE chose tres-dangerense, defendue de satin Iacques, appelle de sain Augusti mere Serreur, e que Dieu agit fouuent& parte pariles eschans & queno passon , αἰ parte smains: 4 amuis avx hommes rest tara mica Dieu, e. i. 'α semer diuision, commodit sainct Paul. Quant a second , qui est plus pisessant, carcii est delado .ctrine non seulement positive, piactique ceremoniale, mais et 'arsubstantiale de laeto de de la creanc , iij a deu responses: doni rune doli suffire L'une est negatiue, o plustost demon ' st fistrative du contraire, de ce quetis dissent, accusent, reproclient: Iautre qu'encores quai fust,ray, si ne faut-il sortiriour cela dei Eglis

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Sestinuit, a plusieur choses enaEgliis, quinosontioint de Eglile, clastidire, qui ne soni uniuerselles ny approundis,&enco res molns ordonnees de rEglis Catholique, mais particu liere, qui peia peu par deuotion indiscrette, de lEsprit prinε

nouchalance d aucuns Prelationi este tollerees: desquiales semus,M , Ne parier Iesus-Christ, dilant me cependant que levereddita mille dormost, rennem a sur- mε deryuroye Telles sontis plus part de celle qu obiecte dumessis en son chapitres. Meles Saincts soni Medecins, Presidens fur chasque 'ece de mala die de mesauenture, des mois excessiti de la dignitε, merites des Francois,ic or ne faut-il par telles choses non authoris s

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suis content , comme en passant leur respondro a n potnctpourto car aussi est 4rtelai uniuersei de important, qu il compremiae traine apresso presque tous les mitres, di celo aussi a uel iis insistent te plus lis diseo qu'en plusseuis ason nous ini rions, obscurcissons , voire aboliubius, enseuelissonsa'hoib. neurae merit &na vertudii Mediateur de Minime unique Iesu de is more son sang. Cara quor, sinon Decla, sonides aut τρSacremens, outre te Baptesme M la Cene , te primes de merites alles Sain , veneration de leurs imagos, reliques, leur,festes.& temples , les indulgences: iutre ces oeuures satisfactoires, meritoires de Purgatoire, o ors'il se monstre quχntoutes ces choses, tant niuium pondesrobe in diminuerien de rhonneut de valleur duaedem pleur, du metite desa mori, qu'au contraire Hest te moen pr preme plus te recognovire, reniendre, te nire valoir:&n. uois au reboues de tout cela comme nos aduersatres, qui es re lectent&condamnent c'estautant luroster, Gustraire de soahonneur, kainsi tro chetiuemaeno, sterilement, maigrement is recognoistre,& ouer, ne sera-ceias hie retorque rarg anent contrem , ae sufflammen prouum que nos aduersatresoni grandiore faccuser, se plaindre de nostre doctrinea Quec est taleur,qui est iniurimis au mediamur, non laetiostre pyons si nouste pouuonsfaire.

Vole nostre confession vi declaration Catholique i N.us disonsi confessons, que Iesus-Christiti de Dieu,6 Fili deda

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aboniance, qu'iren faut prendre, qui en Oudra auoir Iusque linous alloni, te pense, bien ensembl. inis volcyque radiouste a to ut cela deuimois, quiferontis bruit, qui ne restra nent ny ne modifient, commedit partieaduisse , mais soni plustos amplificatis . extensis r L'Vnqu'il fautri est te deuoi des Chrestiens de considerer, honorer,iniploye cetant grandienefico, cu merite insin .ceste vertu mense du Fila de Diea, te auueur, 'esperance unique des humainc, en outes lasons , estendant de muliipliant Iesanoyens,isjemd'honneu de dedouange cari est a dite te re-

.cognoistre, honorer, Memployer,uoni lementensaracineis personne scule, mais en outes ses branchesis parties enses fruim, effect par toutes de circonstances, apparienances

atareae parnicte; non plus que celle de rarbre, qui carresteroicata sevieracine,&nea'essendroit pax les fleurs, Deilles, fruicts, leur beaute, leur odeur, leuritilite tant diueria Selon ceste mison naturelle, Beeuidente, sinu premierement honorera m moire, lasemblance, les reliques a cela serueniles Temples,les fines, les images, tractaues de S aincts, Sai ctes , non Aulement parvne confideration morale, ciuile felon laquesse Eest,neat te de Iustice d'honore la veri par outota Sesesrouue , mes meten Socrates Epaminondas, Scipion, Phocion, Caton, gentiis, carethonneur est deuata vertu mais Linctere religieula, pour coque soni membres du fit de Die fruim data eroic, partim deton sank, de que tout rhonneut en reuient alan commera leur causes, leur originale, au contraire tanabstenit, 'entiare asin que te ne diis pisycomnae fontiosa uersatres cest acheris supprimer,ne bonne grande partio de so honneur. uis ausi ii aut representer ex empinergnatos necessiteΣ,prieres , dc requestes, que nous ad dremosis ametaeur in aetε, leu vie leur mori, Dum martyres, leuo

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mous demando.

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' mque Iesus Cela est bienue premer, te principat, i absolun istneeeisaire, sussitant en cas de necessithesmaicit aut encores se

les penitences , les satisfactions yle Purmi me. 1l Uest mini ny question de la vale , du rix, decla lassisance de la Croix, du ang delesus Christ, mais dela jouislance en particulier, qui est par son application Tellement que quanditen nous faudrio

encecy d que inuites moyens suiniis de Sacremens, peniten-vies, satifactions, Purgatoim ne serotent legitimes, commetis di-sent, encores par ces Miourroit -on nous accuser de fullira honnorer, estimeria Crout de sang de IesusChrist iu de rauoieiniuriε, obscvrcsson merite , comme iis nous reproehent man

mousiavis feriona tori, si torto auoit , de non a Sauu eur, de

nous metire en peine de iouic ne chose, qui est desiaen nostre main , nous profitetans riendatre, sans nous rappliqueri Nous voti donc ad abry de leur accusation, reproche. Mais ditans, petit mot de veste application, pou retiae quonstrer ω eur faute nostre droicte cari'est la eles deda plus- Parides controuerses, qui tant e relas schismariqum moder- es denous Nousdisons questa Croia de sang de Iesus Christ,es Nn resor infiny, tres-lassisant murtam to ut debie, pompurgeriout mal , meriter out bien . qui ny cauere satisfaction, Purgatoire, merite a mondes mala qui ne profit

qu'aceux, aquil, est appliquε u est sussitant mur ictus: mais non profitable a tous Cestia distinctio Theologese de sufflaceae Sessicace. 'eau ωla Piscine remue par anse, figure da

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mur cela partie 'Eglise, ou nolis en departir: nautres oras.

plusiost mouriri, quo de Hire schisme, me departi des liti,

stemipas enti mali an ena en allant lian la diuisi i separ tion ne reforme pasci Republique cie College, compagnie: mais platast les destruit, ruyne La Charit wrvnion-publime dola estre prefere a tout auire consideratis iij, nudo par aucune cause, ovi pulsis aduenir estre ro ue,driae Separationise dauiminis appost quo scandala, reo M'. .

Et pourn'estre plus longildesdu ire ces trois chese depreuum. qui soni siclaissi aussique les chesi des Sehismatiquestes refl

heram Patriarches, auant questa rage reust duriout sessi ful